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Décors immersifs, histoires, innovations... Comment Disneyland veut rester le roi des parcs d'attractions

Décors immersifs, histoires, innovations... Comment Disneyland veut rester le roi des parcs d'attractions

Le Figaro4 days ago
DISNEYLAND, UN RÊVE DEVENU EMPIRE (3/3) - Il y a 70 ans, Walt Disney révolutionnait les parcs d'attractions avec son premier Disneyland, près de Los Angeles. De plus en plus concurrencé, le numéro un mondial cultive sa différence... et investit massivement pour innover.
«Disneyland est devenu la référence» : des États-Unis à la Chine, comment le parc a conquis le monde
«Le rêve de Walt est un cauchemar» : il y a 70 ans, l'inauguration du premier Disneyland tournait au chaos
Il y a 70 ans, Walt Disney révolutionnait les parcs d'attractions avec son premier Disneyland, près de Los Angeles, un rêve fou dans lequel le producteur de cinéma mettra toutes ses économies. Malgré une ouverture chaotique, le 17 juillet 1955, Disney a depuis conquis le monde en exportant son concept en Europe et en Asie. Mais l'entreprise, dont le concept a inspiré de nombreux concurrents, doit redoubler d'efforts pour cultiver sa différence et rester leader mondial de l'industrie des parcs de loisirs. Dans cette série en trois épisodes, Le Figaro vous embarque dans les coulisses des royaumes enchantés Disney et de leur bataille pour rester au sommet.
La plupart des visiteurs qui passent devant ce comptoir n'y voient sûrement qu'un kiosque qui vend des chips. L'Overland Trail Cafe, idéalement situé en face de l'entrée de Big Thunder Mountain, l'une des attractions les plus populaires de Disneyland Paris, a pourtant une longue histoire derrière lui. Ce point de restauration dédié aux passagers des diligences s'arrêtant à proximité a fait la fortune de son excentrique propriétaire à l'époque de la ruée vers l'or, comme le rappellent les affiches et coupures de journaux disséminées à proximité, ornées de photos d'époque de la patronne.
Une histoire évidemment factice : nous sommes en Seine-et-Marne, bien loin du Far West américain. Mais Laurent Cayuela, producteur de contenu thématisé chez Walt Disney Imagineering Paris, pourrait la raconter avec passion jusque dans ses moindres détails, avec le sérieux et l'aplomb d'un historien. «Ça peut paraître beaucoup juste pour vendre des Doritos, mais pour nous c'est un tout nouvel univers à imaginer !» C'est que, dans les parcs Disney, on porte une attention toute particulière aux récits : que…
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Une pièce d'histoire pour les fans de la saga. Le célèbre sabre laser de Dark Vador, qui a servi à couper la main de Luke Skywalker dans l'épisode de Star Wars « Le Retour du Jedi » , a été exposé mercredi à Londres, avant d'être mis aux enchères à Los Angeles début septembre. Ce « Saint Graal » risque de coûter un bras à son futur acquéreur : il est estimé jusqu'à 3 millions de dollars (2,6 millions d'euros). L'une des « deux » armes « C'est tout simplement une pièce incroyable de l'histoire du cinéma », déclare Brandon Alinger, directeur des opérations de la maison de ventes Propstore, lors d'une présentation à Londres des lots les plus importants de la vente. L'arme a été maniée par Dark Vador lors de légendaires scènes de combat dans « L'Empire contre-attaque » (1980) et « Le Retour du Jedi » (1983). À voir aussi David Prowse, l'acteur derrière le masque noir, et le cascadeur Bob Anderson utilisaient en réalité deux modèles. L'un, sans lame, attaché à la ceinture du méchant, et l'autre, pour les scènes de combat, doté d'une lame en bois. 40 années chez un particulier américain C'est la version utilisée pour les combats, mais dépourvue de sa lame en bois, qui est mise en vente, après avoir été conservée pendant 40 ans par un particulier américain. « Quelqu'un (…) est venu nous voir et nous a dit : J'ai ça à vendre. Nous étions stupéfaits », a expliqué le fondateur de Propstore, Stephen Lane, comparant l'importance de cette pièce à celle des souliers rouges portés par Judy Garland dans « Le Magicien d'Oz ». Les experts ont authentifié l'objet en comparant ses bosses et rayures à celles visibles dans les films. « Regardez la grosse bosse à l'arrière, elle vient probablement de la lame du sabre laser de (l'acteur de Luke Skywalker) Mark Hamill », explique Brandon Alinger. Des pièces de collections Malgré sa valeur, l'objet est constitué d'une partie d'un ancien flash d'appareil photo, auquel ont été ajoutées des pièces de récupération, issues notamment d'une calculatrice. Parmi les autres pièces proposées lors de cette vente aux enchères qui se tiendra du 4 au 6 septembre, figurent le fouet, la ceinture et l'étui utilisés par Harrison Ford dans « Indiana Jones et la Dernière Croisade » (1989).

