
Le bitcoin atteint 123 000 dollars, un nouveau record
(Londres) Le bitcoin a pour la première fois franchi lundi la barre des 120 000 dollars, porté par les espoirs du secteur d'une régulation américaine favorable aux cryptomonnaies.
Agence France-Presse
Le bitcoin, plus importante des cryptomonnaies, a grimpé jusqu'à 123 205,09 dollars sur le marché des changes. L'ether, seconde cryptomonnaie la plus capitalisée après le bitcoin, dépassait pour sa part les 3000 dollars.
La Chambre des représentants américaine doit examiner trois projets de loi majeurs au cours d'une semaine qu'elle a elle-même baptisée « Semaine de la crypto » : le « GENIUS Act », sur les stablecoins, le « CLARITY Act » sur la structure du marché crypto, et « l'Anti-CBDC Surveillance State Act », pour interdire les monnaies numériques de banque centrale (dont l'acronyme en anglais est CBDC).
« Trump a été un fervent défenseur des cryptomonnaies, et ses promesses semblent prêtes à être intégrées dans la loi », constate Susannah Streeter, d'Hargreaves Lansdown. « Cela pourrait encourager davantage d'entreprises et d'institutions financières à détenir » des devises numériques.
Par ailleurs, « les spéculateurs se ruent sur les cryptomonnaies en raison des inquiétudes concernant la situation budgétaire insoutenable des États-Unis et la réputation écornée du dollar », ajoute l'analyste.
Ces dernières semaines, le bitcoin a aussi bénéficié « des flux financiers vers les ETF », des produits de placement qui évoluent en fonction de la performance de ce cryptoactif, « et de nouveaux investissements institutionnels », rappelle Bob Savage, analyste chez BNY Mellon.
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La Presse
3 hours ago
- La Presse
L'équipe d'étoiles de Meta en matière d'IA, le défi de gestion du siècle
Meta Platforms Inc. a dépensé une fortune pour réunir les esprits les plus brillants dans le domaine de l'intelligence artificielle (IA). Mais le PDG Mark Zuckerberg devrait peut-être prendre note que des recherches suggèrent que rassembler trop de génies dans la même équipe peut avoir des effets négatifs. Jo Constantz Bloomberg Jusqu'à présent, plus d'une douzaine d'ingénieurs d'OpenAI ont rejoint Meta, accompagnés d'experts renommés d'Anthropic et de DeepMind, filiale de Google. M. Zuckerberg parie qu'en concentrant les meilleurs talents et en leur donnant des ressources illimitées, il pourra gagner du terrain sur ses concurrents et accélérer le développement de systèmes d'IA si avancés qu'ils se rapprocheront de « l'intelligence artificielle générale », le point hypothétique où le modèle dépasse les capacités humaines. Il s'avère que constituer une équipe composée de plusieurs vedettes n'est pas toujours une stratégie gagnante, comme pourraient vous le dire de nombreux amateurs de sport frustrés. Sans une gestion experte, regrouper trop de talents au sein du même groupe peut entraîner une baisse de rendement, voire un échec total, si les ego s'affrontent et que la chimie est insuffisante. « À Wall Street et dans la Silicon Valley, on croit souvent qu'il suffit de réunir les personnes les plus compétentes pour que la magie opère », explique Boris Groysberg, professeur à la Harvard Business School qui étudie la dynamique des équipes depuis plus de 20 ans. Non, la magie n'opère pas. Dans de nombreux cas, on assiste plutôt à beaucoup de jalousie, de coups bas et de sabotage. Boris Groysberg, professeur à la Harvard Business School Chez Meta, la tâche d'éviter que les supervedettes tombent dans ces pièges incombe à Alexandr Wang, 28 ans, ancien PDG de Scale AI, et à Nat Friedman, 48 ans, ancien PDG de GitHub Inc., les nouveaux dirigeants de l'unité de superintelligence de Meta, composée de 50 personnes. Des décennies d'études universitaires indiquent les défis auxquels ils seront confrontés. Dans les années 1970, Meredith Belbin, spécialiste en