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Négociations avec Washington, Leylah Fernandez et l'ultimatum de Trump à Poutine
Négociations avec Washington, Leylah Fernandez et l'ultimatum de Trump à Poutine

La Presse

timea day ago

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Négociations avec Washington, Leylah Fernandez et l'ultimatum de Trump à Poutine

Négociations avec Washington, Leylah Fernandez et l'ultimatum de Trump à Poutine La journée passe vite. Voici les trois nouvelles qui ont marqué l'actualité jusqu'ici. La Presse Les négociations avec Washington sont dans une « phase intense », soutient Carney Les négociations avec les États-Unis sont dans une « phase intense », a déclaré lundi le premier ministre Mark Carney, quelques jours après que le président américain Donald Trump eut soutenu que son administration ne focalise pas ses énergies à s'entendre avec le Canada. PHOTO RON WARD, LA PRESSE CANADIENNE Le premier ministre du Canada, Mark Carney Lisez l'article Omnium Banque Nationale : la folle fin de semaine de Leylah Fernandez Leylah Fernandez est arrivée à Montréal à 2 heures dans la nuit de dimanche à lundi, selon sa recension en point de presse. Dimanche, la joueuse québécoise a disputé la finale du tournoi de Washington, finale qu'elle a remportée pour décrocher le quatrième titre de sa carrière, le premier depuis Hong Kong en 2023. PHOTO GRAHAM HUGHES, LA PRESSE CANADIENNE Leylah Fernandez s'adresse aux journalistes, en marge de l'Omnium Banque Nationale, à Montréal. Lisez l'article

Trump se dit « très déçu » et va finalement laisser moins de temps à la Russie pour cesser la guerre en Ukraine
Trump se dit « très déçu » et va finalement laisser moins de temps à la Russie pour cesser la guerre en Ukraine

Le HuffPost France

time2 days ago

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Trump se dit « très déçu » et va finalement laisser moins de temps à la Russie pour cesser la guerre en Ukraine

ÉTATS-UNIS - Le président américain perd patience. Donald Trump a annoncé ce lundi 28 juillet qu'il allait « réduire » drastiquement le délai de 50 jours donné au président russe Vladimir Poutine pour cesser les hostilités en Ukraine, sous peine de sanctions américaines sévères contre la Russie. Le président américain, s'exprimant depuis Turnberry en Écosse, s'est dit « très déçu » par son homologue russe. Il a également fait savoir qu'il laisserait « 10 à 12 jours » à Poutine pour arrêter la guerre. Lire aussi La Russie lance en mer sa « Tempête de Juillet », une opération militaire d'envergure Un ultimatum, bien plus serré que prévu, particulièrement apprécié à Kiev. Le chef de l'administration présidentielle ukrainienne, Andriï Iermak a rapidement remercié « le président [Donald Trump] de faire preuve de fermeté et d'adresser un message clair de paix par la force. » Une rencontre possible en septembre « Si nous n'avons pas un accord d'ici 50 jours, c'est très simple, [les droits de douane appliqués à la Russie] seront à 100 % et c'est comme ça », avait menacé Donald Trump le 14 juillet dernier, après plusieurs tentatives de résolution du conflit. La cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas avait alors jugé que ce délai représentait une durée « très longue ». Plus tôt ce lundi, le Kremlin a affirmé qu'une rencontre entre Vladimir Poutine et Donald Trump n'était pas exclue pour le mois de septembre, en Chine, à l'occasion des célébrations pour la fin de la Seconde Guerre mondiale. Depuis le retour de Donald Trump à la Maison Blanche en janvier 2025, les présidents américain et russe se sont entretenus à plusieurs reprises par téléphone, notamment au sujet de l'offensive à grande échelle lancée par Moscou en Ukraine en février 2022, mais ils n'ont pas eu de réunion.

Trump va-t-il punir la Suisse à coups de taxes le 1er août?
Trump va-t-il punir la Suisse à coups de taxes le 1er août?

24 Heures

time2 days ago

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Trump va-t-il punir la Suisse à coups de taxes le 1er août?

