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« Il ne jouera pas » : Tyrese Haliburton forfait pour la saison à venir après sa rupture du tendon d'Achille

« Il ne jouera pas » : Tyrese Haliburton forfait pour la saison à venir après sa rupture du tendon d'Achille

L'Équipe07-07-2025
Kevin Pritchard, le président des opérations basket des Pacers d'Indiana, a annoncé que Tyrese Haliburton ne foulerait pas les parquets de NBA lors de l'exercice 2025-2026. Le meneur de jeu s'est rompu le tendon d'Achille de la jambe droite lors du match 7 de la finale contre OKC.
Il était évident que Tyrese Haliburton ne refoulerait pas les parquets de NBA de sitôt. Kevin Pritchard a confirmé cette hypothèse lors d'un point presse, deux semaines après la rupture du tendon d'Achille dont a été victime le meneur de jeu lors du match 7 des finales NBA face au Thunder d'Oklahoma City. « Il ne jouera pas la saison prochaine », a expliqué le président des opérations basket de la franchise d'Indianapolis, qui veut à tout prix éviter de « compromettre » le rétablissement de sa star.
« Je n'ai aucun doute qu'il reviendra plus fort que jamais. L'opération s'est bien déroulée », a précisé Pritchard. Haliburton s'était écroulé dès le premier quart-temps du match décisif contre OKC, ce qui avait rendu la tâche encore plus compliquée pour les Pacers, qui avaient fini par s'incliner (103-91).
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Grand amateur de golf, le meneur des Golden State Warriors Stephen Curry a terminé cinquième, dimanche, de l'American Century Celebrity Golf Championship, un tournoi de golf entre célébrités qu'il avait remporté en 2023. Stephen Curry s'est contenté de la cinquième place de l'American Century Celebrity Golf Championship, tournoi de golf des célébrités. Grand amateur de golf, le meneur des Golden State Warriors - encouragé notamment par son coéquipier Jimmy Butler - a longtemps été en course pour le titre, mais a vu ses espoirs de victoire s'envoler au 18e trou sur un double bogey. Vainqueur du tournoi en 2023, édition où il avait notamment réalisé un fabuleux trou en un, Curry (37 ans) est le sportif en activité le mieux classé. D'autres joueurs NBA y participaient comme Austin Reaves (13e), le champion NBA 2025 Alex Caruso (17e) ou encore Kyle Lowry (38e). La famille Curry était également présente en nombre, le père Dell (27e) et le frère Seth (30e) ayant aussi participé. Le tournoi a été remporté par Joe Pavelski, ancien joueur de hockey en NHL.

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Débarrassé de sa thrombose à l'épaule droite, Victor Wembanyama est réapparu transformé à Las Vegas, où il participe à un stage d'été avec les San Antonio Spurs. Entre les doutes traversés et les enseignements tirés de sa première longue blessure, le jeune intérieur français s'est longuement confié à « L'Équipe », déterminé à revenir encore plus fort en NBA. Les Spurs n'auraient pas pu choisir meilleur lieu de résidence que le Fontainebleau à Las Vegas, gigantesque hôtel casino 5 étoiles d'inspiration française, récemment ouvert au coeur du célèbre Strip. Au 4e étage, une salle de réception aux lustres rutilants a été transformée en terrain de basket pour accueillir les joueurs de San Antonio. Les plus jeunes d'entre eux participent à la Summer League NBA, un tournoi d'été organisé à cinq kilomètres de là, tandis que les autres, Victor Wembanyama y compris, ont été convoqués dans le Nevada pour un stage d'entraînement et de cohésion d'équipe. « On sort d'un après-midi chez les Raiders (l'équipe locale de football américain). On a pu s'envoyer quelques balles, mais c'est vraiment pas facile », assure le jeune intérieur français (21 ans), qui nous a donné rendez-vous vendredi dans une salle de réunion avec vue sur la ville et les sommets du Red Rock Canyon, en fond. Attendu comme une superstar en NBA, le natif du Chesnay, dans les Yvelines, premier Français de l'histoire drafté en première position, en 2023, répondait aux attentes, décrochant le titre de meilleur rookie à l'unanimité en mai 2024, avant