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Guillaume Genton («TPMP») aperçu avec Jordan Bardella en vacances à Saint-Tropez

Guillaume Genton («TPMP») aperçu avec Jordan Bardella en vacances à Saint-Tropez

Le Figaro28-07-2025
Tous deux vêtus d'un short de bain, l'ancien chroniqueur de Cyril Hanouna et le président du Rassemblement national ont été photographiés ensemble sur la plage de Pampelonne.
Les pieds dans le sable et l'air détendu, Jordan Bardella profite de ses vacances à Saint-Tropez, sur la plage de Pampelonne, en bonne compagnie. Ce vendredi 25 juillet, le président de Rassemblement national, en short de bain, fait la Une de Closer . Dans les photos à l'intérieur, Guillaume Genton, dans la même tenue, s'affiche à ses côtés, dans des clichés sans équivoque quant à l'amitié que partagent les deux hommes.
«La star du Rassemblement national s'offre un bain de foule sur la plage et regarde toujours vers la droite», décrit le magazine people avec une suite de photos du groupe réunissant l'homme politique, l'ex-chroniqueur de «Touche pas à mon poste !», et son associé, Thibaud Gitton. Une joyeuse bande donc, avec en son centre la star. «Jordaaaaan !», écrit Closer à propos des cris venus de la foule, tentant d'apercevoir le député européen.
À lire aussi «C'est hors-sol» : Guillaume Genton s'emporte contre Audrey Lamy qui a refusé de porter plainte contre des cambrioleurs sans-papiers
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L'été dernier, le proche de Marine Le Pen avait déjà passé quelques jours du côté de Saint-Tropez, chez Cyril Hanouna cette fois. À l'époque, d'après une enquête de Mediapart, Mimi Marchand, la papesse des paparazzis, se serait activée pour empêcher la publication de clichés montrant le politique en train de dîner avec le trublion du PAF.
Rentrée sur W9 pour Guillaume Genton ?
Figure de «Touche pas à mon poste!» ces dernières années, Guillaume Genton profite de quelques instants de vacances après être devenu père pour la seconde fois, en juin dernier. Déjà papa d'un petit garçon, le chroniqueur a accueilli une petite fille. Quid de sa rentrée ? Peu de chances de le retrouver aux côtés de Cyril Hanouna, sur W9 dès le 1er septembre. Celui qui est aussi producteur ne fait en effet pas partie de la liste de chroniqueurs de «Tout beau tout neuf» communiquée au début de l'été. Contrairement à Géraldine Maillet, Valérie Benaïm ou encore Raymond Aabou.
Pour l'heure, peu d'informations sont données sur ce talk-show diffusé en access prime time du lundi au vendredi, entre 19 heures et 21 heures. Tout juste sait-on qu'il devrait «rebondir sur l'actualité». «Cyril Hanouna pourra évoquer des sujets politiques mais il faudra que ce ne soit pas politisé», avait assuré David Larramendy, directeur général du groupe M6, le 23 juin dernier. «'Tout beau, tout 9' est un divertissement, pas une arène politique», avait-il encore affirmé.
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Paris : un narcotrafiquant banni de quartiers du XVe arrondissement, une première
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Paris : un narcotrafiquant banni de quartiers du XVe arrondissement, une première

