
« Un effondrement complet de la Coalition Avenir Québec »
Le candidat péquiste Alex Boissonneault a remporté cette élection avec près de 46,3 % des suffrages contre 35,1 % pour le chef conservateur Éric Duhaime en seconde position.
La candidate libérale Chantale Marchand a obtenu près de 9,3 % du vote, le candidat de la CAQ Keven Brasseur 7,2 %, alors que la candidate Solidaire Pascale Fortin a obtenu à peine 1,5 % des suffrages exprimés.
Prenant toute la responsabilité de cette sévère défaite, le premier ministre, François Legault, a promis aux Québécois de redresser la barre et de regagner leur confiance au cours des prochains mois.
Est-ce qu'il peut renverser la tendance d'ici la prochaine élection ? Tout est possible... ça peut arriver. Mais en même temps, force est de constater qu'aujourd'hui le message de la CAQ, du gouvernement de François Legault ne passe plus !
Paul Arcand
Autres sujets abordés Encore de la chaleur et de l'humidité : partout sur la planète les températures explosent ;
Donald Trump va déployer la Garde nationale à Washington ;
La face cachée du tourisme en France ;
Incertitude chez Air Canada en raison d'un possible arrêt de travail ;
Jeffrey Epstein : pas question de rendre publics les documents ;
Le président de Gildan se fait construire un terrain de golf en cachette sur le bord du lac Memphrémagog ;
Les jeunes s'intéressent peu à la culture québécoise ;
Mardi 12 août, c'est la journée où j'achète un livre québécois.
Une collaboration La Presse et Cogeco Média
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5 hours ago
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L'incendie de forêt qui a ravagé une banlieue d'Halifax est maîtrisé
Un avion-citerne participe aux efforts des pompiers pour maîtriser un incendie en banlieue d'Halifax. L'incendie de forêt qui a ravagé une banlieue d'Halifax est maîtrisé (Halifax) Un incendie de forêt dans la banlieue ouest d'Halifax, qui avait entraîné des évacuations, est désormais maîtrisé, selon les autorités néo-écossaises. Lyndsay Armstrong La Presse Canadienne Cependant, la mise à jour, publiée mercredi à 21 h 15, indiquait que les pompiers resteraient sur les lieux toute la nuit. La municipalité régionale d'Halifax a indiqué que le ministère des Ressources naturelles de la Nouvelle-Écosse estimait que les flammes couvraient toujours environ 15 hectares près du lac Susies, à environ 10 kilomètres à l'ouest du centre-ville d'Halifax. L'incendie de Susies Lake s'est déclaré mardi après-midi à proximité d'entreprises et d'habitations du secteur de Bayers Lake. L'incendie a entraîné l'évacuation de trois entreprises du parc d'activités de Bayers Lake mercredi matin. Il a également contraint une quincaillerie et un restaurant à fermer la veille. Une consultation externe du secteur de Susies Lake est également restée fermée mercredi. La dernière mise à jour indiquait que l'évacuation obligatoire de tous les commerces situés sur la place publique, du côté ouest de Chain Lake Drive, restait en vigueur. Scott Tingley, du ministère des Ressources naturelles, a indiqué aux journalistes que le feu avait été allumé par un humain. Un foyer à ciel ouvert a été découvert sur les lieux de l'incendie, près du lac Susies, à environ 10 kilomètres à l'ouest du centre-ville d'Halifax. « Il n'y avait personne dans le secteur à l'arrivée des équipes, ce qui rend impossible de tenir les personnes responsables de leurs actes », a déclaré M. Tingley lors d'un point de presse. C'est frustrant pour tout le monde. » Les feux à ciel ouvert sont interdits en Nouvelle-Écosse et toute infraction est passible d'une amende de 25 000 $. La province a également interdit la randonnée, la pêche et l'utilisation de véhicules en forêt, ainsi que le camping en dehors des emplacements désignés. Toute personne surprise en infraction est passible de la même amende de 25 000 $. Douze personnes ont reçu des amendes depuis la semaine dernière, a déclaré le premier ministre Tim Houston aux journalistes. « J'espère sincèrement que chacun d'entre eux sera pleinement poursuivi et que les amendes seront intégralement recouvrées. La situation est tout simplement trop grave pour le moment », a-t-il ajouté. M. Tingley a affirmé qu'au cours des dernières 24 heures, les pompiers de la province ont répondu à 17 signalements d'incendies de forêt. Les pompiers ont pu maîtriser et éteindre « un certain nombre d'entre eux assez facilement », ce qui leur a permis de concentrer leurs ressources sur les incendies plus importants qui nécessitent une attention accrue, a ajouté M. Tingley. « Pourquoi ces incendies se déclarent-ils ? Le temps est sec, et malheureusement, des activités anormales se produisent », a-t-il expliqué. Le premier ministre Houston a indiqué qu'il n'y avait eu aucune perte humaine ni aucun