de connaître sa première sélection au All-Star Game le 16 février, pour sa deuxième saison dans la Ligue nord-américaine. Quatre jours plus tard, les médecins des Spurs lui détectaient une thrombose profonde à l'épaule droite, soit la formation d'un caillot sanguin dans une veine. Une blessure très sérieuse qui précipitait la fin de sa saison et amorçait le début d'une longue rééducation loin des terrains. « Ma tête a pas mal tourné au début. Jamais je n'avais passé autant de temps sans pouvoir jouer au basket », confie le géant de 2,24 m, qui a récemment été contraint de déclarer forfait pour l'Eurobasket avec l'équipe de France (27 août-14 septembre). Ces dernières semaines, il les a passées à voyager à travers le monde, à la fois pour « profiter de la vie » mais aussi travailler sur son corps, « pour lui permettre de faire des choses dont il n'était pas capable jusqu'ici ». Son initiation au kung-fu et à la méditation dans un temple Shaolin en Chine, le mois dernier, a notamment été fondatrice. Façonné par l'adversité, « Wemby » se dit déterminé à revenir encore plus fort avec les Spurs dans les prochains mois. Sa blessure : « Quand on a un problème de santé aussi grave dans la vie en général, pas forcément en tant que basketteur, on ne peut pas se permettre de prendre des risques » « RC Buford, le président des San Antonio Spurs, expliquait récemment dans nos colonnes que vous étiez très proche d'un retour à l'entraînement collectif. Qu'en est-il aujourd'hui ?Ça y est, je suis officiellement autorisé à reprendre. C'est tout frais, j'ai eu la validation du staff médical des Spurs il y a seulement quelques heures (vendredi). Ouf, je vais enfin pouvoir rejouer un peu au basket (rires) ! Ma blessure aura été une aventure, évidemment, mais le plus dur est passé. Je vais beaucoup mieux aujourd'hui, physiquement et mentalement. Un peu moins de cinq mois se seront écoulés entre la découverte de votre blessure, le 20 février, et votre retour "officiel" au basket. Où vous situez-vous par rapport au plan de rétablissement imaginé par les Spurs ?Je suis dans les temps de passage par rapport à ce qui avait été imaginé. Et bien en avance quand on regarde l'historique des joueurs NBA qui ont eu ce type de problème (*). On peut dire aujourd'hui que cette thrombose est officiellement derrière moi. Normalement, ça ne se reproduira pas. Maintenant, je dois continuer un travail spécifique pour mon épaule, et puis surtout reprendre tout ce qui concerne mes habitudes de basket. Ça fait cinq mois que je n'ai pas fait d'opposition à 5 contre 5. Si je devais avoir un match demain, ce serait risqué. Il y a plein de réflexes à retrouver, à la fois conscients et liés à la mémoire musculaire. « La première pensée qui vient, c'est : "j'ai été trahi par mon corps, il m'a laissé tomber." Mais ce n'est pas du tout la bonne vision à avoir » Victor Wembanyama Lorsque vous avez appris que vous souffriez d'une thrombose, comment encaisse-t-on une blessure aussi imprévisible quand on a façonné son corps à devenir une machine de perfection ?La première pensée qui vient, c'est : "j'ai été trahi par mon corps. Il m'a laissé tomber." Mais ce n'est pas du tout la bonne vision à avoir. Ce serait oublier tout ce que mon corps a fait pour moi dans le passé. Il vaut mieux réorienter la question en se demandant si j'ai trop tiré dessus, ou si j'en ai assez pris soin. Ai-je assez bien mangé ? Assez bien dormi ? J'aurais sans doute pu faire tout ça d'une meilleure manière pour éviter à mon corps de souffrir. Dans les jours qui suivent, la recherche de l'origine de la blessure doit également être sûr. On se pose la question et on essaie même de trouver un coupable. Mais même si on fait du mieux qu'on peut pour essayer de trouver une raison, il ne faut pas trop s 'attarder là-dessus. Après l'annonce de la blessure, je me suis très vite mis dans la planification de tout ce que j'allais devoir faire pour revenir le plus vite possible. Revenir d'abord en bonne santé, avant même de penser au basket. Certains sportifs ont été contraints d'arrêter leur carrière à cause de thromboses (Chris Bosh a disputé son dernier match en NBA à 31 ans en raison de caillots de sang à répétition). Est-ce que cela vous a traversé l'esprit ?