
Pamela Anderson et son style «vieux Hollywood» à New York
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La star de 58 ans, à l'affiche du film Y a-t-il un flic pour sauver le monde ?, enchaîne les looks spectaculaires - et rétros - depuis plusieurs semaines. Retour en images.
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Le HuffPost France
7 hours ago
- Le HuffPost France
Aubrey Plaza se confie sur son deuil après la mort de son mari : « une lutte quotidienne »
PEOPLE - La souffrance est immense. L'actrice américaine Aubrey Plaza ( White Lotus, Parks and Recreation ou Agatha All Along) s'est confiée sur son deuil plusieurs mois après la mort de son mari Jeff Baena, décédé par suicide en janvier à Los Angeles à l'âge de 47 ans. Le couple était marié depuis 2020. L'actrice de White Lotus s'est épanchée dans le podcast Good Hang with Amy Poehler, où elle a comparé sa douleur au film The Gorge, rapportent de nombreux médias anglophones, ce mardi 19 août. « Je suis dans le moment présent et je suis heureuse d'être avec vous », a d'abord déclaré Aubrey Plaza dans ce podcast. « Dans l'ensemble, je suis là, je fonctionne et je me sens vraiment reconnaissante de pouvoir avancer dans la vie. Je vais bien. Mais, vous savez, c'est une lutte quotidienne. » « Un océan gigantesque d'horreur » L'actrice a ensuite tiré une analogie s'inspirant du film de science-fiction The Gorge pour exprimer sa souffrance. « C'est comme un film d'extraterrestres avec Miles Teller. Dans le film, il y a une falaise d'un côté et une falaise de l'autre, et au milieu, il y a une gorge avec des monstres qui essaient de les attraper », explique-t-elle dans des propos rapportés par The Hollywood Reporter. Et abonde : « Je l'ai regardé et je me suis dit : 'C'est exactement ce que je ressens, c'est exactement ce qu'est mon deuil, ou ce que pourrait être le deuil.' À tout moment, il y a comme un océan gigantesque d'horreur qui est juste là, et je peux le voir. Et parfois, j'ai juste envie de plonger dedans et d'y être. Et puis parfois, je me contente de le regarder. Et puis parfois, j'essaie juste de m'en éloigner. Mais il est toujours là. Il est toujours là. Et les monstres essaient de m'attraper. » Aubrey Plaza n'avait pas fait de déclaration publique depuis un communiqué conjoint avec la famille de Jeff Baena, qualifiant la mort du réalisateur de « tragédie inimaginable » et demandant que leur vie privée soit respectée. Le 3 janvier, Jeff Baena a été retrouvé mort dans sa maison de Los Angeles. La cause du décès a ensuite été déterminée comme étant un suicide, et aucun acte criminel n'a été suspecté. On doit notamment à Jeff Baena, qui avait déjà évoqué les problèmes de santé mentale au sein de sa famille, le film J'adore Huckabees, sortie en 2004 aux États-Unis, et dans lequel on pouvait retrouver Isabelle Huppert et Dustin Hoffman.

Le HuffPost France
7 hours ago
- Le HuffPost France
« Valeur sentimentale », le nouveau film de Joachim Trier primé à Cannes va plaire aux cinéphiles mais pas que
SORTIE CINÉMA - Un film en norvégien, primé à Cannes ? Pour les cinéphiles les plus pointus, c'est le paradis. Mais pour certains, c'est rédhibitoire. Pourtant, il serait dommage de se priver d'aller voir Valeur sentimentale tant le nouveau film de Joachim Trier, avec Renate Reinsve et Stellan Skarsgård, est un bijou de tendresse, qui peut toucher un très large public. Affeksjonsverdi, dans sa langue originale, a reçu le Grand Prix du jury au Festival de Cannes 2025, mais surtout une standing-ovation record de 19 minutes, preuve qu'il a de quoi faire l'unanimité. Car Valeur sentimentale en salles ce mercredi 20 août est avant tout un très beau film sur la famille, un thème universel qui dépasse la barrière des sous-titres. L'excellent Stellan Skarsgård incarne un père absent et célèbre réalisateur, qui veut relancer sa carrière avec un nouveau projet. Gustav demande à sa fille aînée Nora, comédienne de théâtre à succès, de jouer le rôle principal qu'il a écrit pour elle. Mais cette dernière, l'incroyable Renate Reinsve (Julie (en 12 chapitres), La Convocation), muse de Joachim Trier, refuse. Et elle a de quoi : son père réapparaît par opportunisme au décès de leur mère, des années après avoir abandonné Nora et sa petite sœur Agnes (Inga Ibsdotter) depuis le divorce. Sans se remettre en question, Gustav décide finalement d'embaucher Rachel Kemp (Elle Fanning), une jeune actrice américaine en vogue, pour jouer le rôle. Et histoire de brouiller encore plus les frontières entre son film et sa fille, il décide de tourner dans la maison familiale. On ne choisit pas sa famille Les murs ont une histoire et ceux-ci en regorgent. La magnifique maison norvégienne est un personnage à part entière de Valeur sentimentale. C'était même le sujet de dissertation de la jeune Nora à l'école, qui déjà à l'époque avait saisi que sa fissure ne se limitait pas au bâtiment. Joachim Trier maîtrise l'art de mettre en scène les rapports humains. La Nora adulte préfère rester à distance de ce père avec qui elle ne peut pas parler, et encore moins travailler. Agnes, elle, n'ose pas le confronter et lui accorde plus de tolérance. La relation entre les deux sœurs est tout aussi importante que celle avec leur père. Si dans les flash-back de leur enfance, Nora prenait soin d'Agnes, la dynamique s'est inversée à l'âge adulte. Paradoxalement, la