gestion, a observé que les équipes composées exclusivement d'individus à haut QI avaient tendance à se livrer à des discussions interminables, manquaient de cohésion et avaient du mal à prendre des décisions, leurs membres étant plus intéressés par le débat que par la collaboration. En 2011, M. Groysberg et des collaborateurs ont publié une étude concluant qu'à Wall Street, au-delà d'un certain point, l'ajout d'analystes « vedettes » aux équipes de recherche des cabinets d'élite nuisait en fait aux performances. D'autres recherches montrent quant à elles que les performances d'une équipe dépendent en grande partie de la qualité de la communication et de la collaboration entre ses membres. Les équipes qui favorisent les discussions où chacun peut s'exprimer ont tendance à avoir une « intelligence collective » plus élevée, quelle que soit l'intelligence brute des personnes présentes. Conseils pour gérer un supergroupe Deux principes de gestion revêtent une importance particulière lorsqu'il s'agit de superviser des équipes performantes. Le premier est que le rôle de chaque personne doit être clairement défini. « Si chacun a un rôle bien défini, les membres de l'équipe ne se percevront pas comme une menace les uns pour les autres », explique Lindred Greer, professeur à la Ross School of Business de l'Université du Michigan. Selon M. Greer, si certaines personnes ont des parcours et des talents similaires, ce type de doublon n'est pas gênant, à condition qu'elles restent séparées. Une autre astuce consiste à déterminer ouvertement dès le départ qui aura le pouvoir de décision sur les questions clés, sinon la concurrence pour le pouvoir risque de détruire le groupe. « La hiérarchie a parfois mauvaise réputation : vous avez un leader qui dit à tout le monde quoi faire », explique Anita Williams Woolley, professeure à la Tepper School of Business de l'Université Carnegie Mellon. « Mais en réalité, la hiérarchie aide les groupes à se coordonner de certaines manières. » La hiérarchie peut changer en fonction du problème à résoudre, explique Mme Woolley, mais la clarté est essentielle dans un environnement où tout le monde veut être au sommet. Il faut ensuite créer une chimie au sein du groupe, ce qui signifie développer la confiance entre les membres de l'équipe, communiquer ouvertement et établir un sentiment d'objectif commun. Bien qu'il existe de nombreuses données scientifiques sur ces aspects de la constitution d'équipes performantes, du livre de Richard Hackman publié en 2002, Leading Teams, au projet Aristotle de Google, de nombreux dirigeants ne sont pas prêts à y consacrer le temps nécessaire, explique M. Groysberg. « Nous n'avons tout simplement pas beaucoup de cadres et de PDG qui ont la rigueur et la patience nécessaires pour le mettre en œuvre », a-t-il affirmé. Bien que cet avertissement s'applique de manière universelle, il est particulièrement pertinent chez Meta, qui constitue à la hâte son équipe de superintelligence afin de rattraper Google et OpenAI. Et puis il y a l'argent, qui ne manque presque jamais de compliquer les choses. Avec tous les efforts de débauchage largement médiatisés de Mark Zuckerberg, qui ont notamment consisté à proposer des rémunérations dépassant les 200 millions de dollars, les détails de la rémunération de nombreuses nouvelles recrues sont désormais de notoriété publique. Cela pourrait nuire aux efforts de constitution de l'équipe et influer sur la dynamique de celle-ci. « Pour de nombreux groupes dans ce type de contexte, le salaire des employés est presque comme un grade militaire : vous arrivez avec deux étoiles et eux en ont trois, explique Mme Woolley. Cela établit clairement la hiérarchie. Il sera important que les dirigeants soient très clairs si c'est également le cas ici. »


La Presse
3 hours ago
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Qu'IA écrit ce texte ?
