
Deux chats blessés par balle à Soleure, la police enquête
Deux chats ont été blessés par balle sur le canton de Soleure en juillet (Image d'illustration).
KEYSTONE
En l'espace de quelques jours au mois de juillet, deux chats ont été blessés par balle dans la région de Starrkirch-Wil, dans le canton de Soleure, rapporte le « 20 minutes ».
Le premier cas est survenu alors que le couple de propriétaire était en vacances. Leur chat, sous la surveillance d'un proche, avait disparu. À leur retour, ils ont pu voir grâce à une vidéosurveillance que leur chat errait, visiblement mal en point, autour de la maison. Il a finalement été retrouvé dans le jardin du voisin, rapporte le média. Une patte amputée
Après un tour chez le vétérinaire, la radiographie a révélé que la patte de matou avait été atteinte par un tir d'arme à feu. La patte en question a dû être amputée.
Quelques jours plus tard, un second cas est survenu, explique «20 minutes». Dans un cas de figure similaire: le chat est retrouvé grièvement blessé, et la radio révèle que ce dernier a été touché par une balle. Logée dans la colonne vertébrale, elle n'a pas pu être retirée, l'opération étant jugée trop dangereuse, explique le média. Le chat est heureusement toujours en vie et en convalescence.
Contactée par le «20 minutes», la police soleuroise confirme ces deux cas et explique qu'une enquête a été ouverte.
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Réseaux sociaux: Ville de Lausanne: un projet veut recadrer la communication de ses municipaux
Une note confidentielle vise à réglementer la promotion des projets de la Commune par les magistrats. L'initiative est en consultation. Publié aujourd'hui à 18h11 Les membres actuels de la Municipalité de la Ville de Lausanne. De gauche à droite: Simon Affolter (secrétaire municipal), David Payot, Emilie Moeschler, Grégoire Junod, Florence Germond, Pierre-Antoine Hildbrand, Natacha Litzistorf, Xavier Company. © Ville de Lausanne – Noura Gauper En bref: Depuis mardi, le Bureau de la communication de la Ville de Lausanne, rattaché au Secrétariat municipal, a mis en consultation une note interne, qualifiée de confidentielle. Son contenu qui doit encore être approuvé par la Municipalité veut recadrer la communication externe de ses membres, notamment sur les réseaux sociaux. Et indirectement, celle des chefs de service et des communicants. La commune ne dispose pas, à ce jour, de règles écrites en la matière et veut y remédier. Le but de ce document de deux pages et demi est de bien différencier la communication institutionnelle de la commune et celle, personnelle, des municipaux. L'objectif est d'éviter le mélange entre la promotion d'un projet public et l'exploitation personnelle à des fins politiques. Le but est de garantir une équité en période électorale entre tous les candidats. Et que les sortants qui se représentent ne profitent pas, ou le moins possible, de l'actualité de leur direction. Règles à respecter L'initiative prendrait pour exemple «Le Journal » communal, un bimensuel de la Ville encarté dans «Lausanne Cité» et disponible sur le Net. La Charte rédactionnelle dit que la publication gratuite diffuse des informations pratiques sur la vie quotidienne. Elle n'a pas «pour objectif de faire la promotion des partis ou personnalités politiques». Donc pas de photos ou d'interviews d'élus, sauf exception. Le dernier numéro en date évoque des sujets sur la baignade , la fête nationale, les travaux en cours, les événements gratuits durant l'été. Dans le même état d'esprit, la note interne propose que les communiqués de presse et les communications sur les réseaux sociaux valorisent avant tout les projets. Ils peuvent être illustrés, mais d'abord pour montrer la réalisation et pas les membres de la Municipalité. Ces derniers peuvent être cités, ou un membre de leur direction, mais seulement si cela fait sens, s'ils sont concernés par le contenu. Chaque publication est diffusée sur X : aucun taggage (ndlr: mention) de compte personnel n'est autorisé dans un premier temps. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Ce projet en consultation suggère un code de conduite aux municipaux. Ils ne devraient rien annoncer sur leur profil privé avant que l'information communale n'ait été rendue publique. De plus, ils ne pourraient plus commenter, à titre personnel, les posts de l'administration. De leur côté, le Bureau de communication lausannois s'engagerait à assurer une diversité des contenus diffusés, reflétant les activités de toutes les directions. Il ne pourrait plus s'exprimer sur des comptes ou des groupes externes. Selon ce document en discussion, l'idée est de consacrer par écrit certains nouveaux principes de communication, déjà appliqués de manière informelle depuis plusieurs mois. La proposition a été élaborée par le Bureau de la communication avec l'appui des communicants des directions. Elle n'est pas encore arrivée sur la table de la Municipalité qui en débattra prochainement. Le collège pourra alors l'amender avant validation. Ou la refuser. Le syndic Grégoire Junod avait annoncé son départ de Facebook en 2021. Puis il a supprimé son compte X. Aujourd'hui, il ne dispose plus que d'un compte LinkedIn, qu'il anime occasionnellement. dr Les municipaux que nous avons contactés n'ont pas voulu faire de commentaire sur «un dossier en cours». Les prises de position risquent d'être contrastées. Certains sont plus impliqués que d'autres sur les réseaux. Natacha Litzistorf est très active: elle partage et commente régulièrement sur son compte personnel Facebook les publications de la Commune. Le syndic Grégoire Junod, lui, est quasi absent . Xavier Company est entre-deux. Il est présent, mais davantage centré sur son parti des Verts et ses rencontres avec les Lausannois. Canton collégial La Ville de Lausanne s'attaque à une thématique déjà traitée dans d'autres communes. Par exemple, Nyon dispose d'une «Directive de communication externe». Le syndic Daniel Rossellat est le seul porte-parole en cas d'affaires importantes: pour le reste, les municipaux gèrent leurs affaires. Montreux, comme dans la capitale, distingue la com institutionnelle de celle personnelle. Pour le Canton, la Chancellerie d'État explique que chaque département est responsable pour ses projets, notamment «dans le respect de la collégialité». La communication du Conseil d'État est portée par un ou plusieurs départements en fonction de la thématique. La communication de la Ville de Lausanne Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Dominique Botti est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 Heures, spécialisé dans les enquêtes de terrain, les faits divers et l'actualité judiciaire. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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Une voiture est entrée en collision frontale avec un bus à La Tour-de-Trême
Un jeune automobiliste a heurté frontalement un bus des transports publics alors qu'il circulait en direction de Broc. Blessés, les conducteurs des deux véhicules ont été hospitalisés. Publié aujourd'hui à 16h55 Une voiture a heurté frontalement un bus des transports publics à La Tour-de-Trême. Police cantonale fribourgeoise Le pire a sans doute été évité à La Tour-de-Trême. Une voiture est entrée en collision frontale avec un bus des transports publics, dimanche, sur la route de Pra Riond, indique la police cantonale fribourgeoise. Alors qu'il circulait de La Tour-de-Trême en direction de Broc, le conducteur de la voiture, un homme de 22 ans, s'est déporté sur la voie opposée percutant un bus TPF conduit par un homme de 29 ans, qui roulait normalement. Sous la violence du choc de la collision, la voiture a été projetée et s'est immobilisée sur son toit en contrebas de la route. Blessés, les chauffeurs des deux véhicules ont été transportés à l'hôpital. La route est restée fermée à la circulation pendant près de quatre heures pour permettre l'intervention des secours et les premières investigations. Une enquête est en cours pour déterminer les causes de la collision, encore inconnues à ce stade. Accidents impliquant des bus des transports publics Newsletter «La semaine fribourgeoise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Fribourg, chaque vendredi. Autres newsletters Mathilde Schott est journaliste au sein de la cellule numérique de Tamedia. Elle a obtenu son Master à l'Académie du journalisme et des médias (AJM) de l'Université de Neuchâtel en 2024. Elle a auparavant travaillé pour Keystone-ATS, la RTS, Blick et le Quotidien Jurassien. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


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3 hours ago
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Un pendentif odorant repousse les attaques des loups dans les alpages