benjamine semble mieux armée, alors que l'absence de reconnaissance de leur père empêche Nora d'avancer. Renate Reinsve et Inga Ibsdotter bouleversent avec leur interprétation sensible. Le réalisateur sait créer des personnages multidimensionnels, et les actrices le lui rendent bien. En comparaison, celui de Rachel paraît (volontairement) une pâle doublure de la complexe Nora. Elle Fanning joue à merveille l'erreur de casting. Rachel fait de son mieux, se teint les cheveux et tente même d'adopter un accent norvégien mais sait qu'elle n'est pas à sa place dans ce film ni cette maison. Stellan Skarsgård nous a bluffés dans la peau de Gustav, plus émotif qu'il ne le laisse paraître. Comme toujours lorsqu'il s'agit de famille, le trauma intergénérationnel vient de quelque part, en l'occurrence du suicide de sa mère. Mise en abyme En plus d'explorer les dynamiques familiales, Valeur Sentimentale regorge de clin d'œil à l'industrie du spectacle. Le film s'ouvre avec une scène hilarante dans les coulisses d'un théâtre, où Nora tente de fuir en pleine crise de panique avant de monter sur scène. On découvre la célébrité de Gustav alors qu'il est invité au Festival de Deauville pour une rétrospective sur sa carrière. Les spectateurs dans la salle regardent son film culte, pendant que l'on regarde celui de Joachim Trier. Ce ne sera pas la seule mise en abyme. Joachim Trier fait de l'humour de cinéphile. Gustav est un réalisateur d'une autre époque, qui offre des DVD de La Leçon de piano à son petit-fils de 9 ans et ne comprend pas que son film, produit par Netflix, puisse sortir ailleurs qu'au cinéma. Lors d'une interview, il s'en prend au journaliste et l'insulte de « troll de TikTok », mécontent de ne plus pouvoir faire valider les questions comme dans sa jeunesse. Même l'amitié entre Gustav et son producteur rappelle celle entre Joachim Trier et Eskil Vogt, le scénariste avec qui il travaille depuis toujours. Mais après 2 h 13, ce ne sont pas les blagues sur le petit monde du cinéma que l'on retient, mais l'émotion, les silences lourds de sens, les conséquences des non-dits et l'amour familial, aussi puissant que destructeur. Il n'y a vraiment pas besoin d'être fan de films d'auteur pour être touché en plein cœur.

Le Figaro
8 hours ago
- Le Figaro
À New York, la magistrale leçon d'élégance «old Hollywood» de Pamela Anderson
Lors de la promotion du film Y a-t-il un flic pour sauver le monde ?, la star d'Alerte à Malibu a rendu hommage à de nombreuses icônes du Hollywood d'antan, de Marilyn Monroe à Grace Kelly. Il y a les influenceuses mode, et il y a les icônes. Depuis plusieurs semaines à New York, Pamela Anderson intègre définitivement la deuxième catégorie : celle qui regroupe ces actrices de plus de cinquante ans qui n'ont plus rien à prouver - au point de complètement délaisser le maquillage -, et enchaînent les looks toujours plus pointus et inspirants. En pleine promotion du film Y a-t-il un flic pour sauver le monde ? depuis la fin du mois de mai, dans lequel elle partage le premier rôle avec son nouveau compagnon, Liam Neeson, la star d'Alerte à Malibu a transformé New York en un terrain de jeu vestimentaire, remettant au goût du jour la tendance «old Hollywood». À lire aussi Liam Neeson et Pamela Anderson posent ensemble avec leurs enfants respectifs à New York Fin mai déjà, elle arborait une robe chemise en popeline signée Marni. Une pièce immaculée imprimée d'une multitude de roses rouges et noires, caractérisée par une taille cintrée, des boutons dans le dos et une jupe sirène évasée et froncée. Le tout complété par trois accessoires calqués sur le vestiaire emblématique de Grace Kelly : escarpins à talons hauts, lunettes de soleil œil-de-chat et foulard blanc sur la tête. Pamela Anderson en total look Marni. (New York, le 21 mai 2025.) Aeon / GC Images Publicité La même journée, Pamela Anderson a opté pour un look cette fois inspiré de Jackie Kennedy : une mini-robe en tweed à paillettes Marc Jacobs sans manches, complétée par des collants noirs opaques, des escarpins pointus encre, un microsac à main en cuir Dual et des lunettes mouche. Petites marques et maisons de luxe «Pas de styliste, pas d'équipe glamour, c'est juste moi», a déclaré l'actrice américaine sur le tapis rouge des Golden Globes le 5 janvier dernier, appuyant l'idée que, contrairement à beaucoup de célébrités, c'est bien elle qui décide comment s'habiller. Et c'est peut-être ce parti pris, aussi, qui fait toute la différence, rendant ses silhouettes toujours plus mémorables et spontanées. D'autant qu'elle privilégie aussi bien les grandes maisons de mode que les marques émergentes. Pamela Anderson en Gucci. (New York, le 30 juillet 2025.) Lloyd Bishop/NBC via Getty Image Fin juillet donc, toujours à New York, elle était vêtue d'un ensemble Willy Chavarria, l'étoile montante de la mode américaine qui a récemment habillé Jessica Alba. Un look tiré de la collection printemps-été 2026 du label, composé d'une blouse vert menthe et d'une jupe en brocart assortie. Tandis que quelques jours plus tard, en direction du plateau de l'émission Late Night with Seth Meyers, elle a été photographiée en total look Gucci jaune beurre avec chemisier drapé à col montant et jupe crayon bordée de dentelle. Toujours coiffée de son brushing blond à la Marilyn Monroe dont elle ne se lasse visiblement plus.



