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Les Taïwanais se préparent à une invasion chinoise d'ici à 2027

Les Taïwanais se préparent à une invasion chinoise d'ici à 2027

24 Heures2 days ago
Alors que l'armée taïwanaise procède à des manœuvres inédites, les civils veulent, eux aussi, être prêts en cas de guerre. Reportage.
Suzanne Duroy de Suduiraut Publié aujourd'hui à 09h28
Du 9 au 18 juillet, l'armée taïwanaise s'entraîne pour la première fois de son histoire à repousser «une attaque possible de la Chine en 2027».
AFP
En bref:
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Enfants interdits! L'essor des lieux réservés aux adultes fait débat
Enfants interdits! L'essor des lieux réservés aux adultes fait débat

24 Heures

time2 hours ago

  • 24 Heures

Enfants interdits! L'essor des lieux réservés aux adultes fait débat

Des restaurants ou des hôtels restreignent l'accès des enfants. Une professeure met en garde contre la tendance à privatiser des espaces qu'il faudrait partager. Publié aujourd'hui à 06h54 La tendance «No Kids» est particulièrement développée en Corée du Sud, où des musées et bibliothèques appliquent également cette règle. Sous nos latitudes, on préfère en général dire que des lieux sont réservés aux adultes. AFP En bref: Réservé aux adultes. Alors que toujours plus de lieux affichent le label «Adults only», la question de l'exclusion des enfants des espaces publics devient pressante. Louis, quadragénaire, en a fait l'expérience lorsqu'il a réservé un hôtel avec spa, initialement prévu pour un séjour avec son fils de huit ans. «Nous avons bénéficié d'une offre spéciale», raconte le Jurassien. Mais entre l'achat et la réservation, l'établissement a opté pour une politique sans enfants – laissant son fils dans l'incapacité de profiter d'infrastructures comme la piscine. Finalement, c'est avec un ami que Louis a passé son week-end de détente. Recherche de calme et de luxe pour les clients, segmentation croissante du marché: le phénomène ne cesse de croître. Selon TF1, 1544 hôtels dans le monde affichaient ce label en 2023, contre 682 en 2016. Il s'est aussi étendu à d'autres secteurs, et même à certains parcs d'attractions. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. En mai, la haute-commissaire française à l'Enfance, Sarah El Haïry, s'est dit «effrayée» par cette évolution. Sylvain Wagnon, professeur à l'Université de Montpellier, juge dans «The Conversation» qu'il s'agit d'une forme de «ségrégation générationnelle», posant un dilemme face aux droits fondamentaux des mineurs . La Convention relative aux droits de l'enfant garantit en effet leur droit à participer pleinement à la vie culturelle, artistique et récréative. Annamaria Colombo, professeure à la Haute École de travail social de Fribourg, s'intéresse pour sa part à la façon dont les citoyens se partagent l'espace public. Et de ce point de vue également, elle juge la pratique inquiétante. Interview. Ce boom des lieux «Adults only» vous préoccupe-t-il? Dès que certaines citoyennes ou certains citoyens sont discriminés dans un lieu donné, on devrait être alertés. Cela pose des questions: sommes-nous capables de vivre ensemble et quelle société voulons-nous? Annamaria Colombo, professeure à la Haute École de travail social de Fribourg. Stemutz Certains chercheurs évoquent les droits fondamentaux des mineurs. Vous partagez cet avis? Je ne vais pas me prononcer sur le droit international, qui n'est pas ma spécialité. Par contre, une telle pratique me semble contraire à la définition même de l'espace public, censé être accessible à toutes et à tous. De telles restrictions permettent certes de préserver son confort individuel, de répondre à ses préférences, mais pas de s'ouvrir aux autres. Un hôtel, notamment, ce n'est pas un espace public. Le problème est que l'on va toujours