logo
Trump suggère que son vice-président JD Vance pourrait être son successeur en 2028

Trump suggère que son vice-président JD Vance pourrait être son successeur en 2028

24 Heuresa day ago
Le président américain a qualifié son vice-président de probable favori chez les républicains pour lui succéder à la Maison-Blanche en 2028.
Publié aujourd'hui à 13h11
JD Vance pourrait être le successeur de Donald Trump chez les républicains pour la présidentielle américaine de 2028.
AFP
Le président américain Donald Trump a laissé entendre devant la presse que son vice-président JD Vance pourrait être son successeur chez les républicains pour la course à la Maison-Blanche en 2028.
Interrogé par des journalistes mardi sur le potentiel statut de dauphin de JD Vance dans la galaxie MAGA («Make America Great Again», le mouvement populiste créé et incarné par Donald Trump lors de sa campagne pour la présidentielle en 2024), le président des États-Unis a répondu: «C'est fort probable (…), c'est le vice-président».
«Il est trop tôt pour en parler, mais il fait sans aucun doute du très bon travail et il serait probablement favori à ce stade», a poursuivi Donald Trump, qui s'est jusqu'alors refusé à soutenir et nommer un successeur dans son mouvement. Figure majeure de l'administration Trump
Donald Trump, qui a un temps assuré qu'il pourrait briguer un troisième mandat – ce qui est contraire à la Constitution américaine – avant de se rétracter, a également suggéré mardi que son chef de la diplomatie Marco Rubio et JD Vance pourraient s'allier en vue de la prochaine campagne présidentielle.
Ancien sénateur de l'Ohio puis colistier de Donald Trump en 2024, le vice-président Vance a émergé comme une figure majeure de la nouvelle administration Trump et des républicains.
Apôtre d'une droite très conservatrice et chrétienne, il a lui-même indiqué qu'il pourrait se porter candidat à la présidentielle de 2028, mais seulement après consultation avec Donald Trump.
Sur les États-Unis Newsletter
«Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde.
Autres newsletters
AFP
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Orange background

Essayez nos fonctionnalités IA

Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :

Commentaires

Aucun commentaire pour le moment...

Articles connexes

DIRECT – Ukraine: Zelensky réitère son appel à rencontrer Poutine
DIRECT – Ukraine: Zelensky réitère son appel à rencontrer Poutine

