
Wall Street termine en hausse, nouveau record du Nasdaq
L'indice Nasdaq, qui concentre les valeurs technologiques, a gagné 0,25% et a encore atteint un nouveau record, à 20.730,49 points. L'indice élargi S&P 500 a progressé de 0,32% et le Dow Jones, de 0,53%.

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Le Figaro
an hour ago
- Le Figaro
La BCE vers une pause estivale sur les taux, à l'affût des surtaxes américaines
La Banque centrale européenne (BCE) devrait maintenir ses taux d'intérêt inchangés jeudi et prendre le temps d'évaluer les développements de l'imprévisible offensive commerciale de Donald Trump qui menace les exportations européennes de surtaxes massives. Un statu quo monétaire mettrait fin à une série de baisses de taux, depuis septembre dernier, lorsque la BCE avait décidé de diminuer progressivement le coût du crédit pour accompagner le recul de l'inflation. Le rythme de la hausse des prix à la consommation s'est stabilisé autour de l'objectif de 2% fixé par la banque centrale, après avoir atteint des niveaux record dans le sillage de la pandémie de Covid-19 et de l'invasion à grande échelle de l'Ukraine par la Russie. Mais ces conditions monétaires plus favorables semblent fragiles, alors que Donald Trump menace d'assommer les exportations européennes vers les États-Unis de droits de douane punitifs de 30% à partir du 1er août. Comme Washington et la Commission européenne, qui négocie au nom des Vingt-Sept, sont toujours en pourparlers sur un éventuel accord commercial, les responsables de la BCE souhaitent «plus de clarté... avant d'envisager tout nouvel ajustement de la politique monétaire», selon les analystes d'UniCredit. Publicité «Garder des cartouches en réserve» au cas où Une pause permettrait aux décideurs politiques de voir pendant l'été si Trump met sa menace à exécution. Le renforcement des barrières commerciales risque de porter un nouveau coup à l'économie de la zone euro et d'inciter la BCE à envisager de nouvelles baisses de taux. Après sept baisses consécutives et huit au total depuis juin dernier, la BCE a ramené son taux de dépôt, qui fait référence à 2%, contre un pic de 4% atteint en pleine vague inflationniste. «Ni les données économiques ni les dernières données sur la dynamique des prix n'exigent une réaction immédiate» de l'institution de Francfort, selon Dirk Schumacher, économiste en chef de la banque publique allemande KfW. L'inflation dans la zone euro s'est établie à exactement 2% en juin et les indicateurs économiques, notamment la hausse de la production industrielle, ont donné un regain d'optimisme quant à la santé de l'économie. La BCE souhaiterait également «garder des cartouches en réserve en cas d'urgence» si Donald Trump venait à appliquer des droits de douane massifs, commente Felix Schmidt, analyste chez Berenberg. L'influent directeur de la banque centrale allemande, Joachim Nagel, a clairement plaidé pour le statu quo en vue de «réévaluer» la situation lors de la réunion de septembre. Les produits européens plus chers à l'étranger Outre une nouvelle escalade du conflit commercial, le renforcement de l'euro par rapport au dollar pourrait également inciter les gardiens de l'euro à reprendre après l'été l'assouplissement de la politique monétaire La monnaie commune s'est sensiblement appréciée entre avril, lorsque Donald Trump a lancé la guerre commerciale, et fin juin, passant de 1,08 à 1,18 dollar pour un euro. Pour les exportations, un euro fort rend les produits européens plus chers à l'étranger, donc moins compétitifs à la vente. À l'inverse, cela fait baisser le coût des importations, notamment d'énergie, freinant encore davantage l'inflation. La BCE prévoit déjà que l'indicateur baissera à 1,6% en 2026 avant de revenir à son objectif en 2027. Les marchés seront attentifs aux éventuels commentaires de la présidente de la BCE, Christine Lagarde, à Francfort à 14h45 (12h45 GMT), sur le cap de la politique monétaire. Christine Lagarde avait prévenu en juin que la BCE était arrivée «à la fin d'un cycle de politique monétaire », après avoir dû contrer les chocs successifs du Covid-19, de la guerre en Ukraine et de la crise énergétique, qui avaient alimenté la forte poussée inflationniste.


Le Figaro
9 hours ago
- Le Figaro
Les ventes de Mattel baissent au deuxième trimestre, miné par les poupées Barbie
Le spécialiste américain du jouet Mattel a affiché mercredi un chiffre d'affaires en baisse et en deçà des attentes, plombé notamment par sa franchise Barbie dont les ventes ont reculé de près d'un tiers en Amérique du Nord. Le chiffre d'affaires du groupe a reculé d'environ 6% sur un an, à 1,02 milliard de dollars, soit moins que les 1,05 milliard attendus par le consensus des analystes de Factset. Les revenus de l'entreprise d'El Segundo, en Californie, ont été minés par une baisse des ventes de ses poupées (-19%), et notamment des célèbres Barbie (-25%). Ce recul est particulièrement visible en Amérique du Nord, où les ventes de Barbie ont été amputées de près d'un tiers (-34%). Le groupe a toutefois vu les ventes de ses petites voitures augmenter légèrement (+5%), dont celles de la marque Hot Wheels (+2%). Publicité Prévisions 2025 ont été revues à la baisse D'avril à juin, le bénéfice net a atteint 53,4 millions de dollars, en recul de 6% sur un an. C'est toutefois plus les attentes des analystes, qui tablaient sur 49 millions de dollars. Rapporté par action et hors éléments exceptionnels, donnée de référence pour les marchés, il s'établit à 0,16 dollar, soit ce qui était anticipé par le marché. Mattel a par ailleurs remis en place ses prévisions annuelles après les avoir suspendues au premier trimestre en raison de la guerre commerciale lancée tous azimuts par Donald Trump sur les partenaires commerciaux des États-Unis, notamment la Chine. «Peut-être que les enfants auront deux poupées au lieu de 30, et peut-être que les deux poupées coûteront quelques dollars de plus», avait alors déclaré Donald Trump. Les prévisions 2025 ont été revues à la baisse: Mattel prévoit désormais une augmentation de son chiffre d'affaires de l'ordre de 1% à 3% contre 2% à 3% lors des résultats du 4T en 2024. Dans les échanges électroniques après la fermeture de la Bourse de New York, l'action Mattel perdait 3,22% à 19,55 dollars.


Le Figaro
10 hours ago
- Le Figaro
Baisse de 16% du bénéfice net de Tesla au deuxième trimestre liée au repli des ventes de véhicules
Entre avril et juin, le groupe a engrangé un chiffre d'affaires de 22,50 milliards de dollars (-12% sur un an) et un bénéfice net de 1,17 milliard, inférieur aux attentes du consensus des analystes de FactSet (1,40 milliard). Le spécialiste des véhicules électriques Tesla a annoncé mercredi une baisse de 16% de son bénéfice net au deuxième trimestre, affecté par un repli des ventes de véhicules dans un contexte de concurrence accrue et de conséquences de l'implication de son patron Elon Musk dans la sphère politique américaine. Entre avril et juin, le groupe a engrangé un chiffre d'affaires de 22,50 milliards de dollars (-12% sur un an) et un bénéfice net de 1,17 milliard, inférieur aux attentes du consensus des analystes de FactSet (1,40 milliard).