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Du frais d'ici plein les étals

Du frais d'ici plein les étals

La Pressea day ago
Quels sont les produits québécois et canadiens à prix réduit dans les supermarchés cette semaine ?
Viande et volaille
PHOTO TIRÉE DU SITE WEB DE MAXI
En salade, en brochettes ou bien assaisonnées, les poitrines de poulet format économique, sans peau, avec os, préparées au Canada, sont offertes à 3,99 $ les 454 g, 8,80 $ le kilo, chez Maxi.
Envie d'un poulet à la bière sur le barbecue ? Le poulet entier du Canada se vend 1,97 $ les 454 g, 4,34 $ le kilo, avec la carte Scène+, chez IGA. Sans la carte Scène, vous paierez le poulet 2,49 $ les 454 g, 5,49 $ le kilo.
Fruits, légumes et fines herbes
PHOTO TIRÉE DE LA CIRCULAIRE SUPER C
Plusieurs choix pleins de fraîcheur, en provenance du Québec et du Canada :
Les concombres des champs et les oignons verts se détaillent à 0,50 $ chez Maxi ;
Les radis en feuilles et la menthe se vendent 0,88 $ chez Super C ;
Les bottes de persil italien et frisé se trouvent à 0,99 $ chez Metro ;
Les champignons, les couronnes de brocoli et les tomates rouges de serres sont offerts à 0,99 $ chez IGA ;
Les courgettes jaunes et vertes se vendent 1,50 $ les 454 g, 3,31 $ le kilo, chez Maxi ;
Les sacs de 1,36 kg d'oignons jaunes se trouvent à 3,99 $ chez Adonis ;
Le chou-fleur à 1,95 $ chez Maxi ;
La laitue en feuilles rouges, vertes ou la laitue romaine dans les étals de Metro à 0,88 $ ;
Les fraises, format 1 L, à 2,84 $ chez Walmart ;
Les bleuets à 1,99 $ la chopine chez Metro.
Condiments
PHOTO TIRÉE DE LA CIRCULAIRE MAXI
Pour vos frites ou pour préparer votre ketchup aux fruits, le vinaigre blanc sans nom, format de 4 L, préparé au Québec, est offert à 1,50 $ chez Maxi.
Pour l'apéro, les trempettes et houmous Fontaine Santé, de 227 et 260 g, se vendent 2,94 $ chez Walmart.
Poissons et fruits de mer
PHOTO TIRÉE DE LA CIRCULAIRE IGA
Pour éviter de faire fonctionner le four, les cubes de tartare ou ceviche de pétoncles surgelés de Sushi à la maison de Geneviève Everell se trouvent à 8,99 $ les formats de 130 ou 135 g chez IGA.
Les tartares de saumon Shaker, format de 130 g, se vendent 8,99 $ chez Metro.
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La goutte de trop chez Trans-West
La goutte de trop chez Trans-West

