
L'éditorial de Vincent Trémolet de Villers : « Boualem Sansal et la force de la vérité »
Boualem Sansal, dans son œuvre et ses interventions, a toujours dénoncé la tromperie de l'Algérie contemporaine et, en miroir, le déni de la France.
«La justice sans la force est impuissante. La force sans la justice est tyrannique » : Blaise Pascal ne consacrait pas cette pensée à la France et à l'Algérie, elle éclaire pourtant parfaitement la situation honteuse dont Boualem Sansal est la victime. À Paris, après dix ans de pratique mécanique de la pénitence, après huit mois de loi du silence pour ne pas heurter la susceptibilité d'un régime, notre faiblesse est criante. L'espoir naïf d'un dénouement favorable au nom des principes du droit qui suffiraient par leur simple invocation à arrêter les guerres et à ouvrir les portes des prisons se heurte au mur d'une dictature.
À découvrir PODCAST - Écoutez le club Le Club Le Figaro Idées avec Eugénie Bastié
À Alger, la force singe les formes judiciaires et tente de rationaliser l'arbitraire : les procès, les appels sont là pour habiller d'équité la persécution politique. À la sentence prononcée contre un homme s'ajoute la volonté d'humilier notre pays en condamnant publiquement la liberté qui nous est chère et la littérature qui nous est propre. Alger n'aime…
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L'horoscope gratuit du lundi 7 juillet 2025
Chaque jour, Christine Haas livre ses prévisions inspirées par les astres. Chaque jour, retrouvez l'horoscope gratuit avec Christine Haas (Instagram : @chrishaasoff) sur le site du Figaro avec TV Magazine . L'horoscope du lundi 7 juillet 2025 C'est une journée particulière, avec une planète particulière, Uranus, qui change de signe. En Taureau depuis 2018, elle fait une incursion en Gémeaux où elle forme de beaux aspects avec les autres planètes (Saturne, Neptune, Pluton). Ce changement de signe ne se limite pas à un simple déplacement dans le ciel : il marque un tournant puissant dans votre manière d'expérimenter le changement, l'innovation et la liberté intérieure. Uranus, planète de la rupture, de l'imprévu et des éveils soudains, vient ainsi renouveler l'énergie des Gémeaux, signe d'air, symbolisant la communication, la curiosité et la flexibilité mentale. Uranus en Taureau a agi comme une révolution lente mais profonde dans nos valeurs, notre rapport à la matière, à la sécurité et à nos ressources personnelles. Elle nous a confrontés à la nécessité de lâcher prise sur des certitudes matérielles et souvent conservatrices, révélant à quel point nous étions attachés à la stabilité extérieure. Aujourd'hui, en entrant en Gémeaux, Uranus vient secouer le paysage mental et relationnel. Cette période peut alors s'avérer riche en idées nouvelles, en rencontres inattendues, et surtout en prises de conscience qui bousculent nos façons de penser et de communiquer. Ce qui rend ce transit encore plus puissant, ce sont les aspects harmonieux formés avec Saturne, Neptune et Pluton. Saturne nous rappelle l'importance de la structure, de la discipline et de la responsabilité dans nos nouvelles explorations mentales. Il incite à bâtir des fondations solides à partir de nos idées novatrices, évitant ainsi que la nouveauté ne reste superficielle ou chaotique. Neptune, de son côté, injecte une note d'empathie, d'intuition et de rêve, ouvrant la porte à une compréhension plus profonde et parfois spirituelle de ce que nous allons découvrir. Pluton correspond à la transformation radicale : elle agit en profondeur, impliquant une véritable métamorphose de nos schémas de pensée et de nos modes de communication.


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Notre-Dame : la cathédrale a accueilli plus de 6 millions de visiteurs depuis sa réouverture
35 000 visiteurs par jour, en moyenne. La cathédrale Notre-Dame de Paris a accueilli plus de 6 millions de visiteurs depuis sa réouverture en décembre , selon les chiffres parus dans La Tribune Dimanche . « Notre-Dame de Paris est aujourd'hui le monument le plus visité de France », a assuré au journal Mgr Olivier Ribadeau Dumas, recteur de la cathédrale. « L'émotion suscitée par l'incendie n'a d'égale que celle suscitée par la réouverture », a-t-il ajouté. Dans le détail, Notre-Dame a accueilli, entre le 16 décembre 2024 et le 30 juin 2025, 6,02 millions de personnes, soit une moyenne de 35 000 visiteurs par jour. Si cette fréquentation se maintient au second semestre, la cathédrale devrait flirter avec les 12 millions d'entrées en 2025, et ainsi dépasser la basilique du Sacré-Cœur de Montmartre (9 millions de visiteurs en 2024), le musée du Louvre (8,7 millions), le château de Versailles (8,4 millions) et la tour Eiffel (6,3 millions), selon les chiffres de La Tribune Dimanche. Avant l'incendie qui a dévasté la cathédrale le 15 avril 2019, celle-ci recevait autour de « 11 millions de personnes » par an, a rappelé Mgr Ribadeau Dumas, même si la méthode de comptage était moins fiable. Il ne s'agit pas que d'un effet de mode pour le recteur « car chaque mois la fréquentation s'accroît en moyenne de 1 000 personnes par jour », a-t-il détaillé au journal. La flèche de la cathédrale a retrouvé en juin une des 16 statues qui ornaient sa base et les visites des tours reprendront le 20 septembre, d'après le Centre des monuments nationaux (CMN). Notre-Dame de Paris a rouvert ses portes après cinq années d'un chantier de restauration titanesque , financé grâce à 846 millions d'euros de dons en provenance du monde entier. Il reste « encore près de 140 millions d'euros », a indiqué Philippe Jost, président de l'établissement public Rebâtir Notre-Dame de Paris, à La Tribune Dimanche. « Mais pour achever au plus vite la restauration complète du monument, (…) il nous manque encore au moins l'équivalent », dit-il. Il lance donc un « nouvel appel aux dons » via le site


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On n'y croyait plus. Surtout après 18 ans d'absence . Et pourtant Diana Ross est de retour, à 81 ans, pour une grande tournée mondiale, célébration de sa carrière et de son répertoire vertigineux. Un parcours hors norme pour un concert unique ce dimanche soir à Paris à l'Accor Arena et un public d'abord sagement assis, qui a lui aussi un certain âge. On a attendu près de deux décennies, on peut patienter encore quelques minutes. Car avant de voir enfin Diana Ross en chair et en os, et en musique, elle apparaît d'abord en images sur un grand écran qui diffuse un long film où elle raconte son parcours : son enfance modeste à Detroit, son côté garçon manqué, ses envies dès le plus jeune âge, la création des Supremes notamment avec ses voisines puis l'aventure en solo, ses duos avec Lionel Richie ou Marvin Gaye. La salle vibre en entendant déjà des extraits de « Chain reaction » ou « Upside down ».