
Wall Street termine en hausse, nouveau record du Nasdaq
L'indice Nasdaq, qui concentre les valeurs technologiques, a gagné 0,25% et a encore atteint un nouveau record, à 20.730,49 points. L'indice élargi S&P 500 a progressé de 0,32% et le Dow Jones, de 0,53%.

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Le Figaro
8 hours ago
- Le Figaro
Les Bourses en Asie partagées entre espoir commercial et prudence monétaire
Les Bourses asiatiques évoluent de manière contrastée lundi, portées par l'annonce d'un accord commercial entre l'Union européenne et les États-Unis, mais freinées par l'attente des réunions cruciales de la Réserve fédérale américaine et de la Banque du Japon cette semaine. À 02H00 GMT à la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei reculait de 0,71% à 41.160 points, et l'indice élargi Topix de 0,36% à 2.941 points. La Bourse de Sydney gagnait 0,25%, Taïpei 0,37% et l'indice hongkongais Hang Seng 0,51% vers 02H00 GMT. Séoul évoluait légèrement dans le rouge (-0,15%). Les marchés asiatiques débutent la semaine dans l'attente, après la signature d'un accord commercial entre les États-Unis et l'Union européenne, prévoyant que les produits européens exportés aux États-Unis seront taxés à 15%, évitant une escalade commerciale. Publicité «Après le Japon, l'accord avec l'UE alimente l'espoir de progrès dans les discussions avec d'autres grandes puissances économiques, ce qui constitue un facteur de soutien pour les cours», notent les experts de Tokai Tokyo Intelligence. Les investisseurs asiatiques restaient néanmoins prudents en amont d'une semaine clé sur le plan monétaire, avec les réunions de la Réserve fédérale américaine (Fed) mardi et mercredi et de la Banque du Japon (BoJ) jeudi. La BoJ est attendue inchangée, mais son ton et ses projections économiques pourraient préparer le terrain à un nouveau resserrement d'ici l'automne. Yen volatil sur fond d'incertitude politique La monnaie japonaise prenait 0,13% à 147,88 yens pour un dollar vers 02H00 GMT, dans un marché volatil suspendu aux incertitudes politiques à Tokyo, où les rumeurs s'intensifient sur une possible démission du Premier ministre. Shigeru Ishiba a réaffirmé son intention de rester en poste, malgré la contestation grandissante au sein du Parti libéral-démocrate (PLD) à la suite de la défaite électorale du 20 juillet, alors qu'une réunion du parti est prévue ce lundi après-midi. «La légère dépréciation du yen et la hausse de Wall Street soutiennent le marché, mais les investisseurs resteront attentifs aux signaux politiques autour d'Ishiba, dont le sort pourrait se clarifier aujourd'hui», estime le courtier Monex Securities. Les derniers sondages confirment que le taux de soutien au gouvernement Ishiba reste bas: 29%, selon les enquêtes publiées dimanche par les quotidiens Mainichi et Asahi. Selon l'Asahi, 41% des personnes interrogées pensent que Shigeru Ishiba devrait démissionner, tandis que 49% estiment que ce n'est pas nécessaire. Les semi-conducteurs en berne Le secteur des semi-conducteurs plongeait à Tokyo, à l'image d'Advantest (-7,74%), Tokyo Electron (-2,77%) et Disco Corp (-2,10%), vers 02H00 GMT, dans un climat d'attentisme des investisseurs avant les résultats à venir des géants américains du secteur. Dans le cadre de l'accord commercial avec les États-Unis, le Japon prévoit jusqu'à 550 milliards de dollars d'investissements pour soutenir des projets stratégiques aux États-Unis, notamment dans les semi-conducteurs. «Nous, le Japon, les États-Unis et d'autres pays partageant les mêmes valeurs, cherchons ensemble à construire des chaînes d'approvisionnement dans des secteurs essentiels pour la sécurité économique», a déclaré samedi le négociateur nippon, Ryosei Akazawa, à la chaîne publique nippone NHK. Dans ce cadre, il a précisé que les projets éligibles à un financement ne se limitaient pas aux entreprises américaines ou japonaises. Publicité Pétrole ferme Le marché pétrolier progressait vers 02H00 GMT: le baril de WTI nord-américain gagnait 0,43% à 65,44 dollars, et celui de Brent de la mer du Nord de 0,47% à 68,76 dollars.


