
DIRECT – Ukraine: Zelensky réitère son appel à rencontrer Poutine
Nos articles sur la guerre en Ukraine
09h42
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a de nouveau estimé jeudi qu'une rencontre en face-à-face avec son homologue russe Vladimir Poutine constituait une «priorité très claire», au lendemain d'une visite de l'émissaire américain à Moscou.
À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe.
«Nous avons répété en Ukraine à plusieurs reprises que la recherche de véritables solutions peut être réellement efficace au niveau des dirigeants», a indiqué M. Zelensky sur X.
07h17
Dans une soudaine accélération diplomatique autour de la guerre en Ukraine, Donald Trump a évoqué mercredi une possible rencontre «très bientôt» avec Vladimir Poutine, tout en maintenant la menace de sanctions secondaires visant la Russie.
Dans la foulée d'une visite jugée «productive» de son émissaire spécial Steve Witkoff à Moscou, le président américain a jugé mercredi qu'il y avait «une bonne chance qu'il y ait une réunion très bientôt», sans donner de précisions de date ou de lieu. Il répondait à une question sur une possible rencontre avec le président russe ainsi qu'avec le chef d'État ukrainien Volodymyr Zelensky, pendant un échange avec la presse dans le Bureau ovale.
Pour lire notre article, c'est ici .
AFP
Hier, 23h50
Donald Trump a jugé mercredi qu'il y avait «une bonne chance qu'il y ait une réunion très bientôt» avec le président russe Vladimir Poutine et le président ukrainien Volodymyr Zelensky, sans donner de précisions de date ou de lieu.
Le président américain n'a toutefois pas voulu s'étendre sur la probabilité d'un accord mettant fin à la guerre en Ukraine, ajoutant: «Celui-là m'a déjà déçu dans le passé», dans une référence apparente à son homologue russe.
Hier, 23h33
Le chef de la diplomatie américaine Marco Rubio a affirmé mercredi qu'il y avait «encore beaucoup de travail» avant une éventuelle rencontre entre le président américain Donald Trump et son homologue russe Vladimir Poutine pour mettre fin à la guerre en Ukraine.
«Aujourd'hui a été une bonne journée, mais nous avons encore beaucoup de travail devant nous. Il reste de nombreux obstacles à surmonter, et nous espérons y parvenir au cours des prochains jours et des prochaines heures, semaines peut-être», a-t-il déclaré sur la chaîne Fox Business, alors que le président américain s'est dit «ouvert» à une telle rencontre avec Vladimir Poutine, ainsi qu'avec Volodymyr Zelensky.
Hier, 21h49
Donald Trump est «ouvert à une rencontre à la fois avec le président (russe Vladimir) Poutine et avec le président (ukrainien Volodymyr) Zelensky», a déclaré mercredi sa porte-parole Karoline Leavitt, précisant que «les Russes (avaient) fait part de leur désir de rencontrer» le président américain.
Selon le New York Times, Donald Trump a dit mercredi à plusieurs dirigeants européens vouloir rencontrer Vladimir Poutine en personne dès la semaine prochaine, et organiser ensuite une réunion à trois avec Volodymyr Zelensky.
KEYSTONE
Hier, 21h17
Le Premier ministre britannique Keir Starmer, le chancelier allemand Friedrich Merz, le président finlandais Alexander Stubb et le secrétaire général de l'Otan Mark Rutte ont participé mercredi à la conversation téléphonique entre Volodymyr Zelensky et Donald Trump, a indiqué à l'AFP une source ukrainienne haut placée.
M. Zelensky avait de son côté simplement indiqué que «des dirigeants européens ont assisté» à cet échange, qui a eu lieu après une visite à Moscou de l'émissaire américain Steve Witkoff.
Hier, 20h05
Donald Trump a assuré sur son réseau Truth Social que la rencontre mercredi de son émissaire spécial Steve Witkoff avec Vladimir Poutine avait été «très productive». Il a aussi dit que de «grands progrès» avaient été faits.
