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Le Canada s'incline devant les États-Unis en demi-finale

Le Canada s'incline devant les États-Unis en demi-finale

La Presse17 hours ago
En finale, samedi, les États-Unis affronteront la Suède, tandis que le Canada jouera pour le bronze face à la Finlande.
(Brno) Joseph Salandra, Nikita Klepov et Blake Zielinksi ont marqué en tirs de barrage et les États-Unis ont défait le Canada 4-3, vendredi, lors des demi-finales de la Coupe Hlinka-Gretzky.
La Presse Canadienne
En finale, samedi, les États-Unis affronteront la Suède, tandis que le Canada jouera pour le bronze face à la Finlande.
« Nous sommes déçus par la défaite d'aujourd'hui, et il n'y a pas beaucoup de mots pour nous remonter le moral en ce moment, a déclaré le capitaine canadien, Keaton Verhoeff.
« Nous devons revenir demain et prouver que nous sommes une bonne équipe et que le match d'aujourd'hui n'était qu'une erreur de parcours. »
Zielinksi a aussi marqué en avantage numérique durant le temps réglementaire pour les Américains, qui ont aussi profité de buts de Noah Davidson et Luke Puchner.
Brady Knowling a effectué 34 arrêts en temps réglementaire et en prolongation. Il a ensuite frustré trois des quatre tireurs canadiens lors de la fusillade.
Tynan Lawrence et Mathis Preston ont marqué en troisième période pour le Canada, qui a effacé un déficit de 3-1.
« Nous sommes venus de l'arrière aujourd'hui, et il y a toujours des détails à améliorer quand on perd un match, a indiqué l'entraîneur-chef du Canada, Mathieu Turcotte.
« Nous avons senti que nous avions pris le contrôle du match en troisième période, mais nous n'avons malheureusement pas pu terminer le travail. »
Ethan Belchetz a marqué l'autre but du Canada. Gavin Betts a arrêté 29 lancers, mais a été battu par chacun des trois tireurs américains en fusillade.
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La chance de se faire un nom pour de bon
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time4 hours ago

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La chance de se faire un nom pour de bon

