logo
Félix Auger-Aliassime affrontera Jannik Sinner en quarts de finale

Félix Auger-Aliassime affrontera Jannik Sinner en quarts de finale

La Pressea day ago
(Mason) Ayant battu le Français Benjamin Bonzi 6-4 et 6-3, le Québécois Félix Auger-Aliassime jouera en quart de finale contre le favori Jannik Sinner, à l'Omnium de Cincinnati.
La Presse Canadienne
Tête de série numéro 23, Auger-Aliassime a battu Bonzi en une heure et quart, grâce notamment à trois bris, neuf as et un avantage de 18-5 pour les coups gagnants.
Le Canadien a battu Sinner à Madrid et à Cincinnati, à chaque fois en 2022.
Ils devaient s'affronter de nouveau à Madrid, en mai cette année, mais l'Italien s'est décommandé en raison d'ennuis à la hanche.
Auger-Aliassime et Sinner vont en découdre jeudi, en fin d'après-midi.
Champion en titre du tournoi, Sinner est invaincu à ses 24 derniers matchs sur une surface dure, comme celle de Cincinnati.
Sa dernière défaite sur le dur remonte à la finale du tournoi de Pékin en octobre 2024, devant Carlos Alcaraz.
Sinner a mérité deux titres du Grand chelem cette année, s'imposant à Melbourne et à Wimbledon.
Avec l'Agence France-Presse
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

Atmane s'impose face à Rune et passe en demi-finale à Cincinnati
Atmane s'impose face à Rune et passe en demi-finale à Cincinnati

La Presse

timean hour ago

  • La Presse

Atmane s'impose face à Rune et passe en demi-finale à Cincinnati

Atmane s'impose face à Rune et passe en demi-finale à Cincinnati (Cincinnati) Térence Atmane Agence France-Presse Atmane, 136e joueur mondial issu des qualifications, défiera samedi en demi-finale le N.1 mondial Jannik Sinner, pour sa première à ce stade d'un tel tournoi. Après un succès majeur mercredi contre l'Américain Taylor Fritz, 4e mondial, Atmane (23 ans) a récidivé jeudi contre un autre membre du Top 10, qu'il a complètement dominé notamment grâce à son redoutable coup droit, responsable d'une grande partie de ses 21 coups gagnants.

Le sentiment « doux-amer » de voir Brad Marchand soulever la coupe
Le sentiment « doux-amer » de voir Brad Marchand soulever la coupe

