
Le parachutiste Felix Baumgartner, premier homme à avoir dépassé le mur du son sans moteur, est mort à 56 ans
Felix Baumgartner s'est éteint à 56 ans. Le parachutiste autrichien, mondialement connu pour avoir, entre autres, sauté sur Terre d'un ballon en hélium depuis la stratosphère, à 39 000 mètres de la terre ferme, en 2012, a eu un accident de parapente en Italie selon plusieurs médias italiens, dont La Repubblica.
En vacances dans la région des Marches, l'homme de 56 ans a été victime d'un malaise en plein vol. Perdant le contrôle de l'engin, Baumgartner s'est écrasé dans une piscine, blessant une jeune femme lors de l'impact. L'Autrichien a perdu connaissance après la violence du choc et est décédé des suites d'un arrêt cardiaque.
Lors de son saut en 2012, il était devenu la première personne à franchir le mur du son sans moteur, des images avaient fait le tour du monde. Il a également établi des records du monde de vitesse en parachutisme, avec une vitesse de pointe estimée entre 1341,9 km/h et 1 357,64 km/h.
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Le Figaro
24 minutes ago
- Le Figaro
Après la pétition contre la loi Duplomb, départ en trombe de celle demandant l'abrogation du contrôle technique moto
En une semaine, plus de 25.000 personnes ont signé la pétition demandant l'abrogation du contrôle technique des deux-roues motorisés, soutenue par la Fédération française des motards en colère (FFMC). Lancée le 22 juillet 2025 sur le site officiel des initiatives citoyennes de l'Assemblée nationale, la pétition «Abrogation du contrôle technique motos» a franchi en sept jours le cap des 25.000 signatures. Depuis le 15 avril 2024, le contrôle technique est devenu obligatoire pour les motos, scooters, tricycles et quadricycles motorisés de la catégorie L en France. Cette obligation s'applique progressivement selon l'ancienneté du véhicule, suivant un calendrier échelonné jusqu'en 2026. Le contrôle doit ensuite être renouvelé tous les trois ans, et est nécessaire notamment pour toute mutation ou changement de propriétaire. Publicité La Fédération française des motards en colère, soutient la pétition Pour Hélène Bluche, retraitée à l'origine de la pétition, le contrôle technique moto constitue «une mesure injuste, inutile et coûteuse», qui n'améliore «en rien la sécurité routière et ne contribue pas davantage à la diminution de la pollution atmosphérique». «C'est bien un prélèvement obligatoire supplémentaire au profit du secteur privé du contrôle technique », dénonce-t-elle avec véhémence. Son indignation porte également sur les conditions d'adoption de cette mesure : «Il s'agit d'un décret et d'un arrêté pris sous l'injonction du Conseil d'État, sous la pression de trois associations», rappelle-t-elle, soulignant que «l'Assemblée nationale et le Sénat s'étaient pourtant tous les deux exprimés contre». Au-delà de la critique, Hélène Bluche défend une vision écologique du deux-roues : «plus de deux roues, c'est moins d'encombrements, moins de pollution. La moto est une solution», argumente-t-elle. Derrière le relatif succès de la pétition, se trouve la Fédération française des motards en colère (FFMC) qui a immédiatement appelé à signer massivement cette pétition pour «augmenter la pression» sur les pouvoirs publics. L'organisation, rodée aux campagnes de mobilisation, mise sur cette plateforme officielle pour donner une légitimité démocratique supplémentaire à la contestation. La pétition, nouvel outil citoyen Si le seuil des 25.000 signatures constitue un premier palier, l'objectif pour toute pétition reste de franchir la barre des 500.000 signatures provenant d'au moins 30 départements ou collectivités d'outre-mer. Un tel score, autoriserait la Conférence des présidents de l'Assemblée à organiser un débat en séance publique sur l'abrogation du contrôle technique moto. Le succès de la pétition contre la loi Duplomb, et sa médiatisation ont fait naître un certain espoir.


Le Figaro
24 minutes ago
- Le Figaro
Une Gazaouie accueillie à Sciences Po Lille accusée d'antisémitisme, Bruno Retailleau veut saisir la justice
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- Le Parisien
« On va retirer notre plainte » : improbable imbroglio à la mairie de Besançon autour de son drapeau ukrainien qu'elle pensait volé
Il avait été signalé disparu par la ville de Besançon . Le drapeau de l' Ukraine , hissé sur l'esplanade des Droits de l'Homme, depuis l'attaque russe en 2022, a brièvement disparu ce mercredi 30 juillet, avant d'être retrouvé. La ville avait, dans un premier temps, indiqué porter plainte. Mais, contacté par Le Parisien, le service communication de la ville indique qu'il y a eu « une incompréhension des agents municipaux qui ont enlevé le drapeau ». « Nous découvrons qu'il y a eu une incompréhension lorsque nous avons repavoisé l'Hôtel de ville après le 14 juillet. Nous avons demandé à pavoiser l'Hôtel de ville : France, Europe, région. Par extension, nos services l'ont appliqué aux mâts de l'esplanade des Droits de l'homme », poursuit cette même source. « On va retirer notre plainte », ajoute le cabinet de la maire de la ville Anne Vignot. Une histoire qui finit bien ce drapeau ukrainien. Dans un précédent communiqué, la ville indiquait qu'avec ce drapeau, elle exprimait « son soutien au peuple ukrainien oppressé, bombardé, blessé, tué ». « Aujourd'hui même, les Convois solidaires partent de Besançon pour emmener en Ukraine du matériel nécessaire à la défense et à la survie du peuple ukrainien », a rappelé la Ville, soulignant les « élans de solidarité des habitants » et le concours des « entreprises, collectivités, professionnels de santé » pour ces affrètements. Selon L'Est Républicain, le drapeau français avait aussi été décroché en juillet 2021 au même endroit, au lendemain d'une manifestation contre le passe sanitaire lié au Covid-19. Une plainte avait déjà été déposée mais l'auteur jamais identifié, selon le journal local.