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Au moins 63 morts de malnutrition dans une ville assiégée du Darfour

Au moins 63 morts de malnutrition dans une ville assiégée du Darfour

La Presse2 days ago
Au moins 63 personnes sont mortes de malnutrition en une semaine à el-Facher, ville assiégée dans l'ouest du Soudan en guerre, a indiqué un responsable du ministère de la Santé.
Au moins 63 morts de malnutrition dans une ville assiégée du Darfour
(Khartoum) Au moins 63 personnes sont mortes de malnutrition en une semaine à el-Facher, ville assiégée dans l'ouest du Soudan en guerre, a indiqué dimanche à l'AFP un responsable du ministère de la Santé.
Agence France-Presse
« Soixante-trois personnes sont mortes de malnutrition depuis le 3 août […], la plupart sont des enfants et des femmes », a déclaré ce responsable sous couvert d'anonymat, précisant que ce bilan concerne uniquement les personnes ayant pu atteindre l'hôpital.
D'autres détails à venir.
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Désolé, votre navigateur ne supporte pas les videos L'Égypte travaille avec les médiateurs en vue d'une trêve à Gaza (Gaza) L'Égypte a annoncé mardi travailler avec le Qatar et les États-Unis en vue d'un cessez-le-feu de 60 jours dans la bande de Gaza, où la Défense civile a fait état d'une intensification des bombardements israéliens sur la principale ville du territoire. par l'équipe de l'AFP dans la bande de Gaza, avec Michael BLUM à Jérusalem Agence France-Presse Ce qu'il faut savoir L'Égypte travaille avec le Qatar et les États-Unis à parvenir à un cessez-le-feu de 60 jours dans la bande de Gaza ; Après l'ONU, l'Union européenne et 24 autres pays ont dénoncé mardi une situation de « famine » à Gaza ; Alors que les bombardements s'intensifient dans la ville de Gaza, la Défense civile a annoncé la mort de 33 Palestiniens mardi à travers le territoire ; Israël avait approuvé vendredi un plan pour prendre le contrôle de la ville de Gaza et de camps de réfugiés voisins, sans fournir de calendrier ; Après 22 mois de guerre, Benyamin Nétanyahou, fait face à une pression croissante pour trouver une issue au conflit et obtenir la libération des otages retenus à Gaza. Peu avant cette annonce, deux sources palestiniennes ont déclaré qu'une délégation du Hamas était attendue au Caire pour rencontrer les médiateurs qui tentent de trouver une issue à la guerre, déclenchée le 7 octobre 2023 par l'attaque sanglante du mouvement islamiste contre Israël. De précédentes négociations indirectes menées à Doha par les trois pays médiateurs avaient échoué en juillet. Après 22 mois de guerre, le premier ministre israélien, Benyamin Nétanyahou, fait face à une pression croissante de son opinion publique pour trouver une issue au conflit et obtenir la libération des otages retenus à Gaza. PHOTO JEHAD ALSHRAFI, ASSOCIATED PRESS Une femme transporte de l'eau récupérée à un point de distribution dans la ville de Gaza, le 12 août 2025. À l'étranger, les appels se multiplient pour mettre fin aux souffrances des plus de deux millions de Palestiniens de Gaza. Après l'ONU qui a averti du risque d'une « famine généralisée », l'Union européenne et 24 autres pays ont dénoncé mardi une situation de « famine », appelant à agir de manière « urgente » pour y mettre fin. « La détresse humanitaire à Gaza a atteint un niveau inimaginable. Une famine se déroule sous nos yeux », ont écrit ces pays. « Nouvelle proposition » Le ministre égyptien des Affaires étrangères, Badr Abdelatty, a déclaré mardi que Le Caire travaillait « activement » avec Doha et Washington pour tenter de remettre sur les rails un projet de cessez-le-feu de 60 jours. « L'objectif principal est de revenir à la proposition initiale : instaurer un cessez-le-feu de 60 jours, avec la libération de certains otages et détenus palestiniens, ainsi que l'acheminement sans condition et sans restrictions de l'aide humanitaire et médicale vers Gaza », a ajouté le ministre. Des sources palestiniennes proches du dossier ont affirmé à l'AFP qu'une délégation du Hamas dirigée par son négociateur en chef, Khalil al-Hayya, était attendue mardi ou mercredi au Caire pour y rencontrer des responsables égyptiens. Selon une de ces sources, « les médiateurs sont en train de formuler une nouvelle proposition d'accord global