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Soudan : au moins 40 morts du choléra en une semaine dans le Darfour

Soudan : au moins 40 morts du choléra en une semaine dans le Darfour

Le Figaro2 days ago
Au moins 40 décès liés au choléra ont été enregistrés en une semaine dans la région du Darfour, dans l'ouest du Soudan en guerre, a rapporté jeudi 14 août Médecins sans Frontières (MSF).
«En plus d'une guerre généralisée, les Soudanais font actuellement face à la pire épidémie de choléra que le pays ait connue depuis des années», a souligné MSF.
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«Allez-vous arrêter de tuer des civils ?» : en Alaska, Vladimir Poutine vivement interpellé sur l'Ukraine par une journaliste
«Allez-vous arrêter de tuer des civils ?» : en Alaska, Vladimir Poutine vivement interpellé sur l'Ukraine par une journaliste

Le Figaro

timea minute ago

  • Le Figaro

«Allez-vous arrêter de tuer des civils ?» : en Alaska, Vladimir Poutine vivement interpellé sur l'Ukraine par une journaliste

À son arrivée en Alaska ce vendredi, aux côtés du président américain, le chef du Kremlin a été interrogé avec force par une journaliste sur la guerre en Ukraine. Une double séquence et des images fortes. Vladimir Poutine, reçu par Donald Trump en Alaska ce vendredi pour un sommet historique, a été vivement interrogé par une journaliste, à deux reprises, sur la guerre en Ukraine. Une première fois à sa descente de l'avion, sur le tarmac de l'aéroport militaire de la base américaine d'Elmendorf-Richardson, recouvert pour l'occasion d'un tapis rouge, avec son homologue américain à ses côtés pour l'accueillir. « Monsieur Poutine, avez-vous sous-estimé l'Ukraine ? », demande d'abord cette reporter au président russe. « Président Poutine, allez-vous arrêter de tuer des civils ? », le relance-t-elle. À quelques mètres, le chef du Kremlin fait un signe pour montrer qu'il n'entend pas. Donald Trump lui glisse alors quelques mots, avant de l'inviter à le suivre. Publicité Un peu plus tard, au moment où les journalistes sont invités à assister aux premiers instants de la grande réunion entre les délégations américaine et russe, la même voix interpelle à nouveau Vladimir Poutine : « Monsieur Poutine, allez-vous accepter un cessez-le-feu ? Monsieur Poutine, allez-vous vous engager à ne pas tuer davantage de civils ? » EN DIRECT - Sommet en Alaska : Trump déclare qu'il n'y a pas encore d'accord sur l'Ukraine avec Poutine, mais souligne une réunion «très productive» Gestes et mimiques de Vladimir Poutine Dans le brouhaha, alors qu'il est demandé aux journalistes de quitter la salle, le président russe multiplie les mimiques d'incompréhension. Il finit par mettre ses mains autour de sa bouche pour répondre aux reporters présents, et peut-être spécifiquement à cette journaliste qui vient de s'adresser à lui à deux reprises en quelques minutes. D'après le site britannique Metro, qui s'est appuyé sur une spécialiste de lecture labiale, Vladimir Poutine aurait dit à cet instant-là : « Vous êtes ignorant ». Poignée de main, survol d'un bombardier et d'avions de chasse, photo officielle... Les images fortes du sommet Trump-Poutine en Alaska Accéder au diaporama (17) Après trois heures de discussion, Donald Trump et Vladimir Poutine n'ont pas annoncé d'accord sur l'Ukraine. Et se sont contentés d'un point presse, sans répondre aux questions des journalistes. Le président américain a parlé d'une réunion «très productive», et son invité russe d'un entretien «constructif», mais rien n'a filtré immédiatement sur le contenu exact de ce grand sommet.

Emprisonné depuis neuf mois, Boualem Sansal nous parle à travers ses romans
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Réservé aux abonnés TRIBUNE - Du Serment des barbares au Village de l'Allemand, Boualem Sansal a dénoncé les secrets du pouvoir algérien et la force des idéologies qui combattent la liberté. Ces lectures s'imposent pour saisir ce dont est victime l'écrivain, emprisonné depuis le 16 novembre dernier, estime Arnaud Benedetti. Rédacteur en chef de la Revue Politique et parlementaire et professeur associé à l'université Paris-Sorbonne, Arnaud Benedetti est le fondateur du comité de soutien à Boualem Sansal. À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié Depuis neuf mois ce 16 août, l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal est détenu en prison par le régime algérien. Tout a été dit, écrit, dénoncé des motifs fallacieux qui ont présidé à son arrestation, à son incarcération, aux conditions scandaleuses de son procès. Tout a été dit, écrit, dénoncé des abus dont il est la victime. Tout a été dit également des faiblesses initiales et trop durables de la réponse française à ce scandale continu que constitue l'emprisonnement d'un homme pour ses idées. Tout a été dit, écrit, dénoncé des provocations agressives et incessantes du pouvoir algérien. Et tout continuera à être dit, écrit, dénoncé jusqu'à ce que la justice triomphe. Pourtant une question demeure, aussi lancinante que préoccupante. Pourquoi l'intolérable situation dans laquelle l'État policier d'Alger a plongé…

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Contexte Une rencontre décisive À 19h30 GMT (21h30 heures de Paris) débute, en Alaska, une réunion en « tête à tête » entre le président américain Donald Trump et le président russe Vladimir Poutine. À l'ordre du jour : un accord de paix en Ukraine, en guerre avec Moscou depuis l'invasion russe de février 2022. Des camps irréconciliables ? La Russie réclame que l'Ukraine lui cède quatre régions partiellement occupées (Donetsk, Lougansk, Zaporijjia et Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce aux livraisons d'armes occidentales et à toute adhésion à l'Otan. Pour Kiev, ces exigences sont inacceptables. Lors des trois sessions de pourparlers depuis le printemps, dont la dernière s'est tenue à Istanbul en juillet, Russes et Ukrainiens avaient seulement réussi à s'entendre sur l'échange de prisonniers de guerre. Dans ce cadre, Kiev et Moscou ont annoncé jeudi avoir échanger 84 prisonniers de chaque camp. De nouvelles sanctions pour la Russie si aucun accord ? En cas d'absence d'accord, synonyme de poursuite de la guerre russo-ukrainienne, Donald Trump a affirmé que les sanctions économiques contre la Russie seraient « très sévères » sans accord de cessez-le-feu.

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