
États-Unis: Les étrangers devront payer plus pour entrer dans les parcs nationaux
Publié aujourd'hui à 06h11 Mis à jour il y a 1 minute
Un volontaire du National Park Service accueille des visiteurs au Centre d'exploration dans la vallée de Yosemite, dans le parc national de Yosemite, en Californie, le 1ᵉʳ mars 2025.
AFP
Le président américain Donald Trump a annoncé jeudi une augmentation des tarifs d'entrée dans les parcs nationaux pour les touristes étrangers afin de rendre ces lieux «plus abordables» pour les Américains.
«Je viens de signer un décret pour augmenter les droits d'entrée pour les touristes étrangers tout en maintenant les prix bas pour les Américains», a lancé M. Trump dans l'Iowa, pendant un rassemblement pour lancer l'année de festivités précédant le 250e anniversaire des États-Unis le 4 juillet 2026. «Ce sera l'Amérique d'abord»
«Dans les parcs nationaux, ce sera l'Amérique d'abord», a-t-il ajouté, avant d'affirmer que les revenus générés serviront à améliorer les infrastructures du vaste réseau des parcs nationaux aux États-Unis.
Plusieurs organisations de défense de l'environnement se sont cependant alarmées des centaines de licenciements parmi le personnel des parcs nationaux depuis que Donald Trump est arrivé au pouvoir en janvier, s'inquiétant des conséquences alors que la haute saison de fréquentation estivale a commencé. Newsletter
«Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde.
Autres newsletters
AFP
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


24 Heures
2 hours ago
- 24 Heures
Climat et canicule: «Mon but, ce n'est pas de protéger l'environnement, c'est de protéger l'humanité»
Climat et canicule – «Mon but, ce n'est pas de protéger l'environnement, c'est de protéger l'humanité» À 64 ans, Martine Rebetez, professeure à l'Université de Neuchâtel et à l'Institut fédéral WSL. Après une semaine de canicule, on est allés lui parler réchauffement. Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : La sensibilisation au changement climatique progresse depuis la canicule de 2003. L'industrie pétrolière retarde activement les décisions de réduction des énergies fossiles. Les glaciers suisses disparaissent désormais à une vitesse particulièrement alarmante. Comment parlez-vous à vos proches du réchauffement climatique? En famille, le climat et les changements climatiques font partie du quotidien, parfois les enfants ont aussi assisté à mes conférences. J'ai le sentiment que pour les jeunes nés jusque dans les années 90, la canicule 2003 a marqué un cap, le changement climatique fait définitivement partie de leur vie. Vous avez une minute avec un enfant de 10 ans au sujet de l'avenir du climat: vous lui dites quoi? J'échange sur ce qu'il peut faire pour s'adapter et pour réduire les émissions. Ça m'est arrivé de parler devant des classes. Je leur demandais par exemple leurs idées de métiers pour le futur. Ensuite, on trouvait ce que, dans ce métier-là, il serait possible de faire face au changement climatique. La première édition de votre livre, «La Suisse se réchauffe», a 23 ans. À chaque fois qu'il y a un épisode, grosse chaleur, éboulement, fonte des pôles en accélération, recul des glaciers, on revient vous interroger: il ne s'est rien passé depuis? Je ne suis pas aussi négative. On a progressé en termes de prévention, d'adaptation, en particulier dans les villes, même dans les petites. On l'a peut-être oublié, mais avant 2003, la population chez nous ne savait souvent pas qu'il fallait s'hydrater suffisamment quand il faisait chaud. Des mesures basiques n'étaient pas connues. Mais la réduction des énergies fossiles, on n'y arrive pas vraiment. C'est bien là que le retard est le plus grave. La réduction de la consommation des énergies fossiles n'avance pas. Parce que la désinformation pétrolière marche à plein, et les sommes investies par les compagnies pétrolières sont tellement importantes que les décisions sont retardées en permanence, en Suisse comme ailleurs dans le monde. Cette désinformation marche encore? Elle évolue mais elle est toujours très présente. Longtemps ces milieux ont contesté la réalité de l'augmentation des températures et sa cause humaine. Vous trouviez régulièrement des personnes publiant des livres pour dire que ce que les climatologues racontaient était faux. Ce que communiquent désormais ces milieux pétroliers, c'est que certes, il faut agir, mais jamais comme on le propose. Ils sont extrêmement actifs auprès des gouvernements et avant les votations. Car le vrai niveau où on peut agir, c'est celui des structures, qui doivent