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MMA : la vidéo du violent KO infligé par le Français Morgan Charrière à son adversaire

MMA : la vidéo du violent KO infligé par le Français Morgan Charrière à son adversaire

Le Parisien2 days ago
Une pluie de coups aussi précis que violents ! Un déchaînement de crochets, du droit et du gauche, impossible à stopper. Quatre mois après sa défaite face à Nathaniel Wood,
Morgan Charrière
n'a pas manqué son retour sur le circuit de
MMA
.
Dans son style habituel, spectaculaire et efficace, le combattant français de 29 ans s'est imposé par KO face à l'Américain Nate Landwehr samedi lors de l'UFC Fight Night dans la Bridgestone Arena à Nashville.
Après deux premiers rounds équilibrés, Morgan Charrière a haussé l'intensité au 3e. « The Last Pirate » a bloqué son adversaire contre la cage et l'a assommé de coups jusqu'à l'inévitable KO.
« Il m'a donné deux rounds très durs, au 3e j'ai décidé d'envoyer, a expliqué l'intéressé après le combat. Et moi quand je connecte, je mets KO. Quand je l'ai connecté la première fois, je voyais qu'il était chancelant. Il n'arrivait pas à s'en sortir dans cette phase de striking donc j'ai insisté. »
Une victoire qui relance la carrière du Frenchie en moins de 66 kg (21V/11D/1N). Au passage il décroche son quatrième bonus en cinq combats.
« Je me sens vivant, présent dans l'instant,
nous confiait-il il y a quelques mois
à propos de ses combats. C'est une sensation de liberté, de flirter avec le danger. C'est une limite très fine que peu de gens peuvent connaître. C'est comme un pilote automobile qui va chercher la limite de ce que sa voiture peut faire ou un gymnaste qui tente une prouesse technique. Mes sens sont le plus aiguisés dans ces moments de guerre, et c'est là que je m'amuse le plus. » Le public aussi !
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time10 hours ago

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Ferrari et Toyota ont souffert dimanche lors des 6 Heures de São Paulo. Sur leurs cinq Hypercars, une seule a fini dans le top 10. Mais personne ne se montrait surpris par ces résultats au sein des équipes italienne et japonaise. Si la victoire de Cadillac dimanche à São Paulo, la première de l'équipe américaine en WEC, apporte un vent de fraîcheur bienvenu cette saison dans le Championnat après quatre succès consécutifs de Ferrari, elle a également provoqué une tempête de mécontents, principalement dans les camps Ferrari et Toyota. Si personne n'a officiellement mis en cause la BoP (Balance de Performance), elle était forcément dans les esprits des protagonistes au moment d'évoquer cette semaine sur le circuit brésilien. Difficile en effet d'imaginer une autre cause aux performances pour le moins catastrophiques des 499P et des GR010 : la première Hypercar italienne, la n°83, a fini 8e, la première japonaise, la n°7, a terminé 14e. « Malgré les conditions difficiles, évidentes dès les premiers essais libres, nous avons réussi à tirer le maximum dont disposaient nos voitures » Antonello Coletta, patron de l'endurance chez Ferrari « Nous savions que cette course serait difficile pour nous, cela s'est confirmé en piste, a ainsi reconnu James Calado, 11e dans la 499P n°51 avec Alessandro Pier Guidi et Antonio Giovinazzi, alors que le trio avait toujours fini sur le podium cette saison. Nous avons souffert avec la vitesse de pointe, et nous quittons le Brésil plutôt mécontents, même si nous restons en tête du Championnat. » « La course a été très dure pour nos voitures, confirmant nos attentes en commençant la semaine, a ajouté Ferdinando Cannizzo, responsable du programme endurance de Ferrari. Nous sommes arrivés au Brésil après quatre victoires méritées et nous avons essayé ici d'extraire le maximum de nos voitures. » Faute de performance en piste, on cherchait d'autres sources de satisfaction dans le clan italien. « Ce n'est pas un week-end positif, clairement, quand on regarde le résultat final, a admis Antonello Coletta, le patron de l'endurance. Mais je tiens avant tout à remercier toute l'équipe pour son engagement et son travail. Malgré les conditions difficiles, évidentes dès les premiers essais libres, nous avons réussi à tirer le maximum dont disposaient nos voitures. Cela confirme que notre équipe sait répondre aux défis qui lui sont proposés. » « Nous n'avions pas de vitesse de pointe dans la ligne droite, nous n'avons donc pu nous battre avec personne » Kamui Kobayashi, pilote de la Toyota n°7 Chez Toyota, on faisait à peu près la même soupe à la grimace, après le pire résultat global de l'équipe (14e et 15e) depuis ses débuts en Hypercar en 2021. « Je suis très déçu, ce n'est pas ce que nous espérions, a simplement lâché Kamui Kobayashi, pilote de la n°7 et Team Principal de l'écurie. Nous avons fait de notre mieux mais nous étions trop loin des meilleurs. Nous n'avions pas de vitesse de pointe dans la ligne droite, nous n'avons donc pu nous battre avec personne. Nous devons analyser ce résultat et travailler pour progresser. Je suis sûr qu'on reviendra plus forts à la prochaine course (Austin, le 7 septembre). » Un même sentiment d'impuissance envahissait ses coéquipiers. « C'est un résultat bien différent de l'an dernier (victoire de la n°8, 4e place pour la n°7), regrettait Nyck de Vries. Nous sommes donc évidemment mécontents après une telle course. Nous voulons nous battre aux avant-postes, mais c'était juste impossible. » « Nous avons optimisé notre package, nous pouvons donc être satisfaits de ça, mais pas du résultat, évidemment, reprenait Ryo Hirakawa. C'est un jour difficile pour tout le monde dans l'équipe. Et ce n'est pas notre première course difficile cette saison, j'espère que ça se passera mieux à Austin et Fuji. »

