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Wall Street termine en hausse, nouveau record du Nasdaq

Wall Street termine en hausse, nouveau record du Nasdaq

Le Figaro7 days ago
La Bourse de New York a fait le yo-yo mercredi, avant de terminer en hausse, le marché se montrant résistant malgré les menaces de Trump envers le patron de la Fed, digérant dans le même temps un nouvel indicateur d'inflation.
L'indice Nasdaq, qui concentre les valeurs technologiques, a gagné 0,25% et a encore atteint un nouveau record, à 20.730,49 points. L'indice élargi S&P 500 a progressé de 0,32% et le Dow Jones, de 0,53%.
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Equinor déprécie de 955 millions de dollars un grand projet éolien au large de New York
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Le Figaro

time7 hours ago

  • Le Figaro

Equinor déprécie de 955 millions de dollars un grand projet éolien au large de New York

Le géant norvégien de l'énergie Equinor a annoncé mercredi qu'il dépréciait de 955 millions de dollars un grand projet éolien au large de New York, Empire Wind, un temps bloqué par l'administration Trump en début d'année. Le ministre américain de l'Intérieur Doug Burgum avait annoncé à la mi-avril avoir ordonné l'arrêt «immédiat» et jusqu'à nouvel examen des travaux de construction de la première phase d'Empire Wind, un ensemble de 54 turbines susceptibles d'alimenter 500.000 foyers à Brooklyn. Il affirmait que ses prédécesseurs de l'administration Biden n'avaient pas effectué «d'analyse suffisante» sur le projet d'un coût évalué à 2,5 milliards de dollars. Le ministre norvégien des Finances, l'ex-chef de l'Otan Jens Stoltenberg, avait notamment soulevé la question avec Kevin Hasset, le principal conseiller économique de Donald Trump, lors d'une visite officielle aux États-Unis. Les autorités américaines étaient finalement revenues en mai sur leur décision de bloquer le projet. «Nous continuons de faire progresser notre portefeuille dans les énergies renouvelables, et le projet Empire Wind 1 est de nouveau en phase d'exécution», a déclaré mercredi le directeur général d'Equinor, Anders Opedal, cité dans un communiqué. Mais il a aussi fait état d'une dépréciation de 955 millions de dollars «due à des changements réglementaires» affectant les synergies des futurs projets éoliens en mer et à «une exposition accrue aux droits de douane». Publicité Sur ce montant, 763 millions concernent le projet Empire Wind 1 et le terminal de South Brooklyn Marine, le reste étant lié au bail d'Empire Wind 2, la deuxième phase du projet. Cette dépréciation a pesé sur les résultats du deuxième trimestre: le groupe a accusé une baisse de 29% de son bénéfice net sur un an, à 1,3 milliard de dollars. Indicateur préféré d'Equinor, le résultat d'exploitation ajusté, qui gomme certains éléments exceptionnels, ressort à 6,5 milliards de dollars contre près de 7,5 milliards à la même période de l'an dernier. Les performances ont aussi été affectées par le recul du prix du pétrole qui n'a pas suffi à compenser la hausse des prix du gaz naturel et l'augmentation de la production d'hydrocarbures, qui frôle les 2,1 millions de barils équivalent-pétrole par jour.

Pilotes, hôtesses, stewards... L'aviation civile mondiale va devoir recruter 2,4 millions de personnes d'ici 2044
Pilotes, hôtesses, stewards... L'aviation civile mondiale va devoir recruter 2,4 millions de personnes d'ici 2044

Le Figaro

time7 hours ago

  • Le Figaro

Pilotes, hôtesses, stewards... L'aviation civile mondiale va devoir recruter 2,4 millions de personnes d'ici 2044

Le constructeur aéronautique américain Boeing a estimé les besoins de l'aviation commerciale mondiale en nouveau personnel - pilotes, techniciens, hôtesses et stewards - à près de 2,4 millions dans les vingt prochaines années, dont un tiers du fait de la croissance de la flotte du monde entier. «Tandis que la demande dans le secteur aérien continue d'être plus rapide que la croissance économique et que la flotte mondiale grossit pour répondre à cette demande, les industriels vont entretenir la flotte existante de manière sûre et efficace en soutenant le développement de la main-d'œuvre des compagnies aériennes du monde entier», a commenté Chris Broom, responsable de la formation pour la branche Boeing Global Services (BDS) de l'avionneur américain, cité dans un communiqué. Dans son étude «Perspectives pour pilotes et techniciens 2025 (PTO)» dans l'aviation commerciale, publiée mardi, Boeing anticipe à 660.000 le besoin en nouveaux pilotes d'ici 2044, à 710.000 pour les techniciens de maintenance et à un million pour les hôtesses et stewards. Deux tiers de cette main-d'œuvre a vocation à remplacer le personnel actuel mais un tiers devra répondre à la hausse de la flotte mondiale, tirée surtout par la multiplication rapide des monocouloirs. Publicité L'avionneur avait anticipé en juin, en amont du Salon aéronautique international du Bourget, en France, que la flotte commerciale mondiale devrait être composée d'un peu moins de 50.000 avions en 2044, dont près de 44.000 fabriqués d'ici là. Quelque 21.100 avions pour remplacer des appareils en exploitation actuellement et 22.500 pour la croissance du trafic (passagers et fret), qui devrait émaner à 50% de Chine et d'Asie du Sud et Sud-Est. Sans surprise, c'est aussi dans ces régions que les besoins en nouveaux employés vont être les plus criants avec une demande qui devrait tripler, d'après les estimations mardi du constructeur américain. Il cite également l'Amérique du Nord, et l'Eurasie dans une moindre mesure, comme des régions qui vont aussi devoir susciter les vocations dans le secteur. Le secteur a besoin d'une «stratégie de long terme» Pour ce faire, l'industrie «investit dans les technologies, y compris la réalité mixte - technologie immersive qui mélange le réel et le virtuel pour renforcer la formation pratique et les mises en situation -», a expliqué Chris Broom. L'intelligence artificielle, la réalité virtuelle et la réalité mixte «vont améliorer et accroître la formation et transformer l'état de préparation du personnel aérien», affirme le groupe. Le secteur a besoin «d'une stratégie de long terme pour affronter les défis actuels et à venir dans le monde du travail», poursuit l'étude, appelant à des investissements très en amont. Il connaît depuis des années des pénuries de personnel, en particulier dans la maintenance des avions et leur production, qui ont empiré avec la pandémie de Covid-19. «La concurrence pour recruter et conserver les meilleurs talents va être vive à mesure que davantage de vols et de liaisons seront ajoutés», poursuit l'étude, s'attendant à une «stabilisation» une fois que les personnels auront acquis une certaine ancienneté.

