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Un policier a été renversé par un automobiliste à Châtel-Saint-Denis

Un policier a été renversé par un automobiliste à Châtel-Saint-Denis

24 Heures11 hours ago
Un accident s'est produit lundi entre un jeune conducteur et un agent de police. Ce dernier a été blessé dans sa chute et transporté à l'hôpital. Publié aujourd'hui à 11h34 Mis à jour il y a 1 minute
Un policier à moto a dû être conduit à l'hôpital après un accident de la route à Châtel-Saint-Denis, lundi 14 juillet.
Police cantonale Fribourg
Un policier à moto a dû être conduit à l'hôpital après un accident de la route à Châtel-Saint-Denis lundi, rapporte la police cantonale fribourgeoise .
«Peu avant 17 h, un automobiliste de 21 ans circulait sur la route de Montreux en direction du centre-ville», rapporte le communiqué. Lorsqu'il a tourné sur la gauche, le jeune homme est entré en collision «avec un motard de la police en course urgente remontant la file de voitures».
Dans le choc, l'agent de police a chuté de son véhicule et s'est blessé. Une ambulance l'a transporté à l'hôpital. Une enquête est en cours, précise la police cantonale fribourgeoise.
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Laure Schmidt est journaliste stagiaire au sein de la rubrique Suisse-Monde-Economie de la rédaction Tamedia depuis septembre 2023. Elle a étudié les sciences sociales et la psychologie à l'Université de Lausanne. Plus d'infos
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Denis Vipret fait dépublier les enquêtes de la RTS
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Dans la tourmente depuis la multiplication des témoignages l'accusant de gestes déplacés sur certaines patientes, le célèbre guérisseur fribourgeois contre-attaque. Publié aujourd'hui à 18h42 Le guérisseur Denis Vipret, dans le collimateur de la justice, se défend d'avoir eu des gestes déplacés auprès de certaines patientes. Ici en 2019. VQH/Jean-Paul Guinnard Coup de tonnerre dans l'affaire Denis Vipret. Le célèbre guérisseur fribourgeois a saisi la justice pour faire retirer toutes les publications de la RTS évoquant les gestes déplacés qu'il est accusé d'avoir commis sur certaines patientes durant ses séances thérapeutiques. À compter de ce mardi 15 juillet, plus aucune trace de l'enquête qui donnait la parole aux victimes présumées du magnétiseur sur le site de la RTS. Ces mesures superprovisionnelles visent uniquement la RTS. «24 heures», qui avait relayé les accusations portées par les enquêtes successives du service public, a fait le choix de dépublier également les articles concernés, le temps de la procédure. Depuis début juillet, de multiples témoignages rapportaient des comportements ambigus et répétés de la part de Denis Vipret dès 1995. Pour mémoire, il avait déjà été condamné en 2024 pour attouchements. Malgré ces nouvelles accusations, le guérisseur de Léchelles est présumé innocent et continue de pratiquer. Denis Vipret sort du silence Au-delà de la contre-attaque juridique, Denis Vipret sort de son silence à travers un communiqué que «24 heures» a obtenu en exclusivité. Il y clame son innocence et son mépris du «tribunal médiatique» qui chercherait à le détruire. Le guérisseur souligne le «respect profond» qu'il a pour chaque être humain. «J'ai passé ma vie à soulager des corps et des âmes fragilisés et en souffrance. Pas une seule fois je n'ai cherché à faire du mal, à blesser ou à troubler qui que ce soit.» Il promet que des «éléments importants» seront prochainement remis aux autorités compétentes. «Laissez-moi le temps de me défendre. Je le dis avec certitude: la vérité triomphera.» Denis Vipret assure qu'il exerce son métier depuis plus de quarante ans avec «rigueur, respect et humilité». Il remercie sa communauté pour ses «nombreux messages de soutien». Malgré les attaques médiatiques, le guérisseur de Léchelles «garde la tête haute» et reste «confiant». Denis Vipret dans la tourmente Newsletter «La semaine fribourgeoise» Découvrez l'essentiel de l'actualité du canton de Fribourg, chaque vendredi. Autres newsletters Thibault Nieuwe Weme a rejoint la rubrique vaudoise en octobre 2022. Après un Bachelor en science politique, il a obtenu son Master à l'Académie du journalisme et des médias (AJM) de l'Université de Neuchâtel. Il est également passé par la rédaction du Temps. Depuis juin 2025, il couvre l'actualité fribourgeoise. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

La disparition de «La Région» laisserait «un trou béant»
