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« Après ce 29-3 en première période, tenir un 14-14 en seconde, il fallait le faire » : le sursaut de l'équipe de France, un motif d'espoir pour le 3e test ?

« Après ce 29-3 en première période, tenir un 14-14 en seconde, il fallait le faire » : le sursaut de l'équipe de France, un motif d'espoir pour le 3e test ?

L'Équipe3 days ago
Si l'équipe de France s'est lourdement inclinée pour le second test en Nouvelle-Zélande (43-17) après une première période ratée, la seconde, plus aboutie, peut-elle laisser espérer une issue plus favorable lors du troisième et dernier match face aux All Blacks samedi prochain ?
« On fait match nul sur la seconde période alors qu'on était la tête au fond du seau, il y a une belle réaction... » À chaud, seulement quelques minutes après la défaite de son équipe face aux All Blacks, ce samedi (43-17), Fabien Galthié a lâché ces quelques mots au micro de Canal+. Un peu plus tard, en conférence de presse, le sélectionneur des Bleus, a réitéré : « Il faut féliciter les joueurs car après ce 29-3 en première période, tenir un 14-14 en seconde, il fallait le faire. »
Un maigre lot de consolation alors qu'il s'agit du plus lourd revers de l'ère Galthié (26 points d'écart et 6 essais encaissés). Mais dans ces moments-là, alors qu'un troisième test se jouera samedi prochain (9h05), le positivisme ne coûte pas grand-chose. Après le 4 essais à 0 de la première période, les Bleus ont inscrit deux essais comme les All Blacks. Ils ont surtout réussi une bonne entame, bien aidés par un coaching rapide. « À la mi-temps, je leur ai dit de faire abstraction des difficultés, de ne pas se poser de questions, a dévoilé Galthié. On est reparti à fond, je suis heureux de la seconde période. »
Avec un essai de Léo Barré (47e), après un beau mouvement français où les avants ont d'abord resserré la défense néo-zélandaise avant qu'Antoine Hastoy ne trouve enfin une brèche pour servir son arrière. Les Bleus sont encore allés dans l'en-but adversaire, mais Joshua Brennan n'a pas réussi à aplatir (57e). Ils ont gâché une autre offensive, sauvée par Will Jordan devant Théo Attissogbe (68e). Mais leur persévérance a fini par payer avec l'essai de Brennan (77e), validant la bonne fin de match des Tricolores.
Le gratin samedi prochain ?
Pour passer de Dunedin à Wellington, Galthié et ses adjoints avaient copieusement remanié leur quinze de départ avec au total dix changements. Pour ce deuxième test, les Bleus alignaient une équipe jeune (24 ans) mais surtout inexpérimentée (4 sélections de moyenne). Et cela s'est vu, essentiellement durant cette première période cauchemardesque. « On a de la matière pour performer samedi prochain », lançait le sélectionneur.
Mais avec qui ? Certains ont été à la peine, en particulier devant, à l'image des piliers Baptiste Erdocio, encore un peu tendre, et Georges-Henri Colombe, dépassé par le rythme. Le Racingman Demba Bamba, pas encore utilisé, aura-t-il sa chance ? Hugo Auradou retrouvera-t-il une place en deuxième ligne ? À l'ouverture, Joris Segonds a, lui, souffert de la comparaison avec l'entrée en jeu d'Antoine Hastoy qui, comme le reste des remplaçants dont le troisième-ligne Bastien Vergnes-Taillefer, a fait du bien.
« Je ne veux pas porter de jugement sur les comportements des joueurs, a déclaré Galthié lorsqu'il a été interrogé sur la nouvelle performance de sa charnière Segonds-Le Garrec. Les joueurs ont fait ce qu'ils pouvaient. Mon conseil a été de ne pas se juger, je ne vais pas donc le faire à leur place. On va se construire pendant la semaine pour arriver en état de performance samedi. » La logique voudrait que l'encadrement remette sur le terrain ceux qui ont brillé à Dunedin dont Mickaël Guillard et Alexandre Fischer. L'expérience de Gaël Fickou, capitaine de cette tournée, devrait également être un atout même si Nicolas Depoortere et Pierre-Louis Barassi ont été intéressants ce week-end.