La Presse

time12 minutes ago

  • La Presse

La goutte de trop chez Trans-West

Le stratagème des « chauffeurs inc. » provoque des mises à pied chez un important acteur de l'industrie, Trans-West. Le stratagème des « chauffeurs inc. » est la goutte qui fait déborder le vase chez Trans-West. Cet important acteur du transport routier transfrontalier au Québec est contraint d'effectuer des mises à pied, réduire les salaires et vendre une partie de sa flotte – un dénouement qu'il impute à l'inaction des gouvernements. En combinant ce stratagème au ralentissement économique et la baisse de l'intérêt des consommateurs d'ici envers les produits américains comme les fruits et légumes, la situation est devenue insoutenable, estime son président, Réal Gagnon. « La situation avec les chauffeurs inc. et des entreprises qui les engagent et qui ne paient pas de frais marginaux ne peut plus durer, écrit-il, dans une note interne que La Presse a pu consulter. Ce qui nous fait une concurrence déloyale auprès de nos clients. Malheureusement, le gouvernement fédéral n'a pas bougé et ne répond à aucune de nos demandes. » PHOTO HUGO-SEBASTIEN AUBERT, ARCHIVES LA PRESSE Réal Gagnon est président-directeur général de Trans-West. Si rien ne change, une centaine de postes de chauffeurs pourraient perdre leur gagne-pain à l'automne. Établie dans l'arrondissement montréalais de Lachine, Trans-West, qui compte notamment des distributeurs alimentaires parmi ses clients, compte aussi réduire sa flotte de 25 tracteurs à compter du 1er septembre. À cela s'ajoutent une baisse de la rémunération de la direction, des tarifs versés aux voituriers-remorqueurs et routiers. Un coupable Dans l'industrie, les « chauffeurs incorporés » – souvent issus de l'immigration – sont bien connus. Ils ne possèdent aucun équipement et ne vendent que leurs services auprès d'un client unique. Il ne s'agit pas de voituriers-remorqueurs, qui sont, par exemple, propriétaires d'un tracteur. Ces derniers sont des entrepreneurs et des travailleurs autonomes aux yeux du fisc. Dénoncée par l'industrie, cette pratique permet à l'entreprise fautive ayant recours au modèle de réaliser d'importantes économies. Le donneur d'ouvrage ne verse pas d'avantages sociaux et n'assure pas de protections de base du travail. En échange, le tarif horaire ou en fonction du kilométrage offert par la compagnie est généralement un peu plus élevé. « C'est de la concurrence déloyale, ajoute le vice-président des ventes de Trans-West, Pascal Gaudet, au téléphone. Des voyages disponibles, il y en a, mais au prix que l'on facturait il y a six ans. C'est la situation que le stratagème, très présent en Ontario, a créée. Ce n'est pas normal que l'on remarque autant de remorques immatriculées de l'Ontario sur nos routes. » Le coup de frein chez Trans-West devrait servir d'avertissement aux gouvernements, estime l'Association du camionnage du Québec (ACQ). Sans tour de vis, on risque de voir de plus en plus de décisions du genre chez les transporteurs, s'inquiète le président-directeur général de l'Association, Marc Cadieux. PHOTO ALAIN ROBERGE, ARCHIVES LA PRESSE Marc Cadieux, président-directeur général de l'Association du camionnage du Québec. « Il y a un paquet d'entreprises qui n'ont plus le niveau d'activité qu'elles avaient, dit-il. C'est un marché grugé par la concurrence déloyale. Les expéditeurs font aussi partie de la problématique. Si les chauffeurs inc. ont des contrats, c'est parce que l'expéditeur fait partie du problème. Il est évidemment à la recherche des prix les plus bas, mais les yeux fermés. » Affaire de gros sous Dans le cadre d'une étude commandée au cabinet Cain Lamarre, l'ACQ estimait, en 2023, que jusqu'à 2 milliards en cotisations de toutes sortes avaient échappé à l'État québécois en raison du modèle « chauffeur inc. ». À l'époque, elle avait aussi proposé un bouquet de mesures au gouvernement québécois, comme l'obligation pour les entreprises de délivrer des T4A aux chauffeurs pour en faciliter la traçabilité. Partout au pays, l'industrie exhorte également Ottawa à renforcer le Code canadien du travail pour notamment interdire les classifications erronées des employés, ce qui mettrait des bâtons dans les roues du stratagème, en plus de resserrer les règles au chapitre d'exigences réglementaires. « On parle des chauffeurs inc., mais ce sont les entreprises, dirigées par des propriétaires mal intentionnés, que l'on en a », affirme le président de Trans-West.

10 $ pour les no-show au resto ? Pas tout à fait…
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timean hour ago

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10 $ pour les no-show au resto ? Pas tout à fait…

La TPS et la TVQ sont incluses dans les 10 $ que les restaurateurs peuvent charger 10 $ à des clients qui ne se présentent pas. 10 $ pour les no-show au resto ? Pas tout à fait… Depuis jeudi, les restaurateurs peuvent demander 10 $ à des clients qui ne se présentent pas, alors qu'ils avaient une réservation. Ces 10 $ comprennent toutefois les taxes, ce qui laissera plutôt autour de 8,60 $ pour le restaurant. Cette précision a été livrée la semaine dernière aux restaurateurs québécois. Leur association a clairement posé la question à Revenu Québec, à quelques jours de l'entrée en vigueur de cette nouvelle mesure qu'ils réclament depuis des années. Pour les clients, ça ne change rien. Vous avez une réservation pour deux personnes ou plus et vous ne vous présentez pas ? Le restaurant va prélever 20 $ sur la carte inscrite à la réservation, via une plate-forme de réservation. C'est pour le commerçant que ça se complique, puisque la pénalité comprend les taxes de vente, même s'il n'y a pas eu de vente. Dans ces frais se trouvent les TPS et TVQ – qui iront chercher un peu plus de 1,30 $ pour chacun des 10 $ récupérés. Cette soustraction n'est toutefois pas significative, estime-t-on à l'Association Restauration Québec (ARQ), car l'application de cette nouvelle mesure veut d'abord et avant tout créer un engagement du client. « La pénalité ne sert pas à récupérer les coûts, précise Martin Vézina, vice-président aux affaires publiques et gouvernementales de l'ARQ. Ça ne compense pas. Ce qu'on veut, c'est que les gens viennent manger dans nos tables. C'est ça qui est payant. » Toutefois, l'application de ces taxes va leur donner plus de travail, dit-il. Au niveau de la comptabilité, comme la pénalité n'est pas une vente de nourriture ou de boisson, elle sera traitée à part. « Pour l'exploitant, ça va nécessiter de détaxer le montant et de faire le versement des taxes de la pénalité », précise Martin Vézina. Les membres de l'ARQ ont reçu cette précision la veille de l'entrée en vigueur du nouveau règlement, donc le 16 juillet. Rappelons que le restaurateur peut récupérer 10 $ pour une réservation de deux personnes et plus qui ne se présentent pas. Il doit toutefois envoyer un rappel à ses clients, entre six et 48 heures avant la réservation. Le client, de son côté, peut annuler trois heures ou plus avant sa réservation, sans pénalité.