plus loin dans cette logique de restriction. Le raisonnement sous-jacent est inquiétant. Il s'agit d'offrir des services exclusifs plutôt que de favoriser le vivre-ensemble. Il faut se méfier de cette tendance, car nous ne pouvons pas satisfaire les envies de tout le monde. Au final, ce sont les plus puissants qui fixent leurs règles. On le voit avec des restrictions basées sur le prix, et des endroits destinés uniquement aux plus riches. Un exemple concret: si vous partez pour un long vol, vous risquez de soupirer en découvrant un enfant assis à côté de vous. Un adulte qui ronfle ou qui éternue parce qu'il a des allergies peut aussi vous déranger. Pour vivre ensemble, nous devons faire des compromis, ce qui impose de renoncer à une partie de son confort. Si on édicte toujours plus de restrictions, cela revient à privatiser certains lieux. Au final, l'idée même de la démocratie est mise à mal. Ces lieux «Adults only» répondent à une demande. N'est-il pas légitime de vouloir parfois être au calme et, notamment, de ne pas être giclé au bord d'une piscine? Les enfants sont un peu dans leur monde et ne se rendent pas forcément compte des conséquences de leurs actes. Ils vous gicleront sans le vouloir, comme ils traverseront la route pour rattraper un ballon sans vérifier s'il y a des voitures. Il faut leur rappeler ces règles. Ce n'est pas le rôle des parents? Si, mais ils ne peuvent pas être toujours derrière leurs enfants. Les personnes qui veulent un confort absolu, répondant à la définition qu'elles en donnent, peuvent le trouver dans l'espace privé. Le risque est de fixer toujours plus de critères, dont certains peuvent aussi toucher les adultes. Faut-il se saisir du problème? Et comment? Il faudrait en tout cas se demander comment notre société considère les jeunes et les enfants. L'espace public est pensé par et pour les adultes. Il vise à leur offrir des biens et des services ainsi que des lieux de consommation. On peine à prendre l'avis des mineurs, et encore plus à répondre à leurs besoins. En fait, on ne les considère pas toujours comme des citoyens à part entière. Vous liez la problématique touristique à celle de l'espace public en général. Pourquoi est-ce si difficile d'avoir des lieux ouverts aux mineurs? Dès leur plus jeune âge, on apprend aux enfants que la rue est un espace dangereux où il faut faire attention – et cela encore plus quand il s'agit de filles. Quand ils deviennent adolescents, on leur reproche notamment de détourner du mobilier urbain, et par exemple de s'asseoir sur des marches d'escalier ou des tables qui ne sont pas destinées à cela. Du coup, les mineurs se replient vers des endroits exclusivement prévus pour eux, alors que l'espace public devrait être un lieu de socialisation pour toutes et tous. Notre société a-t-elle plus de mal à supporter les enfants que par le passé ou les mineurs sont-ils devenus plus turbulents? Certains mettent aussi la faute sur une éducation trop permissive… De tout temps, les adultes ont critiqué leurs cadets, qui ne se comportaient pas comme ils le voulaient. Ce n'est pas propre à notre société, ni à l'éducation actuelle. Je suis certaine que les enfants d'aujourd'hui ne sont pas plus bruyants que ceux d'hier. C'est vrai que nous sommes revenus d'une éducation basée sur la punition. On préfère fournir un cadre qui fasse sens, mais cela ne signifie pas qu'il n'y a plus d'autorité, ni que l'enfant est roi. Et pour ce qui est des adolescents, ils ont toujours testé les règles. Articles sur la place des enfants Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Caroline Zuercher est journaliste à la rubrique Suisse depuis 2005. Elle couvre en particulier les sujets liés à la santé et à la politique de santé. Auparavant, elle a travaillé pour Swissinfo et Le Matin. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