de cessez-le-feu », prévoyant la libération, « en une seule fois », de tous les otages encore retenus à Gaza. « Le sol tremble » À Gaza, la Défense civile a annoncé la mort de 33 Palestiniens mardi à travers le territoire. Israël avait approuvé vendredi un plan pour prendre le contrôle de la ville de Gaza et de camps de réfugiés voisins, sans fournir de calendrier. « Pour le troisième jour consécutif, l'occupation israélienne intensifie ses bombardements » sur la ville de Gaza, située dans le nord du territoire, a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal. PHOTO AMMAR AWAD, REUTERS De la fumée s'élève après une frappe aérienne israélienne dans le nord de Gaza, le 12 août 2025. Les quartiers de Zeitoun et Sabra ont été touchés « par des frappes aériennes très intenses, ciblant des habitations civiles », a-t-il précisé. « L'occupation utilise tous types d'armes dans cette zone – bombes, drones, ainsi que des munitions explosives provoquant une destruction massive des habitations civiles », a-t-il affirmé. « Le bombardement est extrêmement intense depuis deux jours. À chaque frappe, le sol tremble. Il y a des martyrs sous les décombres que personne ne peut atteindre, car les tirs n'ont pas cessé », a témoigné Majed al-Hossary, un habitant de Zeitoun. Benyamin Nétanyahou avait affirmé dimanche qu'Israël contrôlait militairement « 70 à 75 % » de la bande de Gaza et qu'il restait à prendre la ville de Gaza ainsi que des secteurs du centre du territoire. 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Madonna exhorte le pape à se rendre à Gaza « avant qu'il ne soit trop tard » (Londres) Madonna a exhorté le pape à se rendre à Gaza et à « apporter (sa) lumière aux enfants avant qu'il ne soit trop tard ». Associated Press La mégavedette a publié son appel au souverain pontife sur les réseaux sociaux, lundi, expliquant que l'anniversaire de son fils Rocco l'avait incitée à publier ce message. Rocco a eu 25 ans lundi. S'adressant au pape Léon XIV, elle a écrit : « Très Saint-Père. S'il vous plaît, allez à Gaza et apportez votre lumière aux enfants avant qu'il ne soit trop tard. En tant que mère, je ne peux supporter de voir leurs souffrances. » « Les enfants du monde appartiennent à tous. Vous êtes le seul d'entre nous à qui l'on ne peut refuser l'entrée, a-t-elle ajouté. Nous avons besoin que les portes de l'aide humanitaire soient ouvertes pour sauver ces enfants innocents. Il n'y a plus de temps. » La chanteuse a ajouté qu'elle ne prenait pas parti dans la guerre. « Je ne cherche pas à accuser qui que ce soit ni à prendre parti. Tout le monde souffre. Y compris les mères des otages, a-t-elle soutenu. Je prie pour qu'ils soient également libérés. J'essaie simplement de faire mon possible pour empêcher ces enfants de mourir de faim. » Le pape a récemment renouvelé son appel pour un cessez-le-feu immédiat à Gaza, demandant à la communauté internationale de respecter le droit humanitaire et l'obligation de protéger les civils. PHOTO GREGORIO BORGIA, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Le pape Léon XIV « J'appelle une fois de plus à la fin immédiate de la barbarie de cette guerre et à une résolution pacifique du conflit », a déclaré le pape le mois dernier. Les travailleurs humanitaires et les médecins ont affirmé qu'après des mois de blocus israélien et de perturbations dans la distribution des fournitures, des enfants de Gaza sans antécédents médicaux commencent à mourir de malnutrition. L'offensive aérienne et terrestre israélienne, déclenchée par l'attaque du Hamas contre Israël le 7 octobre 2023, a déplacé la plupart des quelque deux millions de Palestiniens de Gaza et a plongé le territoire dans la famine. Les Nations unies ont indiqué que plus de 5000 enfants ont été diagnostiqués comme souffrant de malnutrition à Gaza en mai, bien que ce chiffre soit probablement sous-estimé. La malnutrition était pratiquement inexistante avant la guerre. Les médecins peinent à soigner les enfants, car de nombreuses fournitures sont épuisées, selon l'ONU. Israël nie l'existence d'une famine ou que des enfants meurent de faim. Le pays affirme avoir fourni suffisamment de nourriture tout au long de la guerre et accuse le Hamas d'avoir provoqué des pénuries en volant l'aide et en tentant de contrôler la distribution alimentaire.