Le délai fixé par le président américain avant d'augmenter le coût des exportations vers les USA expire dans quelques jours. Aucun «deal» n'est en vue. Publié aujourd'hui à 08h37 Donald Trump est actuellement en Écosse, où il s'adonne à sa passion: le golf. AFP En bref: Le compte à rebours est lancé. C'est ce vendredi 1er août qu'expire l'ultimatum fixé par Donald Trump avant de faire exploser les droits de douane. La Suisse, pays d'exportation, doit-elle craindre un coup de massue le jour de sa fête nationale? La réalité est que personne n'en sait rien, tant l'administration américaine fait souffler le chaud et le froid sur ses partenaires commerciaux. Pour le comprendre, il faut faire un retour en arrière. Et constater qu'en six mois de mandat, le président américain aura dit beaucoup de choses et souvent leur contraire. Souvenez-vous. Le 2 avril 2025, lors de son discours du «Liberation Day», Donald Trump annonçait une taxe de base de 10% sur tous les produits importés. Dans un deuxième temps, il prévenait des taxes plus lourdes encore dès le 9 avril pour les pays présentant d'importants déficits commerciaux. Pour la Suisse, ce devait être 31% . Sauf que ce taux n'a jamais été appliqué, le président américain ayant décidé de reporter de 90 jours son couperet. Ce qui portait le nouveau délai au 9 juillet. La Suisse pensait être à bout touchant Dans l'intervalle, Berne a tenté de conclure un deal . Début mai, elle se félicitait – par la voix de sa présidente Karin Keller-Sutter et de son ministre de l'Économie, Guy Parmelin – d'être à bout touchant . La Suisse pensait alors être le deuxième pays à trouver un accord avec Washington, juste après l'Angleterre. Trois mois plus tard, toujours rien. «Nous pensions que ça irait plus vite, admettait Guy Parmelin début juillet . Ce n'est pas le cas. Nous ne sommes pas les seuls à le constater.» Guy Parmelin, chef du Département fédéral de l'économie, de la formation et de la recherche. J-P GUINNARD À l'époque, le Vaudois ne craignait pas outre mesure le délai du 9 juillet et ses taxes à 31%. «Théoriquement, cette hausse pourrait avoir lieu, mais en pratique je ne le pense pas, expliquait-il alors. Rien n'est écrit, mais plusieurs signaux indiquent que les États-Unis considèrent nos négociations de bonne foi. Une prolongation du délai est possible. Notre priorité est d'obtenir rapidement un texte clair sur notre statut pour lever l'incertitude, qui est nuisible pour nos entreprises.» Le délai a effectivement été reporté. Berne retient à nouveau son souffle. Il manque l'approbation américaine Interpellé sur cette nouvelle échéance fixée à ce vendredi, voici ce que répond désormais le Département fédéral de l'économie (DEFR). «Selon un décret signé par le président américain le 7 juillet, la suspension des droits de douane additionnels pour certains pays est prolongée jusqu'au 1er août 2025, tandis que la surtaxe de 10% continue de s'appliquer.» Il souligne que «le Conseil fédéral a approuvé le projet de déclaration d'intention commune par voie de circulaire le 4 juillet 2025. Une déclaration d'intention commune nécessite l'approbation des deux parties.» Selon différents médias , ce texte prévoirait des exceptions pour certaines catégories, comme la pharma. En contrepartie, la Suisse devrait s'engager à baisser ses taxes sur certains produits comme les agrumes, les fruits de mer et le whisky américain. Le DEFR ne commente pas et se