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«La prochaine fois à Moscou» : Poutine invite Trump après leur rencontre en Alaska

«La prochaine fois à Moscou» : Poutine invite Trump après leur rencontre en Alaska

Le Figaroa day ago
«Ouh... C'est intéressant... Je serai critiqué pour ça mais je peux imaginer que cela puisse arriver », lui a alors répondu le président américain.
Le président russe Vladimir Poutine a invité vendredi son homologue Donald Trump à se rencontrer «la prochaine fois à Moscou», à l'issue de leurs pourparlers en Alaska qui ont notamment porté sur le conflit en Ukraine.
M. Poutine a lancé ces mots au dirigeant américain à la fin de leur conférence de presse commune. « Ouh... C'est intéressant... Je serai critiqué pour ça mais je peux imaginer que cela puisse arriver », lui a alors répondu le président américain.
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Donald Trump et Vladimir Poutine se sont séparés vendredi en Alaska sans rien dévoiler d'un possible plan de paix pour l'Ukraine, tout en multipliant les déclarations engageantes et les gestes amicaux.
Le président américain a parlé d'une réunion «très productive», Vladimir Poutine d'un entretien «constructif», mais en réalité rien n'a filtré immédiatement de leurs trois heures de discussion sur une base militaire d'Alaska.
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INTERNATIONAL - Un « nettoyage » à échelle nationale. Le président américain Donald Trump a annoncé ce lundi 11 août placer le maintien de l'ordre dans la capitale Washington sous le contrôle des autorités fédérales et déployer des militaires de la Garde nationale. Des mesures exceptionnelles pour cette ville qu'il dit « envahie par des gangs violents ». Mais durant le discours où ces annonces ont été dévoilées, le locataire de la Maison Blanche a ciblé d'autres villes américaines qui risquent de bientôt connaître le même type de mesure de sécurité, justifiées par Donald Trump pour mettre fin à « situation d'anarchie complète et totale ». Donald Trump a d'ailleurs assuré qu'il déployait la Garde nationale, un corps de militaires de réserve, « afin de rétablir la loi, l'ordre, et la sécurité publique ». Le président républicain a ensuite promis que son initiative ne s'arrêterait pas à Washington, où il a décrété un état d'urgence. Et même si un accord entre la ville et l'administration Trump a finalement été conclu vendredi après le dépôt d'une plainte (la cheffe de la police gardera ses prérogatives), d'autres villes peuvent frémir. « Ça va aller plus loin. Nous commençons de manière très forte à (Washington) et nous allons nettoyer ça bien rapidement », a-t-il déclaré. Parmi les villes ciblées, il évoque notamment le cas de New York, mais pas seulement. « Nous avons d'autres villes qui sont très mauvaises. New York a un problème. Et il y a bien sûr Baltimore et Oakland », a-t-il glissé en prenant soin de citer plusieurs grandes villes considérées comme des bastions démocrates. Durant cette conférence de presse, Donald Trump a également cité des villes comme Los Angeles et Chicago. Deux villes régulièrement ciblées par le président américain pour leurs problèmes de criminalité. Hasard ou non, Donald Trump n'a jamais cité durant son discours l'exemple de Memphis, Saint-Louis ou La Nouvelle-Orléans. Trois villes situées dans des États gouvernés par le parti républicain et disposant dans le même temps d'un taux de meurtre particulièrement élevé. Tout l'inverse des statistiques officielles Selon ses propos relayés par le New York Times, Washington doit donc servir de cobaye. Un laboratoire d'essai pour prouver que « les républicains peuvent nettoyer et gérer les villes mieux que les démocrates, et que les changements à venir serviront d'exemple aux villes bleues à travers l'Amérique », analyse d'ailleurs le journal américain. Toutefois, malgré les affirmations de Donald Trump au sujet de la criminalité dans la capitale américaine, les statistiques officielles montrent une baisse drastique de la criminalité violente à Washington. Comme le prouve un graphique également partagé par le New York Times, basé sur les chiffres de la police américaine. Le ministère de la Justice du gouvernement de Joe Biden avait annoncé début janvier que les faits de criminalité violente à Washington avaient atteint en 2024 leur niveau le plus bas en plus de 30 ans. Cette démarche suit toutefois une continuité dans les actions du chef d'État américain, qui avait mobilisé en juin dernier la Garde nationale en Californie, contre l'avis du gouverneur démocrate, Gavin Newsom, affirmant vouloir ainsi rétablir l'ordre à Los Angeles après des manifestations contre des arrestations d'immigrés par la police fédérale de l'immigration.

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