Un haut responsable américain a toutefois précisé que les Etats-Unis prévoyaient toujours de mettre en place vendredi des sanctions secondaires, c'est-à-dire visant les pays qui se fournissent auprès de la Russie, en particulier en pétrole et en armement.
Vladimir Poutine et l'émissaire américain Steve Witkoff.
AFP
Le Kremlin a de son côté qualifié d'«utiles et constructives» les discussions mercredi à Moscou entre l'émissaire de Donald Trump et le président russe, à deux jours de l'expiration de l'ultimatum américain visant à mettre fin au conflit en Ukraine. Le locataire de la Maison Blanche, qui s'était beaucoup rapproché de Vladimir Poutine après son retour au pouvoir en janvier, fait montre désormais d'une frustration grandissante face à la Russie.
Le dirigeant républicain a plusieurs fois promis de mettre fin au conflit en Ukraine, déclenché par l'invasion russe de février 2022, sans succès jusqu'ici. Donald Trump a donné la semaine dernière jusqu'à vendredi à la Russie pour qu'elle cesse les hostilités, sous peine de nouvelles sanctions.
Celles-ci consisteraient à surtaxer à leur entrée aux Etats-Unis les produits exportés par des pays qui font affaire avec la Russie. Le président américain a d'ores et déjà signé mercredi un décret visant l'Inde, en reprochant justement à New Delhi ses achats de pétrole russe.
Il a concrètement porté à 50%, au lieu de 25%, les droits de douane sur les produits indiens, en précisant que cette nouvelle surtaxe ne serait effective que dans 21 jours. Le texte du décret laisse ouverte la possibilité de sanctionner de la même manière d'autres pays se fournissant en hydrocarbures russes.
Hier, 20h02
Le chef de l'Etat ukrainien Volodymyr Zelensky a annoncé mercredi avoir parlé au téléphone avec Donald Trump, quelques heures après une visite en Russie de l'émissaire du président américain, qui s'est entretenu au Kremlin avec Vladimir Poutine.
«J'ai eu une conversation avec le président Trump. Cette conversation a eu lieu après la visite à Moscou du représentant du président Trump, Steve Witkoff», a déclaré M. Zelensky sur Telegram, précisant que «des dirigeants européens ont assisté» à cet échange, sans préciser lesquels.
Hier, 14h58
Le Kremlin a estimé mercredi que l'entretien à Moscou entre Vladimir Poutine et l'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, avait été «utile et constructif», à deux jours de l'ultimatum américain visant à mettre fin au conflit en Ukraine.
«Une conversation très utile et constructive a eu lieu» sur l'Ukraine et les relations russo-américaines, a déclaré à la presse le conseiller diplomatique de M. Poutine, Iouri Ouchakov, indiquant que Moscou avait «envoyé certains signaux» sur le conflit ukrainien.
Hier, 14h07
La rencontre entre le président russe Vladimir Poutine et l'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, s'est achevée mercredi après-midi au Kremlin, ont indiqué les agences de presse russes, à quelques jours de l'expiration de l'ultimatum posé par le président américain pour que Moscou arrête son offensive en Ukraine.
«Les discussions ont duré près de trois heures», a précisé l'agence TASS, sans donner plus de détails. L'agence Ria Novosti affirme pour sa part que le cortège de véhicules transportant Steve Witkoff a quitté le Kremlin vers 14H30 (11H30 GMT).
Hier, 11h18
Le président russe Vladimir Poutine a reçu mercredi au Kremlin l'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, ont indiqué les agences d'Etat russes, quelques jours avant l'expiration de l'ultimatum posé par le président américain pour que la Russie arrête son offensive en Ukraine.
Vladimir Poutine et Steve Witkoff.
AFP
Vladimir Poutine «a reçu» au Kremlin l'émissaire Steve Witkoff, a indiqué l'agence Tass, citant le service de presse de la présidence russe. Les deux hommes se sont serré chaleureusement la main, d'un air souriant, au début de leur rencontre dans une somptueuse salle du Kremlin, selon les images diffusées par la présidence russe.
