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Une bagarre déclenchée par les pleurs d'un enfant dans un avion cloue les passagers au sol

Une bagarre déclenchée par les pleurs d'un enfant dans un avion cloue les passagers au sol

Le Figaroa day ago
Deux passagers en sont venus aux mains dans un vol Ryanair du mardi 12 août, qui reliait Londres à Lisbonne. Les voyageurs ont été contraints de rester une heure dans l'avion sur le tarmac portugais, le temps d'attendre la police locale.
Lorsque les retards ne proviennent pas des compagnies aériennes ou des contrôleurs, ils sont directement créés par les passagers eux-mêmes. Mardi 12 août, une bagarre s'est déclenchée dans un vol Ryanair, à cause des pleurs d'un enfant à bord de l'avion. Le vol FR1882 a d'abord décollé de Londres Stansted pour rejoindre Lisbonne, au Portugal, après deux heures et demie dans les airs. À son arrivée, la tension est montée entre deux passagers après l'atterrissage, au moment où l'avion roulait sur le tarmac.
Selon le journal portugais SIC Noticias, l'incident aurait commencé lorsqu'un enfant s'est mis à pleurer pendant le vol. Dans une vidéo relayée par nos confrères, les passagers sont debout à l'intérieur de l'avion, au milieu des cris. En raison de l'altercation, les voyageurs ont dû attendre environ une heure à l'intérieur de l'avion, posé à l'aéroport de Lisbonne. Ryanair a confirmé l'incident à The Independant, déclarant que «l'équipage de ce vol de Londres Stansted à Lisbonne (12 août) a appelé la police à l'aide après que deux passagers se sont montrés perturbateurs à bord. L'avion a été accueilli par la police locale et les passagers ont été évacués».
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«Ryanair applique une politique stricte de tolérance zéro à l'égard des comportements répréhensibles des passagers et continuera de prendre des mesures pour lutter contre les comportements indisciplinés des passagers à bord des avions, dans l'intérêt de la grande majorité des passagers qui ne perturbent pas les vols», a insisté la compagnie aérienne low-cost. En juin dernier, un porte-parole de Ryanair avait annoncé l'introduction d'une amende de 500 livres «qui sera infligée à tout passager débarqué de l'avion en raison de sa mauvaise conduite». Cette amende peut désormais être prélevée directement sur la carte utilisée pour régler la réservation ou déduite de tout bon Ryanair que le passager pourrait avoir. L'objectif, «garantir que nos passagers et notre équipage voyagent dans un environnement confortable et sans stress», souligne la compagnie aérienne.
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Le Figaro

timea day ago

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Une bagarre déclenchée par les pleurs d'un enfant dans un avion cloue les passagers au sol

Deux passagers en sont venus aux mains dans un vol Ryanair du mardi 12 août, qui reliait Londres à Lisbonne. Les voyageurs ont été contraints de rester une heure dans l'avion sur le tarmac portugais, le temps d'attendre la police locale. Lorsque les retards ne proviennent pas des compagnies aériennes ou des contrôleurs, ils sont directement créés par les passagers eux-mêmes. Mardi 12 août, une bagarre s'est déclenchée dans un vol Ryanair, à cause des pleurs d'un enfant à bord de l'avion. Le vol FR1882 a d'abord décollé de Londres Stansted pour rejoindre Lisbonne, au Portugal, après deux heures et demie dans les airs. À son arrivée, la tension est montée entre deux passagers après l'atterrissage, au moment où l'avion roulait sur le tarmac. Selon le journal portugais SIC Noticias, l'incident aurait commencé lorsqu'un enfant s'est mis à pleurer pendant le vol. Dans une vidéo relayée par nos confrères, les passagers sont debout à l'intérieur de l'avion, au milieu des cris. En raison de l'altercation, les voyageurs ont dû attendre environ une heure à l'intérieur de l'avion, posé à l'aéroport de Lisbonne. Ryanair a confirmé l'incident à The Independant, déclarant que «l'équipage de ce vol de Londres Stansted à Lisbonne (12 août) a appelé la police à l'aide après que deux passagers se sont montrés perturbateurs à bord. L'avion a été accueilli par la police locale et les passagers ont été évacués». Publicité «Ryanair applique une politique stricte de tolérance zéro à l'égard des comportements répréhensibles des passagers et continuera de prendre des mesures pour lutter contre les comportements indisciplinés des passagers à bord des avions, dans l'intérêt de la grande majorité des passagers qui ne perturbent pas les vols», a insisté la compagnie aérienne low-cost. En juin dernier, un porte-parole de Ryanair avait annoncé l'introduction d'une amende de 500 livres «qui sera infligée à tout passager débarqué de l'avion en raison de sa mauvaise conduite». Cette amende peut désormais être prélevée directement sur la carte utilisée pour régler la réservation ou déduite de tout bon Ryanair que le passager pourrait avoir. L'objectif, «garantir que nos passagers et notre équipage voyagent dans un environnement confortable et sans stress», souligne la compagnie aérienne.

