
Elle voulait « passer en douce » la sécurité : une femme arrêtée à l'aéroport de Miami avec des tortues dans son soutien-gorge
emmener dans l'avion
, mais elle ne le savait pas. Une femme a été surprise en train de
cacher deux tortues
dans son soutien-gorge alors qu'elle passait un contrôle de sécurité à
l'aéroport de Miami
ce jeudi.
« Mes amis, s'il vous plaît - et nous ne le soulignerons jamais assez - arrêtez de cacher des animaux dans des endroits étranges de votre corps et d'essayer ensuite de les faire passer en douce par la sécurité de l'aéroport », a déclaré la
Transportation Security Administration
en racontant l'incident sur les réseaux sociaux.
La jeune femme, dont l'identité n'a pas été révélée, avait
enveloppé les tortues dans ce qui semblait être de la gaze
et du film plastique, selon des photos publiées par l'agence sur les réseaux sociaux.
L'administration du secteur aérien américain autorise les voyageurs à transporter leurs animaux de compagnie, y compris les tortues. Les animaux doivent simplement être retirés de leur cage de transport et transportés au point de contrôle de sécurité, indique l'agence sur son site web.
Pas la peine donc de les cacher. Le pire dans toute cette histoire, l'une des tortues est décédée en étant enroulé et caché de cette manière. Le reptile survivant a été saisi et remis au Département de la pêche et de la faune de Floride.
En mars, un autre voyageur avait déjà tenté de faire passer une tortue aux contrôles de sécurité de l'aéroport international Newark Liberty (New Jersey), comme l'avait rapporté CBS News. L'homme avait caché la tortue à l'avant de son pantalon.
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Le Parisien
7 hours ago
- Le Parisien
Elle voulait « passer en douce » la sécurité : une femme arrêtée à l'aéroport de Miami avec des tortues dans son soutien-gorge
Elle avait pourtant le droit de les emmener dans l'avion , mais elle ne le savait pas. Une femme a été surprise en train de cacher deux tortues dans son soutien-gorge alors qu'elle passait un contrôle de sécurité à l'aéroport de Miami ce jeudi. « Mes amis, s'il vous plaît - et nous ne le soulignerons jamais assez - arrêtez de cacher des animaux dans des endroits étranges de votre corps et d'essayer ensuite de les faire passer en douce par la sécurité de l'aéroport », a déclaré la Transportation Security Administration en racontant l'incident sur les réseaux sociaux. La jeune femme, dont l'identité n'a pas été révélée, avait enveloppé les tortues dans ce qui semblait être de la gaze et du film plastique, selon des photos publiées par l'agence sur les réseaux sociaux. L'administration du secteur aérien américain autorise les voyageurs à transporter leurs animaux de compagnie, y compris les tortues. Les animaux doivent simplement être retirés de leur cage de transport et transportés au point de contrôle de sécurité, indique l'agence sur son site web. Pas la peine donc de les cacher. Le pire dans toute cette histoire, l'une des tortues est décédée en étant enroulé et caché de cette manière. Le reptile survivant a été saisi et remis au Département de la pêche et de la faune de Floride. En mars, un autre voyageur avait déjà tenté de faire passer une tortue aux contrôles de sécurité de l'aéroport international Newark Liberty (New Jersey), comme l'avait rapporté CBS News. L'homme avait caché la tortue à l'avant de son pantalon.