Alors que les prédations se multiplient, notamment dans le Jura, sur le bétail en estive, des éleveurs ont équipé leurs bêtes d'un boîtier à phéromones. Un agriculteur vaudois témoigne. Publié aujourd'hui à 17h01 Le leurre, c'est ce petit boîtier rond accroché au collier de la vache, d'où s'échappent les odeurs qui indiquent aux loups qu'ils se trouvent sur un territoire déjà occupé par des congénères. Yvain Genevay En bref: Assis à la table du petit local aménagé dans son rural de Baulmes, dans le Nord vaudois, Jean-François Cachemaille paraît calme. Mais l'inquiétude transparaît dans sa voix quand il évoque l'estivage de sa trentaine de génisses de race holstein sur les pâturages de Gascon (1216 m d'altitude), à 10 kilomètres de son exploitation de plaine. Et la menace du loup. Là-haut, entre les Aiguilles de Baulmes et le Suchet, ses bêtes paissent au cœur du «rayon d'action» de la meute franco-suisse de Jougne-Suchet. Ses vaches laitières, il les aime. Et les attaques du canidé, qui ont littéralement explosé dans le Jura vaudois depuis la mi-juillet, le préoccupent sérieusement, même s'il n'a pas été touché. «Mais mon berger l'a vu l'année dernière. Un matin, on a retrouvé le troupeau qui pâture près du village tout effrayé.» Le loup, sujet sensible Le sujet du grand prédateur est sensible. Toujours plus. D'abord décidé à témoigner, un autre éleveur du pied du Jura s'est ainsi ravisé après nous avoir rencontrés. Si ses génisses qui broutent l'herbe du Mont-Tendre ont jusqu'ici été épargnées, ce n'est pas le cas de celles des deux pâturages situés à proximité. Alors, par respect pour ses collègues, il n'a «pas envie de fanfaronner». Si ses bêtes ont été épargnées, c'est sans doute parce qu'elles portaient autour du cou un petit boîtier distillant des phéromones censées repousser le prédateur. Un projet pilote lancé en 2023 dans plusieurs cantons, dont les Grisons et le Valais. Sur Vaud, il fait même l'objet d'un financement conjoint de l' Office fédéral de l'environnement (OFEV) et du Canton. «Pour être tout à fait honnête, un jeune veau a été attaqué à la cuisse cet été, mais le loup ne l'a pas mangé…» Les phéromones auraient-elles déployé leur effet un peu trop tard? «En tout cas, le lendemain, dans un pâturage où se trouvaient des bêtes qui ne portaient pas ces médaillons, une génisse a été totalement dévorée.» Jean-François Cachemaille a équipé la trentaine de génisses en estive au-dessus de Baulmes, non loin du Suchet. Mais aussi la dizaine de veaux qui pâturent en plaine, juste à côté du village. Yvain Genevay À Baulmes, Jean-François Cachemaille prend part à cette expérience pilote depuis le printemps 2024. «L'idée m'a motivé dès que j'en ai entendu parler. Qui ne tente rien n'a rien, de toute façon.» Cohabitation difficile Le quinquagénaire espère ainsi s'éviter la vue terrible d'une bête agonisant dans l'herbe. «Les loups ne tuent pas leur proie, ils la rongent vivante par l'arrière, c'est ce qui me dérange le plus, confie-t-il. Oui, c'est la nature, mais je suis convaincu que personne ne veut voir ses vaches souffrir pareillement.» Jean-François Cachemaille marque une pause. Puis reprend: «Le territoire est restreint, la cohabitation est forcément difficile si les loups sont nombreux. Le Canton en annonce officiellement 29. C'est beaucoup.» Pour lui comme pour d'autres, le prédateur est là et il n'est plus possible de le faire disparaître, «mais il faut le réguler». Une mesure novatrice Comme cinq autres agriculteurs vaudois, Jean-François Cachemaille a opté ce printemps pour cette mesure novatrice, mise au point par le laboratoire valdo-tessinois Tibio, en collaboration avec la société tessinoise de conseil scientifique Studio Alpino. «Rentrer nos bêtes pour la nuit afin de les protéger du loup s'oppose à ce qu'on doit faire en termes de bien-être animal, sans compter le travail que cela occasionne. Et poser des clôtures à cinq fils, on n'en parle même pas pour les bovins. La taille des parcs ne s'y prête pas, tout comme la configuration du terrain, qui est tout sauf plat…» Le troupeau pâture entre le Suchet et les Aiguilles de Baulmes, dont on aperçoit l'extrémité ouest en arrière-plan. Yvain Genevay Le produit en question a été baptisé Velaris L, un nom issu du latin velum , le voile (comprendre de protection) et lupus , le loup. Commercialisé depuis fin 2024 par Agroline (une société fille de la coopérative agricole Fenaco), il a déjà ceci de pratique qu'il est facile à mettre en place. «Et en ce qui me concerne, je suis convaincu que c'est efficace, même si ça ne l'est pas à 100%», reprend-il. Les tests effectués donnent en tout cas du crédit à son propos. À condition, comme le préconisent ses concepteurs et son distributeur, qu'au moins 80% du