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Trump annonce des droits de douane de 100 %

Trump annonce des droits de douane de 100 %

La Presse2 days ago
(Washington) Le président américain Donald Trump a annoncé mercredi qu'il comptait imposer 100 % de droits de douane sur les « puces et semi-conducteurs », sans préciser, pour l'instant, la date d'entrée en vigueur de cette nouvelle taxe douanière.
Agence France-Presse
« Nous allons mettre d'importants droits de douane sur les puces et semi-conducteurs », a-t-il déclaré depuis la Maison-Blanche, « autour de 100 %. Mais c'est une bonne nouvelle pour les entreprises qui les fabriquent aux États-Unis ».
Plus de détails à venir.
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Les États-Unis décident finalement d'augmenter les droits de douane sur le bois d'œuvre
Les États-Unis décident finalement d'augmenter les droits de douane sur le bois d'œuvre

La Presse

time7 hours ago

  • La Presse

Les États-Unis décident finalement d'augmenter les droits de douane sur le bois d'œuvre

Un communiqué du département américain indique que les droits pour la plupart des entreprises canadiennes passent de 6,74 % à 14,63 %, après avoir déterminé que le bois d'œuvre résineux canadien était injustement subventionné. Les États-Unis décident finalement d'augmenter les droits de douane sur le bois d'œuvre Le département du Commerce des États-Unis a annoncé sa décision sans appel de plus que doubler les droits compensateurs sur les importations de bois d'œuvre résineux canadien. Cette décision, selon des groupes d'entreprises de la Colombie-Britannique, portera préjudice aux collectivités des deux côtés de la frontière. Ashley Joannou La Presse Canadienne Un communiqué du département américain indique que les droits pour la plupart des entreprises canadiennes passent de 6,74 % à 14,63 %, après avoir déterminé que le bois d'œuvre résineux canadien était injustement subventionné. Cette augmentation s'ajoute à une récente hausse des droits antidumping, qui sont passés à 20,56 %, ce qui porte le niveau total des droits sur le bois d'œuvre résineux canadien à 35,19 %. Le département indique qu'il demandera maintenant au Service des douanes et de la protection des frontières des États-Unis de commencer à percevoir les sommes dues. Kurt Niquidet, président du BC Lumber Trade Council (BCLTC), a indiqué dans un communiqué que cette décision exerce une pression inutile sur les régions canadiennes dépendantes de la foresterie, tout en faisant grimper les coûts de construction pour les constructeurs américains. Le Conseil affirme que les gouvernements canadien et américain doivent faire de la résolution du conflit de longue date sur le bois d'œuvre résineux une priorité économique absolue. « En l'absence d'un règlement négocié, le BCLTC continuera de collaborer étroitement avec le gouvernement du Canada et ses partenaires de l'industrie pour défendre les intérêts canadiens par tous les moyens juridiques disponibles, y compris les procédures en vertu de l'Accord États-Unis-Mexique-Canada », peut-on lire dans la déclaration. Le Conseil des industries forestières de la Colombie-Britannique a affirmé que le gouvernement provincial doit prendre des mesures, notamment en simplifiant les processus d'autorisation, en activant les ventes de bois d'œuvre provinciales et en supprimant les goulots d'étranglement interministériels. « Avec les bons outils politiques, la Colombie-Britannique peut envoyer un message fort : elle est déterminée à créer un climat propice aux investissements des fabricants de produits forestiers primaires et secondaires, garantissant ainsi un approvisionnement stable en produits du bois pour la Colombie-Britannique, le Canada et au-delà », a déclaré la présidente Kim Haakstad dans un communiqué. Le premier ministre Mark Carney était en Colombie-Britannique cette semaine, promettant 700 millions en garanties de prêts pour l'industrie et 500 millions en soutiens à long terme pour aider les entreprises à diversifier leurs marchés d'exportation et à développer leurs produits.

Guilbault évoque l'idée de « réduire » la SAAQ
Guilbault évoque l'idée de « réduire » la SAAQ

La Presse

time14 hours ago

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Guilbault évoque l'idée de « réduire » la SAAQ

(Québec) Geneviève Guilbault a évoqué l'idée de « réduire » la taille de la SAAQ et de procéder à des « optimisations » au moment où l'organisme public croule sous les déficits et la mauvaise presse. La ministre des Transports a annoncé vendredi la mise en place d'une « cellule de restructuration » de la Société de l'assurance automobile du Québec (SAAQ). Il s'agit du dernier coup de volant de la ministre – après les nominations d'une nouvelle présidente et d'une nouvelle PDG – pour redresser l'organisme en déroute. « Rien n'est exclu », a précisé la ministre à propos des changements qui attendent la SAAQ. Il y a clairement un ménage à faire à la SAAQ. Geneviève Guilbault, ministre des Transports Le comité formé de trois experts dits indépendants devra formuler une série de recommandations – en parallèle de celles de la Commission Gallant – pour transformer de fond en comble l'organisme. Il doit commencer le travail à la fin de l'été, intégrer les conclusions de la commission Gallant attendues en décembre et livrer ses propres recommandations au maximum deux mois plus tard, soit en février 2026. « Je ne veux pas qu'on arrive avec le dépôt du commissaire Gallant qui porte sur un certain volet, et qu'on se dise 'mais qu'en est-il du reste de la SAAQ ?'. Est-ce qu'il n'y a pas lieu de faire des changements plus en profondeur ? », a expliqué Geneviève Guilbault. « Peut-être réduire la taille de la SAAQ ? Ils sont 4813 actuellement », a lancé la ministre, qui a ajouté que l'organisme avait au 31 décembre dernier 492 millions de dollars de déficit. Le comité devra donc évaluer la situation financière de la SAAQ « et nous proposer des mesures d'optimisation pour résorber le déficit et retourner à l'équilibre budgétaire ». Rappelons que la commission Gallant s'intéresse au virage numérique de la SAAQ, qui a coûté près de 500 millions de plus que prévu. Les trois membres de la « cellule de restructuration » sont Linda Gosselin, André Legault et Pierre Rodrigue.

« Il y a clairement un ménage à faire à la SAAQ », affirme Guilbault
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