Condamné pour trafic de drogue, un jeune homme fait l'objet d'une interdiction de paraître dans cinq quartiers de la capitale. Une mesure permise par la loi narcotrafic, promulguée le 13 juin dernier. Une avancée significative dans le cadre de la lutte contre le trafic de drogue. Pour la première fois dans Paris, un homme défavorablement connu des services de police et condamné pour trafic de stupéfiants fait l'objet d'une interdiction de paraître dans cinq quartiers du XVe arrondissement de la capitale, ont confirmé ce jeudi une source proche de l'enquête et le parquet de Paris au Figaro. Cette mesure avait été saluée ce lundi 4 août sur X par le maire du XVe arrondissement, Philippe Goujon, qui a confirmé ce mercredi au Figaro sa volonté de voir d'autres mesures similaires être prononcées, lui qui fait de la lutte contre le narcotrafic un sujet «prioritaire». Publicité Votée le 29 avril dernier et promulguée le 13 juin, la loi visant à sortir la France du piège du narcotrafic offre aux enquêteurs de nouvelles méthodes d'investigations et aussi des mesures administratives dissuasives. Elle permet ainsi à la préfecture de police, sur demande d'un commissariat de police, «de prendre un arrêté d'interdiction de paraître contre des personnes condamnées ou suspectes» explique Philippe Goujon. Une enquête de plusieurs mois Le XVe arrondissement de la capitale est un lieu très prisé par les dealers. En l'occurrence, ce jeune narcotrafiquant, âgé de 20 ans, était à la tête, avec deux ou trois autres personnes, d'un réseau effectif dans le sud-ouest de Paris et les banlieues proches, comme Issy-les-Moulineaux ou encore Vanves (Hauts-de-Seine), d'après Le Parisien . Le groupe réalisait un trafic important qui générait chaque jour près de 1000 euros. Il se situait dans des quartiers populaires, où l'on trouve notamment un grand nombre de logements sociaux, et qui constituent un «secteur sensible». Ce réseau s'étendait sur plusieurs points de deals, «pas forcément très grands» d'après l'élu. L'enquête a été menée par le groupe de surveillance des quartiers (QSG) du XVe arrondissement, dont les membres étaient en filature. Ces mesures de surveillance ont duré plusieurs mois et ont permis aux forces de l'ordre d'accumuler de nombreuses preuves du trafic. C'est ainsi que le réseau a pu être démantelé, avec notamment l'arrestation et «la condamnation des trois chefs de file» de la bande, confirme d'ailleurs Philippe Goujon. Une mesure inédite et dissuasive Avant son interdiction de paraître, l'individu a été condamné par le tribunal de Paris à une peine de 12 mois d'emprisonnement avec sursis pour trafic de stupéfiants. Alors qu'il vivait dans un logement social, «il en a été expulsé, sans être relogé», avant même la promulgation de la loi de 2025, qui facilite ces expulsions, alors qu'elles constituent généralement «un difficile parcours judiciaire». Publicité Prise pour une durée d'un mois, renouvelable, la mesure d'interdiction de paraître vise à limiter les risques de réitération d'infractions ou de troubles à l'ordre public, explique le parquet de Paris. Le non-respect de cette décision «peut entraîner des peines d'emprisonnement et/ou des amendes», indique la même source. Le maire du XVe arrondissement affirme que des «patrouilles régulières» des services de police ont lieu dans ce «secteur sensible», permettant ainsi d'assurer l'effectivité de la mesure. Philippe Goujon «se félicite» que le XVe arrondissement soit le premier à être protégé par une telle mesure, et il «promet» que d'autres décisions de la sorte suivront. Selon lui, des mesures d'interdiction de paraître et d'expulsion de logement semblent «indispensables» pour lutter contre le narcotrafic. Elles permettent en outre de mieux protéger les riverains, et notamment les mineurs, qui peuvent ainsi retrouver un peu de calme et de sérénité. Ce qui constitue également une priorité pour la mairie de cet arrondissement.

Soupçons de voyeurisme à la piscine d'Athis-Mons, une adolescente de 16 ans dépose plainte
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L'été, c'est l'un des endroits les plus courus de la ville : le centre aquatique d'Athis-Mons, qui attire jusqu'à 1 500 personnes par jour. Ce jeudi 7 août, avec le beau temps, des centaines de familles étaient venues se rafraîchir. Mais la journée a été marquée par un incident provoquant de vives tensions : l'arrestation d'un homme soupçonné de voyeurisme. Il est environ 13 heures quand Marie (le prénom a été modifié) arrive devant la piscine et aperçoit deux véhicules de la police municipale d'Athis-Mons. « Je me suis dit qu'il y avait eu un accident dans un bassin. » En réalité, c'est au niveau des cabines de change individuelles que quelque chose vient de se produire. Dans cet espace mixte, un homme d'une trentaine d'années vient d'être immobilisé par la sécurité. Selon les éléments en notre possession, une adolescente de 16 ans était en train de se changer lorsqu'elle a senti une présence derrière la porte. « En ouvrant, elle a vu un homme collé à la porte, son téléphone à la main », relate un proche du dossier. Un suspect interpellé et mis hors de cause L'homme était-il en pleine captation d'images avec son portable, sous la porte ou au-dessus de celle-ci ? Toujours est-il qu'au moment où il a été surpris, il a fui vers les bassins. Un suspect a été interpellé par la sécurité du centre et remis à la police municipale d'Athis-Mons. La situation s'est rapidement envenimée avec l'arrivée des parents de la victime, lesquels voulaient en découdre avec le mis en cause. Le suspect a dû être extrait du centre aquatique et emmené au commissariat de Juvisy-sur-Orge pour y être placé en garde à vue. Mais la suite des investigations a mis hors de cause ce trentenaire, semble-t-il victime d'une « erreur sur la personne » d'après une source proche de l'enquête. Il a été remis en liberté. Une plainte pour « captation d'image à caractère pédopornographique de mineur » a néanmoins été déposée par l'adolescente. L'enquête se poursuit pour tenter d'identifier l'auteur des faits. Sollicité sur ce dossier, le parquet d'Évry-Courcouronnes était injoignable ce vendredi.