Le marché de l'emploi « pas extrêmement sain » selon un responsable de la Fed
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time4 hours ago

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Le marché de l'emploi « pas extrêmement sain » selon un responsable de la Fed

Le marché de l'emploi « pas extrêmement sain » selon un responsable de la Fed (Washington) Le marché de l'emploi aux États-Unis n'est « pas extrêmement sain », les entreprises semblant mettre leurs recrutements en pause afin de voir comment la situation économique évolue, a estimé vendredi un responsable de la Réserve fédérale (Fed), Christopher Waller, lors d'une interview sur BloombergTV. Agence France-Presse « Nous sommes dans un contexte, si l'on regarde le marché de l'emploi, où elles [les entreprises, NDLR] n'embauchent pas, elles attendent. Il ne se passe pas grand-chose et il en faut peu pour qu'il se retourne », a averti M. Waller. Membre du Comité de politique monétaire de la Fed (FOMC), Christopher Waller a déjà défendu l'idée d'une baisse des taux dès la prochaine réunion, prévue à la fin du mois. Lors d'un discours prononcé la veille à New York, le responsable de la Fed a répété qu'il était préférable d'abaisser les taux d'intérêt « plutôt trop tôt que trop tard », craignant que la Fed ne commence à agir que lorsque l'économie aura commencé à décrocher. « Je vais tenter de les convaincre de l'intérêt de ma position, au final nous prendrons la décision que nous estimons être la meilleure compte tenu des données dont nous disposons », a-t-il ajouté vendredi sur Bloomberg TV. En la matière, il rejoint le président américain Donald Trump, qui a encore appelé vendredi, sur son réseau social Truth, la Fed à abaisser ses taux de trois points de pourcentage assurant que « l'inflation et très basse, nous méritons des taux à 1 % », qui permettraient selon lui d'« économiser 1000 de dollars d'intérêt » sur la dette publique américaine. Les marchés anticipent très largement une prolongation de la pause de la part du FOMC lors de sa prochaine réunion, les 29 et 30 juillet, n'anticipant une possible baisse des taux qu'à la réunion suivante, mi-septembre, selon l'outil de veille de CME, FedWatch. La banque centrale américaine a maintenu ses taux inchangés depuis le début de l'année, dans une fourchette comprise entre 4,25 % et 4,50 % notamment du fait d'une inflation qui reste au-dessus de son objectif de 2 % à long terme. L'indice CPI, sur lequel sont indexées les retraites des Américains, a réaccéléré le mois dernier, à 2,7 % en juin, notamment du fait des conséquences des droits de douane mis en place par M. Trump depuis son retour à la Maison-Blanche. Interrogé sur l'impact des droits de douane sur l'inflation, M. Waller a rappelé que « lorsque l'on met en place des droits de douane, si c'est fait en une fois, cela entraîne une hausse des prix mais d'un coup ». Selon lui, les entreprises vont « demander pour un tiers à leurs fournisseurs de supporter le coût des droits de douane, pour un tiers à leurs salariés, le reste va être reporté sur les consommateurs ». Mais concernant les chiffres de l'inflation « sur douze mois les conséquences seront visibles mais ensuite l'inflation tombera d'un coup », puisque l'effet des droits de douane sera passé, a-t-il ajouté.

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