La chance de se faire un nom pour de bon Il a beau être en pleine ascension, il a beau déjà avoir un titre mondial en poche, Osleys Iglesias demeure quelque peu méconnu sur la planète boxe. Il a cependant la ferme intention de mettre fin à cet anonymat relatif dans trois semaines. Le 4 septembre, le boxeur de 27 ans se mesurera au Russe Vladimir Shishkin au Casino de Montréal. L'enjeu de cet affrontement n'est pas banal : le gagnant deviendra l'aspirant obligatoire au titre de l'IBF chez les super-moyens, détenu par Saul « Canelo » Álvarez. Il s'agira d'un premier combat en 2025 pour le Cubain, lui qui s'est battu à quatre reprises l'an dernier. Iglesias, recruté par Eye of the Tiger Management en 2023, est déjà champion de l'IBO chez les 168 lb. Une fédération, il faut bien le dire, beaucoup plus confidentielle que l'habituel quatuor formé de l'IBF, du WBC, de la WBA et de la WBO. Mais grâce à ce choc d'envergure organisé par l'un de ces quatre grands cavaliers pugilistiques, et à la récompense qui attend le vainqueur, Iglesias aura la meilleure chance qu'il ait eue jusqu'ici de se faire un nom sur la scène internationale. Et il compte en profiter au maximum. « Ce combat va faire beaucoup de bruit et va résonner un peu partout dans le monde », résume le boxeur en visioconférence avec La Presse vendredi, par l'entremise d'un interprète. C'est le combat qui va m'ouvrir les portes au niveau mondial. C'est le genre de combat où, quand on y arrive, les gens disent qu'il faut être au niveau. Je suis au niveau, et on va montrer que je le suis. Osleys Iglesias Toujours invaincu chez les professionnels, Iglesias a obtenu 12 de ses 13 victoires en passant le knock-out à son adversaire. Il surfe actuellement sur une séquence de sept gains consécutifs acquis avant la limite. Sa force de frappe ne fait plus aucun doute pour tous ceux qui l'ont vu à l'œuvre. Mais étant donné tout ce que ce combat représente, ressent-il une pression supplémentaire pour non seulement l'emporter, mais le faire de façon aussi convaincante que spectaculaire ? « Quand j'entre dans la danse, je vais danser, illustre-t-il. Quand je vais travailler, je travaille. Pour moi, ce n'est pas de la pression. Au contraire, ce sont des opportunités. » Il trouvera cependant un ennemi redoutable sur sa route. Car on peut en effet présumer que Shishkin (16-1, 10 K.-O.), âgé de 34 ans, voudra venger sa seule défaite en carrière, subie en octobre dernier face à William Scull. Une décision unanime des juges qui n'a pas manqué de soulever la controverse. « [Contre Shishkin], c'est le genre de combat qui peut se compliquer, croit Iglesias. Il faudra aller chercher la technique, la contre-attaque. Je visualise beaucoup ce combat. Mais préparé comme je le suis, je peux gagner. » Un rival si proche La division des super-moyens est en pleine ébullition par les temps qui courent. « Canelo » Álvarez en demeure le grand roi, mais les prétendants à la couronne sont nombreux. Et affamés. Iglesias est bien sûr l'un de ceux-là, mais un autre poulain de l'écurie Eye of the Tiger a aussi ses visées sur la ceinture. Vous aurez reconnu ici Christian Mbilli, qui se battra d'ailleurs le 13 septembre contre Lester Martinez en Arabie saoudite… en sous-carte, tiens donc, du duel entre Álvarez et Terence Crawford. Assisterons-nous à la naissance d'une rivalité, amicale mais néanmoins fratricide, entre Iglesias et Mbilli en attendant un hypothétique affrontement entre eux, alors qu'ils feront leur chemin vers le championnat du monde ? Oubliez ça. Du moins, selon Iglesias. PHOTO EDOUARD PLANTE-FRÉCHETTE, ARCHIVES LA PRESSE Christian Mbilli « Christian, ce n'est pas quelqu'un à qui je porte attention, lâche-t-il. Je lui souhaite le meilleur. Le minimum d'amitié qu'on a, c'est de se dire : allô, bonjour. Mais je suis prêt pour tout le monde dans ma division, que ce soit Canelo, [Diego] Pacheco ou Christian. » « Je sais qu'il veut devenir champion à 168 lb, mais il y a une tornade qui vise le sommet aussi », ajoute celui qu'on surnomme El Tornado. Une promesse à tenir Même s'il l'emporte contre Shishkin, Iglesias ne sera pas satisfait. Enfin, pas totalement. Un statut d'aspirant obligatoire, c'est bien. Un éventuel titre mondial, c'est encore mieux. Mais ce qu'il souhaite surtout, c'est tenir cette promesse faite à sa mère lorsqu'il s'est expatrié en Allemagne pour poursuivre son entraînement. Là où il demeure toujours, avec sa femme et leur enfant. La promesse de rentrer dans sa terre natale uniquement lorsqu'il aura mis la main sur toutes les ceintures chez les super-moyens. Une quête pour le moins colossale. « La promesse que je lui ai faite, ça fait cinq ans que je l'ai faite, et je tiens à l'accomplir, insiste-t-il. Ce n'est pas de devenir champion du monde avec une ceinture, c'est d'être champion avec toutes les ceintures. » Iglesias affirme cependant qu'il ira visiter sa mère après le duel contre Shishkin. Car même s'il est bien déterminé à respecter son engagement, il admet que le poids de la distance se fait parfois sentir. « Un fils va toujours manquer à sa mère, et une mère va toujours manquer à son fils », dit-il. Iglesias espère donc réussir ce pas de plus vers un titre mondial le 4 septembre. Et, par le fait même, vers le bercail.