24 Heures

time4 hours ago

  • 24 Heures

DIRECT – Ukraine: Zelensky réitère son appel à rencontrer Poutine

Le président russe Vladimir Poutine a reçu mercredi l'émissaire de Donald Trump. Une rencontre «constructive» selon le Kremlin. Notre direct. Nos articles sur la guerre en Ukraine 09h42 Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a de nouveau estimé jeudi qu'une rencontre en face-à-face avec son homologue russe Vladimir Poutine constituait une «priorité très claire», au lendemain d'une visite de l'émissaire américain à Moscou. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. «Nous avons répété en Ukraine à plusieurs reprises que la recherche de véritables solutions peut être réellement efficace au niveau des dirigeants», a indiqué M. Zelensky sur X. 07h17 Dans une soudaine accélération diplomatique autour de la guerre en Ukraine, Donald Trump a évoqué mercredi une possible rencontre «très bientôt» avec Vladimir Poutine, tout en maintenant la menace de sanctions secondaires visant la Russie. Dans la foulée d'une visite jugée «productive» de son émissaire spécial Steve Witkoff à Moscou, le président américain a jugé mercredi qu'il y avait «une bonne chance qu'il y ait une réunion très bientôt», sans donner de précisions de date ou de lieu. Il répondait à une question sur une possible rencontre avec le président russe ainsi qu'avec le chef d'État ukrainien Volodymyr Zelensky, pendant un échange avec la presse dans le Bureau ovale. Pour lire notre article, c'est ici . AFP Hier, 23h50 Donald Trump a jugé mercredi qu'il y avait «une bonne chance qu'il y ait une réunion très bientôt» avec le président russe Vladimir Poutine et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, sans donner de précisions de date ou de lieu. Le président américain n'a toutefois pas voulu s'étendre sur la probabilité d'un accord mettant fin à la guerre en Ukraine, ajoutant: «Celui-là m'a déjà déçu dans le passé», dans une référence apparente à son homologue russe. Hier, 23h33 Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a affirmé mercredi qu'il y avait «encore beaucoup de travail» avant une éventuelle rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine pour mettre fin à la guerre en Ukraine. «Aujourd'hui a été une bonne journée, mais nous avons encore beaucoup de travail devant nous. Il reste de nombreux obstacles à surmonter, et nous espérons y parvenir au cours des prochains jours et des prochaines heures, semaines peut-être», a-t-il déclaré sur la chaîne Fox Business, alors que le président américain s'est dit «ouvert» à une telle rencontre avec Vladimir Poutine, ainsi qu'avec Volodymyr Zelensky. Hier, 21h49 Donald Trump est «ouvert à une rencontre à la fois avec le président (russe Vladimir) Poutine et avec le président (ukrainien Volodymyr) Zelensky», a déclaré mercredi sa porte-parole Karoline Leavitt, précisant que «les Russes (avaient) fait part de leur désir de rencontrer» le président américain. Selon le New York Times, Donald Trump a dit mercredi à plusieurs dirigeants européens vouloir rencontrer Vladimir Poutine en personne dès la semaine prochaine, et organiser ensuite une réunion à trois avec Volodymyr Zelensky. KEYSTONE Hier, 21h17 Le Premier ministre britannique Keir Starmer, le chancelier allemand Friedrich Merz, le président finlandais Alexander Stubb et le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte ont participé mercredi à la conversation téléphonique entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump, a indiqué à l'AFP une source ukrainienne haut placée. M. Zelensky avait de son côté simplement indiqué que «des dirigeants européens ont assisté» à cet échange, qui a eu lieu après une visite à Moscou de l'émissaire américain Steve Witkoff. Hier, 20h05 Donald Trump a assuré sur son réseau Truth Social que la rencontre mercredi de son émissaire spécial Steve Witkoff avec Vladimir Poutine avait été «très productive». Il a aussi dit que de «grands progrès» avaient été faits. Un haut responsable américain a toutefois précisé que les Etats-Unis prévoyaient toujours de mettre en place vendredi des sanctions secondaires, c'est-à-dire visant les pays qui se fournissent auprès de la Russie, en particulier en pétrole et en armement. Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff. AFP Le Kremlin a de son côté qualifié d'«utiles et constructives» les discussions mercredi à Moscou entre l'émissaire de Donald Trump et le président russe, à deux jours de l'expiration de l'ultimatum américain visant à mettre fin au conflit en Ukraine. Le locataire de la Maison Blanche, qui s'était beaucoup rapproché de Vladimir Poutine après son retour au pouvoir en janvier, fait montre désormais d'une frustration grandissante face à la Russie. Le dirigeant républicain a plusieurs fois promis de mettre fin au conflit en Ukraine, déclenché par l'invasion russe de février 2022, sans succès jusqu'ici. Donald Trump a donné la semaine dernière jusqu'à vendredi à la Russie pour qu'elle cesse les hostilités, sous peine de nouvelles sanctions. Celles-ci consisteraient à surtaxer à leur entrée aux Etats-Unis les produits exportés par des pays qui font affaire avec la Russie. Le président américain a d'ores et déjà signé mercredi un décret visant l'Inde, en reprochant justement à New Delhi ses achats de pétrole russe. Il a concrètement porté à 50%, au lieu de 25%, les droits de douane sur les produits indiens, en précisant que cette nouvelle surtaxe ne serait effective que dans 21 jours. Le texte du décret laisse ouverte la possibilité de sanctionner de la même manière d'autres pays se fournissant