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Cet objet culte du cinéma sera mis à la vente à Los Angeles en septembre prochain tout comme d'autres pièces qui pourraient faire grimper les enchères. Le célèbre sabre laser de Dark Vador, qui a servi à couper la main de Luke Skywalker dans l'épisode de Star Wars «L'Empire contre-attaque », a été exposé mercredi à Londres, avant d'être mis aux enchères à Los Angeles début septembre. Ce «Saint Graal» risque de coûter un bras à son futur acquéreur : il est estimé jusqu'à trois millions de dollars (2,6 millions d'euros). «C'est tout simplement une pièce incroyable de l'histoire du cinéma», déclare à l'AFP Brandon Alinger, directeur des opérations de la maison de ventes Propstore, lors d'une présentation à Londres des lots les plus importants de la vente. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour L'arme a été maniée par Dark Vador lors de légendaires scènes de combat dans L'Empire contre-attaque (1980) et Le Retour du Jedi (1983). David Prowse, l'acteur derrière le masque noir, et le cascadeur Bob Anderson utilisaient en réalité deux modèles. L'un, sans lame, attaché à la ceinture du méchant, et l'autre, pour les scènes de combat, doté d'une lame en bois. C'est la version utilisée pour les combats, mais dépourvue de sa lame en bois, qui est mise en vente, après avoir été conservée pendant 40 ans par un particulier américain. Publicité D'autres objets emblématiques du cinéma exposés «Quelqu'un (...) est venu nous voir et nous a dit : 'J'ai ça à vendre'. Nous étions stupéfaits », a expliqué le fondateur de Propstore, Stephen Lane, comparant l'importance de cette pièce à celle des souliers rouges portés par Judy Garland dans Le Magicien d'Oz. Les experts ont authentifié l'objet en comparant ses bosses et rayures à celles visibles dans les films. «Regardez la grosse bosse à l'arrière, elle vient probablement de la lame du sabre laser de (l'acteur de Luke Skywalker) Mark Hamill», explique Brandon Alinger. Malgré sa valeur, l'objet est constitué d'une partie d'un ancien flash d'appareil photo, auquel ont été ajoutées des pièces de récupération, issues notamment d'une calculatrice. Parmi les autres pièces proposées lors de cette vente aux enchères qui se tiendra du 4 au 6 septembre, figurent le fouet, la ceinture et l'étui utilisés par Harrison Ford dans Indiana Jones et la Dernière Croisade (1989). Mais aussi un «neuralyzer » utilisé par les agents J (Will Smith) et K (Tommy Lee Jones) pour effacer la mémoire dans Men in Black (1997). L'objet lumineux, dont l'affichage LED fonctionne encore, pourrait atteindre 150.000 dollars (environ 129.700 euros)

Blessée, Stevie Nicks contrainte de reporter une série de concerts
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La chanteuse américaine qui devait se produire aux États-Unis et au Canada, en août et en septembre, a décalé ses concerts du 28 octobre au 10 décembre. Les fans américains et canadiens devront encore attendre quelques semaines avant de voir sur scène Stevie Nicks. La chanteuse américaine aujourd'hui âgée de 77 ans est contrainte de reporter huit concerts solos prévus un peu partout aux États-Unis et au Canada, a annoncé son équipe le 2 août sur les réseaux sociaux. La star des Fleetwood Mac a l'épaule fracturée et doit repousser sa tournée. À découvrir TV ce soir : retrouver notre sélection du jour « En raison d'une blessure récente ayant entraîné une fracture de l'épaule qui nécessitera un temps de récupération, les concerts prévus en août et septembre seront reprogrammés », peut-on lire sur le communiqué. Les dates concernées par le report sont celles de Detroit, Toronto, Brooklyn, Cincinnati et Tampa. L'interprète de Dream se produira finalement dans ces villes entre le 28 octobre et le 10 décembre. Ses autres concerts prévus entre le 1er et le 25 octobre à Portland, Sacramento ou encore Las Vegas sont maintenus. « Stevie a hâte de revoir tout le monde bientôt et s'excuse auprès des fans pour ce désagrément. » Les billets prévus aux dates originelles restent valables pour les concerts reportés. Publicité Nouvel album en préparation Cette nouvelle intervient alors que Stevie Nicks a annoncé il y a quelques jours la réédition de son album Buckingham Nicks, réalisé en duo avec son ancien compagnon Lindsey Buckingham. Le disque, qui n'a jamais été réédité en physique, ni mis en ligne sur les plateformes de streaming, sortira le 19 septembre en quantité limitée à 5000 exemplaires. C'est cet album qui a permis aux deux chanteurs d'être repérés par Mick Fleetwood pour rejoindre le groupe de pop-rock Fleetwood Mac. Parallèlement, Stevie Nicks travaille sur son quatorzième album studio, comme elle l'a annoncé aux Pollstar Awards, une cérémonie américaine dédiée à la musique. Elle le décrit comme plus « autobiographique », composé de titres écrits « à partir de mes véritables souvenirs d'hommes fantastiques que j'ai pu fréquenter. Ce ne sont pas des chansons fictives de princesses où on se demande de qui on parle. Vous comprendrez maintenant de qui je parle. »

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