À son arrivée à Moscou, M. Witkoff a déjà été accueilli par le représentant spécial du président Kirill Dmitriev, selon l'agence officielle russe Tass.
Les relations entre Moscou et Washington connaissent depuis la semaine dernière un soudain pic de tensions avec le déploiement par Donald Trump de deux sous-marins nucléaires, à la suite d'une dispute en ligne avec l'ancien président russe Dmitri Medvedev.
Hier, 10h04
Des bombardements russes ont fait deux morts et 12 blessés dans un camp de vacances de la région de Zaporijjia, dans le sud de l'Ukraine, ont annoncé les autorités mercredi matin.
«Deux personnes ont été tuées» et 12 autres blessées, dont au moins deux enfants, a indiqué le gouverneur régional Ivan Fedorov, sur Telegram.
Les Russes ont effectué «au moins quatre frappes», vraisemblablement avec des bombes aériennes, sur ce camp autour de six heures du matin locales, a précisé le gouverneur.
Sur les photos, publiées par les services de secours, on peut voir des corps au sol dans des flaques de sang, et des pompiers luttant contre le feu touchant des maisons de vacances.
«Il y a zéro sens militaire dans cette attaque. Seulement la brutalité pour faire peur», a lancé le président ukrainien Volodymyr Zelensky sur les réseaux sociaux.
Lors de la même nuit, une personne a été tuée et plusieurs autres blessées par des bombardements russes sur la ville de Pokrovsk, un des épicentres des combats dans l'est de l'Ukraine, a indiqué l'administration militaire municipale.
Hier, 09h35
Le président ukrainien Volodymyr Zelensky a exhorté mercredi Washington à intensifier sa pression sur la Russie pour la contraindre à mettre fin à son invasion de l'Ukraine qui se poursuit depuis 2022, peu après l'arrivée à Moscou de l'émissaire américain Steve Witkoff.
Volodymyr Zelensky.
AFP
«Il est très important de renforcer tous les leviers dont disposent les États-Unis, l'Europe et le G7» contre la Russie, a écrit M. Zelensky sur les réseaux sociaux. Le Kremlin ne «cherchera véritablement à mettre fin à la guerre que lorsqu'il sentira suffisamment de pression», a-t-il ajouté.
Hier, 06h31
L'émissaire du président américain Donald Trump, Steve Witkoff, est arrivé mercredi à Moscou pour y rencontrer les dirigeants russes, a annoncé l'agence Tass.
«Stephen Witkoff a été accueilli par le représentant spécial du président Kirill Dmitriev», a écrit l'agence d'Etat russe, à deux jours de l'expiration de l'ultimatum posé par Donald Trump pour que la Russie arrête son offensive en Ukraine.
05.08.2025, 23h03
L'émissaire de Donald Trump, Steve Witkoff, se rendra mercredi à Moscou pour y rencontrer le leadership russe, selon une source proche, quelques jours avant l'expiration de l'ultimatum posé par le président américain pour que la Russie arrête son offensive en Ukraine.
Steve Witkoff, qui est l'homme de main de Donald Trump pour les «missions de paix» comme la semaine dernière en Israël et à Gaza, a déjà rencontré Vladimir Poutine à plusieurs reprises, mais aucun de ces multiples entretiens n'ont amené le président russe à changer de cap.
Vous pouvez retrouver notre précédent live en cliquant sur ce lien .
Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


24 Heures
3 hours ago
- 24 Heures
Conflit Iran-Israël: Affaibli par la guerre des douze jours, l'Iran réorganise son système de défense
L'Iran doit revoir sa sécurité après la guerre avec Israël. Une figure modérée du régime dirigera le Conseil suprême de sécurité nationale à la place d'un Gardien de la révolution. Georges Malbrunot Publié aujourd'hui à 13h59 Le régime du président iranien, Massoud Pezechkian, a dû réorganiser sa sécurité et créer un nouveau Conseil de défense nationale après la guerre avec Israël. Atta KENARE / AFP En bref: Dans l'incertitude d'une reprise des négociations avec les États-Unis après une guerre de douze jours qui l'a affaibli, le pouvoir iranien réorganise son système de défense. Après avoir annoncé dimanche la création d'un Conseil de défense nationale, Ali Larijani, un vétéran de la politique iranienne connu pour ses positions modérées, a été nommé mardi à la tête du Conseil suprême de sécurité nationale (CSSN). Sous l'autorité du guide suprême et principal détenteur du pouvoir, l'ayatollah Ali Khamenei, le CSSN décide des options stratégiques de la République islamique en matière de sécurité et de défense. Dans les deux cas, le président de la République, Massoud Pezechkian, un modéré, a joué un rôle important. C'est lui qui a nommé Ali Larijani à la tête du Conseil suprême de sécurité nationale, et selon la télévision d'État, il présidera le Conseil de défense nationale, composé notamment de commandants des forces armées et des ministres concernés. Massoud Pezechkian préside déjà le CSSN. Ali Larijani a été président du Parlement iranien pendant douze ans, jusqu'en 2020. AFP Dans le décret de création du Conseil de défense nationale que Massoud Pezechkian a publié, il demande à Ali Larijani de «superviser et prioriser les risques en matière de sécurité nationale, particulièrement les menaces provenant des nouvelles technologies […]». «L'opération Rising Lion (Le lion qui se lève), lancée le 13 juin par Israël, a considérablement frappé les structures sécuritaires et le complexe nucléo-industriel de l' Iran , grâce à l'action des services secrets de l'État hébreu», écrit dans sa dernière édition le magazine «Raids». Réduire l'influence des ultraconservateurs La part prise par Massoud Pezechkian dans ces annonces fait dire à de nombreux observateurs qu'il s'agit également de contrer ses adversaires ultraconservateurs, partisans de la fermeté face aux ennemis israéliens et américains de l'Iran. Issu d'une influente famille, conservateur lui-même, Ali Larijani s'est au fil du temps rapproché des forces politiques modérées. Ce qui lui a valu d'être, à deux reprises, écarté d'une élection présidentielle par le Conseil des gardiens de la Constitution, dominé par les conservateurs. gé de 68 ans, Ali Larijani a été président du Parlement entre 2008 et 2020, après avoir été le principal négociateur nucléaire face aux Occidentaux entre 2005 et 2007, et secrétaire du CSSN au début des années 2000. Depuis 2020, il était conseiller du guide suprême. Son retour sur le devant de la scène marque un appui aux figures pragmatiques du régime – en tête desquelles le président Pezechkian – deux mois après qu'Israël a mené des centaines de frappes sur des sites militaires, nucléaires et tué des scientifiques liés au programme nucléaire . De leur côté, alors que Téhéran ripostait avec des tirs de missiles et de drones sur Israël et visait la plus importante base américaine du Moyen-Orient au Qatar, les États-Unis ont bombardé le site souterrain d'enrichissement d'uranium de Fordo, au sud de Téhéran, et des installations nucléaires à Ispahan et Natanz au centre du pays. Depuis, le système iranien, confronté à une crise économique aiguë aggravée par la sécheresse, doit composer avec de nombreux appels à des réformes pour réduire l'influence des ultraconservateurs. Mais face à Donald Trump et à Israël, «l'Iran n'a pas la main, aujourd'hui», constate un expert, qui décrypte les enjeux internes de la République islamique. «Il y a un fort désir du président Pezechkian et de l'aile la moins conservatrice de conclure un accord à tout prix avec les États-Unis sur le nucléaire, mais en face, le guide suprême et les Gardiens de la révolution campent sur une ligne fermée.» Donald Trump en arbitre Véritable État dans l'État, les tout-puissants Gardiens de la révolution – dont la tête a été éliminée par l'État hébreu – refusent toute nouvelle inspection des sites nucléaires réclamée par les États-Unis et les Européens, qui