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Les réactions sont vives dans le Nord vaudois, où le quotidien se bat pour survivre après une grosse réduction de subvention fédérale. Publié aujourd'hui à 18h21 La rédaction du journal «La Région» est installée à Yverdon. Jean-Paul Guinnard/Tamedia En bref: L'information a stupéfié le Nord vaudois. Au lendemain de l'annonce du licenciement des 19 collaborateurs du journal «La Région Hebdo SA», en situation de surendettement, l'inquiétude est vive de voir disparaître le quotidien, fondé en 2006. Le conseil d'administration mène des discussions pour trouver des partenaires et les employés poursuivent leurs missions. «Les salaires seront payés», assure l'actionnaire principal, Jean-Claude Vagnières. «La perte de cet organe de presse local serait un appauvrissement extrême pour notre région. Cela laisserait un trou béant», décrit le syndic d'Yverdon-les-Bains, Pierre Dessemontet, avant de suggérer que la Ville pourrait augmenter sa publication d'annonces officielles en soutien. L'édile se dit surpris par la décision couperet de l'Office fédéral de la communication (Ofcom) de réduire drastiquement l'aide indirecte à la distribution pour le tous-ménages paraissant le jeudi – une perte de 50'000 francs par mois pour le journal. L'Ofcom considère désormais cette édition délivrée à 46'000 adresses comme un «journal gratuit non adressé». C'est la reprise de sa distribution par La Poste, avec un tarif plus que doublé, qui a donné lieu à cette nouvelle catégorisation depuis février 2025. «Je suis catastrophée! Il y a des abonnés qui n'ont que ça comme moyen de communication», s'outre Jacqueline Pillard, 87 ans et abonnée «depuis toujours». Ancienne journaliste et ex-préfète, Pierrette Roulet-Grin estime pour sa part «qu'un district du Jura-Nord vaudois aussi grand que le canton du Jura a besoin d'un journal, facteur de cohésion essentiel». Risque pour la démocratie locale «C'est con si le journal s'arrête pour des contraintes liées à sa distribution, regrette Marc Atallah, chroniqueur dans «La Région» depuis 2013. On va perdre un instrument démocratique et favoriser une radicalisation de la consommation d'information en ligne, induite par les algorithmes. Cet enfermement sur soi m'attriste.» De son côté, le Conseil d'État vaudois «se montre préoccupé par les annonces qui se succèdent au sein de différents titres ou groupes de presse avec des conséquences pour l'emploi», pointant du doigt l'augmentation des tarifs de distribution postale. Municipale d'Yverdon et conseillère nationale PS, Brenda Tuosto interpellera le Conseil fédéral en septembre, avec le soutien des parlementaires régionaux. «Il faut mettre la lumière sur cette situation qui met à mal la démocratie de proximité et le pluralisme médiatique. Il faut garantir un tarif postal soutenable pour la presse régionale.» Elle évoque une aide ciblée pour ce genre de cas et la révision des critères de subvention à la distribution. Plus d'infos dans le Nord vaudois Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Fabien Lapierre est journaliste à 24 heures depuis 2022. Basé à Yverdon-les Bains, il couvre principalement l'actualité du Nord vaudois, ainsi que de Neuchâtel. Diplômé de l'Ecole supérieure de journalisme de Lille en 2010, il a travaillé pour la télévision, derrière et devant la caméra, notamment à Canal Alpha. Plus d'infos @fabienlapierre Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Autour de Valérie Dittli, des conseillers déconcertants au sommet de l'État de Vaud
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L'ex-président de l'UDC Vaud a prodigué des conseils pour le «plan pouvoir d'achat» et l'ancienne directrice de la CVCI a «coaché» la conseillère d'État. Publié aujourd'hui à 18h01 Le secrétariat général du Département de la conseillère d'État Valérie Dittli connaît des mois mouvementés. Yvain Genevay En bref: Portée par une curiosité qu'on ne lui connaissait pas par le passé, la Commission des finances du Grand Conseil vaudois (Cofin) s'est penchée sur la gestion des mandats au sein de l'Administration cantonale. Dans son rapport sur les comptes 2024 de l'État de Vaud, elle recense un fatras de conseils externes, honoraires et autres expertises, pour près de 40 millions de francs. Dans le contexte de crise que vit le secrétariat général de l'ex-département de Valérie Dittli, celui des Finances et de l'Agriculture (ex-DFA), les intitulés de certains mandats piquent la curiosité. D'autant plus que les noms des mandataires ne sont pas dévoilés par la Cofin. «Nous ne souhaitions pas faire de publicité pour les personnes ayant eu des mandats à l'État, raison pour laquelle nous n'avons pas publié leur identité», indique Alexandre Démétriadès (PS), sous-commissaire à l'ex-DFA de la Cofin. Après une demande en vertu de la loi sur l'information, leur identité a été transmise à «24 heures», avec leur accord, par l'ex-Département des finances. Le pedigree et le profil très marqué politiquement de certains de ces mandataires sont déconcertants. Un mandat pour Kevin Grangier Président du l'UDC Vaud jusqu'à l'été 2024, Kevin Grangier a eu un mandat dans la foulée – entre septembre et octobre dernier – de «conseil en stratégie publique», en lien avec le contre-projet à l'initiative populaire pour une baisse d'impôt de 12%» , lit-on dans le rapport de la Cofin. Ses honoraires, 6486 francs, n'ont pas mis le Canton sur la paille. L'extravagance est ailleurs. «C'est curieux de demander à un partisan