en hydrocarbures russes. Hier, 20h02 Le chef de l'Etat ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé mercredi avoir parlé au téléphone avec Donald Trump, quelques heures après une visite en Russie de l'émissaire du président américain, qui s'est entretenu au Kremlin avec Vladimir Poutine. «J'ai eu une conversation avec le président Trump. Cette conversation a eu lieu après la visite à Moscou du représentant du président Trump, Steve Witkoff», a déclaré M. Zelensky sur Telegram, précisant que «des dirigeants européens ont assisté» à cet échange, sans préciser lesquels. Hier, 14h58 Le Kremlin a estimé mercredi que l'entretien à Moscou entre Vladimir Poutine et l'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, avait été «utile et constructif», à deux jours de l'ultimatum américain visant à mettre fin au conflit en Ukraine. «Une conversation très utile et constructive a eu lieu» sur l'Ukraine et les relations russo-américaines, a déclaré à la presse le conseiller diplomatique de M. Poutine, Iouri Ouchakov, indiquant que Moscou avait «envoyé certains signaux» sur le conflit ukrainien. Hier, 14h07 La rencontre entre le président russe Vladimir Poutine et l'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, s'est achevée mercredi après-midi au Kremlin, ont indiqué les agences de presse russes, à quelques jours de l'expiration de l'ultimatum posé par le président américain pour que Moscou arrête son offensive en Ukraine. «Les discussions ont duré près de trois heures», a précisé l'agence TASS, sans donner plus de détails. L'agence Ria Novosti affirme pour sa part que le cortège de véhicules transportant Steve Witkoff a quitté le Kremlin vers 14H30 (11H30 GMT). Hier, 11h18 Le président russe Vladimir Poutine a reçu mercredi au Kremlin l'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, ont indiqué les agences d'Etat russes, quelques jours avant l'expiration de l'ultimatum posé par le président américain pour que la Russie arrête son offensive en Ukraine. Vladimir Poutine et Steve Witkoff. AFP Vladimir Poutine «a reçu» au Kremlin l'émissaire Steve Witkoff, a indiqué l'agence Tass, citant le service de presse de la présidence russe. Les deux hommes se sont serré chaleureusement la main, d'un air souriant, au début de leur rencontre dans une somptueuse salle du Kremlin, selon les images diffusées par la présidence russe. À son arrivée à Moscou, M. Witkoff a déjà été accueilli par le représentant spécial du président Kirill Dmitriev, selon l'agence officielle russe Tass. Les relations entre Moscou et Washington connaissent depuis la semaine dernière un soudain pic de tensions avec le déploiement par Donald Trump de deux sous-marins nucléaires, à la suite d'une dispute en ligne avec l'ancien président russe Dmitri Medvedev. Hier, 10h04 Des bombardements russes ont fait deux morts et 12 blessés dans un camp de vacances de la région de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine, ont annoncé les autorités mercredi matin. «Deux personnes ont été tuées» et 12 autres blessées, dont au moins deux enfants, a indiqué le gouverneur régional Ivan Fedorov, sur Telegram. Les Russes ont effectué «au moins quatre frappes», vraisemblablement avec des bombes aériennes, sur ce camp autour de six heures du matin locales, a précisé le gouverneur. Sur les photos, publiées par les services de secours, on peut voir des corps au sol dans des flaques de sang, et des pompiers luttant contre le feu touchant des maisons de vacances. «Il y a zéro sens militaire dans cette attaque. Seulement la brutalité pour faire peur», a lancé le président ukrainien Volodymyr Zelensky sur les réseaux sociaux. Lors de la même nuit, une personne a été tuée et plusieurs autres blessées par des bombardements russes sur la ville de Pokrovsk, un des épicentres des combats dans l'est de l'Ukraine, a indiqué l'administration militaire municipale. Hier, 09h35 Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exhorté mercredi Washington à intensifier sa pression sur la Russie pour la contraindre à mettre fin à son invasion de l'Ukraine qui se poursuit depuis 2022, peu après l'arrivée à Moscou de l'émissaire américain Steve Witkoff. Volodymyr Zelensky. AFP «Il est très important de renforcer tous les leviers dont disposent les États-Unis, l'Europe et le G7» contre la Russie, a écrit M. Zelensky sur les réseaux sociaux. Le Kremlin ne «cherchera véritablement à mettre fin à la guerre que lorsqu'il sentira suffisamment de pression», a-t-il ajouté. Hier, 06h31 L'émissaire du président américain Donald Trump, Steve Witkoff, est arrivé mercredi à Moscou pour y rencontrer les dirigeants russes, a annoncé l'agence Tass. «Stephen Witkoff a été accueilli par le représentant spécial du président Kirill Dmitriev», a écrit l'agence d'Etat russe, à deux jours de l'expiration de l'ultimatum posé par Donald Trump pour que la Russie arrête son offensive en Ukraine. 05.08.2025, 23h03 L'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, se rendra mercredi à Moscou pour y rencontrer le leadership russe, selon une source proche, quelques jours avant l'expiration de l'ultimatum posé par le président américain pour que la Russie arrête son offensive en Ukraine. Steve Witkoff, qui est l'homme de main de Donald Trump pour les «missions de paix» comme la semaine dernière en Israël et à Gaza, a déjà rencontré Vladimir Poutine à plusieurs reprises, mais aucun de ces multiples entretiens n'ont amené le président russe à changer de cap. Vous pouvez retrouver notre précédent live en cliquant sur ce lien . Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