Évidemment. J'ai eu la peur de ne plus pouvoir jouer au basket. Je pense qu'il nous arrive tous, parfois, d'avoir des réflexions irrationnelles sur les sujets qui nous tiennent le plus à coeur. Mais ce type de pensées te fait aussi changer en tant que personne, dans le bon sens. « Sans certitudes, je ne pouvais pas participer à l'Euro » Vous avez été contraint de renoncer à l'Euro avec l'équipe de France. Était-ce votre décision ? Celle des Spurs ?C'est une décision que j'ai officialisée tout seul auprès des coaches de l'équipe de France. Mais je l'ai prise après avoir consulté tous les staffs médicaux. L'idée, dès le départ, quand je suis sorti du gros de ma blessure et que j'ai commencé ma rééducation, c'était de prendre une décision qui ne laisserait place à aucune forme de doute. Quand on a un problème de santé aussi grave dans la vie en général, pas forcément en tant que basketteur, on ne peut pas se permettre de prendre des risques. J'aurais beaucoup aimé que ma rééducation se passe plus vite. Mais sans certitudes, je ne pouvais pas participer à l'Euro. En restant si discret sur la nature de votre blessure alors que le public français vous voyait actif ces dernières semaines, entre voyages, pratique du kung-fu et du football, n'avez-vous pas rendu plus difficile la compréhension de votre forfait pour l'Euro ?Bonne question... (Il réfléchit longuement.) Je pense qu'il y aurait eu du bon et du mauvais à donner plus d'informations. Mais les gens avec qui je communique régulièrement, au sein des Spurs et de l'équipe de France, comprennent totalement la situation. Je n'ai pas joué au basket depuis longtemps. Et ça ne revient pas comme ça. Même s'il y avait une finale NBA à jouer demain, je ne pense pas que je serais en état de la faire. Je reste convaincu qu'on peut gagner le tournoi, même sans moi, Evan (Fournier) et Rudy (Gobert) (les deux ont également déclaré forfait pour l'Euro). Je n'ai aucun doute sur le fait que ce soit leur but à tous, au sein de l'équipe. Sans aucune hésitation. Son intersaison : « Avec ce qui m'est arrivé, même si mes jours n'étaient pas en danger, ma vision a changé sur beaucoup de choses » Votre intersaison originale, entre le Costa Rica, la Chine et le Japon, répond-elle à un besoin de déconnexion ou à une volonté d'enrichir votre préparation mentale et physique en vue de la saison prochaine ?Un peu des deux. La première chose à dire, c'est que quand je m'entraînais réellement, il n'y avait pas de caméras. Ça se faisait à l'abri des regards. Par contre, quand je sortais et que j'allais m'amuser, c'est là qu'il y avait des vidéos qui circulaient (il sourit). Avec ce qui m'est arrivé, même si mes jours n'étaient pas en danger, ma vision a changé sur beaucoup de choses. J'ai eu envie de profiter de la vie, d'expérimenter plein de choses sans me demander à chaque fois s'il y avait des caméras autour de moi. Et pour ce qui est de mon choix de découvrir le kung-fu en Chine, c'est parce que j'étais persuadé qu'il y aurait des bienfaits physiques à faire une activité sportive aussi éloignée que possible de mes habitudes. C'était l'occasion d'améliorer les capacités de mon corps, la palette de mouvements qu'il était capable de faire. « On découvrait des mouvements qu'on n'avait jamais faits dans nos vies. C'était plus de 1 000 coups de pied à faire par jour, des sauts, des exercices d'équilibre, des étirements... » Victor Wembanyama à propos de son séjour dans un temple Shaolin Vous vous y êtes initié lors d'une retraite de dix jours dans un temple Shaolin à Zhengzhou. À quoi ressemblait votre quotidien là-bas ?J'y suis allé avec Guillaume (Alquier, son préparateur physique français chez les Spurs). On a été initiés sur place à la vie de moine guerrier, qui allie le bouddhisme et la pratique intensive du kung-fu. C'était très dur. On découvrait des mouvements qu'on n'avait jamais faits dans nos vies. C'était plus de 1 000 coups