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Grand amateur de golf, le meneur des Golden State Warriors Stephen Curry a terminé cinquième, dimanche, de l'American Century Celebrity Golf Championship, un tournoi de golf entre célébrités qu'il avait remporté en 2023. Stephen Curry s'est contenté de la cinquième place de l'American Century Celebrity Golf Championship, tournoi de golf des célébrités. Grand amateur de golf, le meneur des Golden State Warriors - encouragé notamment par son coéquipier Jimmy Butler - a longtemps été en course pour le titre, mais a vu ses espoirs de victoire s'envoler au 18e trou sur un double bogey. Vainqueur du tournoi en 2023, édition où il avait notamment réalisé un fabuleux trou en un, Curry (37 ans) est le sportif en activité le mieux classé. D'autres joueurs NBA y participaient comme Austin Reaves (13e), le champion NBA 2025 Alex Caruso (17e) ou encore Kyle Lowry (38e). La famille Curry était également présente en nombre, le père Dell (27e) et le frère Seth (30e) ayant aussi participé. Le tournoi a été remporté par Joe Pavelski, ancien joueur de hockey en NHL.

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Selon toute évidence, Christian Mbilli défendra son titre WBC des super-moyens par intérim face au Guatémaltèque Lester Martinez, le 13 septembre à Las Vegas. Dans le combat vedette, le Mexicain Saul « Canelo » Alvarez, incontesté champion du monde de la catégorie, affrontera l'Américain Terence Crawford. Selon toute évidence, Christian Mbilli défendra son titre WBC des super-moyens (-76,203 kg) par intérim face au Guatémaltèque Lester Martinez, le 13 septembre à l'Allegiant Stadium de Las Vegas (États-Unis). Dans le combat vedette, le Mexicain Saul « Canelo » Alvarez, incontesté champion du monde de la catégorie, mettra en jeu ses titres WBA-WBC-WBO-IBF contre l'Américain Terence Crawford. Organisateur de la réunion avec l'Américain Dana White (président de l'UFC en MMA), le Saoudien Turki Alalshikh, plus important promoteur de boxe, a annoncé au mensuel américain The Ring (propriété de Riyadh Season, la société d'organisation saoudienne) les deux combats qu'il voulait présenter au même programme : Mbilli-Martinez et un duel de poids lourds américains, Jarrell Miller (36 ans, 26 victoires, 2 nuls, 1 défaite) contre Jared Anderson (25 ans, 18 v., 1 d.). « Nous sommes en négociations, nous confirme Mbilli, actuellement en vacances en France. La date du combat n'est pas trop proche. Un camp d'entraînement, c'est sept à huit semaines. » Combat avancé ? À l'issue de sa victoire en 2'28'' sur le Polonais Maciej Sulecki, le 27 juin à Québec, le Canadien Camille Estephan, promoteur du Français, avait pourtant annoncé qu'il ne remonterait pas sur un ring avant octobre ou novembre : « Son combat a été expéditif, avait-il expliqué, mais Christian était en camp d'entraînement depuis janvier à cause de deux autres combats qui n'ont pas eu lieu. Aussi a-t-il besoin de se reposer. » Mais Alalshikh, déçu par plusieurs de ses récents galas où les combats n'ont pas été spectaculaires, tient à présenter des boxeurs très offensifs. À la mi-juin, il révélait le nom de neuf hommes, dont Mbilli, qu'il voulait mettre au programme d'Alvarez-Crawford. Au lendemain de la victoire du Français sur Sulecki, Alalshikh informait qu'il espérait organiser Mbilli contre Martinez lors de sa réunion de novembre prochain à Riyad (Arabie Saoudite). Mais, finalement, il veut ce combat pour septembre. Si, comme c'est probable, le promoteur saoudien trouve un accord avec Camille Estephan, Mbilli (30 ans, 1,74 m, 29 victoires, dont 24 avant la limite, 0 défaite) va devoir interrompre ses vacances pour reprendre l'entraînement. En plus d'être assuré de toucher une bourse très confortable, le Français aura l'occasion de briller devant les médias du monde entier et des responsables des fédérations. Et de les pousser à obliger Alvarez (ou Crawford s'il détrône le Mexicain) à l'affronter, alors que « Canelo », à ce stade de sa carrière, choisit des adversaires ne présentant pas trop de risques (depuis 2023, quand Crawford était champion du monde des welters, soit -66,678 kg, l'Américain n'a disputé qu'un combat, battant difficilement l'Ouzbek Israil Madrimov en super-welters, -69,853 kg). Pourtant, Mbilli est challenger numéro un d'Alvarez depuis trois ans ! De son côté, le Guatémaltèque Martinez (29 ans, 1,80 m, 19 v., dont 16 avant la lim., 0 d.), challenger numéro 3 WBA, 7 WBC et 15 WBO, a disputé six de ses huit derniers combats aux États-Unis. Il devait remonter sur un ring samedi dernier à Fresno (Californie), face à un Français, Pierre-Hubert Dibombé, mais, le lundi précédent, il a déclaré forfait, disant souffrir de migraines. Sachant qu'il était bien placé pour affronter Mbilli, il a vraisemblablement préféré ne prendre aucun risque. Un combat dur ou une blessure l'aurait empêché de reboxer dès septembre.

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