La Presse

time3 hours ago

  • La Presse

Le sentiment « doux-amer » de voir Brad Marchand soulever la coupe

(Québec) Brad Marchand et Patrice Bergeron ont passé presque 15 ans ensemble chez les Bruins de Boston. Dans l'uniforme noir et jaune, ils ont gagné la Coupe Stanley en 2011. L'un a succédé à l'autre dans le rôle du capitaine. Leur amitié se passant depuis longtemps de présentation, le Québécois s'est logiquement réjoui en voyant le Néo-Écossais gagner la Coupe Stanley il y a quelques semaines. Mais il n'a pu s'empêcher d'avoir un pincement au cœur de le voir y parvenir avec les Panthers de la Floride. « C'est doux-amer », a expliqué un Bergeron amusé, jeudi, en marge du Pro-Am Sun Life, match caritatif présenté au Centre Vidéotron de Québec – un évènement qu'il a d'ailleurs lui-même contribué à mettre sur pied avec Simon Gagné et qui en était cette année à sa 17e présentation. « Je suis vraiment content pour lui, mais ç'a fait drôle de le voir soulever la coupe avec une équipe différente, a-t-il précisé. C'était aussi un moment spécial puisqu'il l'a gagnée plus vieux, avec une famille et des enfants… Je suis vraiment heureux de son accomplissement. » Il ne semblait, par ailleurs, pas particulièrement jaloux de son ex-coéquipier lorsqu'il a mentionné qu'après avoir célébré (en grand) le triomphe de son nouveau club, Marchand, 37 ans, était retourné à sa préparation estivale en vue du camp d'entraînement en Floride. Il a encore le feu sacré, il veut continuer… C'est beau à voir ! Patrice Bergeron Le fait qu'il s'agisse spécifiquement des Panthers n'a pas contribué à atténuer les sentiments conflictuels de Bergeron. C'est contre cette équipe qu'il a conclu sa carrière de 19 saisons dans la LNH, au printemps 2023, après que les Bruins eurent gaspillé de 3-1 au premier tour des séries éliminatoires. Il rend néanmoins rendu hommage à une équipe « qui mérite tout ce qui revient ». « Ce qu'ils ont accompli, gagner la Coupe Stanley deux fois de suite, c'est quelque chose, a-t-il reconnu. C'est devenu l'équipe à battre au cours des dernières années. » Passion Du reste, Patrice Bergeron n'a pas dérogé du plan qu'il avait établi au moment de prendre sa retraite. PHOTO WINSLOW TOWNSON, USA TODAY SPORTS VIA REUTERS CON Patrice Bergeron Comme il l'avait expliqué à La Presse il y a un an et demi, il se consacre désormais à sa famille, sans regret par rapport à son illustre carrière sur la glace. (Re)lisez « Patrice Bergeron, heureux papa à temps plein » Cela ne l'empêche pas, malgré ce « pas de recul », que le hockey demeure pour lui « une passion qui sera toujours là ». Il ne suit plus les activités de la LNH autant qu'avant, dit-il, mais il a toujours un œil sur ses Bruins. Il croit d'ailleurs que ceux-ci rebondiront après une campagne décevante qui les a vus terminer au 28e rang du classement général l'an dernier et procéder à plusieurs échanges à la date limite des transactions. De vieux routiers comme Brandon Carlo, Charlie Coyle et, bien entendu, Brad Marchand, ont alors été troqués contre des joueurs plus jeunes et des choix au repêchage. L'organisation a depuis ajouté quelques éléments, notamment le rugueux Tanner Jeannot, dont l'ADN semble drôlement compatible avec celle de son nouveau club. « Ç'a été un petit creux de vague, mais c'est cyclique… ça arrive au hockey, a noté Patrice Bergeron. Les Bruins sont une rare équipe à être restée compétitive très longtemps, alors on espère qu'après ce petit reset, ils seront de retour et prêts à compétitionner. J'ai encore une grande confiance envers les joueurs, dont certains que j'ai côtoyés longtemps. Et je connais bien le nouvel entraîneur [Marco Sturm]. Je pense que ce sont tous des changements positifs qui les aideront à revenir au sommet du classement. » L'objectif est probablement ambitieux, et l'on pourrait arguer que les Bruins auraient drôlement besoin, pour y arriver, de l'aide d'un joueur de centre supplémentaire, même s'il est âgé de 40 ans. Mais ce dossier-là, comme on le sait, est clos, et rien ne pourra le rouvrir. Pas même la douleur de voir Brad Marchand gagner la Coupe Stanley avec les Panthers.

Vlasic aurait souhaité une sortie plus élégante
Vlasic aurait souhaité une sortie plus élégante