« Ça va être un combat »
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Avec leurs 25 points, les Roses n'ont jamais quitté le top 2 cette saison. Un duel de haute voltige se jouera au stade Boréale, ce samedi après-midi. Les Roses de Montréal y affronteront le Rapide d'Ottawa, avec à l'enjeu la deuxième place au classement de la Super Ligue du Nord (SLN). Jeudi dernier, notre journaliste est allé faire un tour à l'entraînement des Fleurs bleues, à Laval. Pour mettre la table à ce match, voici ce qui a été retenu dans son calepin de notes. Pridham, un grand test pour la défense PHOTO JEFF MCINTOSH, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE Delaney Baie Pridham, du Rapide d'Ottawa, est la meilleure marqueuse de la Super Ligue du Nord. Delaney Baie Pridham contre les remparts montréalais. La meilleure attaquante de la SLN contre la meilleure défense du circuit. À elle seule, DB Pridham a inscrit 12 buts en 15 matchs, soit autant que les Roses en ont accordé en 2025. « Ça va être un combat, a avancé l'entraîneur-chef montréalais Robert Rositoiu. Ça va être bon. C'est une équipe contre qui on a de bons résultats, donc elles vont venir encore plus fort. » Avec leurs 25 points, les Roses n'ont jamais quitté le top 2 cette saison. Pour l'instant, Toronto domine avec 32 unités, mais il a aussi joué deux matchs de plus. « Je suis très content d'où nous en sommes en tant que groupe, dans la façon dont nous jouons, déclare Rositoiu. J'ai vraiment le sentiment qu'on entre dans la dernière ligne droite de la saison sur un high. » « C'est vraiment d'être tueuse » PHOTO CHARLES WILLIAM PELLETIER, ARCHIVES COLLABORATION SPÉCIALE Mégane Sauvé (à droite) Selon Rositoiu, même si son équipe a perdu 2-1 face à Toronto la semaine dernière à domicile, elle a « passé un cap ». C'était 18 tirs tentés, 5 cadrés, 10 corners, 22 centres… mais un seul but. La finition, c'est encore ce qui fait défaut à cette équipe des Roses. « On est vraiment capables de se rendre dans le tiers offensif, assure la capitaine Mégane Sauvé. Mais souvent, on a tendance peut-être à se précipiter ou à ne pas faire le bon choix. Dans la boîte, c'est vraiment d'être tueuse. Quand il y a un ballon qui rebondit, il faut être au ballon. » Tout ceci a été au menu à l'entraînement cette semaine. En plus, les Roses ont joué un match amical contre l'Université McGill, dimanche dernier, notamment pour donner du temps de jeu à des joueuses qui n'en ont pas eu beaucoup cette saison. Elles répéteront l'expérience ce dimanche. Chaerim Kang, « il faut juste la laisser jouer » PHOTO FRANÇOIS ROY, ARCHIVES LA PRESSE Chaerim Kang à l'entraînement D'ailleurs, la nouvelle recrue, la Sud-Coréenne Chaerim Kang, a joué dans cette rencontre amicale. Qu'en a pensé son entraîneur ? « C'est une joueuse de ballon, assure Rositoiu en souriant. Je pense qu'elle est encore un peu dans l'adaptation linguistique. […] Ce que ce match amical m'a appris de Chaerim, c'est qu'il ne faut pas trop lui parler. Il faut juste la laisser jouer. » À ce sujet, il est particulier, et plutôt amusant, de voir son interprète la suivre pendant l'entraînement – à quelques pas de distance quand même – pour s'assurer qu'elle comprend ce qui se dit et s'enseigne. « Sur le terrain, nous utilisons presque tous les mêmes termes de soccer, nous a-t-elle dit, par le truchement de sa traductrice. Alors je peux presque tout comprendre. Et en dehors du terrain, j'ai beaucoup d'aide de mon interprète. » La gardienne Anna Karpenko aime beaucoup l'avoir dans l'équipe. Et pas juste pour son foot. « Premièrement, c'est une humaine incroyable, dit-elle. Super polie. Super respectueuse. En équipe, nous sommes allés au barbecue coréen ! » Le Daldongnae, sur Sainte-Catherine. « Nous nous imprégnons de sa culture, elle s'imprègne de la nôtre, ajoute Karpenko. C'est difficile de faire le tour du monde, d'apprendre une nouvelle langue, de rencontrer des nouvelles personnes. Mais elle en profite, et on essaie de le faire réciproquement. Elle semble être le genre de joueuse qui dirait qu'elle préfère faire la passe que de marquer elle-même. » Leas se rapproche, Hess à l'écart PHOTO ARLYN MCADOREY, ARCHIVES LA PRESSE CANADIENNE La défenseure Julia Leas (5) Elle était titulaire indiscutable en début de saison. Mais depuis trois mois, tout ce qu'il y avait d'indiscutable, c'était sa longue réadaptation. Enfin, Julia Leas semble se rapprocher d'un retour au jeu, elle qui a été à l'écart depuis sa blessure à la cheville, le 25 mai. Elle a participé à des exercices à l'entraînement cette semaine, en portant un dossard orange de non-contact. « On est tellement contents qu'elle soit de retour, a indiqué Rositoiu. Elle sera en non-contact la semaine prochaine également. On regarde peut-être pour un retour au jeu pour le match [du 30 août], à Vancouver. » Son éventuel retour créera de beaux problèmes pour le personnel des Roses. 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Kirk joue les héros pour Toronto
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time12 hours ago