être changées par la politique. Qu'est-ce que vous pensez de l'écoanxiété, du fait que ce n'est pas de la bonne communication d'annoncer la fin du monde? Venir critiquer en disant que c'est pour cette raison qu'on ne fait rien, ça ne tient pas debout. Ce que je vois, moi, comme écoanxiété, c'est surtout un sentiment d'impuissance. C'est cela qui peut rendre les gens malades. Et nous n'annonçons pas la fin du monde, au contraire. Ce n'est pas du tout le moment de baisser les bras. Tout est à faire. Il y a énormément d'emplois à créer dans le tournant énergétique par exemple. Mais faire croire que tout est perdu, c'est ce que l'industrie du pétrole, toujours elle, souhaite: c'est trop tard, ce n'est pas la peine de tenter quelque chose. Avant, les mêmes disaient: c'est trop tôt, il vaut mieux attendre d'être sûr. À quoi ressemblerait une Suisse climato-compatible en 2050? Ce serait une Suisse où tout le monde bénéficierait de plus de bien-être, parce qu'on aurait beaucoup moins de pollution, pollution de l'air, pollution par le bruit. Ce serait une Suisse basée sur les énergies renouvelables, sans gaspillage. La santé serait nettement meilleure. Aujourd'hui, techniquement, toutes les solutions sont disponibles, et moins chères que le pétrole. Et pourtant, la Suisse dépense encore, en moyenne, une douzaine de milliards de francs chaque année pour acheter des produits pétroliers ou du gaz à des pays étrangers dont elle reste dramatiquement dépendante. Vous êtes d'une nature plutôt optimiste? On peut encore le faire? Je suis pragmatique et pour l'action. Le constat est clair. Alors qu'est-ce qu'on fait? C'est sûr qu'il y a trente ans, on aurait eu de la marge et la capacité de faire mieux que ce qu'on a fait. Mais aujourd'hui, on a vraiment tous les moyens pour progresser très vite si on le choisit. Et même si le retard déjà pris va coûter cher en termes de catastrophes naturelles et de conditions climatiques qui vont nous rendre la vie difficile. Est-ce que les problématiques environnementales sont aujourd'hui mieux prises en compte dans les universités? Architectes et économistes travaillent-ils plus avec vous? En tout cas, à l'Université de Neuchâtel, cela se passe extrêmement bien. Avec mes collègues de sciences économiques, on travaille de manière interdisciplinaire. Nous avons mis en place des cours qui font intervenir les quatre facultés de notre campus. Il existe ainsi des filières déjà au bachelor et aussi en master où interviennent nos collègues des quatre facultés. Y a-t-il un moment où vous avez senti une sorte de basculement émotionnel, personnel, dans votre compréhension du phénomène du réchauffement? Quand j'étais étudiante, ma passion, c'était le climat, pas les changements climatiques. Je voulais analyser les composantes du climat. Mon projet, c'était de comprendre la relation entre le climat et la population. Mes premiers travaux portaient sur les dictons qui prévoient le temps. J'avais aussi déjà à cœur de transmettre les résultats au public. J'ai publié deux livres sur ce thème. Quel genre de dictons? Un des livres s'appelait «Les Saints de glace, Saint Médard et les autres», ce type de traditions de la culture populaire, dont je vérifiais la pertinence pour mieux les comprendre. C'étaient mes premiers travaux, mais j'ai aussi fait un travail statistique, en 1984, où j'ai utilisé des données météorologiques suisses. Et il apparaissait déjà clairement une tendance des températures à la hausse. Le signal est manifeste depuis le milieu des années 70. Il entrait en résonance avec ce qu'on savait alors sur la teneur en CO₂ de l'atmosphère, mais ça paraissait encore un peu court et aucun subside de recherche n'était disponible pour poursuivre. Votre regard sur les paysages suisses a changé? Ce qui me choque le plus, c'est de voir la vitesse à laquelle les glaciers disparaissent. Cela fait certes longtemps que je le sais et que je les vois reculer. Mais jusqu'au début des années 90, ça variait d'une année à l'autre. Ça ne reculait pas aussi vite ni si massivement. Alors que là, ça s'accélère à une allure à peine croyable. Je suis beaucoup en montagne, et de voir le glacier du Gorner depuis un sommet du Mont-Rose au-dessus de Zermatt, ça m'a encore frappée récemment. Aujourd'hui, il reste des parties de glaciers mais il n'y a plus cet énorme cirque glaciaire qui descendait toute la vallée. Est-ce qu'il y a un aspect positif, même contre-intuitif, au réchauffement climatique pour la Suisse? Jusqu'à un certain point, oui. Si vous regardez l'agriculture, on atteint maintenant un point de