La Presse

time5 hours ago

  • La Presse

Vlasic aurait souhaité une sortie plus élégante

(Québec) Ce n'est pas tant le fait que son contrat ait été racheté qui déplaît à Marc-Édouard Vlasic. C'est plutôt la manière dont les choses se sont passées qui lui reste en travers de la gorge. « Je suis motivé à l'idée de trouver une nouvelle équipe… et à le mettre dans les dents des Sharks », a-t-il lancé sans détour, jeudi, en marge du Pro-Am Sun Life, match caritatif présenté au Centre Vidéotron de Québec. Son séjour avec les Sharks de San Jose, organisation qui l'a repêché en 2005 et avec laquelle il a disputé 19 saisons, s'est arrêté abruptement le 26 juin dernier. La direction de l'équipe l'a informé que la dernière saison prévue à son contrat serait rachetée et qu'il deviendrait sur-le-champ joueur autonome sans compensation. La nouvelle n'a surpris personne dans la ligue. À 38 ans, le défenseur a ralenti, et son temps de glace a graduellement fondu au cours des cinq dernières campagnes, au point de passer sous la barre des 15 minutes en 2024-2025, et ce, alors qu'il évoluait pourtant au sein d'un club en reconstruction. PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE Marc-Edouard Vlasic Comme le contrat de huit ans qu'il a signé en 2017 devait encore peser pour 7 millions sur la masse salariale des Sharks en 2025-2026, cette décision tombait sous le sens. Le hic, c'est que l'entretien de fin de saison qu'avait eu Vlasic avec les dirigeants de l'équipe avait été « super ». À ses yeux, du moins. Ils m'ont dit que j'avais bien joué défensivement, qu'ils aimaient que je sois un mentor pour les jeunes et qu'ils voulaient que je le refasse l'an prochain. Je suis parti en croyant que je reviendrais. Marc-Edouard Vlasic Deux mois plus tard, sans préavis, le couperet est tombé. On pourrait croire que le choc est difficile à encaisser. C'est plutôt le contraire qui se produit. « C'est drôle parce que les Sharks vont encore me payer pendant deux ans pour que je ne joue pas pour eux, a-t-il ironisé. Et j'ai un bébé qui doit naître en décembre. Je suis super content, la vie est belle. Le rachat, c'est secondaire. » Saison à oublier Si Vlasic relativise sa situation, c'est aussi parce que la dernière saison ne s'est pas déroulée comme il l'aurait voulu. Pas du tout, même. Une blessure au « haut du corps » l'a privé d'une participation au camp d'entraînement. Or, même s'il était pleinement rétabli « au début du mois de novembre », il a plutôt disputé son premier match de la campagne le 2 janvier. Il a ensuite été laissé de côté 10 fois en 18 rencontres avant de disputer la dernière portion du calendrier presque sans interruption… mais dans un rôle effacé. En définitive, il n'aura été en uniforme que 27 fois et son temps de glace moyen aura été de 14 min 27 s. Elle semblait soudainement très loin, l'époque à laquelle le Québécois avalait les minutes avec Brent Burns à la ligne bleue des Sharks. On finit presque par oublier, vu le marasme dans lequel l'équipe est plongée depuis quelques années, qu'il s'agissait d'une puissance de la ligue dans les années 2000 et 2010. En y repensant, retourner à San Jose dans ce contexte ne lui « tentait pas ». « J'ai beaucoup mieux à offrir et ils le savent ». Si l'organisation ne voulait plus de lui, elle aurait pu lui signifier de manière plus élégante, croit-il. « Ç'aurait été honnête de leur part de me dire à la fin de la saison que ça pouvait arriver, j'aurais préparé la maison [avant de rentrer au Québec]. Au lieu de ça, ils l'ont fait à la fin du mois de juin. » Le voilà donc libre comme l'air pour la première fois de sa carrière. Un mois et demi après l'ouverture du marché des joueurs autonomes, il ne s'est encore entendu avec aucun club de la LNH. Il n'a pas parlé à son agent depuis un mois, mais « au mois de juillet, tout le monde est en vacances », nuance-t-il. « Ça ne me dérange pas où j'aboutis. Vancouver, Buffalo, Floride, Tampa… Si quelqu'un veut de moi, je vais y aller. » On peut présumer que s'il n'est pas encore fixé sur son sort aussi tard dans l'été, il lui sera difficile de trouver mieux qu'un essai professionnel. Il n'écarte aucune option, y compris jouer outre-mer. En réalité, le seul scénario qu'il refuse d'envisager pour le moment, c'est celui de la retraite. « Dans ma tête, je ne suis pas rendu là. » Peut-être que ce choix s'imposera finalement à lui. Ou peut-être pas non plus. Qu'importe, personne ne lui enlèvera les quelque 1500 matchs qu'il a disputés en saison et en séries éliminatoires. Et, quel que soit le dénouement, sa nouvelle vie de papa devrait le garder amplement occupé.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store