
Loi Duplomb : le message bouleversant de l'écrivaine Agnès Ledig, dont le fils est mort à 5 ans d'un cancer
une planète de plus en plus en plus maltraitée
, a lancé un cri d'alarme poignant sur son compte Instagram.
« AUX ÉLU (E) S QUI ONT VOTÉ LA LOI DUPLOMB. Regardez bien ces deux grands yeux bleus. Ceux de notre fils, morts d'une leucémie à l'âge de 5 ans et demi sans que PERSONNE n'en cherche les causes. Regardez ces deux grands yeux bleus et pensez à tous les enfants sur lesquels, en votant cette loi mortifère, vous installez une épée de Damoclès. »
Parmi les autrices les plus lues en France, Agnès Ledig est devenue écrivaine
pour ne pas s'éteindre de douleur
à la suite de la mort de son petit garçon. « Pour tenir debout pour ses enfants et son mari. » Son second roman, « Juste avant le bonheur », publié en 2013, l'a propulsée dans la cour des grandes.
Aux députés qui ont voté la loi, Agnès Ledig leur lance encore : « Vous avez applaudi, vous vous êtes réjouis quand la loi a été adoptée et vous avez transformé mon chagrin en rage, car ce faisant, vous applaudissiez et vous vous réjouissiez en pleine conscience de détruire des familles entières qui lutteront contre des cancers de plus en plus nombreux, de détruire la biodiversité, de détruire la VIE. Comment pouvez-vous décemment vous réjouir de voter en pleine conscience une loi qui détruit la vie ? »
Agnès Ledig, que nous avions rencontrée chez elle
dans les Vosges en février, pour son nouveau roman, « Répondre à la nuit », un plaidoyer écologique haletant construit comme un polar, est une autrice très engagée. Lumineuse et combative, l'écrivaine de 53 ans nous avait confié ne plus supporter de voir la
planète de plus en plus en plus maltraitée.
« Regardez ces deux grands yeux bleus et osez affirmer que la réintroduction de l'acétamipride ne comporte aucun risque pour la population. Mais vous savez évidemment que ce n'est pas le cas. Tous les scientifiques sont d'accord pour conclure à sa dangerosité. Le vote de cette loi est donc une décision criminelle », cingle-t-elle encore dans son post Instagram.
Dénonçant ces « décisions ignobles », la romancière rappelle que la douleur de perdre un enfant « est immense, inguérissable et condamne à de la peine à perpétuité ». Avant de conclure : « Regardez ces deux grands yeux bleus, nous venons de déposer des fleurs au cimetière. Aujourd'hui 20 juillet 2025, notre fils aurait dû avoir 25 ans. »
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La fragrance fraîche qui baigne l'intérieur de l'hôtel que l'on traverse pour accéder à la terrasse, les parasols de toile écrue à l'extérieur, les longues banquettes adossées aux haies, les lanternes allumées sur la terrasse à la nuit tombée. Côté cuisine, la carte est traditionnelle et on aime ça (escargots de Bourgogne, côtelettes d'agneau, sole grillée, tarte à la rhubarbe…). Parmi les salades proposées au dîner, on accorde une mention toute spéciale à la salade de haricots verts, vinaigrette truffée et vieux parmesan, et on garde en mémoire le chuck flap de bœuf black angus laqué en plat principal. À noter aussi les «pièces d'exception» qui font la saveur de Baronne, comme la volaille fermière «pattes bleues» morilles, vin jaune et la côte de bœuf salers et l'ultime douceur de la tarte à la rhubarbe, glace au lait d'amande. O.O. Baronne, 11 rue Berryer, 75008 Paris. Tel.: 01.42.25.73.35. Carte de 17 à 190 euros. 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Alors le serveur annonce : « Tomates cerises marinées et tomatillo mariné puis grillée, eau de tomate fermentée, jardin d'herbes et mayonnaise à la livèche ». S'enchaînent ensuite le Homard bleu Breton, le Lieu jaune Ikéjimé, le foie gras, le pigeon rôti et le bœuf Wagyu, ainsi qu'une déclinaison de poivron rouge pour alléger ce passage entre poisson et viande. Un assortiment de sorbets au citron vert et coriandre, à la pêche accompagnée d'aubergines confites, ou encore à la vanille et à la pistache, amène un peu de douceur à la fin du repas. Et entre deux petites touches humoristiques du sommelier : « Ce n'est pas de l'alcool que je vais vous faire goûter mais un bout de la France », on se plaît à déguster vins et champagne pour accompagner ces délicieux mets. Depuis la terrasse, on observe le soleil se coucher, le ciel s'habille de rose, c'est l'été à Paris. À découvrir jusqu'au 3 août, puis de nouveau à partir du 22. Qui Plume la Lune, 50 rue Amelot, 75 004 Paris. Tel. : 01.48.07.45.48. Carte de 70 à 250 €.


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