Bloqués en première classe dans un train, des passagers forcés de payer un surclassement
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Le Parisien

timea day ago

  • Le Parisien

Bloqués en première classe dans un train, des passagers forcés de payer un surclassement

En temps normal, l'erreur aurait été réglée facilement. Lorsque les passagers d'un train arrivent in extremis sur le quai, ils ne montent pas toujours dans la bonne voiture et se retrouvent parfois en première classe, alors qu'ils ont payé pour être en seconde. Mais au cours du trajet, ils peuvent aisément rejoindre leur wagon, les voitures étant reliées entre elles, séparées par des portes. Certains passagers d'un train Suisse reliant Berne à Zurich, ce mardi 12 août n'ont pas eu cette possibilité. La porte, fermée à cause d'un dysfonctionnement technique, ne permettait pas de regagner les autres voitures. Les voyageurs sont donc restés coincés en première classe, ce qui leur a valu un supplément à payer, a rapporté la SRF. Pas d'amende, mais un surclassement facturé Les contrôleurs ont estimé que, coincés ou non les personnes en 1ère classe devaient régulariser leur situation, puisqu'ils ont involontairement profité de cette offre premium. Par ailleurs, il aurait été injuste envers les personnes en règle de laisser les concernés voyager gratuitement dans ce compartiment, ont-ils fait valoir. Au vu de la situation, les usagers se sont donc vus néanmoins facturer un surclassement et non une amende standard. Les chemins de fer fédéraux (CFF), qui assuraient le trajet, ont affirmé à la SRF qu'il est « très rare » que le passage entre les classes soit bloqué. Si tel est le cas, les passagers sont normalement invités à changer de wagon via le quai lors de l'arrêt suivant, une option qui n'a pas été proposée mardi. Une décision « un peu triste » La compagnie ferroviaire a admis que la procédure appliquée par les contrôleurs avait été « parfaitement correcte sur le plan tarifaire », mais tout de même « un peu stricte » dans ce contexte. « Nous comprenons que la situation a été difficile à comprendre pour les voyageurs concernés », ont ajouté les CFF, qui soulignent que leur personnel doit prendre des décisions très rapidement lors des contrôles. Cela exige « du tact et un certain sens des proportions », selon un porte-parole. « Cet équilibre est généralement atteint, mais pas toujours ». Les passagers qui se trouvaient dans le wagon bloqué sont désormais invités à se rendre à un guichet pour qu'un éventuel remboursement soit évalué.

«Nous avons senti tout l'avion trembler»: collision entre deux avions EasyJet à l'aéroport de Manchester
«Nous avons senti tout l'avion trembler»: collision entre deux avions EasyJet à l'aéroport de Manchester

Le Figaro

timea day ago

  • Le Figaro

«Nous avons senti tout l'avion trembler»: collision entre deux avions EasyJet à l'aéroport de Manchester

Les dizaines de passagers ont dû patienter plusieurs heures avant d'arriver, finalement, à leurs destinations. Un réveil brutal pour les passagers de deux avions. Vendredi 15 août, vers 6 H 30, deux appareils de la compagnie EasyJet ont entrechoqué leurs ailes alors qu'ils se dirigeaient vers la piste pour décoller. L'un était en direction de Paris-Charles de Gaulle, tandis que l'autre s'apprêtait à voler vers Gibraltar. Si aucun blessé n'est à déplorer, l'aéroport de Manchester a dû suspendre brièvement ses vols. Un porte-parole de l'aéroport a précisé auprès de la BBC que les «opérations ont repris après quelques minutes», le temps de dégager les débris. «Nous avons senti tout l'avion trembler, c'était un choc violent», raconte Tynisha Chaudhry, une passagère du vol vers Gibraltar. EasyJet a confirmé auprès de nos confrères britanniques que les extrémités des ailes des deux avions sont entrées en contact alors qu'ils roulaient vers la piste de l'aéroport de Manchester. Publicité Les deux avions ont dû revenir à leur point de départ pour débarquer les voyageurs, dans l'attente de nouveaux appareils. Les clients ont reçu des bons de rafraîchissement de la part de la compagnie aérienne low-cost. Ils ont toutefois subi d'importants retards. Le vol de Gibraltar est ainsi arrivé à destination à 14 H 37, au lieu de 10 H20, tandis que le vol pour Paris-Charles de Gaulle a atterri en France à 13 H 25, au lieu de 8 H 50. Un incident qui n'a pas entraîné de perturbations majeures pour le reste des vols de l'aéroport de Manchester.

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