« On sait que Fabien souhaite mettre de la continuité mais il a peut-être été pris au piège des engagements avec les clubs car il s'était engagé à faire jouer les gars »
Thomas Lièvremont, consultant sur Canal+
Thomas Lièvremont, l'ancien troisième-ligne international (37 sélections) aujourd'hui consultant sur Canal +, se veut plutôt confiant. « À condition de corriger les errements d'aujourd'hui (samedi). On a perdu trop de duels, on a été trop tendres, trop passifs. On a pourtant tenu un peu plus le ballon que la semaine précédente mais avec plus de déchet ». Surtout, Lièvremont pointe la défaite tactique. « On s'était préparé à améliorer ce qui nous avait fait défaut sur le premier test, la défense autour des rucks, dans la zone du 10 et le jeu dans le dos des Blacks. Mais ils nous ont proposé autre chose avec du jeu au pied. Ils se sont adaptés. Nous, on n'a pas su le faire et la gestion des duels et de l'impact physique a pesé ».
Les Bleus avaient effectué trop de changements. « On sait que Fabien souhaite mettre de la continuité mais il a peut-être été pris au piège des engagements avec les clubs car il s'était engagé à faire jouer les gars », explique Lièvremont, qui estime que certains retours devraient améliorer les choses. « Je suppose qu'on va revenir à une compo d'équipe un peu plus dense avec les retours de Fickou, de Guillard, de Fischer... »
En tout cas, ce troisième test permettra de dresser un bilan. « En terminant après le premier test, la tournée aurait été positive, veut croire Lièvremont. Mais si le troisième test ressemble au deuxième, ce sera une tournée ratée. »
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Les compagnons d'échappées de la 6e étape racontent la difficulté d'être à l'avant avec le nouveau Maillot Jaune du Tour, Ben Healy. « Ben Healy things. » En français, « des trucs à la Ben Healy ». C'est comme ça qu'un journaliste américain a évoqué, lundi dans la zone des interviews d'après-course, les folies dont l'Irlandais de Education First est capable sur un vélo. L'expression a fait sourire son coéquipier Neilson Powless, qui n'avait pourtant plus beaucoup de forces après avoir « vécu une de (s) es journées les plus dures sur le Tour. La résistance de Ben à la fatigue de la course est quelque chose dont on n'a pas idée », a-t-il soufflé. Pour illustrer son propos, il a pris son propre exemple, qui est quand même celui d'un vainqueur de la Clasica San Sebastian (en 2021). Lundi matin, dixième jour du Tour, au départ d'Ennezat, Powless avait « les jambes comme du bois. Au bout de vingt minutes de course, j'avais quasiment des crampes au mollet, et je voyais bien que la majorité du peloton ressentait comme la fatigue des premières étapes ». Il s'est quand même extrait du peloton avec Healy et deux autres coéquipiers, Alex Baudin et Harry Sweeney, avant de baisser pavillon assez tôt. « Mais lui, Ben, a été capable de rester dans l'attaque et d'aller chercher le Maillot Jaune, admire Powless. Être agressif après un départ aussi difficile, continuer à prendre du temps sur le peloton qui essayait de contrôler, c'est vraiment incroyable. » Healy, l'un des pires compagnons d'échappée C'est parce qu'ils connaissent les « Ben Healy things » que le staff d'Education First a décidé de l'envoyer à l'avant, lundi, dès le début de l'étape, en lui adjoignant trois camarades. « On a pris un grand risque, raconte Jonathan Vaughters, le manager de la formation américaine, l'objectif était de viser le maillot jaune, pas l'étape. Mais je pensais que Ben pouvait le faire. » Comme Healy affichait la bagatelle de 3'55" de retard sur Tadej Pogacar au classement général, avant cette 10e étape où une bataille entre leaders était attendue, personne n'imaginait qu'EF fomenterait un « projet Maillot Jaune » quand le quatuor rose s'est mis à rouler pleine balle dans l'échappée. Même au sein de ce mini-peloton de vingt-neuf coureurs qui s'était formé dès la première difficulté, la côte de Loubeyrat, chacun pensait que Healy était là pour tréfler tout le monde, comme quatre jours plus tôt sur la route de Vire. « Tous les gars de l'échappée avaient l'oeil sur lui pour ne pas qu'il s'en aille, témoigne l'un d'entre eux, Pablo Castrillo (Movistar). Il a tenté de partir plusieurs fois en début d'étape, ça