de pied à faire par jour, des sauts, des exercices d'équilibre, des étirements... On utilisait des muscles qu'on sollicitait rarement et qui étaient rapidement surchargés. J'ai eu certaines des plus grosses courbatures de ma vie (rires). C'était même trop à un moment donné. Il a fallu ralentir. Heureusement, mon shifu (terme chinois qui signifie "maître" ou "enseignant") était compréhensif. On a quand même pu vivre l'expérience jusqu'au bout, et on est devenus des moines à la fin. On fait officiellement partie de la 34e génération des moines guerriers du temple. Il y avait également une dimension spirituelle à cette expérience, avec beaucoup de méditation à la clé ?Énormément. On en faisait tous les soirs, et la plus longue session qu'on a faite a duré deux heures. Je n'ai pas eu d'effet eurêka, mais comme je le disais tout à l'heure, ça m'a permis encore plus de comprendre qu'on n'a pas toute la vie pour faire certaines choses. Sans trop rentrer dans les détails, c'est un peu cette idée qu'il faut se libérer des chaînes qu'on s'attache à soi-même. « Si on veut être considéré comme le plus grand de tous les temps au basket, on doit aussi être une icône culturelle en dehors. Et pour moi, personne n'incarne mieux ça que Michael Jordan » Le bouddhisme est-il la religion dont vous vous sentez le plus proche ?Non. Même si c'était très enrichissant, je ne peux pas dire que je suis devenu bouddhiste. J'ai d'ailleurs beaucoup appris sur le sujet lors de mon voyage en Chine, en général. En tant qu'Occidentaux, on n'a pas beaucoup d'informations sur leur façon de vivre et leurs croyances. En demandant à plusieurs personnes quelle était leur religion, je me suis rendu compte que la réponse n'était pas forcément claire. Contrairement à nous, ils ne se basent pas sur un livre religieux avec des règles bonnes ou mauvaises à suivre. Pour les Chinois, la religion est plus une philosophie de vie que quelque chose de très défini. Votre curiosité et vos expériences en dehors du basket font de vous un sportif touche-à-tout. En quoi est-ce important d'être "multidimensionnel", selon votre propre terme ?Même si ce n'est pas prouvé scientifiquement, de manière très claire, je sais qu'il y a des bénéfices à faire plein de types d'activités. Que ce soit en tant qu'enfant ou adulte. Je sais que ça développe beaucoup de choses chez l'être humain, et je vois que c'est quelque chose de très sous-estimé et sous-développé dans le sport. On a besoin d'une variété de choses pour pouvoir grandir, pour pouvoir développer ses différents systèmes, physiologiques comme psychologiques. Pour faire un lien avec le basket, l'appellation "GOAT" (acronyme de greatest of all time, le plus grand de tous les temps) n'enveloppe pas que le domaine sportif. Si on veut être considéré comme le plus grand de tous les temps au basket, on doit aussi être une icône culturelle en dehors. Et pour moi, personne n'incarne mieux ça que Michael Jordan. Ses ambitions : « Pour la saison prochaine, j'espère qu'on se qualifiera en play-offs. Et ça sans avoir besoin d'attendre la dernière journée » Sans vous, les Spurs ont manqué l'objectif des play-offs en avril. Depuis, le meneur Chris Paul est parti et seuls deux nouveaux joueurs sont arrivés (l'intérieur Luke Kornet et l'ailier-fort Kelly Olynyk), en plus des deux jeunes sélectionnés à la draft (le meneur Dylan Harper et l'ailier Carter Bryant). L'équipe a-t-elle besoin de renforts supplémentaires ?Pour moi, le plus gros de notre progression cet été se fera sur le noyau de joueurs actuels. On est tous en train de grandir, de vivre des expériences diverses. Est-ce que ce sera assez pour la saison prochaine ? Je pense que oui. Je fais confiance à la direction des Spurs et à Brian (Wright, le manager général). En tout cas, quand je regarde l'effectif actuel, je trouve ça très intéressant. « Les Spurs sont quand même des maîtres dans l'art de construire des équipes sans avoir à aller chercher des trop gros joueurs, ni avoir à sacrifier l'équilibre du groupe » Ces dernières semaines, plusieurs stars de la NBA ont été associées