DIRECT – Droits de douane: entrée en vigueur des surtaxes américaines sur les biens suisses
DIRECT – Droits de douane: entrée en vigueur des surtaxes américaines sur les biens suisses

24 Heures

time4 hours ago

  • 24 Heures

DIRECT – Droits de douane: entrée en vigueur des surtaxes américaines sur les biens suisses

Hier, 20h10 Donald Trump a assuré sur son réseau Truth Social que la rencontre mercredi de son émissaire spécial Steve Witkoff avec Vladimir Poutine avait été «très productive». Il a aussi dit que de «grands progrès» avaient été faits. Un haut responsable américain a toutefois précisé que les Etats-Unis prévoyaient toujours de mettre en place vendredi des sanctions secondaires, c'est-à-dire visant les pays qui se fournissent auprès de la Russie, en particulier en pétrole et en armement. Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff. AFP Le Kremlin a de son côté qualifié d'«utiles et constructives» les discussions mercredi à Moscou entre l'émissaire de Donald Trump et le président russe, à deux jours de l'expiration de l'ultimatum américain visant à mettre fin au conflit en Ukraine. Le locataire de la Maison Blanche, qui s'était beaucoup rapproché de Vladimir Poutine après son retour au pouvoir en janvier, fait montre désormais d'une frustration grandissante face à la Russie. Le dirigeant républicain a plusieurs fois promis de mettre fin au conflit en Ukraine, déclenché par l'invasion russe de février 2022, sans succès jusqu'ici. Donald Trump a donné la semaine dernière jusqu'à vendredi à la Russie pour qu'elle cesse les hostilités, sous peine de nouvelles sanctions. Celles-ci consisteraient à surtaxer à leur entrée aux Etats-Unis les produits exportés par des pays qui font affaire avec la Russie. Le président américain a d'ores et déjà signé mercredi un décret visant l'Inde, en reprochant justement à New Delhi ses achats de pétrole russe. Il a concrètement porté à 50%, au lieu de 25%, les droits de douane sur les produits indiens, en précisant que cette nouvelle surtaxe ne serait effective que dans 21 jours. Le texte du décret laisse ouverte la possibilité de sanctionner de la même manière d'autres pays se fournissant en hydrocarbures russes.

Conflit en Ukraine: Trump prêt à rencontrer Poutine «très bientôt»
Conflit en Ukraine: Trump prêt à rencontrer Poutine «très bientôt»

24 Heures

time13 hours ago

  • 24 Heures

Conflit en Ukraine: Trump prêt à rencontrer Poutine «très bientôt»