se voit qu'il a beaucoup de force. » Dans la voiture d'Israel-Premier Tech, on disait d'ailleurs à Michael Woods de ne pas perdre trop d'énergie dans des relais ou des contre-attaques : « Tu connais le danger, c'est Healy ! » À le voir s'arracher à chaque coup de pédale comme un coureur sans classe, on ne devine pas forcément cette réputation d'ennemi public. Mais Healy (24 ans) est bien l'un des pires compagnons d'échappée du peloton. « Il est hyper agressif, témoigne Victor Campenaerts (Visma-Lease a bike), il aime choisir des moments inhabituels pour attaquer. » L'idée n'était pas de partir mais de creuser l'écart sur Pogacar « Soit tu es dans la roue quand il part, soit tu n'y arrives jamais, s'amuse son coéquipier chez Education First, Harry Sweeny. 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La perte du maillot jaune vécue comme une bénédiction, la gestion à l'économie des attaques de Visma, la formation émirienne a vécu une journée sans encombre. En jaune, en blanc, à pois ou en arc-en-ciel, Tadej Pogacar a passé ses dix premiers jours sur le Tour à changer de tunique mais lundi, en passant la ligne d'arrivée, un simple coupe-vent bariolé a suffi à son bonheur, déchargé de toutes les contraintes médiatiques et protocolaires qui lui pèsent et ne lui coûtent pas loin d'une heure trente de récupération. Une dizaine de minutes après avoir devancé au petit trot Jonas Vingegaard - qu'il a surveillé du coin de l'oeil, car il est son seul et dernier obstacle, avec la poisse, sur la route d'un quatrième sacre -, le Slovène enfilait un sifflet autour du cou et attaquait la descente poussiéreuse vers le Mont-Dore, où son car l'attendait avant un long transfert vers Toulouse. Avec ce voyage de 3 h 30, il a perdu ce qu'il a gagné d'un côté mais tout le monde était dans le même bain, lundi soir, et rien n'aurait pu gâcher cette « journée parfaite, selon son équipier Tim Wellens. On a tout eu sous contrôle, on ne peut pas se plaindre ». En refilant le maillot jaune à Ben Healy tout en tenant l'Irlandais par l'élastique avec Nils Politt et Tim Wellens (« on ne pouvait laisser 8 minutes à un gars aussi fort » , expliquait Simone Pedrazzini, le directeur sportif), « Pogi » s'est offert un répit jusqu'à mercredi et l'étape pour sprinteurs à Toulouse : « C'est bien pour la récupération, estime le directeur sportif. C'est mieux de partir tout de suite après l'étape. » Une équipe affaiblie mais dans la gestion Privée de Joao Almeida (abandon), l'équipe UAE Emirates-XRG a su gérer les attaques spasmodiques de Visma et passer cette étape de moyenne montagne sans encombre. « On a dû travailler mais on le savait, surtout qu'on était un de moins avec le départ de Joao. » Wellens, avec Nils Politt, a oeuvré un peu plus que d'habitude « afin de contrôler et de compenser son absence. On ne voulait pas harceler les autres ». Cette gestion en bon père de famille, Marc Soler l'a justifiée par un souci d'afficher « aucun stress car le Tour est très long ». Qui ne fera pas de mal car Pavel Sivakov, malade depuis quelques jours, n'avait pas retrouvé des couleurs sur les pentes jaunies d'un été déjà brûlant. Le Français a décroché, raccroché le peloton, avant, sur les consignes de son équipe, de se relever définitivement : « Pavel est toujours en phase de récupération, poursuit Pedrazzini. On a préféré qu'il reste dans le gruppetto. On espère qu'avec le jour de repos et l'étape de plat, il va se remettre. »« Plus malade », selon le dirigeant, Sivakov a terminé à près de 36 minutes de Simon Yates, mais on sent bien que la crainte d'un virus se diffuse chez UAE. Après l'arrivée, Marc Soler a évoqué « un mal de gorge » concernant son coéquipier et, on a bien remarqué que le matin, le staff ne tend plus forcément la main ou alors s'empresse de la passer au gel hydroalcoolique. L'an passé, dix jours avant le début du Tour, Pogacar avait été séché par le Covid, sans conséquence par la suite puisqu'il s'était imposé à Nice. Visma mis sous coupe Chaque geste compte et voir Jonas Vingegaard mettre une petite tape dans le dos de son bourreau des deux dernières années et lui serrer la main dessine comme un renoncement. « S'il pouvait attaquer, il le ferait, dissèque Pedrazzini. 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