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Paris bientôt doté de « ramblas » ? Le tribunal administratif donne le feu vert à la reprise du chantier

Paris bientôt doté de « ramblas » ? Le tribunal administratif donne le feu vert à la reprise du chantier

Le Parisien2 days ago
C'est un nouveau chapitre qui s'ouvre
dans la saga des « ramblas » parisiennes
. Le tribunal administratif vient de donner raison à la Ville de Paris, rejetant les recours déposés par l'association France Nature Environnement (FNE) contre les aménagements prévus sur les boulevards Jules-Ferry et Richard-Lenoir (XIe) ainsi qu'aux abords du Canal Saint-Martin (Xe).
La mairie de Paris ne cache pas sa satisfaction. Après des mois de bataille juridique, elle peut enfin relancer la machine. « Ces projets ambitieux, coconstruits avec les habitants du quartier, vont permettre de réduire localement la pollution de l'air et
l'effet d'îlot de chaleur urbain
», assure-t-elle dans un communiqué.
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Présidentielle de 2027 : pour Mathilde Panot, Raphaël Glucksmann incarne « un autre Macron possible »
Présidentielle de 2027 : pour Mathilde Panot, Raphaël Glucksmann incarne « un autre Macron possible »

Le Parisien

time32 minutes ago

  • Le Parisien

Présidentielle de 2027 : pour Mathilde Panot, Raphaël Glucksmann incarne « un autre Macron possible »

Il ne s'est pas officiellement déclaré pour 2027 , mais La France insoumise (LFI) en a déjà fait son adversaire. À deux ans de la présidentielle , les Insoumis ont installé un duel avec le leader de Place Publique Raphaël Glucksmann , qui pourrait se déclarer candidat pour l'Élysée. « Monsieur Glucksmann est aujourd'hui un autre Macron possible », a taclé Mathilde Panot , la présidente du groupe LFI à l'Assemblée sur BFMTV dimanche. Selon la députée du Val-de-Marne, « sur les trente mesures d'urgence qui étaient dans le programme du Nouveau Front populaire (NFP), 21 ne se trouvent plus » dans le programme de l'eurodéputé - qu'il a présenté le 23 juin - citant par exemple « le fait de revenir à la retraite à 62 ans et à 60 ans », l'abrogation de Parcoursup ou encore « le fait d'augmenter immédiatement le Smic ». « Lorsque vous enlevez les trois quarts des mesures d'urgence du Nouveau Front populaire, vous êtes plutôt dans une gauche d'accompagnement », a-t-elle jugé à propos de Raphaël Glucksmann, LFI se qualifiant davantage dans « une gauche de rupture ». Des termes déjà employés dans la semaine par le député insoumis Paul Vannier, qui avait déclaré, en petit comité : « Il y aura lui et nous, à gauche. Comme d'habitude, la gauche d'accompagnement et la gauche de rupture. » « Un autre Macron est possible », avait aussi déjà écrit la députée Clémence Guetté sur une note de blog, en réaction à la présentation du programme de Raphaël Glucksmann, l'accusant d'omettre « des pans entiers des combats pourtant indispensables quand on prétend parler à la gauche ». « Son programme est plus proche du programme d'Emmanuel Macron en 2017 que du programme du Nouveau Front populaire », que Raphaël Glucksmann avait pourtant approuvé, a aussi martelé Manuel Bompard, le coordinateur national de LFI. Les Insoumis se frottent aussi les mains de l'arrivée au sein de Place publique de Sacha Houlié, ex-macroniste , après celle de l'ex-ministre de la Santé Aurélien Rousseau. Parmi les mieux placés dans les sondages à gauche à ce stade, l'essayiste de 53 ans, très identifié sur la défense de l'Ukraine et de l'Europe, est devenu synonyme d'inquiétude pour LFI, qui a décidé d'en faire son principal adversaire à gauche . Un duel d'autant plus évident que l'eurodéputé porte une ligne clairement anti-LFI, et assume le principe des deux gauches irréconciliables.