Vers la fin du mois de mai, un juge de l'Ontario a rejeté les documents d'un avocat de la défense, suspectant que sa plaidoirie contenait des cas de jurisprudence fictifs, inventés par des outils générateurs de texte, ce que l'on appelle désormais des hallucinations de l'intelligence artificielle (IA)1. Cas isolé ? De moins en moins. Il y a quelques semaines, une consultante assise à côté de moi dans le train a passé des heures à copier-coller du texte généré par ChatGPT dans une présentation professionnelle. Je n'ai pas vu cependant si elle a aussi demandé de l'aide à l'IA pour déterminer combien facturer à son client. Tout le monde a des anecdotes comme ça, même dans le contexte des rencontres amoureuses. L'année dernière, Roman Khaves, cofondateur de Rizz, a expliqué à la CBC que l'assistant IA qu'il a créé aide à fournir du texte pour briser la glace sur les applications de rencontre2. Rizz a maintenant 10 millions d'utilisateurs. Qu'ont ces exemples en commun ? L'écriture. Tandis que l'on débat sans cesse de l'impact de l'IA sur la productivité, l'emploi, l'éducation, le PIB, les ressources énergétiques, les remèdes contre le cancer, et même du premier trillionnaire en devenir, je me demande parfois quelque chose de plus simple : à quoi ressemblera un monde où l'écriture perdra sa valeur, maintenant que nous avons tous accès à notre propre version robotisée de Cyrano de Bergerac ? L'écriture existe depuis des milliers d'années, d'abord sur la pierre et l'argile, ensuite sur le papyrus et le papier, et aujourd'hui sur nos écrans. Depuis ses débuts, l'écriture et la pensée se nourrissent mutuellement. Pour ma part, c'est souvent en rédigeant que mes idées deviennent plus claires parce que le travail de rédaction ouvre la voie à des solutions. Dans ce nouveau monde où l'IA rédige tout, l'écriture perd aussi sa fonction d'outil d'évaluation. D'abord, il y a le système d'éducation, mais pensez à toutes les lettres d'intention, demandes de subvention, pitchs et présentations qui risquent de se transformer en simples formalités symboliques, des actions répétées par habitude, mais de moins en moins significatives. Les ressources humaines des grandes entreprises utilisent déjà l'IA pour trier des CV… qui sont de plus en plus rédigés par l'IA elle-même. On s'y perd. Ce qui est d'autant plus utile avec l'écriture, c'est que le style nous en dit autant que le contenu, sinon plus. Un patron qui envoie un courriel sans ponctuation est trop pressé pour vous, un amant incapable de conjuguer ses verbes dans un texto ne vous sortira pas à l'opéra, et ainsi de suite. Si vous avez le malheur d'avoir à vous servir de LinkedIn pour vos fonctions professionnelles, vous avez probablement remarqué dernièrement toutes ces publications parfaites avec une grammaire impeccable, et dans les deux langues officielles à part ça ! Parfaites, mais toutes plus uniformes et monotones les unes que les autres puisqu'elles sont littéralement rédigées par des robots. Qu'adviendra-t-il de l'écriture et du domaine de la créativité en général à l'ère de l'IA ? Il y a quelques mois, le scénario d'anticipation plutôt apocalyptique AI 20273, imaginé par des spécialistes, a beaucoup fait jaser sur l'arrivée imminente, selon eux, de la superintelligence. Comme certaines de leurs prédictions envisagent la fin de l'espèce humaine, vous comprendrez que l'avenir de l'écriture ne les empêche pas de dormir. Voici donc quelques prédictions fictives de mon cru, pour nous amuser un peu : Début 2026 : Presque toutes les maisons d'édition et publications font signer aux auteurs des déclarations de non-utilisation de l'IA, sans avoir de moyens de les vérifier. Novembre 2026 : Le lauréat du Goncourt accepte son prix et, dans le but de mousser les ventes encore davantage, avoue s'être servi de l'IA pour écrire un chapitre