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Kirk joue les héros pour Toronto

(Toronto) Alejandro Kirk a donné l'avance aux Blue Jays avec un simple de deux points en huitième, jeudi, guidant Toronto vers une victoire de 6-5 devant les Rangers du Texas. Tim Wharnsby La Presse Canadienne Alors que les buts étaient remplis, Kirk a frappé la balle entre le deuxième but et l'arrêt-court, poussant au marbre Bo Bichette et Vladimir Guerrero. Kirk avait claqué un circuit de deux points en septième manche. Peu après son simple déterminant, Kirk a volé son tout premier but en carrière. Toronto a fait tourner le vent en inscrivant quatre points durant la huitième manche. Bichette a réduit l'avance des Rangers à 5-3 à l'aide d'un simple d'un point. Puis, contre Phil Matton (2-5), Daulton Varsho a obtenu un but sur balles avec les buts remplis. Kirk a ensuite réussi le gros coup sûr, au plus grand plaisir des 42 260 partisans au Rogers Centre. PHOTO JOHN E. SOKOLOWSKI, IMAGN IMAGES FOURNIE PAR REUTERS Alejandro Kirk (30) frappe un gros coup sûr Louis Varland (4-3) a signé le gain et Jeff Hoffman le sauvetage, son 28e de la saison. Hoffman a retiré sur des prises Josh Jung, Kyle Higashioka et Josh Smith. Higashioka a frappé un circuit de trois points en deuxième, six manches avant un circuit de deux points de Marcus Semien. Les Rangers perdaient un troisième match d'affilée. Les deux lanceurs partants ont travaillé durant cinq manches. Jacob deGrom n'a alloué qu'un simple et le 30e double de Guerrero, disposant de cinq frappeurs au bâton. Chris Bassitt a alloué trois points, quatre coups sûrs et quatre buts sur balles. Voltigeur de droite, Lukes a été superbe en défense. En première période, il a sauté à la clôture pour faire un catch face à Joc Pederson. À la manche suivante, son puissant relais a épinglé Evan Carter au deuxième but, alors que ce dernier voulait étirer un simple en double. Le lancer protocolaire a été effectué par la Torontoise Victoria Mboko, championne de l'Omnium Banque Nationale.

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