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Grace Kim remporte le Championnat Évian

Grace Kim remporte le Championnat Évian

La Presse2 days ago
(Évian-les-Bains) Grace Kim a réalisé plusieurs coups spectaculaires en fin de ronde du Championnat Évian, dimanche, forçant notamment la prolongation avec un aigle avant de remporter son premier titre majeur du circuit de la LPGA avec un autre aigle.
Associated Press
Kim, dont l'aigle au 18e trou lui a permis de remettre une carte de 67 (-4), semblait aussi surprise que tout le monde quand son coup roulé de 12 pieds s'est retrouvé au fond de la coupe pour un aigle lors du deuxième trou de prolongation. L'Australienne de 24 ans a calmement mis sa main sur sa bouche avant de montrer un large sourire.
Kim était à égalité avec Jeeno Thitikul à 270 (-14) après les 72 trous réglementaires. Il s'agit d'un deuxième titre de la LPGA pour Kim.
La principale rivale de Thitikul pendant la majeure partie de cette ronde a été Lottie Woad, qui a momentanément pris la tête sur le deuxième neuf. L'Anglaise a signé une carte de 64 et a terminé à un coup de la tête, à égalité avec Minjee Lee (68).
Woad tentait de devenir la première joueuse amateur à remporter un tournoi majeur depuis Catherine Lacoste, lors de l'Omnium féminin des États-Unis en 1967.
La Canadienne Brooke Henderson (68) a terminé en 31e position, à 280 (-4). Elle était la seule Canadienne à prendre part à l'évènement.
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À défaut d'ébranler Tadej Pogacar un tant soit peu, les Visma-Lease a Bike de Jonas Vingegaard ont vu l'un des leurs, Simon Yates, remporter la première étape de montagne du Tour de France, à l'issue de laquelle Ben Healy (EF-EasyPost), déjà vainqueur de la sixième étape jeudi, a revêtu le maillot jaune de meneur, lundi, au Mont-Dore Puy de Sancy. Envoyé à l'avant pour relayer Vingegaard en cas de besoin plus loin dans cette 10e étape, Yates a finalement profité de la latitude accordée par les UAE de Pogacar à une échappée de 29 coureurs, partis à 150 km de la ligne. Le Britannique de 32 ans s'est détaché d'un groupe de cinq rescapés au pied de la dernière montée de 3 km. Après les retours successifs de Ben O'Connor (Jayco-AlUla) et Thymen Arensman (Ineos), il en a remis une couche à mi-chemin avant de couper le fil seul, 9 secondes avant Arensman et 31 secondes avant O'Connor. 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Après un relais du super grimpeur Sepp Kuss, l'Américain Matteo Jorgenson, 5e au général, a tenté de se détacher, mais le maillot jaune, avec Vingegaard calé dans sa roue, n'a pas bronché. Marc Soler, Jhonatan Narvaez et Adam Yates, le frère jumeau du gagnant du jour, sont revenus dans l'entrefaite, réimprimant un tempo régulier au profit de Pogacar. Le champion mondial slovène a rappelé qui était le patron en accélérant dans l'ultime pente vers la station de ski du Mont-Dore. Vingegaard a été le seul à pouvoir tenir le rythme jusqu'à ce que Pogi décide de se rasseoir, apparemment contenté de ce scénario en forme de match nul. PHOTO MARCO BERTORELLO, AGENCE FRANCE-PRESSE Tadej Pogacar Le Danois et double vainqueur (2021 et 2022) s'est néanmoins félicité de la mise sous tension de son éternel adversaire. « Pour l'instant j'ai réussi à suivre toutes ses attaques, ce qui n'avait pas été le cas au Dauphiné », a dit Vingegaard selon des propos rapportés par l'AFP. « On voulait le mettre sous pression. Mais UAE a su répondre, ils ont une équipe très forte eux aussi. » Healy en jaune À partir de là, le suspense était de savoir si Healy, le troisième de l'étape qui avait pédalé comme un forcené devant le groupe de cinq, aurait creusé une avance suffisante pour mettre la patte sur le maillot de meneur. Quelque 300 mètres avant l'arrivée de Pogacar, il a compris que ça le ferait. Par 29 secondes, le coureur de 24 ans est ainsi devenu le quatrième Irlandais en jaune, le premier depuis Stephen Roche, qui avait ramené la tunique jusqu'à Paris en 1987. « C'est quand même des traces assez folles à suivre, non ? Je suis vraiment très fier de représenter l'Irlande et de porter le maillot jaune pour elle, et j'espère être à la hauteur », a déclaré Healy, né en Angleterre, mais qui a pris la nationalité irlandaise de son père peu après avoir été rejeté par la fédération britannique. Remerciant ses coéquipiers Powless, Sweeny et Baudin, qui l'ont épaulé dans l'échappée, Healy ne pouvait espérer mieux de ce deuxième Tour, lui qui a également arraché le maillot blanc de meilleur jeune au Belge Remco Evenepoel, désormais 3e au général (+1 min 29). PHOTO MARCO BERTORELLO, AGENCE FRANCE-PRESSE Ben Healy « C'est un conte de fées, a convenu le sympathique barbu. Si vous m'aviez dit ça avant le Tour, je crois que je ne l'aurais pas cru. Alors, remporter une étape et porter le maillot jaune… c'est juste incroyable, presque irréel. » Avec trois représentants dans la fugue initiale, Israel-Premier Tech n'a pas connu cette euphorie, mais pouvait se réjouir de la sixième place du Britannique Joe Blackmore, qui a coupé la ligne près de 4 minutes après Healy. Le gagnant du dernier Tour de l'Avenir a été le premier à réagir à une accélération d'O'Connor, à 31 km. Son coéquipier Michael Woods a alors laissé filer, mais son groupe n'est jamais revenu sur la tête de course. Le cycliste d'Ottawa, qui avait levé les bras au Puy-de-Dôme, à quelques kilomètres de là, en 2023, devra donc attendre une autre étape de montagne pour tenter de s'imposer. Il a néanmoins accumulé 10 points dans le classement pour le maillot à pois, où il pointe désormais à la troisième place. À défaut de l'étape en ce jour de la Bastille, le Français Lenny Martinez (Bahrain) a littéralement saigné du nez pour saisir la tunique à pois, 47 ans après que son grand-père Mariano l'a porté jusqu'au bout en 1978. Son compatriote normand Kévin Vauquelin (Arkea), la belle histoire cocorico de cette première partie de Tour, a fini 21e, ce qui l'a fait reculer du troisième au sixième échelon. Après 10 journées nerveuses et intenses, le peloton de 172 coureurs profitera d'une première journée de repos mardi, le temps de faire baisser la température avant une 11e étape au final explosif à Toulouse, pays de Léon Marchand, mercredi.

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