
Que mangent les coureurs pour le dîner ? On vous emmène dans la cuisine de Decathlon
Une camionnette garée sur le parking de l'hôtel. C'est là que chaque soir, Thierry Moyne, le chef, prépare le dîner de l'équipe Decathlon - AG2R La Mondiale. Les coureurs ont déjà avalé un peu plus tôt, après l'étape, une collation dans leur bus après plus de 4h45 de course, qu'il avait préparé la veille. Pendant qu'ils rentrent vers leur hôtel, puis qu'ils passent par la case massage, Thierry leur concocte une entrée, un plat et un dessert avec un enjeu : faire plaisir aux coureurs après une longue journée d'efforts tout en limitant les matières grasses. Il faut aussi varier les menus sur les 3 semaines de courses, même si les pâtes restent forcément très présentes. Nous l'avons suivi en cuisine.
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Tour de France : à quelle heure et sur quelle chaîne TV suivre la 12e étape entre Auch et Hautacam ?
Ça risque d'attaquer sévère ! Pour la première fois dans ce Tour de France, le peloton s'attaquera à de la haute montagne ce jeudi 17 juillet entre Auch et Hautacam (180,6 km). Après une portion plate pendant une centaine de kilomètres, les grimpeurs pourront se mettre en évidence dans la côte de Labatmale, classé en quatrième catégorie, avant un final en apothéose avec deux mythes de la Grande Boucle : le col du Soulor (11,8 km à 7,3 %), puis les pentes d'Hautacam (13,5 km à 7,8 %). Les favoris du général, Tadej Pogacar , Jonas Vingegaard ou encore Remco Evenepoel devraient commencer à s'expliquer dans les Pyrénées. La 12e étape entre Auch et Hautacam, ce jeudi 17 juillet, sera à suivre à partir de 12h55 sur les antennes de France Télévisions (France 2 et France 3) et Eurosport 1 ainsi qu'en direct commenté sur notre site .


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Remco Evenepoel profite du passage du Tour de France à Toulouse pour poser avec le maillot du TFC
Le coureur belge Remco Evenepoel a posé avec le maillot du Toulouse FC à l'arrivée de la 11e étape du Tour de France, de passage dans la Ville rose, ce mercredi. Du maillot blanc de meilleur jeune à la tunique violette du Toulouse FC. Ce mercredi, le coureur Remco Evenepoel a profité du passage du Tour de France dans la Ville rose pour enfiler la liquette toulousaine. Un beau coup de pub pour le club de Ligue 1, qui a disputé le premier match amical de sa préparation contre Pau, samedi dernier (1-1). Le TFC avait ainsi déjà exhibé son nouveau maillot. Mais la Soudal Quick-Step, formation du Belge, avait visiblement envie de marquer le coup, alors que la 11e étape de la Grande Boucle partait et arrivait à Toulouse. « On dirait que le Toulouse FC a signé un nouveau meneur de jeu pour la saison à venir », a blagué la formation sur X. Evenepoel est peut-être un peu rouillé, mais il ne ferait sûrement pas tache sur un terrain de football. Le sportif de 25 ans a porté le maillot de la sélection nationale belge à maintes reprises chez les jeunes.


