
Bruno Retailleau (re)durcit le ton sur l'Algérie
Bruno Retailleau
dans les colonnes du
Figaro
,
Marine Le Pen
pianote, sur X : « Il a le sens de l'humour », avec un émoticône « pleurs de rire ».
La patronne des députés RN ne croit pas en la « ligne de fermeté » revendiquée par le ministre de l'Intérieur sur le dossier algérien.

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Le Figaro
7 minutes ago
- Le Figaro
Près de Nantes : un château du XIXe siècle en proie aux flammes depuis dimanche soir
L'opération d'extinction du feu de cette demeure désaffectée située à Bouguenais a été difficile pour les soldats du feu. Une partie de la toiture s'est effondrée. Dix pompiers sont toujours mobilisés. Des pompiers sont mobilisés depuis dimanche soir pour un incendie au château de Bougon, dans la commune de Bouguenais, à proximité de l'aéroport de Nantes. Vers 19h45, les soldats du feu sont intervenus «pour un feu dans un château désaffecté d'une emprise au sol de 250 mètres carrés environ», a communiqué le centre opérationnel départemental d'incendie et de secours de Loire-Atlantique lundi matin. «À leur arrivée sur les lieux, le bâtiment était totalement embrasé avec une propagation en cous à la végétation environnante», est-il détaillé dans le bilan d'intervention, mobilisant cette nuit 33 sapeurs-pompiers. S'il n'y a pas eu de victime, l'extinction «a été rendue complexe et de longue durée en raison de chutes de matériaux et de l'effondrement d'une partie de la toiture», expliquent les secours. Lundi midi, ils n'étaient plus que dix sur les lieux et «les opérations d'extinction se [poursuivaient]». Publicité Déjà incendié Le château de Bougon a été érigé au XIXe siècle par Paul Renaud, un constructeur-mécanicien. Après avoir acquis 110 hectares de terrain en 1864 et rasé un ancien château incendié lors de la Révolution, ce Nantais ayant fait fortune dans le machinisme agricole s'est fait construire une demeure. D'après Ouest France, sa fille, héritière du château, en fut expulsée par les Allemands en 1940. Bombardé en 1943 par les Alliés puis repris par l'Armée de l'air française, le site à l'abandon situé sur un terrain contrôlé par la Direction générale de l'Aviation civile (DGAC) a déjà été victime d'un incendie en 2007. Référencé sur un guide Urbex, le lieu fait parfois l'objet d'intrusions. Pour l'heure, l'origine de ce nouvel incendie n'est pas connue. Plus d'informations à suivre...


Le Figaro
37 minutes ago
- Le Figaro
En Espagne, le taureau de métal qui rêve d'écorner la tour Eiffel
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - L'Académie espagnole de tauromachie lance le projet d'une structure de métal haute de 300 mètres pour en faire une attraction nationale. Reste à trouver une ville qui voudra bien l'accueillir. La France a sa tour Eiffel, l'Italie sa tour de Pise, le Royaume-Uni, sa Big Ben, et les États-Unis leur statue de la Liberté… Mais l'Espagne n'a pas un édifice vertical, emblématique et indiscutable, qui l'identifie au premier coup d'œil et presse des milliers de touristes de le visiter. Qu'à cela ne tienne, un collectif pense tenir la solution à même de combler cette insupportable lacune. Un taureau de métal haut de 300 mètres, dont les cornes seraient des belvédères et les pattes abriteraient des magasins et un parc à thème. La proposition de l'Académie espagnole de tauromachie, un collectif créé en 2023 pour promouvoir la corrida, a sorti de la torpeur estivale tout ce que le pays compte d'éditorialistes de plateaux et de commentateurs de comptoir. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour Après le rejet de la ville de Madrid, « qui n'envisage pas dans l'immédiat » d'héberger le colosse, l'académie rend public son projet du « toro de España » pour que les municipalités sortent du bois. Les médias citent des villes…


Le Parisien
37 minutes ago
- Le Parisien
En Isère, cet étonnant jardin remarquable sculpté par des sources pétrifiantes est une merveille à découvrir !
Classé « Jardin Remarquable » depuis 2018, le Jardin des Fontaines pétrifiantes, situé dans le village de La Sône (Isère), ne manque pas d'atouts. Avec ses 800 espèces de végétaux, il offre un véritable tour du monde botanique, indique l'Office de Tourisme Saint-Marcellin Vercors Isère, en combinant plantes exotiques, méditerranéennes, aquatiques et tropicales. Si l'Isère s'écoule en contrebas, c'est une cascade qui jaillit au cœur du jardin. L'eau, chargée en sédiments, calcaire et dioxyde de carbone, se dégazéifie au contact de l'air, tandis qu'elle dépose progressivement du calcaire sur les roches et la végétation. Recouverts de calcaire, les mousses et les végétaux se pétrifient peu à peu, formant « la structure de cette roche légère et poreuse » qu'est le tuf. Le site du Jardin évoque ainsi d'« incroyables constructions naturelles sculptées par l'eau des sources ». Une grotte creusée sous la cascade Ce paradis minéral, aquatique et végétal abrite des bassins, des ruisseaux, des cascades, des fontaines pétrifiantes, ainsi que de nombreuses allées permettant de déambuler dans la fraîcheur, bien que le site soit exposé plein sud. Parmi les nombreuses plantes, certaines réservent des surprises, comme le mimosa pudica, une plante qui se referme quand on la touche, ou encore un arbre qui libère du gaz à la moindre agression. On peut également admirer des essences remarquables telles que la mandragore, le Ginkgo biloba, des bambous etc. L'endroit a été partiellement aménagé par l'homme, avec une grotte creusée sous la cascade. On y trouve des cristallisoirs, ces « échelles de bois » sur lesquelles sont déposées des poteries. L'eau, en s'écoulant, dépose de minuscules cristaux de calcite : une enveloppe de 3 mm se forme ainsi en deux à trois mois. Un spectacle étonnant.