à San Antonio, comme Kevin Durant, finalement parti à Houston, ou Giannis Antetokounmpo, toujours à Milwaukee. Ne fallait-il pas recruter un joueur de ce calibre ?Non, je ne pense pas. Briser tout ton noyau pour un seul joueur fonctionne rarement. Et les Spurs sont quand même des maîtres dans l'art de construire des équipes sans avoir à aller chercher des trop gros joueurs, ni avoir à sacrifier l'équilibre du groupe. En mars 2024, au cours de votre première saison NBA, vous évoquiez l'objectif de remporter un titre dans les cinq ans. Aujourd'hui, l'équipe semble encore en chantier, et votre blessure a sans doute ralenti cette je pense au contraire que ma blessure a accéléré les choses. Même si je ne souhaite ça à personne, les réflexions et les remises en question causées par une telle blessure ne s'achètent pas. Je pense que c'est une expérience dont on va bénéficier dans le futur. Pour la saison prochaine, j'espère qu'on se qualifiera en play-offs. Et ça sans avoir besoin d'attendre la dernière journée. « Je sais que ce ne sont pas les ambitions de tout le monde en NBA, mais c'est évidemment mon rêve de faire toute ma carrière dans une seule franchise » Gregg Popovich n'est plus l'entraîneur des Spurs et reste convalescent aujourd'hui, après avoir souffert d'un AVC en novembre. Son absence doit laisser un gros vide à San Antonio. Comme un gouffre impossible à combler...(Il réfléchit longuement.) Un gouffre, je ne dirais pas ça. On le voit régulièrement et même de plus en plus. On voit également les progrès qu'il fait, et il continue à nous parler et à nous inspirer. C'est comme s'il nous forçait à tirer le positif de tout ce qu'il s'est passé la saison dernière. Un peu comme ma blessure, mais à un autre niveau, je pense que ça va nous forcer à devoir faire sans lui en tant que coach, à nous adapter et donc à devenir meilleurs, au final. Vous serez éligible à une prolongation de contrat juteuse l'été prochain, autour de 300 millions de dollars sur cinq ans (257 millions d'euros). Comptez-vous toujours vous inscrire à long terme chez les Spurs, voire passer toute votre carrière là-bas ?Pour être honnête, je n'ai pas encore réfléchi à cette prolongation de contrat, ni à son montant. Mais, oui, bien sûr. Je sais que ce ne sont pas les ambitions de tout le monde en NBA, mais c'est évidemment mon rêve de faire toute ma carrière dans une seule franchise. » À lire aussi La retraite spirituelle de Wemby décryptée par des moines Shaolin Batum : «J'ai un rôle à jouer jusqu'au bout» Pourquoi Yabusele a choisi les Knicks : «Ils me ressemblent : des bagarreurs» Des Knicks enfin «sexy» sous Mike Brown ?

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NBA : «Ça craint», Philadelphie regrette Yabusele, parti à New York

Le manager général des Sixers de Philadelphie, Daryl Morey, a dit regretter de ne pas avoir pu conserver le Français Guerschon Yabusele, qui s'est engagé avec les New York Knicks cet été. Guerschon Yabusele ne vivra pas de deuxième saison à Philadelphie. Et le manager général des Sixers, Daryl Morey, a confié avoir voulu conserver l'ailier-fort français, vice-champion olympique avec la France à Tokyo (2021) et Paris (2024). «Ça craint», a reconnu Morey dans des propos rapportés par The Athletic . Yabusele, 29 ans, a signé cet été un contrat de deux ans avec un salaire annuel 6 millions de dollars chez les New York Knicks. «Nous avons proposé à Guerschon le maximum sans que cela nous empêche de conserver Quentin (Grimes). C'était plus que le salaire minimum, mais moins que ce qu'il touchera au final», a expliqué Morey. Publicité Après un échec en NBA entre 2017 et 2019, Yabusele s'était refait la cerise en Europe, notamment au Real Madrid, et avait brillé avec les Bleus ces dernières années. L'ancien de l'Asvel s'est rendu précieux pour Philadelphie la saison passée : 70 matches dont 43 titularisations pour 11 points et 5,6 rebonds de moyenne, à 38% de réussite à 3-pts. Les Knicks ont atteint la finale de la conférence Est lors des derniers play-offs.

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