logo
« Le jeune homme est choqué, sa famille également » : à Garges-lès-Gonesse, un lycéen dénonce des violences policières

« Le jeune homme est choqué, sa famille également » : à Garges-lès-Gonesse, un lycéen dénonce des violences policières

Le Parisien4 days ago
La lèvre inférieure en sang, l'arcade sourcilière ouverte : la vidéo du lycéen a fait le tour des réseaux sociaux. Ce jeune homme de 17 ans, qui a été retrouvé blessé sur la voie publique, a dénoncé des violences policières qu'il affirme avoir subi au cours de la soirée du 14 Juillet, à
Garges-lès-Gonesse
.
Son récit, formalisé dans une plainte, a conduit le parquet de Pontoise à ouvrir une enquête judiciaire pour des faits qualifiés de « violences volontaires par personne dépositaire de l'autorité publique », selon le procureur, Guirec Le Bras.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

À Nîmes, les quartiers sensibles de la ville face à l'entrée en vigueur du couvre-feu pour mineurs
À Nîmes, les quartiers sensibles de la ville face à l'entrée en vigueur du couvre-feu pour mineurs

Le Figaro

time5 minutes ago

  • Le Figaro

À Nîmes, les quartiers sensibles de la ville face à l'entrée en vigueur du couvre-feu pour mineurs

Réservé aux abonnés REPORTAGE - Après les nombreux règlements de comptes sur fond de trafic de drogue, un arrêté municipal prenant effet dès lundi soir a été instauré pour limiter la présence des moins de 16 ans dans les rues. Rarement, dans, un passé récent, Pissevin n'avait connu une soirée si calme. Théâtre de nombreux règlements de comptes au cours des dernières semaines, ce quartier sensible situé à l'ouest de la ville de Nîmes (Gard) est l'objet de toutes les attentions des services de police. Si cet intérêt n'est pas nouveau, l'entrée en vigueur lundi soir d'un arrêté municipal interdisant aux mineurs de moins de 16 ans de circuler seuls dans les rues de six quartiers de la ville, tous réputés pour abriter un important trafic de drogue, a jeté une lumière plus particulière encore sur ses immeubles d'une quinzaine d'étages et peuplés d'environ 10.000 habitants. Pour rendre la soirée plus calme encore, un premier nettoyage avait été effectué dès 15h30 avec l'arrivée d'un premier car de CRS. Une présence synonyme du départ des trafiquants qui, sachant que l'arrêté municipal (annoncé depuis trois jours) allait entrer en vigueur, avaient au préalable fait place nette sur leurs points de deal. Ainsi, seuls quelques…

Mystère du disparu de la forêt de Besançon : dix jours après, Damien Defontaine reste introuvable
Mystère du disparu de la forêt de Besançon : dix jours après, Damien Defontaine reste introuvable

Le Parisien

time2 hours ago

  • Le Parisien

Mystère du disparu de la forêt de Besançon : dix jours après, Damien Defontaine reste introuvable

La trace se perd à l'est de Besançon (Doubs), au détour d'une route forestière, dans le bois de Chailluz. Ce massif de 1 708 ha renferme toujours la clé d'un épais mystère : quelque part à l'ombre de ces arbres, Damien Defontaine s'est volatilisé le 12 juillet. Ce lundi 21 juillet en fin de journée, il n'avait toujours pas été retrouvé. En début de semaine dernière, un Saint-Hubert mené par un gendarme a repéré son odeur au pied d'un arbre. La piste s'est perdue sous cet épais couvert forestier, seulement traversé par l'autoroute A36.

Trafic de crack et de cocaïne démantelé dans l'Oise : « Les jeunes dealers ont profité des toxicos »
Trafic de crack et de cocaïne démantelé dans l'Oise : « Les jeunes dealers ont profité des toxicos »

Le Parisien

time3 hours ago

  • Le Parisien

Trafic de crack et de cocaïne démantelé dans l'Oise : « Les jeunes dealers ont profité des toxicos »

Ils assurent n'être que de simples consommateurs. Des addicts, qui ne font que dépanner leurs amis de temps à autre. La justice, elle, les soupçonne d'être impliqués dans un juteux trafic de crack et de cocaïne. Les quatre prévenus majeurs interpellés le 16 juillet dernier à l'issue d'une longue et minutieuse enquête de la gendarmerie étaient jugés ce lundi 21 juillet devant le tribunal correctionnel de Compiègne (Oise) pour détention, usage, trafic de stupéfiants et association de malfaiteurs. Dans ce dossier à tiroirs − qui recoupe plus de 25 pages de synthèse d'interceptions téléphoniques et près de 40 auditions de consommateurs − « il y a deux cellules actives sous l'égide d'un même chef », assure la procureure, Camille Colpaert. La première cellule serait celle de Thierry T. Qualifié de « squelette ambulant » par son propre père, cet homme de 47 ans, « junky » de son propre aveu, est sorti de prison en mars 2025. Il venait alors de purger une peine de 18 mois d'emprisonnement pour trafic de crack , déjà.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store