contente d'expliquer que «le Conseil fédéral communiquera activement dès que ce sera le cas ou qu'il y aura d'autres développements significatifs. La Suisse est en contact avec les autorités américaines compétentes.» Personne n'ose se mouiller sous la Coupole fédérale Donald Trump scellera-t-il un accord avec la Suisse prochainement ou choisira-t-il de nous punir le 1er août? «Donald Trump est tellement imprévisible et sa politique si aléatoire, que personne ne peut répondre à cette question», réagit Samuel Bendahan, coprésident du groupe socialiste. Et le Vaudois de rappeler que ce n'est pas le premier ultimatum fixé par le président américain qui n'aboutirait à rien. «Certains éditorialistes américains utilisent désormais l'acronyme TACO pour décrire son mode de fonctionnement, ce qui signifie «Trump always chickens out», qu'on pourrait traduire en français par «Trump se dégonfle toujours». Mais cette situation ne doit pas nous rassurer non plus, s'empresse-t-il d'ajouter. Car elle crée une grande insécurité pour l'économie.» Selon lui, le Conseil fédéral doit désormais traiter avec cette administration américaine «qui dysfonctionne» comme on traite avec «un partenaire qui n'est pas fiable». «C'est pour cela que le Parti socialiste dit depuis le début que nous aurions meilleur temps de faire front commun avec l'Europe continentale, plutôt que de chercher un deal dans notre coin. C'est précisément ce que cherche à faire Donald Trump: diviser les Européens.» Et de rappeler que même si la Suisse décrochait un accord, «rien ne dit que ce dernier ne volerait pas en éclats deux semaines plus tard sur un énième coup de tête de Donald Trump». Samuel Bendahan (VD) est le coprésident du PS. Marco Zanoni Pas question non plus pour la droite de se mouiller. «Cette façon de mettre les autres pays dans l'incertitude fait partie du jeu de Donald Trump. C'est même sa manière d'exercer le pouvoir, analyse Olivier Feller (PLR/VD). L'expérience de ces six premiers mois de mandat présidentiel nous a déjà appris trois choses. Déjà qu'il faut être patient. Ensuite, qu'il restera de toute façon une part d'insécurité. L'exemple britannique nous montre que même lorsqu'il y a un accord avec les USA, ce dernier est un accord d'intention, dont les modalités peuvent changer. Ce qui n'est pas pour rassurer l'économie. Enfin, on sait qu'on ne reviendra pas à la situation d'avant. Car même en cas de deal , les taxes douanières augmenteront, puisque le fameux socle de 10% minimum est acquis.» La Suisse – adepte du Swiss Finish – sait-elle négocier dans ces conditions? «Elle n'est déjà plus dans une négociation classique, rétorque Olivier Feller. Elle joue en quelque sorte le jeu de Donald Trump en essayant de le séduire par des investissements ou par des contacts privilégiés. Je pense ici par exemple au téléphone que la présidente de la Confédération Karin Keller-Sutter a eu avec le président américain et que d'autres pays nous ont enviés. Maintenant est-ce que cette stratégie va marcher? Ça, c'est une autre question.» Plus sur Donald Trump, les droits de douane et la Suisse Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Florent Quiquerez est journaliste à la rubrique Suisse depuis 2015. Spécialisé en politique, il couvre avant tout l'actualité fédérale. Auparavant, il a travaillé comme correspondant parlementaire pour les Radios Régionales Romandes. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