Le Parisien
10 hours ago
- Le Parisien
Aux États-Unis, le nombre de migrants dans les centres de rétention atteint un niveau record
Sept mois après le retour de Donald Trump au pouvoir, qui a fait de la lutte contre l'immigration clandestine une priorité absolue , le nombre d'immigrés détenus par la police américaine de l'immigration (ICE) a atteint un niveau record en juin, selon une analyse menée par l'AFP sur la base de données officielles. Le mois dernier, un nombre record de 60 254 personnes ont été détenues dans des centres d'ICE. Elles n'étaient que 40 500 en janvier, avant le retour à la Maison Blanche de Donald Trump. Parmi ces détenus, 71 % n'ont aucun casier judiciaire, contrairement à 54 % l'année dernière, selon les données de la police de l'immigration. Depuis son retour au pouvoir en janvier, Donald Trump a promis la plus grande campagne d'expulsion de l'histoire américaine . Son gouvernement a alors entrepris une véritable offensive contre les quelque 11 millions d'immigrés sans papiers estimés aux États-Unis. Pour financer son plan, le Congrès américain a récemment alloué 45 milliards de dollars à la création de nouveaux centres de rétention . Le gouvernement veut porter d'ici la fin de l'année à 100 000 le nombre total de places dans les centres de rétention, soit plus du double du nombre de places en 2024. Le nombre de centres de rétention abritant des personnes arrêtées par la police de l'immigration a ainsi fortement augmenté, passant de 107 en janvier à 200 en juin, selon les données analysées par l'AFP. L'un d'entre eux, surnommé l'« Alcatraz des alligators » , a ouvert le 1er juillet au milieu des marécages de Floride. Donald Trump a également dit vouloir installer un centre de 30 000 lits sur la base militaire américaine de Guantanamo, à Cuba. Un objectif encore loin d'être atteint, les données montrant qu'en moyenne 22 personnes par jour y ont été détenues en juin. Les conditions de détention inquiètent : Human Rights Watch (HRW) a publié un rapport lundi sur des « pratiques abusives » dans trois centres de rétention de Floride. L'ONG y décrit des cellules surpeuplées, plongées dans un froid glacial, et des migrants qui dorment à même le sol sous des néons allumés en continu, privés d'hygiène de base. Les entreprises privées, mandatées par le gouvernement américain pour gérer ces centres, devraient tirer profit de cette expansion. Selon l'analyse de l'AFP, plus de quatre immigrés sur cinq ont été détenus dans l'un des 62 centres gérés par une entreprise privée en juin 2025. Parmi ces entreprises, les deux plus grosses, GEO Group et CoreCivic, toutes les deux cotées en Bourse, gèrent respectivement 25 et 17 centres. GEO Group, qui a annoncé un investissement de 70 millions de dollars en décembre 2024 pour développer ses activités, a signé deux nouveaux contrats avec ICE depuis janvier et a considérablement fait croître un troisième. Selon ses propres données, l'entreprise espère toucher 153 millions de dollars par an grâce à ces nouveaux contrats. À Wall Street, les actions de GEO Group et CoreCivic ont par ailleurs augmenté de 75 % et 69 %, respectivement, dans les jours qui ont suivi la réélection de Donald Trump et sont depuis restées à leur plus haut niveau depuis cinq ans. Selon les données de l'organisation OpenSecrets, les deux entreprises ainsi que certains de leurs dirigeants ont largement financé les campagnes électorales de républicains ainsi que celle de Donald Trump l'année dernière. Geo Group a fait don de plus de 3,6 millions de dollars à des républicains en 2024, dont un million de dollars à une organisation de soutien à la campagne de Donald Trump. La ministre de la Justice Pam Bondi était une lobbyiste du groupe jusqu'en 2019. CoreCivic de son côté a fait un don de 784 974 dollars en 2024, principalement à des républicains. Son patron, Damon Hininger, a également fait des contributions individuelles à la campagne de Donald Trump, comme d'autres responsables, selon les données de OpenSecrets.


