logo
Trois blessés graves après une collision frontale

Trois blessés graves après une collision frontale

La Presse4 days ago
Vers 12 h 45 lundi, la Sûreté du Québec a été appelée pour un accident impliquant deux véhicules au kilomètre 14 de l'autoroute 20.
La vie de trois personnes est en danger, à la suite d'une collision frontale survenue sur l'autoroute 20. L'accident s'est produit à Coteau-du-Lac, en Montérégie, lundi sur l'heure du midi.
Vers 12 h 45 lundi, la Sûreté du Québec a été appelée pour un accident impliquant deux véhicules au kilomètre 14 de l'autoroute 20.
« Un conducteur qui, pour une raison encore inconnue, se trouvait en sens inverse en direction est, a percuté un second véhicule dans lequel se trouvaient deux personnes », explique Marc Tessier, porte-parole de la Sûreté du Québec.
« Il y a trois blessés graves. On craint pour leur vie », ajoute-t-il.
Les deux directions de l'autoroute ont été fermées pour permettre à des reconstitutionnistes de la SQ de faire la lumière sur les circonstances de la collision frontale.
La direction ouest demeure fermée au moment de publier, tandis que la direction est a été réouverte à la circulation au courant de l'après-midi.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Les trois hommes accusés de terrorisme de retour en cour
Les trois hommes accusés de terrorisme de retour en cour

La Presse

timean hour ago

  • La Presse

Les trois hommes accusés de terrorisme de retour en cour

Les trois hommes font face à 12 chefs d'accusation chacun, notamment des accusations de facilitation d'activité terroriste, d'entreposage illégal d'armes à feu, de possession d'explosifs et d'engins prohibés. L'audience sur l'enquête de remise en liberté des trois hommes accusés de terrorisme a commencé jeudi matin devant le juge René de la Sablonnière au palais de justice de Québec. La poursuite s'oppose à la remise en liberté des trois accusés. L'audience se poursuivra vendredi. Les accusés sont détenus depuis leur arrestation au début du mois de juillet. Marc-Aurèle Chabot, Simon Angers-Audet et Raphaël Lagacé ont pris place dans la salle de cour bondée, menottés aux poignets, le regard fuyant. Ils se sont assis dos au mur entre deux constables spéciaux. Le juge de la Sablonnière devrait rendre une décision vendredi à savoir si les accusés seront remis en liberté sous caution ou resteront détenus en attente de leur procès. Rappelons que les trois hommes font face à 12 chefs d'accusation chacun, notamment des accusations de facilitation d'activité terroriste, d'entreposage illégal d'armes à feu, de possession d'explosifs et d'engins prohibés. Les trois accusés auraient voulu prendre possession par la force d'un territoire au nord de Québec et créer une milice antigouvernementale, selon la Gendarmerie royale du Canada (GRC). PHOTO TIRÉE DU COMPTE INSTAGRAM DE RAPHAËL LAGACÉ Raphaël Lagacé, l'un des hommes accusés de terrorisme Lors d'une perquisition en janvier 2024, la GRC a saisi plus de 80 armes à feu, 16 engins explosifs, plus de 10 000 munitions et 130 chargeurs. Selon le ministère de la Défense nationale, ces armes, munitions et explosifs ne provenaient pas de l'armée. Matthew Forbes, lui, est accusé de possession illégale d'armes, d'explosifs et de matériel militaire, comparaîtra le 12 septembre prochain. Il a été libéré à condition de rester à son domicile et de porter un bracelet GPS en tout temps. M. Forbes est un militaire de 33 ans qui occupe la fonction de bombardier dans le 5e Régiment d'artillerie légère, soit l'équivalent d'un caporal dans d'autres unités de l'armée. Il a été déployé dans le cadre de plusieurs missions par les Forces armées canadiennes. M. Chabot est membre actif de l'armée et est basé à Valcartier près de Québec. M. Angers-Audet a été réserviste, puis soldat, de 2019 à 2022. M. Lagacé est le seul à ne pas avoir été membre des Forces armées canadiennes. Il est un ancien instructeur civil des cadets de l'air. Marc-Aurèle Chabot, Simon Angers-Audet et Raphaël Lagacé sont respectivement représentés par Me Sophie Racine-Berthiaume, Me Richard Philipp Guay et Me Jessy Héroux.

