Après la découverte macabre d'une femme en France, le petit ami suisse mis hors de cause
Le corps d'une femme de 35 ans a été découvert la semaine passée à Barfleur. Le procureur a donné lundi des précisions au sujet de l'enquête. Publié aujourd'hui à 11h03
Le corps de la femme a été retrouvé le vendredi 18 juillet vers 9 h dans des rochers en contrebas d'un cimetière à Barfleur, en Normandie, au bord de la Manche.
AFP
En bref:
Plus d'informations ont été données en France après la découverte macabre le 18 juillet du corps d'une jeune femme dans des rochers en contrebas d'un cimetière à Barfleur, en Normandie, au bord de la Manche. Des détails au sujet de son petit ami – un Suisse – ont aussi été partagés.
Selon le quotidien « La Presse de la Manche », le procureur de la République de Cherbourg s'est exprimé lundi soir en réponse notamment à de fausses informations diffusées.
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«La victime est une ressortissante brésilienne âgée de 35 ans. Des investigations approfondies se poursuivent. L'autopsie n'a pu être réalisée à ce stade. De nombreux témoignages sont recueillis pour déterminer les circonstances exactes de la soirée et des causes de la mort de l'intéressée», a détaillé Pierre-Yves Marot. Un Suisse âgé de 35-40 ans
La femme occupait un gîte de la commune avec son compagnon, de nationalité suisse. Ils avaient été vus la veille ensemble du côté du port. «Mais contrairement à ce qui a pu être écrit par ailleurs, son compagnon n'est pas mis en cause, il n'était pas présent à proximité au moment du décès et a dû être pris en charge à la suite de l'annonce du décès de sa compagne», affirme le procureur. Il précise qu'il s'agit d'un homme de «35-40 ans».
La découverte avait eu lieu vendredi vers 9 h par une promeneuse. Le Suisse avait également été entendu par la police à deux reprises, le jour même, puis le lendemain, selon TF1 .
On apprend encore qu'un drone avait été mis à contribution à la mi-journée pour survoler la baie le long de la Manche à la recherche d'autres éléments. «Aucune hypothèse ou piste n'est privilégiée à ce stade», assure en outre Pierre-Yves Marot. L'enquête se poursuit pour en apprendre plus sur les circonstances du drame.
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