rupture. Mais jusqu'ici, il y a eu beaucoup d'avantages à bénéficier d'une saison de végétation plus longue, de températures plus élevées. J'ai parlé et travaillé ces dernières années avec le monde viticole de Neuchâtel, une région qui était un peu fraîche auparavant pour faire du vin. Un vigneron me racontait qu'encore dans les années 80, une année, il y avait eu tellement peu de sucre dans les baies qu'il avait attendu et vendangé en novembre, sous la neige. Mais désormais l'agriculture suisse souffre de plus en plus, surtout des sécheresses. C'est quelque chose qu'on ne connaissait pas hors du Valais. Est-ce que vous demeurez convaincue que l'humanité parviendra à s'adapter? Ou craignez-vous que cela se termine mal? Mon but premier, ce n'est pas de protéger l'environnement, c'est de protéger l'humanité. Je n'ai plus 20 ans, je n'imagine pas changer le monde. Je n'estime pas que j'en ai la responsabilité non plus. Est-ce que l'humanité va s'en sortir? C'est une question à poser aux ultrariches, qui font encore de l'argent avec le pétrole et pensent que leur fortune les protégera. Moi, je vais continuer à me battre. C'est mon travail et je vais le faire jusqu'au bout. Si vous demandez aux personnes avec qui je vais en montagne, on vous dira que je suis tenace et que je ne baisse pas les bras. Donc, les températures vont continuer d'augmenter et moi, je vais continuer à contribuer à améliorer les choses à ma mesure, et tant que je le pourrai. Cet article vous a plu? Découvrez davantage de contenus dans l'édition actuelle de l'e-paper «Le Matin Dimanche» et dans nos archives. Chaque dimanche matin, retrouvez également votre journal en caissettes près de chez vous. Vous pouvez aussi vous inscrire à notre newsletter. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Se connecter Christophe Passer, né à Fribourg, travaille au Matin Dimanche depuis 2014, après être passé notamment par le Nouveau Quotidien et L'Illustré. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
3 hours ago
- 24 Heures
«Nous perdons le contact avec les chiens»
Spécialiste suisse des chiens de protection de troupeaux et des loups, Jean-Marc Landry réagit à l'étude australienne qui démontre l'impact totalement sous-estimé des chiens sur l'environnement. Publié aujourd'hui à 08h21 Marchairuz, le 19 novembre 2021. Jean-Marc Landry, spécialiste du loup. Ici il relève les images des caméras placées sur le passage des meutes. 24heures/Odile Meylan En bref: Le chien est un loup pour l'homme? C'est surtout un loup qui a mieux réussi à évoluer que les autres en devenant un chien. À l'origine, le chien était un loup. Et aujourd'hui, il y en aurait 1 milliard sur la planète, contre 250'000 loups. Le chien a donc beaucoup mieux réussi son évolution. Il l'a tellement bien réussie que, quand il pose des problèmes, on hésite à en parler. C'est encore un sujet très sensible et largement tabou. Pourquoi ce silence? Je pense que nous perdons le contact avec les chiens. On ne sait plus comment ils fonctionnent, et on ne connaît plus leur langage. Quand j'étais gamin, il y avait des chiens dans les fermes, et nous apprenions comment nous comporter avec. Aujourd'hui, on les laisse manger à table et ils prennent parfois la place d'un enfant dans la famille. Malgré cela, on voit bien qu'il y a de plus en plus de gens qui ne maîtrisent pas leur chien. Les gens demandent de la liberté pour leur animal, mais ils ne le contrôlent plus. Et pourtant, on doit maîtriser son chien. C'est important pour sa sécurité comme pour celle des autres. Pourquoi? Parce qu'ils ont un impact sur la faune, qui est sous-estimé, et sur les humains. On le voit avec le nombre d'accidents, de morsures et même de morts, parfois. Pourtant, le sujet reste tabou, alors que nous avons un prédateur qui vit chez nous, à la maison, et qui dort parfois sur notre lit. Même quand un chien pose clairement problème, il est de plus en plus difficile pour un vétérinaire cantonal de le faire euthanasier. Que pensez-vous de leur impact chimique sur l'environnement? C'est un autre point très intéressant de l'étude. En Suisse, nous avons observé des effets similaires avec le bétail. On vermifuge tellement les animaux de rente que cela impacte considérablement les sols et les insectes. En Suisse, cet impact n'est pas mesuré, mais il y a eu une étude dans la région de Zurich qui a montré que certains parasites (Neospora caninum) passent du chien aux bovins, et qu'ils provoquent des avortements. C'est pour cela que les paysans ont fait campagne en demandant aux gens de ramasser les crottes de leurs chiens. Environnement, chiens et loups Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Jocelyn Rochat a travaillé pour le Nouveau Quotidien, le Journal de Genève, L'Hebdo et Télétop Matin. Il écrit désormais dans Le Matin Dimanche, la Tribune de Genève et 24 Heures. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