de l'initiative dite des 12% des «conseils en stratégie» pour le contre-projet à cette même initiative, résume Hadrien Buclin (EàG), sous-commissaire à l'ex-DFA de la Cofin. On peut y voir une tentative de la conseillère d'État – qui n'a pas de groupe parlementaire – pour s'attirer les bonnes grâces de l'UDC.» En effet, ce dernier est le seul parti – pour l'instant – qui soutient formellement l'initiative. «Je peux entendre que l'on fasse appel à Kevin Grangier pour ses compétences en matière de communication. Mais dans le cas présent, c'est étonnant d'un point de vue politique», ajoute Alexandre Démétriadès. Kevin Grangier, lui, note qu'il n'y a pas de contre-projet à l'initiative. Même dans sa communication, le Conseil d'État parle de «contre-projet indirect». C'est un abus de langage. «J'ai eu un mandat de conseil en communication pour un plan de soutien du pouvoir d'achat, conforme avec la politique défendue par l'Alliance vaudoise», explique l'intéressé. Il s'agit bien du «plan» du Conseil d'État et non de l'Alliance vaudoise. Quoi qu'il en soit, l'idée de prendre un partisan de l'initiative aurait pu être bonne, autrement dit, une sorte d'avocat du diable pour conseiller le gouvernement dans sa démarche. Mais c'est raté. Le plan de l'Exécutif n'a pas convaincu. À commencer par les troupes de Kevin Grangier, si l'on en croit le chef de groupe UDC, Cédric Weissert, qui s'exprimait lors du débat sur l'initiative au Grand Conseil , en décembre dernier: «La proposition du Conseil d'État ne satisfait pas notre groupe, qui, je le rappelle, a soutenu dès le départ l'initiative visant une baisse de 12% de l'impôt sur les personnes.» Un mandat pour Claudine Amstein Un autre mandat externe repéré par la Cofin attire l'attention: «expertise en matière de gestion de situations complexes», en lien avec les difficultés, qui ont ensuite conduit à la sollicitation d'un rapport d'expert externe sur le Département» de Valérie Dittli. Ce rapport, publié le 21 mars, est celui de l'expert indépendant Jean Studer, qui a mis en lumière la collaboration «gravement altérée» entre la cheffe du Département des finances et la directrice générale de la fiscalité. La mission «d'expertise de gestion des situations complexe» mentionnée par la Cofin a, quant à elle, été confiée à Claudine Amstein, au second semestre 2024, pour 5500 francs. Alexandre Démétriadès estime que l'on peut s'interroger sur ce «mandat en lien avec la Direction générale de la fiscalité, confié à Madame Amstein, ancienne directrice de la Chambre vaudoise du commerce et de l'industrie (CVCI), qui a toujours défendu les baisses fiscales». Pendant des années, elle a présenté le fameux baromètre fiscal de la CVCI qui surlignait la charge fiscale des Vaudois en comparaison intercantonale. En outre, la CVCI fait partie des promoteurs de l'initiative dite des 12%. Claudine Amstein indique qu'elle a signé un contrat de confidentialité. Elle ne peut donc «rien dire». Renseignements pris dans le landerneau cantonal, elle aurait surtout «coaché ponctuellement» Valérie Dittli dans la direction globale de son département et pas spécifiquement sur sa relation «complexe» avec la directrice générale de la fiscalité. Un mandat pour un ancien directeur fiscal de Nestlé Un mandat spécial sur la fiscalité a été confié, conjointement par l'ex-DFA et le Département de l'économie, à T-Way Consulting. Pour 45'077 francs. Cette entreprise a eu pour mission d'étudier «l'opportunité et les modalités d'introduction dans le canton de Vaud d'un dispositif visant à accompagner l'introduction du taux minimal à 15% sur le bénéfice des grandes entreprises». Cette société de conseil est dirigée par un ancien directeur fiscal de Nestlé. À l'époque de l'élaboration du projet d'imposition minimale de l'OCDE, en 2019, il avait jugé cette réforme «conceptuellement erronée», comme le rapportait alors la « Neue Zürcher Zeitung» . Pour Hadrien Buclin (EàG), «ce mandat ne présage rien de bon. Nous défendons une application pleine et entière du taux minimal, sans offrir d'astuces fiscales aux grandes entreprises pour l'atténuer. Or, nous devons bien relever qu'à travers ce mandat, des astuces fiscales sont à l'étude.» Un mandat d'organisation Enfin, la société Strategos a décroché le mandat de conseil pour l'organisation du Secrétariat général de l'ex-Département des finances et de l'agriculture. Une affaire à 18'241 francs pour une période allant du 15 août à la fin 2024. À noter que ce mandat s'est poursuivi en 2025. Un récent article de intitulé «Valérie Dittli seule face au naufrage de son Secrétariat général» , laisse entrevoir qu'il y a un encore du boulot. Les mandats de communication Newsletter «La semaine vaudoise» Retrouvez l'essentiel de l'actualité du canton de Vaud, chaque vendredi dans votre boîte mail. Autres newsletters Renaud Bournoud est journaliste à la rubrique vaudoise de «24 heures» depuis 2012. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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