Le Figaro
8 hours ago
- Le Figaro
Elon Musk confirme un accord entre Samsung et Tesla pour la fourniture de puces
Le PDG de Tesla, Elon Musk, a confirmé lundi que l'usine texane de Samsung Electronics fournira des puces à son entreprise, après l'annonce par la société coréenne d'un accord de 16,5 milliards de dollars américains. «La nouvelle usine géante de Samsung au Texas sera dédiée à la fabrication de la puce AI6 de nouvelle génération de Tesla. L'importance stratégique de cette décision est difficile à surestimer», a-t-il écrit sur le réseau social X, dont il est également le propriétaire. Samsung a annoncé lundi avoir conclu un accord de huit ans, sans nommer le client, le décrivant uniquement comme une «grande entreprise mondiale», dans un document réglementaire. Dans le cadre de cet accord de 16,5 milliards de dollars (un peu plus de 14 millions d'euros), le partenariat, qui a pris effet le 24 juillet, se poursuivra jusqu'à fin 2033. «Je m'engagerai personnellement à accélérer le rythme des progrès. Et l'usine est idéalement située, non loin de chez moi», a souligné Elon Musk dans une seconde publication. Publicité Le géant sud-coréen avait annoncé au début du mois s'attendre à une chute de 56% sur un an de son bénéfice d'exploitation au deuxième trimestre, en raison des restrictions à l'exportation vers la Chine des composants avancés imposées par les États-Unis. Malgré plus d'un an d'efforts pour rattraper l'écart avec son rival sud-coréen des puces électroniques SK Hynix, Samsung a rencontré des difficultés à fournir d'importants volumes de puces mémoires à large bande passante (HBM), nécessaires à l'intelligence artificielle (IA). Le groupe s'est ainsi davantage tourné vers le marché chinois, mais celui-ci est désormais sous pression après que Washington a imposé des restrictions concernant ce secteur, qui empêchent les entreprises américaines d'y exporter leurs puces.


Le Figaro
8 hours ago
- Le Figaro
Menace de grève dans les usines qui fabriquent les avions de combat de Boeing
Les membres d'un syndicat d'ouvriers qui assemblent les avions de chasse de Boeing dans le Missouri et l'Illinois ont rejeté dimanche la proposition de nouveau contrat d'entreprise de l'avionneur américain, ouvrant la voie à une possible grève. «Les membres du syndicat IAM ont envoyé un message clair: la proposition de Boeing Defense ne répond pas aux priorités ni aux sacrifices consentis par cette main-d'œuvre qualifiée», a déclaré IAM (International Association of Machinists and Aerospace Workers) dans un communiqué dimanche. Le syndicat précise que le contrat d'entreprise actuel expire à minuit dimanche soir. Si aucun accord n'est trouvé dans les sept jours, la section 837 d'IAM pourrait déclencher une grève. «Nous sommes déçus que nos employés aient rejeté la proposition de contrat la plus généreuse que nous ayons jamais présentée à l'IAM 837, et qui répondait à toutes leurs priorités exprimées», a réagi Dan Gillian, vice-président de Boeing Air Dominance et patron du site de St. Louis. Publicité Dans une déclaration communiquée à l'AFP, il a précisé qu'aucune discussion n'était prévue avec le syndicat, et que l'entreprise se concentrait désormais sur les «préparatifs en vue d'une grève». La proposition de Boeing comprenait notamment une hausse des salaires de 20% sur quatre ans et plus de congés. L'écrasante majorité des 3.200 membres du syndicat travaillant sur les sites de Boeing à St. Louis, St. Charles (Missouri) et Mascoutah (Illinois) ont considéré qu'elle ne répondait pas à leurs besoins et ne leur garantissait pas un avenir sécurisé, d'après le syndicat. En mars, le président américain Donald Trump a annoncé un nouveau contrat avec Boeing pour une nouvelle génération d'avions de combat, baptisée F-47, qui doit remplacer les F-22, en service depuis une vingtaine d'années. L'annonce tombait bien pour Boeing, qui traverse une crise profonde depuis l'an dernier en raison de problèmes de qualité de sa production et d'une grève de plus de cinquante jours qui a paralysé ses deux principales usines. IAM représente environ 600.000 membres actifs et retraités dans les secteurs de l'aérospatiale, la défense, les compagnies aériennes, la construction navale, les chemins de fer, les transports, la santé, l'automobile et d'autres industries aux États-Unis et au Canada.