Municipales : le LR balaie l'idée d'un « accord » avec d'autres partis, des décisions possibles au « cas par cas »
Municipales : le LR balaie l'idée d'un « accord » avec d'autres partis, des décisions possibles au « cas par cas »

Le Parisien

time2 hours ago

  • Le Parisien

Municipales : le LR balaie l'idée d'un « accord » avec d'autres partis, des décisions possibles au « cas par cas »

À moins d'un an de l'échéance, les élections municipales commencent à être dans toutes les têtes. C'était, en tout cas, l'un des sujets abordés par Annie Genevard, ministre de l'Agriculture , sur France 3 ce dimanche midi. Et sur ce point, celle qui a la double casquette de membre du gouvernement Bayrou et de présidente de la commission nationale d'investiture des Républicains privilégie plutôt la seconde. À ses yeux, « les municipales n'obéissent pas aux mêmes règles que des élections nationales ». En clair, le LR veut présenter des candidatures uniques pour les élections de 2026 . « Nous n'aurons pas d'accord de parti au niveau national », a clarifié Annie Genevard sur France 3 ce dimanche, apportant tout de même une nuance dans les « situations locales », par exemple dans les cas où les « élus LR sont déjà aux responsabilités avec les centristes et que ça fonctionne ». « Nous verrons bien ce qu'il en est au cas par cas, mais notre parti ( Les Républicains ) a vocation à défendre ses positions et à en gagner », a-t-elle insisté, face à un « adversaire principal : la gauche et en particulier l'extrême gauche ». Elle ajoute certains élus écologistes qu'elle juge « bien extrêmes ». Quant à la possibilité d'un accord avec le RN, elle l'a exclu. « On a dit des millions de fois que le RN et LR, ce sont deux choses différentes. Notre formation politique n'est pas soluble dans le RN, pas plus au niveau national qu'au niveau local ». Et même si le parti de droite « ne s'est pas encore prononcé sur le cas niçois », dans cette ville comme ailleurs, les LR ne vont « pas faire alliance avec un parti qui n'attend qu'une chose, notre mort », a assuré la ministre de l'Agriculture. La ville d'Alpes-Maritimes est dirigée par Christian Estrosi, membre du parti d'Édouard Philippe, Horizons. Mais Éric Ciotti, qui a quitté les LR pour se rapprocher du RN avec son parti Union des droites pour la République, pourrait bien s'y présenter également. Interrogée sur ce que déciderait la formation de droite dans un tel cas de figure, Annie Genevard a éludé, martelant simplement que l'objectif était d'être « les plus nombreux possibles dans les conseils municipaux ». Toujours sur le thème d'un rapprochement entre sa formation et celle de Marine Le Pen , Annie Genevard a estimé que le rendez-vous qui s'est tenu en début de semaine entre Nicolas Sarkozy et Jordan Bardella « n'engage absolument pas les LR », puisque l'ancien chef d'État s'est « retiré de la vie politique ».

Le chauffeur de bus RATP testé positif à l'alcool après l'accident qui a fait trois blessés à Pantin
Le chauffeur de bus RATP testé positif à l'alcool après l'accident qui a fait trois blessés à Pantin

Le Parisien

time2 hours ago

  • Le Parisien

Le chauffeur de bus RATP testé positif à l'alcool après l'accident qui a fait trois blessés à Pantin

Le choc a été particulièrement violent si l'on en juge par les images vidéo qui tournent sur les réseaux sociaux, où l'on voit une voiture noire très abîmée, pare-brise en miettes devant un bus RATP de la ligne 75 (Porte de Pantin-Panthéon), tous deux immobilisés sur le trottoir. L'accident qui s'est produit vendredi 4 juillet, vers 23 heures, rue Honoré-d'Estienne-d'Orves à Pantin , a fait trois blessés. Les victimes sont trois jeunes gens qui étaient à bord du véhicule léger et qui souffrent de contusions et d'une fracture pour l'un d'entre eux. Ils ont été transportés vers les hôpitaux de la Roseraie à Aubervilliers et d'Avicenne, à Bobigny. Leur pronostic vital n'a pas été engagé. Après la collision, le chauffeur du bus a passé un test d'alcoolémie qui s'est révélé positif, nous a confirmé ce dimanche la RATP, qui a ouvert une enquête. Pour l'heure, la Régie n'a pas donné d'indications sur le taux. Le machiniste « a immédiatement été pris en charge par son encadrement et retiré de la conduite », ajoute l'exploitant, précisant « qu'une procédure disciplinaire pouvant aller jusqu'à la révocation de l'agent va être engagée ». La RATP rappelle « pratiquer la tolérance zéro », concernant la consommation d'alcool et de stupéfiants et mène régulièrement, auprès de ses conducteurs, des contrôles d'imprégnation alcoolique, des contrôles salivaires de stupéfiants. Lors de leur formation initiale, les machinistes sont d'ailleurs sensibilisés au sujet par des experts de la Préfecture de Police de Paris et des spécialistes internes de la prévention dont les médecins du travail. Toujours selon les premiers éléments de la RATP sur les circonstances, la « voiture aurait forcé le passage à une intersection marquée par un stop », avant d'être percutée par le bus. Le parquet n'a pas été en mesure de confirmer cette version ce dimanche.

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