veulent étendre ces inspections aux missiles balistiques, considérés comme un danger par les voisins arabes de l'Iran et Israël, durement frappé à la fin de la guerre par des missiles supersoniques plus dangereux. Promouvoir Ali Larijani, alors que le guide suprême, Ali Khamenei, pourrait être la cible d'une future attaque israélienne, permet aux pragmatiques de préparer l'avenir. Selon des confidences de celui-ci, l'entourage de Massoud Pezechkian évalue à «40% les chances que l'Iran s'entende avec les États-Unis pour un nouveau deal nucléaire», tout en reconnaissant que «cela dépend de la volonté de Donald Trump» de parvenir à un tel accord. Selon l'expert en contact avec le pouvoir iranien, «si Trump reconnaît un droit à l'enrichissement, contenu dans le traité de non-prolifération, mais que l'Iran n'exercera pas, et laisse tomber les missiles balistiques, les Iraniens signeraient facilement contre une levée des sanctions. Mais si Trump se dit que le régime, en grande difficulté, tombera un jour ou l'autre et préfère donc maintenir ses conditions sur le dossier balistique, exigeant d'inspecter les sites militaires, ça ne passera jamais», même auprès des modérés comme MM. Pezechkian et Larijani. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Plus d'actualités sur l'Iran Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
5 hours ago
- 24 Heures
Les CFF déploient 27 trains spéciaux pour la Street Parade
Le festival devrait attirer plus de 900'000 personnes ce samedi. Des horaires prolongés et des effectifs renforcés sont prévus pour gérer cette affluence. Quelques conseils. Publié aujourd'hui à 11h49 Cette année, l'affluence à la Street Parade de Zurich pourrait dépasser les 920'000 visiteurs de l'an dernier. Boris Müller Les CFF mobilisent leurs ressources pour assurer le transport de centaines de milliers de participants à la 32e édition de l a Street Parade de Zurich , prévue ce samedi 9 août. Il est donc fort possible que l'affluence dépasse les 920'000 visiteurs de l'an dernier. Selon un communiqué de presse des CFF, 27 trains spéciaux circuleront à travers toute la Suisse pour acheminer les festivaliers vers Zurich et assurer leur retour durant la nuit. En plus des trains spéciaux, de nombreux convois réguliers seront renforcés avec des voitures supplémentaires pour répondre à la forte affluence attendue. Environ 65 collaborateurs des CFF seront déployés dans les gares zurichoises pour orienter et informer les voyageurs. Transports publics jusqu'à l'aube Les CFF recommandent aux participants de privilégier la gare centrale de Zurich ou celle de Zurich Enge, la gare de Stadelhofen risquant d'être particulièrement engorgée. La Communauté de transport zurichoise (ZVV) prolongera ses services jusqu'à 4 h du matin, avec un horaire spécial pour les trams et bus, consultable sur l'application ZVV ou sur . Pour les personnes voyageant depuis l'extérieur du périmètre ZVV et Z-Pass, les CFF conseillent l'achat du City-Ticket Zürich, valable le jour de l'événement et jusqu'à 5 h le lendemain matin. Les voyageurs en provenance des régions ZVV et Z-Pass sont invités à se procurer une carte journalière. Des informations détaillées sur les horaires et l'événement sont disponibles dans le flyer dédié des CFF et le magazine «Street Parade», distribués dans toutes les gares depuis le 28 juillet. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. Le trafic CFF interrompu sur la ligne Fribourg-Berne Particularité romande: les voyageurs se rendant à la Street Parade depuis Genève ou Lausanne devront tenir compte de l'interruption totale du trafic sur la ligne Fribourg-Berne, en raison de travaux d'entretien programmés du 27 juin au 25 août 2025. Les CFF recommandent d'emprunter les trains spéciaux via Neuchâtel ou Bienne. Depuis Fribourg, des bus de remplacement sont prévus jusqu'à Berne pour rejoindre ensuite le train. L'horaire en ligne a été actualisé pour proposer les meilleures correspondances. Les CFF invitent néanmoins tous les voyageurs à consulter l'horaire en ligne avant chaque déplacement, en raison des nombreux travaux d'entretien en cours sur le réseau ferroviaire. Plus sur la Street Parade de Zurich Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Claude Béda est journaliste à la rubrique vaudoise de 24 heures. Licencié en sciences sociales et politiques, passionné par les sujets de société et la vie des gens d'ici, il a couvert plusieurs régions du canton, avant de rejoindre la rédaction lausannoise. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.