au complet, sans dire lequel. Décembre 2026 : De nouvelles études toujours plus précises continuent de démontrer que l'utilisation de l'IA contribue à une diminution de l'activité cérébrale4. Début 2027 : Netflix sort sa première série entièrement écrite par l'IA. Ce n'est ni la meilleure ni la pire. Mai 2027 : Pour célébrer le 64e anniversaire de son album The Freewheelin', Bob Dylan annonce avoir vendu les droits posthumes de sa voix à sa maison de disques qui pourra continuer de sortir des albums en son nom de manière indéfinie. Des équipes perpétueront son œuvre, un peu à la manière des films de James Bond ou des collections de Chanel. Été 2027 : Une écrivaine à succès de romantasy lance un défi sur TikTok : « À partir de demain, je publierai un roman par semaine pendant 52 semaines. Allez-vous réussir à me lire assez vite ? » J'ai discuté de tout ça récemment avec mon ami Julien Vallée, du tandem de réalisateurs Vallée Duhamel, qui explore l'IA pour ses productions vidéo (allez voir ce qu'ils font sur leurs réseaux sociaux !). Ce sont des outils qui nous permettent de pousser nos idées plus loin. Julien Vallée, du tandem de réalisateurs Vallée Duhamel Pas d'argent pour filmer une Bentley volante en feu qui traverse le désert ? Pas de problème, l'IA s'en occupe à des frais minimes. Selon Julien, on entre dans une époque où la compétence la plus précieuse est un mélange d'imagination et de sens critique : savoir quoi créer, mais aussi quoi garder. Pour l'instant, il a raison puisque l'IA n'est pas véritablement « créative ». Les outils générateurs de texte prédisent le mot suivant en fonction de probabilités, sans réelle compréhension ou intention. Comme créateur, l'outil est formidable si on s'en sert pour « pousser » nos idées. Par exemple, quand je travaille sur un texte de fiction, je « brainstorme » avec l'IA et lui demande de critiquer mes idées et de repérer les failles. Bien sûr, c'est à moi de décider ce que j'en retiens, surtout sachant que parfois, les petites imperfections apportent de l'authenticité à une œuvre. L'authenticité est d'ailleurs une question qui mériterait son propre papier. Pour ceux qui ont déjà suivi des cours d'histoire de l'art, vous vous souviendrez de la notion d'« aura » de Walter Benjamin, qui tente d'expliquer pourquoi un tableau original est différent d'une simple reproduction. Si vous lisez un roman qui vous fait pleurer, est-ce que votre émotion serait moins légitime si ce livre avait été écrit par un robot ? Un livre comme Things in Nature Merely Grow de Yiyun Li, qui parle de son deuil après les suicides de ses deux fils, survenus à huit ans d'intervalle, ne peut-il être écrit que par un être humain ? Est-ce que l'IA peut « halluciner » une expérience humaine ? Une hallucination est un phénomène lié à des altérations de la perception dans le cerveau. Techniquement, une machine ne peut pas halluciner. Lorsqu'on parle d'hallucination de l'IA, on devrait plutôt parler de l'œuvre d'un faussaire qui « paraphrase le réel », pour reprendre la formule de Mathieu Bélisle. Un faussaire qui a appris à nous imiter en gobant entre autres des centaines de milliers de livres. Lorsque l'époque arrivera où il sera impossible de distinguer l'œuvre d'un auteur de celle d'un robot (si on n'y est pas déjà), la question des écrivains deviendra la même que celle de l'humanité : comment réussirons-nous à nous démarquer ? Suivez Alexandre Soublière ou envoyez-lui un commentaire ici 1. Lisez le texte « Les 'hallucinations de l'IA' s'invitent dans les tribunaux » sur le site de Radio-Canada 2. Lisez le texte « From AI dating to flirt coaches : How AI is changing dating, for better or worse » sur le site de la CBC (en anglais) 3. Consultez le site d'AI 2027 (en anglais) 4. Lisez le texte « Utiliser ChatGPT diminue-t-il notre activité cérébrale ? » sur le site de Radio-Canada Qu'en pensez-vous ? Participez au dialogue