La France envisage d'instaurer un service militaire volontaire
La France envisage d'instaurer un service militaire volontaire

24 Heures

time2 days ago

  • 24 Heures

La France envisage d'instaurer un service militaire volontaire

Paris cherche à se doter d'une réserve conséquente pour «tenir dans la durée en cas de conflit». Publié aujourd'hui à 17h23 Des soldats du 3e Régiment de Parachutistes d'Infanterie de Marine transportent leur équipement de parachute emballé après un saut lors d'un exercice militaire. AFP/Lionel BONAVENTURE Donner une «masse supplémentaire» aux armées en cas de crise et «à la jeunesse l'occasion de servir»: la France envisage d'instaurer un service militaire volontaire face à l'aggravation des menaces pesant sur sa sécurité. Si les pays scandinaves ou les Baltes, voisins du géant russe, ont maintenu ou rétabli ces dernières années le service militaire obligatoire, la France a elle suspendu la conscription en 1997. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Mais face à une Europe «mise en danger» par la «menace durable» de la Russie, «il faut une nation capable de tenir, d'être mobilisée», a estimé dimanche le président français Emmanuel Macron. Cela passe par des «efforts sur notre réserve», mais il faut aussi selon lui «donner à la jeunesse un nouveau cadre pour servir, selon d'autres modalités, au sein de nos armées». «Je donnerai (…) mes décisions en ce sens à l'automne», a-t-il ajouté. «Un réservoir de personnes mobilisables» Selon la revue nationale stratégique, un document qui résume les ambitions de la France en matière de politique de défense et de sécurité publié lundi, «un service militaire volontaire rénové pourrait être créé pour proposer aux Français majeurs de recevoir une formation militaire socle pouvant déboucher sur un engagement». De fait, un service militaire volontaire (SMV), choisi par 1000 jeunes environ par an existe déjà depuis 2015. Mais il s'agit d'un dispositif de formation et d'insertion professionnelle avec un encadrement militaire. La mise en place d'un service militaire volontaire «rénové» viserait à «renforcer la cohésion nationale» et à «créer un réservoir de personnes mobilisables en cas de crise», postule la revue stratégique. «Un des enseignements de l'Ukraine, c'est que ce sont les armées qui gagnent les combats, mais ce sont les nations qui gagnent les guerres», rappelle le chef d'état-major de l'armée de Terre, le général Pierre Schill. A ce titre, il est donc nécessaire selon lui d'impliquer les citoyens dans la défense . Pour le général Schill, l'avenir est à une «armée mixte» mêlant professionnels, réservistes et volontaires faisant leur service. Les armées françaises comptent environ 200'000 militaires d'active et 47'000 réservistes, et doivent passer à respectivement 210'000 et 80'000 personnes en 2030. «Un des robinets de la réserve» La mobilisation sur la base du volontariat d'une partie d'une classe d'âge pourrait servir à répondre aux besoins d'«acquérir la masse» nécessaire pour tenir dans la durée en cas de conflit, selon le général Schill. Il voit également un éventuel service comme «un des robinets de la réserve» et à plus long terme comme un moyen pour l'armée de Terre de pouvoir continuer à recruter 15'000 militaires par an alors qu'avec l'évolution démographique, «en 2035 la classe d'âge à 20 ans aura décru de 100'000 personnes par rapport à aujourd'hui». Pour la sociologue Bénédicte Chéron, spécialiste du lien armée-Nation, les bénéfices attendus d'un service militaire volontaire ne vont pas de soi. «Si l'objectif, c'est la cohésion sociale et nationale, je pense qu'on fait fausse route. Un service militaire, même quand il mobilise massivement chaque classe d'âge, ne vient pas infléchir les grandes tendances sociales et politiques qui sont à l'œuvre dans une société», affirme-t-elle à l'AFP. Quant au fait qu'il fournirait un vivier pour le recrutement, c'est selon elle «une intuition» et cela pourrait au contraire conduire à un effet d'éviction. Les épineuses questions «Le principe du volontariat, même s'il est suscité, fait que les jeunes qui vont venir sont des jeunes qui sont déjà plutôt prédisposés à s'intéresser aux questions de sécurité et de défense», et qui pourraient considérer le service comme une «voie test» avant de décider ou non d'un engagement dans l'armée, explique-t-elle. Les contours de ce service et sa durée, tout comme son coût, ne sont pas fixés. Différents scénarios envisagent un volume de 10'000 ou de 50'000 personnes par an, selon plusieurs sources proches du dossier. Resteront enfin à trancher les épineuses questions d'infrastructures et d'encadrement. Les arbitrages rendus à l'automne concerneront aussi «l'avenir du SNU», le service national universel destiné aux mineurs de 15 à 17 ans, a par ailleurs indiqué dimanche Emmanuel Macron à propos de l'une de ses mesures emblématiques. Ce service civil, lancé en 2019 et dont les crédits ont été depuis rabotés, n'a jamais trouvé son rythme de croisière. Avec le SNU, «l'idée, c'était de susciter du volontariat, il l'a été laborieusement», juge Bénédicte Chéron, «et ce n'était que pour deux semaines» de stage de cohésion. La France se met en ordre de bataille Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

En France, une armée «prête au combat» défile pour le 14-Juillet
En France, une armée «prête au combat» défile pour le 14-Juillet