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Un Palestinien aide une femme blessée à fuir le site d'une frappe israélienne à l'ouest de la ville de Gaza, le 12 août 2025. Intensification des raids dans la ville de Gaza, selon la Défense civile La Défense civile à Gaza a fait état d'une intensification des bombardements israéliens sur la ville de Gaza ces derniers jours et annoncé la mort de 24 Palestiniens mardi à travers le territoire palestinien ravagé par plus de 22 mois de guerre. Agence France-Presse Le cabinet de sécurité israélien a approuvé vendredi un plan pour prendre le contrôle de la ville de Gaza et de camps de réfugiés voisins, mais n'a pas fourni de calendrier pour cette opération. « Pour le troisième jour consécutif, l'occupation israélienne intensifie ses bombardements » sur la ville de Gaza, située dans le nord du territoire affamé et assiégé, a déclaré à l'AFP le porte-parole de la Défense civile, Mahmoud Bassal. Les quartiers de Zeitoun et Sabra ont été touchés « par des frappes aériennes très intenses ciblant des habitations civiles », a précisé M. Bassal. « L'occupation utilise tous types d'armes dans cette zone – bombes, drones, ainsi que des munitions explosives provoquant une destruction massive des habitations civiles », a-t-il affirmé. Selon M. Bassal, au moins 24 Palestiniens ont été tués dans les bombardements israéliens à travers la bande de Gaza mardi, dont plusieurs dans la ville éponyme. PHOTO AMMAR AWAD, REUTERS De la fumée s'élève après une frappe aérienne israélienne dans le nord de Gaza, le 12 août 2025. « Le bombardement est extrêmement intense depuis deux jours. À chaque frappe, le sol tremble. Il y a des martyrs sous les décombres que personne ne peut atteindre, car les tirs n'ont pas cessé », a témoigné Majed al-Hossary, un habitant de Zeitoun. Israël fait face à des critiques croissantes concernant son offensive dévastatrice dans le territoire palestinien, déclenchée par une attaque sans précédent du mouvement islamiste Hamas contre Israël le 7 octobre 2023. Le premier ministre israélien Benyamin Nétanyahou a affirmé dimanche qu'Israël contrôlait désormais militairement « 70 à 75 % » de la bande de Gaza et qu'il restait à prendre la ville de Gaza et des secteurs du centre du territoire. Le plan « ne vise pas à occuper Gaza, mais à la démilitariser », a-t-il dit, énumérant les objectifs d'Israël : « premièrement, désarmer le Hamas. Deuxièmement, tous les otages sont libérés. Troisièmement, Gaza est démilitarisée. Quatrièmement, Israël exerce un contrôle de sécurité prépondérant. Et cinquièmement, une administration civile pacifique non israélienne ». Quarante-neuf otages restent aux mains du Hamas et de son allié du Djihad islamique à Gaza – dont 27 déclarés morts par l'armée – sur les 251 personnes enlevées lors de l'attaque du 7-Octobre. Cette attaque a entraîné côté israélien la mort de 1219 personnes, en majorité des civils, selon un décompte de l'AFP établi à partir de données officielles. Les représailles israéliennes à Gaza ont fait 61 599 morts, majoritairement des civils, selon les données du ministère de la Santé du Hamas, jugées fiables par l'ONU. Tensions entre le chef de l'armée et le ministre de la Défense Le ministre israélien de la Défense, Israël Katz a rappelé à l'ordre mardi le chef de l'armée à propos de nominations de hauts gradés, sur fond de tensions entre l'armée et l'exécutif avant une nouvelle offensive militaire annoncée dans la bande de Gaza. Des « délibérations menées par le chef d'état-major » Eyal Zamir sur des nominations dans la hiérarchie militaire « se sont déroulées […] sans coordination ni accord préalable » du ministre, pointe un communiqué du ministère. PHOTO JACK GUEZ, ARCHIVES AGENCE FRANCE-PRESSE Un véhicule de combat de l'armée israélienne soulève un nuage de poussière alors qu'il se déplace le long de la frontière entre la bande de Gaza et le sud d'Israël. M. Katz « n'a pas l'intention de discuter ou d'approuver ces nominations », ajoute le texte. Le lieutenant-général Zamir a réagi peu après, via un communiqué de l'armée, affirmant « être l'unique autorité habilitée à nommer les officiers à partir du grade de colonel ». « C'est le chef d'état-major qui prend la décision concernant les nominations – celles-ci sont ensuite soumises à l'approbation du ministre », assure-t-il. Depuis deux semaines, des tensions sont apparues au grand jour entre le chef d'état-major et le gouvernement du premier ministre Benyamin Nétanyahou à propos de la suite des opérations militaires dans la bande de Gaza pour y libérer les otages israéliens et vaincre le Hamas. Selon la presse nationale, le général Zamir était opposé au plan validé vendredi d'une prise de contrôle de la ville de Gaza, une zone densément peuplée qui échappe pour le moment au contrôle militaire israélien exercé sur quelque 75 % du territoire palestinien, dévasté par 22 mois de guerre. Nommé en mars après le limogeage de son prédécesseur, le patron de l'armée a affirmé la semaine dernière qu'il continuera de s'exprimer « sans crainte » et de façon « professionnelle ». Le ministre de la Défense avait rétorqué que dans tous les cas le chef d'état-major doit « exécuter avec détermination » les décisions politiques du gouvernement.

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