Après la visite «productive» de son émissaire à Moscou, le président américain envisage un sommet avec son homologue russe. Publié aujourd'hui à 01h11 Mis à jour il y a 1 minute A gaucheÀ Donald Trump à Morristown, New Jersey, le 23 mai 2025, et à droite, Vladimir Poutine au Kremlin, Moscou, le 28 mai 2025. AFP Dans une soudaine accélération diplomatique autour de la guerre en Ukraine, Donald Trump a évoqué mercredi une possible rencontre «très bientôt» avec Vladimir Poutine, tout en maintenant la menace de sanctions secondaires visant la Russie. Dans la foulée d'une visite jugée «productive» de son émissaire spécial Steve Witkoff à Moscou, le président américain a jugé mercredi qu'il y avait «une bonne chance qu'il y ait une réunion très bientôt», sans donner de précisions de date ou de lieu. Il répondait à une question sur une possible rencontre avec le président russe ainsi qu'avec le chef d'État ukrainien Volodymyr Zelensky, pendant un échange avec la presse dans le Bureau ovale. Mais c'est bien entendu la perspective d'une réunion en chair et en os avec le maître du Kremlin qui retient le plus l'attention, à l'heure où la tension entre Washington et Moscou connaît une nette poussée. Selon la presse américaine, Donald Trump envisagerait de rencontrer le président russe en personne dès la semaine prochaine, avant une réunion à trois avec Volodymyr Zelensky. Le dernier sommet en bonne et due forme entre Russie et États-Unis remonte à juin 2021, quand Joe Biden avait rencontré son homologue russe à Genève. Menaces Le président démocrate a coupé les ponts avec la Russie suite à l'invasion de l'Ukraine en février 2022, mais Donald Trump a rétabli le dialogue à son retour au pouvoir depuis janvier, au travers de plusieurs échanges téléphoniques avec le président russe. Le républicain a menacé mercredi d'imposer «beaucoup plus de sanctions secondaires», c'est-à-dire des taxes sur les produits en provenance de pays qui commercent avec la Russie. Il a déjà annoncé jeudi porter à 50% au lieu de 25% les taxes sur les importations venues d'Inde, à cause des achats indiens de pétrole russe. L'objectif d'un tel mécanisme est de tarir les revenus de la Russie et ainsi d'enrayer la machine de guerre russe. La dernière rencontre en chair et en os entre le dirigeant américain et Vladimir Poutine a eu lieu en novembre 2018 en marge d'un sommet du G20 en Argentine, mais c'est surtout leur sommet de juillet 2018 à Helsinki qui reste dans les mémoires. Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a affirmé mercredi qu'il y avait «encore beaucoup de travail» avant une éventuelle nouvelle rencontre. Le regain d'activité diplomatique intervient à deux jours de l'expiration d'un ultimatum des États-Unis à la Russie, sommée de mettre fin au conflit en Ukraine. Dans l'immédiat, il n'est pas clair si cet ultimatum, au terme duquel Washington menaçait de déployer des droits de douane secondaires, c'est-à-dire visant les pays achetant du pétrole et de l'armement russes, est encore d'actualité. Trois heures de rencontre Donald Trump, qui voit dans les droits de douane un instrument à la fois diplomatique et économique inépuisable, a seulement indiqué jeudi que d'autres pays que l'Inde pourraient être visés, y compris la Chine, sans donner de calendrier précis. La réunion entre Vladimir Poutine et Steve Witkoff a duré «près de trois heures», selon l'agence de presse étatique russe TASS. Elle a été qualifiée de «très utile et constructive» par le conseiller diplomatique du chef de l'État russe, Iouri Ouchakov, et de «très productive» par le président américain sur sa plateforme Truth Social. Après cette rencontre, Donald Trump a parlé au téléphone avec Volodymyr Zelensky. Le Premier ministre britannique, Keir Starmer, le chancelier allemand, Friedrich Merz, le président finlandais, Alexander Stubb, et le secrétaire général de l'Otan, Mark Rutte, ont participé à cette conversation. Les relations entre la Russie et les États-Unis connaissent depuis la semaine dernière un pic de tensions avec l'annonce du déploiement de deux sous-marins nucléaires américains à la suite d'une dispute en ligne avec l'ancien chef de l'État russe, Dmitri Medvedev. Le président américain, qui a promis de mettre rapidement fin au conflit en Ukraine, exprime de plus en plus ouvertement sa frustration à l'égard du maître du Kremlin. Ce dernier, alors que l'offensive russe se poursuit, maintient ses exigences jugées inacceptables par Kiev. La Russie réclame à l'Ukraine qu'elle lui cède quatre régions partiellement occupées (celles de Donetsk, Louhansk, Zaporijjia, Kherson), en plus de la Crimée annexée en 2014, et qu'elle renonce aux livraisons d'armes occidentales et à toute adhésion à l'Alliance atlantique. Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters AFP Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

TÉLÉCHARGER L'APPLICATION

Commencez dès maintenant : Téléchargez l'application

Prêt à plonger dans un monde de contenu mondial aux saveurs locales? Téléchargez l'application Daily8 dès aujourd'hui sur votre app store préféré et commencez à explorer.
app-storeplay-store