13 hours ago
- 24 Heures
États-Unis: Le Texas touché par des inondations meurtrières
Une trentaine d'enfants sont portés disparus ce samedi après des inondations meurtrières au Texas. Publié aujourd'hui à 22h26 Mis à jour il y a 1 minute Des personnes observent des équipes de secours et des bénévoles près de Camp Mystic, cherchant des filles portées disparues après des inondations à Hunt, au Texas, le 5 juillet 2025. AFP Les secours recherchent samedi une trentaine d'enfants portés disparus au Texas, dans le sud des États-Unis, au lendemain de violentes inondations qui ont fait au moins 27 morts selon un dernier bilan encore provisoire. Ces inondations ont été provoquées la veille, jour de la fête nationale américaine, par des pluies diluviennes dans le centre du Texas, qui ont repris dans la nuit mais avec une moindre intensité. «Nous avons retrouvé jusqu'à présent 27 personnes décédées», a déclaré le shérif du comté de Kerr, Larry Lethia, lors d'une conférence de presse, précisant qu'il s'agissait de 18 adultes et de neuf mineurs. Environ 860 personnes évacuées Environ 860 personnes ont été évacuées, dont huit souffrant de blessures, a-t-il ajouté. Parmi les quelque 750 enfants qui participaient à un camp d'été chrétien pour filles sur les rives du fleuve Guadalupe, 27 manquent à l'appel, a précisé le responsable administratif de la ville de Kerrville, Dalton Rice. Sur le site du camp, l'eau s'était largement retirée samedi, laissant un paysage de dévastation de dizaines de voitures échouées, certaines coincées dans des arbres, et de végétation arrachée, ont constaté des journalistes de l'AFP. Le désordre règne à l'intérieur des chalets qui abritaient les fillettes, le sol est recouvert de boue et les fenêtres brisées témoignent de la violence des flots. Michael, 40 ans, explique être venu en voiture d'Austin, la capitale de l'État à environ 150 km à l'est, vendredi matin, dès qu'il a appris la nouvelle par courrier électronique, pour chercher sa fille de 8 ans, dont il a retrouvé quelques affaires. Une «horrible tragédie» «Nous étions à Kerrville toute la journée d'hier dans les cellules de crise et ce matin quand nous avons entendu dire qu'il pourrait y avoir des gens ici, mon frère et moi sommes venus en camion aussi vite que possible pour voir si nous pouvions trouver quoi que ce soit», explique-t-il. Plusieurs équipes de secours quadrillent le secteur à la recherche des disparus. «Nous ne nous arrêterons pas tant que tout le monde n'aura pas été retrouvé», a insisté le shérif, affirmant disposer de «tous les moyens nécessaires». La ministre de la Sécurité intérieure Kristi Noem «sera bientôt sur place», a de son côté assuré le président américain Donald Trump sur son réseau Truth Social, déplorant une «horrible tragédie». Un tiers des précipitations annuelles moyennes Environ 500 secouristes et 14 hélicoptères ont été déployés, tandis que la Garde nationale du Texas et les garde-côtes ont envoyé des renforts. Selon les autorités, le niveau du fleuve Guadalupe est monté vendredi d'environ huit mètres en 45 minutes, au cours desquelles il est tombé «près de 300 millimètres/heure» de pluie, soit un tiers des précipitations annuelles moyennes. Les crues soudaines, provoquées par des pluies torrentielles que le sol asséché ne peut pas absorber, ne sont pas rares. Mais selon la communauté scientifique, le changement climatique provoqué par l'activité humaine a rendu plus fréquents et plus intenses les événements météorologiques comme les crues, les sécheresses et les canicules. Des pluies et des alertes aux inondations persistent «Le Texas fera tout pour garantir que chaque personne portée disparue soit retrouvée», a promis vendredi soir sur son compte X le gouverneur du Texas, Greg Abbott, annonçant avoir «signé une déclaration de catastrophe» pour débloquer tous les moyens nécessaires. Des pluies et des alertes aux inondations persistent dans la région, ont annoncé les services météorologiques dans un bulletin en début d'après-midi, faisant état de crues de plusieurs cours d'eau. Mi-juin, 13 personnes avaient péri en raison d'inondations à San Antonio, non loin de la zone touchée vendredi, à la suite de pluies diluviennes. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.