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En attendant la carte des sites, le COJOP Alpes 2030 grossit avec l'arrivée de quatre directeurs
Quatre directeurs rejoignent le COJOP Alpes 2030 en attendant le double rendez-vous du 21 juillet avec le conseil d'administration et l'assemblée générale, où une partie de la carte des sites devrait être révélée. Il a probablement été question de la carte des sites, de la vision des Jeux d'hiver 2030 et peut-être même du futur comité des athlètes lors du bureau exécutif des Alpes 2030, qui s'est tenu mercredi en début d'après-midi à l'hôtel de Cassini, siège de la délégation interministérielle aux Jeux. Mais le communiqué du COJOP ne mentionne que les quatre nouvelles recrues qui viennent compléter « une équipe expérimentée et paritaire de 9 directeurs mobilisés autour du directeur général Cyril Linette pour avancer, dès la rentrée, sur les principales priorités du projet », dixit Edgar Grospiron, patron du COJOP Alpes 2030, cité dans le communiqué. Parmi les nouveaux entrants, deux ex-Paris 2024, Anne Murac, responsable de six sites des Jeux parisiens, prend la direction des opérations tandis que Mathilde Meurisse, directrice déléguée des opérations sportives, arrive à la direction des sports. La directrice de cabinet de Fabrice Pannekoucke, président de la région Auvergne-Rhône-Alpes, Blandine Vinagre-Rocca, est nommée directrice des affaires publiques. Quant à Elie Patrigeon, ancien directeur général du comité paralympique français et responsable du Club France pour les Jeux Paralympiques, il hérite de la direction héritage, impact et durabilité, succédant ainsi à Marie Barsacq, ministre des Sports et ancienne directrice impact et héritage de Paris 2024, la durabilité en plus. Trancher sur la présence de Val d'Isère La prochaine échéance est prévue lundi au siège du comité à Décines (Rhône), à proximité du Groupama Stadium, et elle est double puisqu'une assemblée générale se tiendra après le conseil d'administration. La carte des sites olympiques tant attendue ne sera pas révélée en intégralité, à trois jours du premier anniversaire de l'attribution des Jeux, le 24 juillet, par le CIO lors de sa session parisienne. L'idée est de présenter un « schéma préférentiel des sites », souligne une source proche du dossier. Et en particulier de trancher sur la présence de Val d'Isère qui devrait se traduire par l'éviction de Méribel, jusque-là associée à sa voisine Courchevel pour les épreuves de ski alpin. Thierry Monin, maire de la station de Méribel, a écrit plusieurs courriers au COJOP pour s'étonner de l'avoir appris par Michel Barnier, ancien Premier ministre missionné par le CIO et le Gouvernement pour faciliter les premiers mois du COJOP, et protester contre cette « aberration ». Des réunions sont encore prévues dans les jours qui viennent et le champion olympique 1992 des bosses devrait se rendre dans la station de Tarentaise, laquelle s'est vue proposer d'accueillir toutes les épreuves paralympiques. Le regroupement de ces dernières dans une seule station, au lieu de quatre clusters, ou plutôt trois après l'abandon du Briançonnais pour les athlètes paralympiques, permettrait d'économiser des dizaines de millions. Turin ou Heerenveen pour l'anneau de vitesse ? Reste aussi à trancher sur la localisation à l'étranger de l'anneau de vitesse en arbitrant entre les deux options sur la table, Turin en Italie et Heerenveen aux Pays-Bas. La carte des sites définitive ne devrait être connue qu'en octobre puisque le budget, auquel elle est irrémédiablement liée, ne sera connu qu'à ce moment-là. L'idée est toujours d'atteindre le budget idéal de 2 Mds € pour le comité d'organisation alors que les dernières prévisions s'établissent encore à 2,2 Mds €. Edgar Grospiron est aussi attendu lundi prochain sur sa vision des Jeux, alors qu'il a écrit dès le début du mois de juin dans un post sur LinkedIn qu'il avait déjà en tête « une vision très claire de ce que seront ces Jeux et de ce qu'ils peuvent accomplir ». Une philosophie en quelque sorte, guettée par les partenaires encore hésitant à rejoindre l'aventure, et qui pourrait aussi dévoiler les premières pistes pour les sports additionnels, au nombre de quatre selon les annonces d'Edgar Grospiron. Le président voudra-t-il « casser les codes » façon Tony Estanguet avec le breaking à Paris 2024, en s'affranchissant de la neige et de la glace pour choisir le cyclo-cross dont on parle beaucoup, ou le trail dont on parle moins ? À suivre.