24 Heures

time2 days ago

  • 24 Heures

En France, une armée «prête au combat» défile pour le 14-Juillet

Tandis que l'Hexagone renforce son budget défense à 64 milliards d'euros d'ici 2027, le défilé du 14 juillet a offert un spectacle inédit. Publié aujourd'hui à 12h59 La Patrouille de France survole la pyramide du Louvre en formant les couleurs du drapeau français lors du défilé militaire de la fête nationale à Paris, le 14 juillet 2025. AFP Des militaires en treillis et casque lourd à bord de leurs blindés: le défilé du 14-Juillet à Paris a mis lundi en avant une armée «prête au combat», au lendemain de la promesse d'Emmanuel Macron d'accroître encore les dépenses de défense face «à un monde plus brutal». Organisé comme une «vraie opération militaire» selon le gouverneur militaire de Paris, le général Loïc Mizon, le défilé reflète cette année la gravité des menaces pesant sur la sécurité du continent. «Jamais depuis 1945 la liberté n'avait été si menacée», a affirmé dimanche le président français Emmanuel Macron devant un parterre de hauts grades, en évoquant notamment la «menace durable» que fait peser la Russie sur le continent. Le président Emmanuel Macron lors du défilé militaire du 14 juillet sur l'avenue des Champs-Élysées à Paris, 2025. AFP La revue nationale stratégique publiée lundi postule qu'«il est désormais clair que nous entrons dans une nouvelle ère, celle d'un risque particulièrement élevé d'une guerre majeure de haute intensité en dehors du territoire national en Europe». «Celle-ci impliquerait la France et ses alliés en particulier européens, à l'horizon 2030, et verrait notre territoire visé en même temps par des actions hybrides massives», précise le document. Armée renforcée En conséquence, malgré les efforts d'économie, la France compte renforcer son effort budgétaire pour la défense, en ajoutant des dépenses de 3,5 milliards d'euros en 2026 puis à nouveau 3 milliards supplémentaires l'année suivante, de sorte que le budget défense du pays aura quasi doublé en dix ans, pour atteindre près de 64 milliards d'euros en 2027. Une augmentation des dépenses militaires que 72% des Français semblent prêts à soutenir, selon un sondage Odoxa – Backbone pour Le Figaro publié lundi. Défilé militaire à Paris Lors du défilé sur la prestigieuse avenue parisienne des Champs-Elysées, l'armée française a voulu mettre en valeur sa «crédibilité opérationnelle» et sa «solidarité stratégique» avec ses partenaires. «L'armée de Terre défile en brigade bonne de guerre, c'est-à-dire prête au combat», a ainsi expliqué sur la radio RTL le général Mizon. Des soldats de la 7e brigade blindée ont défilé en tenue de combat à bord de chars Leclerc, de canons automoteurs Caesar ou de blindés de combat VBCI, équipés de leur casque lourd et gilet pare-balles. Les drones ou les systèmes anti-aériens SAMP/T ont également été en vue. Des membres de la Musique et de la Compagnie de Pionniers de la Légion étrangère défilent sur les Champs-Élysées avec l'Arc de Triomphe en arrière-plan lors du défilé du 14 juillet à Paris. AFP Paris se veut capable de déployer cette année si nécessaire une brigade – soit plus de 7000 hommes avec toutes les munitions et la logistique – en dix jours. En 2027, l'ambition est de faire de même pour une division (plus de 20 000 hommes) en 30 jours. Pour incarner les partenariats de la France ont défilé une compagnie belgo-luxembourgeoise, la force binationale franco-finlandaise, composant la force de réaction rapide de la Finul, la mission de l'ONU au Liban, ou encore l'équipage de la frégate Auvergne, qui a effectué plusieurs déploiements en Baltique et en Arctique afin de soutenir les opérations de l'Otan. Précédés de la Patrouille de France et du défilé aérien, plus de 450 militaires indonésiens, dont les musiciens d'un «drumband», en uniforme bigarré et la tête couverte d'un casque de pilote, d'une tête de tigre, d'aigle, de morse ou de requin suivant leur corps d'appartenance, avaient ouvert le défilé devant le président français Emmanuel Macron et son homologue indonésien Prabowo Subianto, ainsi que l'émir du Koweït Mechal al-Ahmad al-Sabah. Paris a conclu un partenariat stratégique avec Jakarta pour peser dans la zone indo-pacifique. Animations du 14-Juillet Des membres du service militaire volontaire (SMV) et du service militaire adapté (SMA) de Nouvelle-Calédonie, des dispositifs de formation et d'insertion dans l'emploi ont également été mis à l'honneur, alors qu'Emmanuel Macron dit vouloir donner «un nouveau cadre» pour que «la jeunesse ait l'occasion de servir». Auparavant, au pied de l'Arc de Triomphe, le chef de l'État avait remis au président du Comité de la flamme, à l'occasion de son centenaire, un glaive servant à raviver chaque soir la flamme du soldat inconnu, représentant les combattants français tombés au combat. Les animations du défilé ont également célébré le centenaire du Bleuet de France, institution créée en 1925 pour œuvrer à la solidarité avec le monde combattant en distribuant des bleuets en tissu. Armée française Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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