24 Heures
10 hours ago
- 24 Heures
Corcelles-près-Payerne ne veut pas d'un second salon de prostitution
Un jeune entrepreneur, qui exploite une attraction d'épouvante, met à l'enquête un projet de cabaret érotique. La Municipalité s'y oppose. Publié aujourd'hui à 07h00 C'est dans cet immeuble que seraient aménagés un cabaret au rez-de-chaussée et six chambres à l'étage. Derrière se trouve l'escape game «La Maison hantée». Yvain Genevay/Tamedia En bref: Après la «Maison hantée», la maison close. Un citoyen de Corcelles-près-Payerne met à l'enquête la transformation d'un immeuble locatif de trois appartements pour en faire un bar avec salon de prostitution, ce qui n'est pas du goût des autorités communales. Le projet prévoit d'aménager six chambres pour les louer à autant de travailleuses du sexe. «Le cabaret proposera des spectacles divers et sera ouvert à tous publics. Les gens seront en immersion dans l'ambiance parisienne des années 1920-1930, dans cette vieille maison de maître de 1913 avec moulures. Et à l'étage, il y aura les filles…» renseigne Samuel Pradervand . L'ancien joueur du Stade Payerne exploite déjà au fond de la parcelle un escape game d'épouvante depuis 2023, où le visiteur est amené à «vivre son film d'horreur» dans un décor filant la chair de poule. Auparavant, il exploitait une chambre à énigmes sur l'univers d'Al Capone au centre du village. Déjà un bar à hôtesses Après étude du dossier, la Municipalité a émis un préavis défavorable à l'avant-projet. «Le village compte déjà un bar à hôtesses à la gare du Nord, qui cause de temps à autre des problèmes lors de la fermeture. On ne voit pas d'un bon œil l'implantation d'un second établissement sur le territoire», justifie Josephine Rapin, l'élue responsable de la Police des constructions. Dans le même secteur, Corcelles-près-Payerne héberge également un club libertin depuis plusieurs années, mais la Municipalité n'en fait pas grand cas. «C'est totalement différent. Les gens qui le fréquentent sont extrêmement discrets. Ça n'a jamais posé aucun problème», avise la municipale. La maison se situe dans une zone industrielle. Yvain Genevay/Tamedia «On est un gros village de 3100 habitants, avec un caractère villageois et une véritable identité. On tient vraiment à préserver cette ambiance. De plus, notre crèche se situe à 500 mètres à vol d'oiseau et nous avons l'intention d'en construire une autre juste en face, avec des appartements pour seniors», poursuit Josephine Rapin. «Ça reste du loisir», selon Samuel Pradervand Pourquoi le quasi-trentenaire a-t-il décidé de se lancer dans la prostitution? «Ça reste du loisir, du divertissement, considère Samuel Pradervand. C'est un projet que j'ai bien réfléchi. J'ai l'habitude d'avoir de la clientèle. Je suis quelqu'un de correct, sérieux et minutieux. Je peux garantir que tout se passera bien.» La maison en question se trouve sur la route de la Maladaire, non loin de la gare sud, en zone industrielle. Les voisins directs sont un concessionnaire auto et deux villas. «On imagine que la population va réagir et on s'attend à des oppositions», estime la municipale en charge de l'épineux dossier. Plus à lire sur Corcelles-près-Payerne Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Fabien Lapierre est journaliste à 24 heures depuis 2022. Basé à Yverdon-les Bains, il couvre principalement l'actualité du Nord vaudois, ainsi que de Neuchâtel. Diplômé de l'Ecole supérieure de journalisme de Lille en 2010, il a travaillé pour la télévision, derrière et devant la caméra, notamment à Canal Alpha. Plus d'infos @fabienlapierre Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.