
PSG : un succès savoureux… et inquiétant à la fois
HUMEUR – La victoire face à Tottenham, mercredi, en Italie, a confirmé les qualités mentales d'un Paris-SG qui va néanmoins souffrir dans les semaines à venir.
Que d'émotions… Le verre à moitié plein, c'est la victoire parisienne et un nouveau trophée dans la collection des hommes de Luis Enrique. Après le Trophée des champions, la Ligue 1, la Coupe de France et bien sûr la Ligue des champions la saison passée, les Rouge et Bleu ont disposé de Tottenham (2-2, 4-3 tab) mercredi, à Udine, pour le gain de la Supercoupe d'Europe. Une première pour un club français. «Ça nous fait cinq trophées, c'est exceptionnel. On a encore faim. On veut encore remporter des titres», lance Ousmane Dembélé, passeur décisif sur le but égalisateur de Gonçalo Ramos.
Le verre à moitié plein, c'est aussi la manière. Ou plutôt la réaction. Et les ressources mentales exceptionnelles de cette équipe, menée 0-2 jusqu'à la 85e et le but de l'espoir signé Kang-in Lee. Des miraculés. Le tout alors que Paris n'a repris l'entraînement qu'en milieu de semaine dernière et n'était «pas au top physiquement», comme l'avait indiqué Marquinhos mardi, en conférence de presse de veille de…
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Valentin Rongier, en réaction aux banderoles hostiles à son encontre : « Je joue pour le Stade Rennais et on est une famille maintenant »
Accueilli au Roazhon Park avec deux banderoles hostiles de ses nouveaux supporters, Valentin Rongier a réagi vendredi soir après la victoire de Rennes contre l'OM en rappelant son engagement envers son nouveau club, parlant même de « famille ». Valentin Rongier a vécu un avant-match tumultueux pour ses débuts avec le Stade Rennais vendredi soir. Accueilli par deux banderoles hostiles déployées par les supporters rennais au Roazhon Park, le milieu de terrain a rappelé son engagement envers son nouveau club. « Je les ai vues (les banderoles),disait après coup le natif de Mâcon. Pour être honnête, je m'y attendais, on m'avait prévenu. Je peux comprendre certaines frustrations. Mais je suis ici pour tout donner, je pense qu'ils s'en rendront compte au fur et à mesure. Je ne fais pas attention à ça, je joue pour le Stade Rennais et on est une famille maintenant », a-t-il expliqué après la rencontre. Arrivé cet été en provenance de l'OM, Rongier (30 ans) part avec un a priori négatif de la part des supporters rennais puisqu'il a été formé à Nantes, rival historique de sa nouvelle équipe. Nommé capitaine pour le premier match de la saison contre l'OM (victoire 1-0), il a également montré son investissement auprès de son club au micro de Ligue 1 +. « J'avais ce soir (vendredi) l'honneur de porter le brassard, je suis très content. Cela montre mon engagement et à quel point je suis 100 % rennais maintenant », a-t-il avancé. Les notes de Rennes-OM : Merlin réussit ses retrouvailles, Gouiri passe à côté

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Accueilli par deux banderoles hostiles, l'ancien Nantais et Marseillais Valentin Rongier a livré une grosse bataille et a finalement été célébré, comme ses nouveaux coéquipiers, par le public après la victoire face à l'OM (1-0), ce vendredi. Le tour d'honneur, le câlin avec Habib Beye et des sourires en pagaille : elle était follement joyeuse, cette première de Valentin Rongier sous le maillot rennais. Et pourtant, l'accueil a été frais. Très frais, même. Le RCK avait prévenu dans la foulée de sa signature à Rennes, à la mi-juillet : le principal groupe de supporters rennais était plutôt défavorable à l'arrivée du milieu chez les Rouge et Noir, eu égard notamment au passé du joueur, formé à Nantes (2001-2019) et pas le dernier pour chambrer le voisin quand il revêtait la tunique jaune et vert. Trois quarts d'heure avant le coup d'envoi, une banderole a donc été déployée depuis la tribune Mordelles en guise de bienvenue : « Faire une Rongier (expr.) : jeter son honneur au caniveau, perdre toute crédibilité et respect pour sa propre personne ». Un message hué par le kop marseillais, respectueux du cadre qui a porté les couleurs de l'OM pendant six ans. Le reste du public rennais était lui partagé, une supportrice avait par exemple préparé une pancarte pour lui réclamer son maillot, et une bonne partie des autres tribunes l'a applaudi à l'annonce de son nom. Beye lui a donné le brassard « Je les ai vues (les banderoles), disait après coup le natif de Mâcon. Pour être honnête, je m'y attendais, on m'avait prévenu. Je peux comprendre certaines frustrations. Mais je suis ici pour tout donner, je pense qu'ils s'en rendront compte au fur et à mesure. Je ne fais pas attention à ça, je joue pour le Stade Rennais et on est une famille maintenant. » Pour être bien sûr d'avoir fait passer son message, les Rennais ont adressé une seconde pique après la pause : « Rongier, dirigeants du SRFC : la culture du club ne s'achète pas ». Cette fois, la direction du club breton, qui avait lancé une grande consultation sur l'identité des Rouge et Noir, était aussi visée. Le trentenaire avait de quoi être atteint. Mais l'ancien protégé de la Beaujoire a su répondre aux attentes de son entraîneur, qui lui avait confié pour cette première le brassard de capitaine. «J'ai bougé dans la préparation, disait après le match Beye, qui songeait un temps à Brice Samba. Mais il m'est apparu comme une évidence que ce serait lui. Il correspond à l'identité de notre club. » « C'est ma carrière et je la gère comme je l'entends » : Rongier assume son choix d'avoir signé à Rennes Rongier n'a pas été le dernier pour défendre ses partenaires auprès de l'arbitre quand la situation devenait orageuse. Il a même écopé d'un jaune logique pour avoir réclamé de manière véhémente un penalty (89e). Et dans le jeu, c'est comme si rien n'avait changé. Il a mis de l'ordre dans les circuits, guidé, proposé des solutions ou gratté des ballons. Simple, efficace. À la Rongier. « Val et moi, je pense qu'on est des joueurs qui ne trichent pas, soulignait Quentin Merlin, autre grand bonhomme de cette rencontre, lui aussi ex-nantais et marseillais. C'est ça qui fait notre force. Est-ce qu'on a retourné les supporters ? On verra dans la durée mais on est très contents. On est tous les deux fiers d'être rennais. » Cela valait bien pour finir un clapping avec Ermining et tous les nouveaux copains. En Mordelles, il n'y avait alors que chants, applaudissements, et les banderoles semblaient déjà bien loin. Les notes de Rennes-OM : Merlin réussit ses retrouvailles, Gouiri passe à côté


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