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POLITIQUE - Bruno Retailleau en a gros sur le coeur à propos du Conseil constitutionnel. Outre la décision de censurer l'article phare de la loi Duplomb, que son parti Les Républicains soutenait, le ministre de l'Intérieur s'est également vu infliger un camouflet par les Sages sur l'allongement de la durée maximale d'enfermement en centre de rétention administrative. Un désaveu qu'il n'entend pas laisser passer. Dans un communiqué diffusé en début d'après midi ce vendredi, le ministre de l'Intérieur dit avoir pris connaissance de la décision du Conseil constitutionnel « avec une extrême préoccupation ». Les Sages ont estimé que le texte, porté par une sénatrice LR, pour allonger de 90 à 210 la durée maximale en CRA des étrangers condamnés pour des faits graves ou présentant un risque majeur pour l'ordre public était contraire à la Constitution et au principe qui veut que « nul ne peut être arbitrairement détenu ». Le coup est rude pour Bruno Retailleau qui se vante de porter, depuis son arrivée à Beauvau, une ligne de fermeté absolue. Et qui n'entend pas en changer. En dépit de cette première censure, le ministre a annoncé s'atteler à la préparation d'un texte « modifié » qu'il va « préparer en demandant son avis au Conseil d'État. » « Je présenterai cette nouvelle version au plus tôt devant le Parlement », indique-t-il. Retailleau s'en prend au Conseil constitutionnel Entre autres arguments, Bruno Retailleau s'appuie sur la législation européenne qui « autorise une durée de 6 mois dans tous les cas, pouvant être prolongée de 12 mois supplémentaires en l'absence de perspective d'éloignement immédiat. » « Notre arsenal juridique décroche désormais complètement du droit européen », s'émeut le ministre. La directive citée par Bruno Retailleau autorise limite bien la durée de rétention administrative à 18 mois. Mais, comme le précise le site Toute l'Europe, cette règle votée en 2008 avait avant tout vocation à imposer une durée maximale aux pays qui n'en avaient pas jusqu'alors. Les États qui prévoyaient déjà des durées plus courtes, dont la France, n'avaient pas d'obligation de s'aligner. Néanmoins, et comme le souligne le ministre, des discussions sont en cours pour la rétention puisse être « être prolongée au-delà des 24 mois normaux sur décision d'un juge » pour les personnes représentant un risque pour la sécurité. En parallèle et demi-mots, Bruno Retailleau en a profité pour régler ses comptes avec le Conseil constitutionnel, accusé d'« entraîner le désarmement de l'État » au nom de « la balance des droits et libertés. » Le texte retoqué est « un texte de bon sens. C'est un texte efficace. Augmenter la durée de rétention pour les étrangers dangereux, c'est augmenter les possibilités de les éloigner. Éloigner ces individus dangereux, c'est empêcher qu'ils menacent notre sécurité », écrit-il. Et le patron des Républicains de revenir à un cheval de bataille de son camp en réclamant que ce soit « au peuple souverain (...) de se prononcer sur les questions essentielles de la sécurité et de l'immigration, par référendum. Le moment venu. » Dixit le ministre ou le président de parti ?

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