dommage structurel grâce aux efforts des pompiers de la Nouvelle-Écosse. « Si nous n'avons pas encore eu de catastrophe, c'est principalement à cause de nos pompiers. Ils sont très sollicités en ce moment […] ils ont fait un travail remarquable », a-t-il souligné. M. Houston a souligné que la province était une véritable poudrière et a exhorté les Néo-Écossais à prendre au sérieux les restrictions relatives aux incendies de forêt. Je comprends que les gens aient envie de faire une randonnée ou de se promener en forêt avec leur chien. Mais aimeriez-vous rester coincé dans les bois alors qu'un incendie fait rage autour de vous ? Il a ajouté qu'aucune pluie significative n'était prévue et que, par conséquent, les prochaines semaines s'annoncent probablement difficiles.


La Presse
6 hours ago
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L'incendie de forêt qui a ravagé une banlieue d'Halifax était d'origine humaine
Un avion-citerne participe aux efforts des pompiers pour maîtriser un incendie en banlieue d'Halifax. L'incendie de forêt qui a ravagé une banlieue d'Halifax était d'origine humaine (Halifax) Le petit incendie de forêt incontrôlable qui s'est déclaré dans la banlieue ouest d'Halifax a été causé par l'activité humaine, a confirmé mercredi le gestionnaire de la protection des forêts de la Nouvelle-Écosse. Lyndsay Armstrong La Presse Canadienne Scott Tingley, du ministère des Ressources naturelles, a indiqué aux journalistes qu'un foyer à ciel ouvert avait été découvert sur les lieux de l'incendie, près du lac Susies, à environ 10 kilomètres à l'ouest du centre-ville d'Halifax. « Il n'y avait personne dans le secteur à l'arrivée des équipes, ce qui rend impossible de tenir les personnes responsables de leurs actes », a déclaré M. Tingley lors d'un point de presse. C'est frustrant pour tout le monde. » Les feux à ciel ouvert sont interdits en Nouvelle-Écosse et toute infraction est passible d'une amende de 25 000 $. La province a également interdit la randonnée, la pêche et l'utilisation de véhicules en forêt, ainsi que le camping en dehors des emplacements désignés. Toute personne surprise en infraction est passible de la même amende de 25 000 $. Douze personnes ont reçu des amendes depuis la semaine dernière, a déclaré le premier ministre Tim Houston aux journalistes. « J'espère sincèrement que chacun d'entre eux sera pleinement poursuivi et que les amendes seront intégralement recouvrées. La situation est tout simplement trop grave pour le moment », a-t-il ajouté. L'incendie de Susies Lake s'est déclaré mardi après-midi à proximité d'entreprises et d'habitations du secteur de Bayers Lake. L'incendie a entraîné l'évacuation de trois entreprises du parc d'activités de Bayers Lake mercredi matin. Il a également contraint une quincaillerie et un restaurant à fermer la veille. Une consultation externe du secteur de Susies Lake est également restée fermée mercredi. L'incendie mesurait entre 25 et 30 hectares mercredi matin, mais les pompiers ont réussi à le contenir à environ 15 hectares dans l'après-midi, a indiqué M. Tingley. « Il ne s'étend pas. Mais nous ne sommes pas encore prêts à affirmer qu'il est maîtrisé. » Les autorités ont indiqué qu'il y avait eu une brève période de brouillard favorable aux pompiers, avec l'aide d'avions-citernes pour continuer à lutter contre les flammes, mais que les températures devraient atteindre 27 °C plus tard dans la journée. M. Tingley a affirmé qu'au cours des dernières 24 heures, les pompiers de la province ont répondu à 17 signalements d'incendies de forêt. Les pompiers ont pu maîtriser et éteindre « un certain nombre d'entre eux assez facilement », ce qui leur a permis de concentrer leurs ressources sur les incendies plus importants qui nécessitent une attention accrue, a ajouté M. Tingley. « Pourquoi ces incendies se déclarent-ils ? Le temps est sec, et malheureusement, des activités anormales se produisent », a-t-il expliqué. Le premier ministre Houston a indiqué qu'il n'y avait eu aucune perte humaine ni aucun dommage structurel grâce aux efforts des pompiers de la Nouvelle-Écosse. « Si nous n'avons pas encore eu de catastrophe, c'est principalement à cause de nos pompiers. Ils sont très sollicités en ce moment […] ils ont fait un travail remarquable », a-t-il souligné. M. Houston a souligné que la province était une véritable poudrière et a exhorté les Néo-Écossais à prendre au sérieux les restrictions relatives aux incendies de forêt. Je comprends que les gens aient envie de faire une randonnée ou de se promener en forêt avec leur chien. Mais aimeriez-vous rester coincé dans les bois alors qu'un incendie fait rage autour de vous ? Il a ajouté qu'aucune pluie significative n'était prévue et que, par conséquent, les prochaines semaines s'annoncent probablement difficiles.