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4 hours ago
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Apple étend son programme de réparation au Canada
Les propriétaires canadiens d'un iPhone, d'un iPad ou d'un Mac peuvent désormais réparer eux-mêmes leurs appareils grâce au lancement du programme de réparation chez soi d'Apple, qui donne accès à des pièces, des outils et des manuels officiels, tout ça en français. Apple a annoncé ce mardi l'expansion de ses services de réparation au Canada, offrant plus d'options aux consommateurs pour l'entretien de leurs appareils. Le géant technologique déploie deux programmes qui étaient déjà offerts ailleurs : le programme de réparation en libre-service (Self-Service Repair) destiné aux particuliers et un programme de distribution de pièces d'origine (Genuine Parts Distributor) pour les ateliers de réparation professionnels. Le Canada est le 34e pays à bénéficier de ces services. Mine de rien, Apple est un des fabricants dont les produits ont la durée de vie la plus longue, grâce à un soutien logiciel et, maintenant, matériel qui est un des mieux intégrés sur le marché informatique. Le programme de réparation en libre-service est conçu pour les gens à l'aise avec la technologie qui souhaitent effectuer leurs propres réparations. Il donne accès au même catalogue de pièces et aux mêmes outils que ceux utilisés dans les boutiques Apple Store et chez les fournisseurs de services agréés. Le programme couvre actuellement 65 produits Apple, incluant les gammes d'iPhone à partir du 12e du nom, ainsi que les ordinateurs Mac. Le casque Vision Pro et l'Apple Watch ne sont pas couverts par ces programmes. Réparation en libre-service Pour se lancer, l'utilisateur est invité à consulter au préalable le manuel de réparation correspondant à son appareil sur le site d'Apple. Ces guides détaillés, disponibles en français, expliquent la marche à suivre étape par étape et sont parfois accompagnés de tutoriels vidéo. Une fois le diagnostic posé, il est possible de commander les pièces d'origine nécessaires et d'acheter les outils spécifiques, vendus individuellement ou en ensemble. Pour ceux qui ne prévoient qu'une seule réparation, Apple propose également la location de sa trousse d'outils. Une nouveauté incluse dans le service est l'outil de diagnostic pour les réparations libre-service. Ce logiciel, accessible depuis 2023, permet aux utilisateurs de réaliser des tests et déterminer avec précision quelle composante est défectueuse. Cet outil peut s'avérer particulièrement utile dans des cas complexes, comme les dommages causés par l'eau. Bien que chaque situation soit unique, le logiciel peut aider à identifier l'étendue des dégâts et les pièces à remplacer, une tâche auparavant réservée aux professionnels. Distributeur de pièces d'origine Apple lance aussi au Canada son programme de distribution de pièces d'origine. Il permet aux ateliers de réparation indépendants de s'approvisionner en pièces d'origine Apple par l'intermédiaire de distributeurs autorisés. Au Canada, c'est l'entreprise Mobile Sentrix qui assurera cette distribution. Cette initiative vise à élargir l'écosystème de réparation fiable, garantissant que davantage de techniciens ont accès à des composants certifiés. Avec ce lancement, Apple affirme que 80 % de la population canadienne se trouve désormais à moins de 30 minutes d'une solution de réparation, qu'il s'agisse d'une boutique Apple, d'un réparateur professionnel ou de la possibilité de le faire soi-même à la maison. Cette annonce s'inscrit dans la volonté de l'entreprise de promouvoir la longévité de ses produits, un objectif qui repose sur un design durable, des mises à jour logicielles continues et, désormais, une réparabilité accrue.