« Un game changer » : les sanctions secondaires de Donald Trump feront-elles plier Poutine ?
« Un game changer » : les sanctions secondaires de Donald Trump feront-elles plier Poutine ?

Le Parisien

time15-07-2025

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« Un game changer » : les sanctions secondaires de Donald Trump feront-elles plier Poutine ?

Dans les années 1980, Donald Trump avait construit d'immenses casinos aux États-Unis. L'ancien magnat du jeu est tombé sur plus « poker face » que lui - ce visage impassible prisé des amateurs de bluff. En Russie, Vladimir Poutine n'a rien laissé paraître depuis lundi. Le président russe ne donne pas d'interview, encore moins de grands discours. Ses yeux bleu acier ne cillent pas. Lundi, le président américain a donné au Kremlin « 50 jours » pour infléchir sa politique en Ukraine et parvenir à un cessez-le-feu . Passé ce délai, les États-Unis sanctionneront tous les pays qui marchandent avec la Russie. Cet ultimatum comporte, en creux, un aveu de faiblesse : Donald Trump, grand chantre de la « paix par la force », s'est toujours heurté à l'impassibilité de glace de Vladimir Poutine.

«Volodymyr, peux-tu frapper Moscou?» : Trump aurait encouragé Zelensky à attaquer la Russie en profondeur
«Volodymyr, peux-tu frapper Moscou?» : Trump aurait encouragé Zelensky à attaquer la Russie en profondeur

Le Figaro

time15-07-2025

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«Volodymyr, peux-tu frapper Moscou?» : Trump aurait encouragé Zelensky à attaquer la Russie en profondeur

Donald Trump aurait demandé au président ukrainien s'il était disposé à frapper Moscou et Saint-Pétersbourg si les États-Unis lui fournissaient des armes de longue portée, rapporte mardi le Financial Times. Donald Trump continue de souffler le chaud et le froid sur le conflit entre la Russie et l'Ukraine. Après avoir réduit un temps la voilure des aides américaines destinées à Kiev - notamment sur le renseignement - le président américain semble avoir changé son fusil d'épaule, annonçant lundi 14 juillet un réarmement massif de l'Ukraine à travers l'Otan et fixant aux Russes un ultimatum de 50 jours pour mettre fin au conflit sous peine de sanctions sévères. Selon une information rapportée ce mardi par nos confrères du Financial Times, le locataire de la Maison-Blanche aurait même encouragé son homologue ukrainien à intensifier ses frappes en profondeur sur le territoire russe avant de le sonder : serait-il prêt à frapper des villes comme Moscou et Saint-Pétersbourg s'il était doté de missiles américains de longue portée ? Publicité «Volodymyr, peux-tu frapper Moscou ? Peux-tu frapper Saint-Pétersbourg ?» aurait ainsi demandé Donald Trump à Volodymyr Zelensky lors d'un entretien téléphonique le 4 juillet, d'après deux sources au fait de cet échange qui se sont confiées au journal britannique. «Absolument. Nous le pouvons si vous nous donnez les armes», aurait aussitôt répondu le dirigeant ukrainien. À lire aussi Guerre en Ukraine : pourquoi livrer des armes américaines financées par l'Otan s'annonce difficile «Porter la guerre aux Moscovites» Nul ne sait pour l'heure si les États-Unis livreront de telles armes à Kiev, car l'accord signé avec l'Otan lundi ne mentionne que des équipements défensifs. Mais cet échange en dit long sur la frustration croissante de Donald Trump face au refus de Vladimir Poutine de s'engager dans les négociations de cessez-le-feu, analyse le FT. La lassitude se fait d'autant plus grande ce 4 juillet que Donald Trump a encore en tête son entretien la veille avec l'hôte du Kremlin, qualifié par l'Américain de «mauvais». Un responsable occidental cité par le Financial Times estime que cette discussion reflète un désir de plus en plus partagé par les Occidentaux de «porter la guerre aux Moscovites» et ainsi forcer le Kremlin à s'engager dans les négociations. Les déclarations du président Trump sont très sérieuses Dmitri Peskov, porte-parole du Kremlin Six jours après le fameux coup de fil, le 10 juillet, Kiev se serait vu remettre par les Américains lors de la Conférence de Rome sur le redressement de l'Ukraine une liste d'armes de longue portée qui pourraient potentiellement être mises à la disposition des Ukrainiens via les alliés européens, poursuit le Financial Times. Si ni la Maison-Blanche ni le bureau présidentiel ukrainien n'ont commenté les révélations du Financial Times, la séquence semble porter ses fruits. Le Kremlin a en effet indiqué ce mardi rester prêt à négocier avec l'Ukraine tout en disant avoir besoin de temps pour répondre aux déclarations «sérieuses» du président américain Donald Trump. «Les déclarations du président Trump sont très sérieuses. Nous avons bien sûr besoin de temps pour analyser ce qui a été dit à Washington et si, ou quand, le président Poutine le jugera nécessaire, il commentera», a indiqué le porte-parole du Kremlin, Dmitri Peskov, à des journalistes.

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