La Bourse de Tokyo bondit
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Le Figaro

time9 hours ago

  • Le Figaro

La Bourse de Tokyo bondit

La Bourse de Tokyo bondit de plus de 3% mercredi 23 juillet après un accord commercial entre les États-Unis et le Japon prévoyant notamment un allègement des surtaxes américaines sur l'automobile, une annonce qui suscite un regain d'optimisme tirant l'ensemble des marchés asiatiques. Tokyo réjoui, l'automobile s'envole Vers 02H30 GMT à la Bourse de Tokyo, l'indice vedette Nikkei grimpait de 3,21% à 41.053,44 points, et l'indice élargi Topix gagnait 3,11% à 2.924,42 points. Publicité Le président américain Donald Trump a annoncé la conclusion d'un accord commercial «énorme» avec le Japon, frappant d'une surtaxe douanière de 15% les produits de l'archipel exportés aux États-Unis, en deçà de la surtaxe «réciproque» de 25% dont Tokyo était menacé au 1er août. Surtout, l'accord prévoit selon Tokyo que les droits imposés aux exportations automobiles japonaises vers les États-Unis seront ramenés à 15%: la surtaxe actuelle de 25% sera divisée par deux, s'ajoutant aux droits de douane préexistants de 2,5%. Ces informations ont fait s'envoler à la Bourse de Tokyo les titres des constructeurs automobiles: vers 02H30 GMT, Toyota bondissait de 13,65%, Nissan de 8,97% et Honda de 10,23%. L'automobile représentait l'an dernier presque 30% des exportations du Japon vers les États-Unis. Dans l'archipel, l'industrie automobile représente 8% des emplois. Plus généralement, les investisseurs se réjouissent de la fin de l'incertitude sur les négociations douanières entre les deux puissances, qui semblaient patiner à l'approche de la date butoir du 1er août. «Cela contribuera à atténuer l'impact négatif des tensions douanières sur l'économie japonaise dans son ensemble, en particulier à un moment où le gouvernement de coalition a perdu sa majorité à la chambre haute du Parlement» lors d'une débâcle électorale dimanche, commente Lloyd Chan, de la banque MUFG. Le marché a d'autant mieux réagi que nombre d'acteurs avaient vendu des actions les semaines précédentes «en raison des inquiétudes concernant les droits de douane sur les automobiles et d'autres produits», notent les analystes d'IwaiCosmo Securities. Le yen en léger repli Après avoir initialement grimpé dans le sillage de l'annonce de l'accord commercial par Donald Trump, la devise japonaise a ensuite effacé ses gains, et vers 03h00 GMT, elle cédait 0,16% face au billet vert, à 146,88 yens pour un dollar. «Les anticipations du marché concernant une éventuelle hausse des taux de la Banque du Japon (BoJ) en réponse à l'accord commercial pourraient soutenir le yen», assurait cependant Lloyd Chan, de MUFG. Et ce «même si l'incertitude politique à court terme pourrait tempérer l'enthousiasme des investisseurs», ajoutait-il, notamment alors que reste en suspens le sort du premier ministre Ishiba après son cuisant revers électoral. La banque centrale nippone est tiraillée entre une inflation toujours tenace et l'assombrissement des perspectives économiques en raison des tensions douanières. L'accord commercial pourrait l'inciter à remonter ses taux plus tard dans l'année. Regain d'optimisme pour les Bourses d'Asie La plupart des autres Bourses asiatiques grimpent également dans le sillage de Tokyo. Publicité Vers 03h00 GMT, la Bourse de Séoul était certes à l'équilibre, mais Sydney progressait de 0,69%, Taïpei de 0,97% et l'indice hongkongais Hang Seng de 0,63%. «L'accord Japon - États-Unis crée un précédent stratégique pour l'Asie au sens large, en particulier pour les économies qui négocient encore avec l'administration Trump», souligne Charu Chanana, analyste de Saxo Markets citée par Bloomberg News. «En acceptant une surtaxe douanière diluée de 15% et en promettant des flux d'investissements symboliques vers les États-Unis, le Japon a trouvé la parade: concéder juste assez pour désamorcer l'escalade sans déclencher de profonds changements structurels», estime-t-elle. Outre le Japon, le président américain a aussi annoncé mardi avoir obtenu un accord avec les Philippines. Les États-Unis se sont par ailleurs déjà entendus avec le Royaume-Uni et le Vietnam. Rebond du pétrole Le marché pétrolier rebondit mercredi, profitant d'un sursaut d'optimisme sur l'évolution des tensions commerciales et la demande énergétique après l'accord américano-japonais. Vers 03h15 GMT, le baril de WTI américain grimpait de 0,25% à 65,47 dollars et celui de Brent de la mer du Nord de 0,28% à 68,78 dollars.

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