Revirement de Québec, les expulsions d'enfants sont suspendues
Revirement de Québec, les expulsions d'enfants sont suspendues

La Presse

timean hour ago

  • La Presse

Revirement de Québec, les expulsions d'enfants sont suspendues

Revirement de situation pour les familles immigrantes visées par la directive du ministère de la Famille : Québec demande aux garderies subventionnées de ne pas mettre fin aux ententes de service déjà conclues avec les parents détenteurs de permis de travail ouverts, le temps d'analyser la situation. Dans une lettre envoyée vendredi 25 juillet aux gestionnaires des centres de la petite enfance (CPE) et des garderies subventionnées, le ministère reconnaît que « plusieurs informations circulent sur l'interprétation du Règlement sur la contribution réduite ». Il précise être en train de recueillir les faits et annonce que des précisions seront transmises dans les prochaines semaines. D'ici là, les expulsions doivent cesser. « Le Ministère demande aux prestataires de services de garde subventionnés de ne pas mettre fin aux ententes de services des enfants déjà admis », peut-on lire dans le message obtenu par La Presse. Plus de détails à venir.

Les expulsions d'enfants sont suspendues
Les expulsions d'enfants sont suspendues

La Presse

timean hour ago

  • La Presse

Les expulsions d'enfants sont suspendues

Une directive ministérielle datant du 9 juillet indiquait que seuls les parents immigrants titulaires d'un permis de travail fermé (lié à un employeur précis) étaient admissibles à une place à contribution réduite. Revirement de situation pour les familles immigrantes visées par la directive du ministère de la Famille : Québec demande aux garderies subventionnées de ne pas mettre fin aux ententes de service déjà conclues avec les parents détenteurs de permis de travail ouverts, le temps d'analyser la situation. Dans une lettre envoyée vendredi 25 juillet aux gestionnaires des centres de la petite enfance (CPE) et des garderies subventionnées, le ministère reconnaît que « plusieurs informations circulent sur l'interprétation du Règlement sur la contribution réduite ». Il précise être en train de recueillir les faits et annonce que des précisions seront transmises dans les prochaines semaines. D'ici là, les expulsions doivent cesser. « Le Ministère demande aux prestataires de services de garde subventionnés de ne pas mettre fin aux ententes de services des enfants déjà admis », peut-on lire dans le message obtenu par La Presse. Il s'agit d'un changement de cap important par rapport à la directive initiale du 9 juillet, qui rappelait que seuls les parents titulaires d'un permis de travail fermé (lié à un employeur précis) sont admissibles à une place à contribution réduite. Le ministère considérait alors que les titulaires de permis ouverts ne répondaient pas aux critères du règlement en vigueur depuis 2006. Dans les jours qui ont suivi ce rappel, plusieurs familles ont reçu des avis leur donnant deux semaines pour retirer leur enfant de la garderie subventionnée. Certaines garderies ont affirmé avoir toujours cru que les permis de travail ouverts étaient admissibles, et que des vérifications avaient même été faites auprès du ministère de la Famille dans ce sens au fil des ans. Pour Claudia Beaudin, directrice du CPE L'Attrait mignon, à Longueuil, la nouvelle directive est un soulagement. PHOTO MARTIN TREMBLAY, ARCHIVES LA PRESSE Claudia Beaudin, directrice du CPE L'Attrait mignon « C'est une excellente nouvelle que le ministère prenne une pause pour regarder les impacts que cette situation avait sur les familles avec des permis de travail ouverts », dit-elle. Elle salue le fait que l'intérêt supérieur des enfants ait été pris en compte. J'espère que la décision finale sera de garder ces enfants-là jusqu'à leur entrée à la maternelle. Une pause, ça ne règle rien, mais ça laisse le temps aux parents de régler leur situation. Claudia Beaudin, directrice du CPE L'Attrait mignon Le ministère de la Famille n'a pas précisé combien de familles sont concernées, mais parle d'une très faible proportion des quelque 250 000 places subventionnées au Québec. Il maintient pour l'instant que le règlement n'a jamais changé et que les services de garde ont toujours été responsables de valider l'admissibilité des parents.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store