Le Parisien
a day ago
- Le Parisien
« Liste de clients », documents classifiés : 5 minutes pour comprendre les « Epstein files »
Plus de 1000 victimes d'abus sexuels, 1,5 milliard de dollars de transactions suspectes, 10 000 photos et vidéos pédopornographiques… Le ministère américain de la Justice a rassemblé plus de 300 Go de documents sur l'affaire Epstein, et ils pourraient potentiellement éclaircir de nombreux mystères. Voici ce que l'on sait. Pendant sa campagne présidentielle, Donald Trump avait affirmé à plusieurs reprises qu'il « déclassifierait » le dossier Epstein s'il revenait au pouvoir, au même titre que les archives du 11 Septembre ou de l'assassinat de Kennedy. Mais depuis sa réélection, il s'est montré bien plus discret sur le sujet . Il a qualifié l'affaire de « canular » et de « non-sujet », allant jusqu'à affirmer que personne ne s'y intéressait. Cette volte-face agace jusque dans son propre camp, certains y voyant une promesse de campagne non tenue, voire une volonté de protéger certains individus… dont lui-même. Jeudi, le gouvernement américain a dépêché un haut responsable, ancien avocat de Donald Trump, pour interroger Ghislaine Maxwell . Condamnée à 20 ans de prison, elle aidait Epstein à recruter des jeunes filles pour des « massages » sexualisés qui étaient joyeusement prodigués aux amis du couple. Cette entrevue entre le numéro 2 du ministère de la Justice et une personne condamnée dans un dossier clos est hautement inhabituelle. Le chef des sénateurs démocrates Chuck Schumer a accusé le président de corruption et de conflit d'intérêt. Le fonctionnement du réseau criminel d'Epstein et ses clients, mais aussi l'origine de sa fortune. Plusieurs banques ont signalé plus de 1,5 milliard de dollars de transactions douteuses, parfois liées à des ventes d'œuvres d'art ou à des paiements à des femmes, rapporte le New York Times . Le millionnaire, qui possédait également deux îles privées et un jet, s'est suicidé en prison en 2019 et sa mort reste pour beaucoup un mystère. La justice américaine a publié une dizaine d'heures de vidéos des caméras de surveillance de la prison, mais 3 minutes sont manquantes. La ministre de la Justice a assuré lors d'une réunion à la Maison-Blanche que le système se réinitialisait chaque soir. Une liste avait déjà été publiée au début de l'année 2024, mais en plus d'énumérer les personnes impliquées dans le trafic sexuel d'Epstein, elle citait les noms de parents de victimes, de témoins ou de personnes mentionnées dans des conversations. Cette liste incluait par exemple Bill Clinton, Leonardo di Caprio ou encore Donald Trump , sans les accuser de quoi que ce soit… Le ministère de la Justice a affirmé dans une note publiée en juillet qu'une « liste de clients » n'existait pas. Le département de la Justice américain a indiqué dans une note qu'ils contiennent des vidéos, photos, témoignages de victimes mineures, ainsi que des données personnelles comme les noms, lieux de naissance ou employeurs de certaines jeunes filles. Le gouvernement estime que leur publication pourrait compromettre la sécurité et l'anonymat de ces nombreuses victimes , parfois âgées de moins de 15 ans au moment des faits. La justice américaine précise également qu'« aucune preuve crédible n'a été trouvée sur l'existence d'une liste de clients ou indiquant qu'Epstein faisait chanter des personnalités. » Le nom de Donald Trump figure à plusieurs reprises dans le dossier , tout comme les noms de Bill Clinton, du prince Andrew ou d'autres figures politiques connues. Cela ne signifie pas nécessairement qu'ils sont impliqués dans les crimes d'Epstein puisqu'ils faisaient partie de son cercle social, à différents degrés. Trump a lui-même reconnu avoir été « ami » avec Epstein, avant de s'en éloigner. Le 17 juillet, le Wall Street Journal avait également révélé que Trump avait envoyé une lettre à Epstein, en 2003, avant sa première condamnation en 2008. Le courrier comporterait plusieurs lignes de texte dactylographié et une silhouette de femme dessinée au marqueur. Deux petits arcs figurent les seins et la signature « Donald » semble dessiner, sous la taille, des poils pubiens. La lettre se terminerait ainsi : « Joyeux anniversaire - et que chaque jour soit un autre merveilleux secret. »