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9 hours ago
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Le Pub Burgundy Lion épinglé par l'OQLF
C'est à la suite d'une visite d'une agente de l'OQLF que Toby Lyle a reçu un avis lui demandant de réaliser plusieurs changements, dont la modification de l'enseigne de son restaurant. L'Office québécois de la langue française (OQLF) a demandé au propriétaire du Pub Burgundy Lion d'ajouter « des éléments en français » à l'enseigne de son restaurant, sous prétexte que le mot « Burgundy » n'est pas français. « L'affichage sur la façade du restaurant Pub Burgundy Lion n'est pas conforme : Burgundy n'est pas attesté dans la langue française, même s'il fait référence, ici, au quartier Little Burgundy. Des corrections sont à apporter », est-il indiqué dans le courriel envoyé par l'Office québécois de la langue française (OQLF) à Toby Lyle, le propriétaire du restaurant, que La Presse a pu consulter. PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, COLLABORATION SPÉCIALE Le propriétaire du Pub Burgundy Lion, Toby Lyle C'est à la suite d'une visite d'une agente de l'OQLF que Toby Lyle a reçu le 10 juillet dernier cet avis lui demandant de réaliser plusieurs changements, dont la modification de l'enseigne de son restaurant, mise en place en 2008. Quelques jours plus tard, il a répondu à l'OQLF qu'il refusait de se plier à cette demande. « C'est que ce n'est pas juste un mot anglais, c'est le nom historique du quartier », explique-t-il en entrevue avec La Presse. Selon lui, « Little Burgundy » est devenu d'usage courant dans les années 1960 et 1970 – le quartier étant le berceau de la communauté noire anglophone à Montréal depuis la fin du XIXe siècle –, et il est encore aujourd'hui couramment utilisé par la population locale. « Pour ces raisons, nous n'apporterons pas de modifications à notre enseigne. Nous estimons qu'en faire ainsi serait un manque de respect envers le quartier qui nous a accueillis et que nous nous efforçons de soutenir depuis notre ouverture en 2008 », a-t-il écrit dans sa réponse envoyée à l'OQLF. Mais mardi, l'OQLF est revenu à la charge. Faute de correction, l'organisme demande à Toby Lyle d'élaborer un programme de francisation auquel il devra se soumettre d'ici le 12 novembre 2025. « Je trouve ça vraiment bizarre qu'on nous dise qu'il y ait un problème alors que ça fait 17 ans qu'on a cette enseigne », soupire Toby Lyle. Il affirme avoir déjà eu des visites de l'OQLF au préalable, mais jamais l'enseigne ne lui avait été mentionnée. J'espère vraiment qu'ils vont changer d'avis et accepter qu'on garde notre enseigne. Toby Lyle, propriétaire du Pub Burgundy Lion Interrogé à ce sujet par La Presse, le porte-parole de l'OQLF, Gilles Payer, a confirmé qu'une visite du restaurant avait bel et bien eu lieu. Il a cependant affirmé que « l'analyse du dossier est toujours en cours, et [qu']il n'y a eu aucune décision finale sur la conformité de l'affichage de la part de l'Office dans ce dossier ». « L'Office poursuit l'analyse du dossier ainsi que l'accompagnement de l'entreprise dans sa démarche de francisation », a-t-il ajouté.