troupeau en soit doté. Et que les bêtes le portent quelques jours avant d'être lâchées dans les pâturages. Ainsi, en 2023, les exploitations qui ont participé au premier été de la phase de test du projet ont subi 3,8% de pertes (58 bêtes sur 1532) alors que 66% seulement d'entre elles étaient porteuses d'un boîtier. L'année précédente, dans ces mêmes exploitations, réparties dans tout le pays, pas moins de 135 animaux de rente (sur 1600) ont été tués par le loup. Soit 8,4%. Autrement dit, les pertes ont diminué de presque 60%. «Feindre» une présence territoriale Comment ça marche? La phéromone est un messager chimique odorant émis par un être vivant pour communiquer avec ses congénères. Le boîtier renferme une molécule qui reproduit la phéromone que le loup utilise pour affirmer sa présence, dissuadant de fait d'autres individus de s'aventurer sur son territoire. Au milieu du pâturage de Gascon, à 1216 mètres d'altitude, le berger Luc Zacharias et son chien «Zelda» veillent sur les génisses de Jean-François Cachemaille. Yvain Genevay L'objet coûte une trentaine de francs pièce. «Au moment du lancement du projet, au milieu de l'été 2023, l'OFEV et le Canton de Vaud ont pris en charge le financement des 51 boîtiers remis aux deux agriculteurs participant d'emblée à cette phase de test», relève Yvonne Ritter, chargée de mission à la Direction générale de l'agriculture. Idem l'année dernière pour les sept troupeaux (771 bovins) qui ont été équipés. Ce printemps, la Confédération a fait machine arrière, contrairement au Canton de Vaud. Contacté, l'OFEV n'a pas été en mesure de nous donner les raisons de son retrait. Les six agriculteurs vaudois impliqués cet été – trois ont renoncé et deux ont pris le train en marche, portant à 451 le nombre de bovidés porteurs d'un collier – s'attendent donc à n'être indemnisés qu'à moitié. Intérêt à l'étranger Agroline voit les demandes pour le Velaris L augmenter. «Nos principaux clients sont valaisans, grisons, tessinois et vaudois, les cantons où la pression de la prédation est la plus forte. Et nous enregistrons aussi un intérêt marqué au-delà des frontières, notamment en Italie, en Espagne et en Allemagne», relève Fabian Schweizer, responsable du projet. À entendre plusieurs des éleveurs qui ont testé cette solution, celle-ci semble efficace. «Mais pour combien de temps? Le loup est un animal très malin, et on est en droit de se demander jusqu'à quand il va se laisser berner», note Jean-François Cachemaille. Des essais ont en tout cas montré que le prédateur finissait par s'habituer aux phéromones sur support fixe. Attaques en nette hausse dans le Jura Le loup a fait son retour dans le massif du Jura voilà douze ans. Puis, en mars 2016, une femelle, F19, pointe le bout de sa truffe dans les forêts du Risoux. En s'accouplant trois ans plus tard avec le mâle M95, elle donne naissance à cinq louveteaux, constituant de fait la première meute jurassienne depuis plus d'un siècle. Depuis lors, les choses se sont accélérées. D'autres portées ont suivi, chaque année. Et d'autres meutes se sont constituées, gagnant toujours plus de territoires. Cette semaine, le Canton de Neuchâtel a annoncé que six louveteaux avaient été vus dans la région de La Brévine, confirmant la présence d'une première meute dans ce canton. Les attaques sur les animaux de rente ont suivi, elles aussi, une courbe ascendante. Arrêtée au 7 août 2025, la statistique tenue par les autorités recense 37 attaques de loups dans le périmètre étendu du Jura vaudois. Elles ont causé la mort de 61 bovins, ovins et caprins, auxquels s'ajoutent un animal disparu et un autre retrouvé blessé et qu'il a fallu abattre. En 2023, on y dénombrait 23 attaques pour 35 bêtes mortes et 2 blessées. À titre de comparaison, si les éleveurs fribourgeois n'ont eu aucune perte à déplorer cette année, leurs homologues neuchâtelois ont subi à ce jour sept attaques, qui ont laissé 13 bêtes sur le carreau. En Valais, ce sont 44 attaques qui ont été recensées jusqu'ici. Elles ont occasionné la mort de 176 animaux de rente. D'autres articles sur les grands prédateurs Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Frédéric Ravussin est journaliste à 24 heures depuis 2005 pour qui il couvre l'actualité régionale du Nord vaudois. Au-delà de ces frontières géographiques, il a un intérêt marqué pour les sujets touchant au monde des animaux (les oiseaux en particulier) et au domaine du sport. Plus d'infos @fredravussin Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.