
Eugenie Bouchard accroche sa raquette
Ce message est celui qu'a publié Eugenie Bouchard, sur Instagram, un peu après 13 h mercredi.
Accompagné d'une photo de son enfance, d'une de ses présences à l'Omnium Banque Nationale et de sa finale disputée à Wimbledon en 2015, cette publication suggère qu'elle accrochera sa raquette d'ici deux semaines, après la présentation de l'OBN.
Plus de détails suivront.
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La Presse
an hour ago
- La Presse
L'heure du verdict approche
Sept ans après les faits allégués, un an et demi après que les cinq accusés se soient rendus à la police, six semaines après la conclusion du procès, la juge Maria Carroccia rendra son verdict, jeudi, dans le dossier des cinq hockeyeurs d'Équipe Canada junior accusés d'agression sexuelle. Pour y voir plus clair, La Presse a discuté avec Me Simon Roy, professeur titulaire à la faculté de droit de l'Université de Sherbrooke. Comment en sommes-nous arrivés là ? Rappel des faits : en juin 2018, Hockey Canada (HC) tient un évènement à London pour souligner la conquête de la médaille d'or cinq mois plus tôt au Championnat du monde junior. C'est pendant cette soirée que la victime alléguée, désignée par les initiales E. M., affirme avoir été agressée sexuellement par Michael McLeod, Carter Hart, Alex Formenton, Dillon Dube et Callan Foote, tous membres de l'équipe championne. La police de London et Hockey Canada mènent chacun leur enquête, sans y donner suite. En avril 2022, la victime alléguée poursuit Hockey Canada pour 3,55 millions de dollars, poursuite que HC réglera à l'amiable. Dans les semaines qui suivent, le journaliste Rick Westhead, de TSN, découvre l'existence de cette entente, ce qui provoquera une crise chez HC. En février 2024, la police de London annonce que la découverte de nouvelles preuves permet de rouvrir l'enquête. Les cinq joueurs se rendent alors aux autorités. Chacun est accusé d'agression sexuelle, tandis que McLeod est également accusé de complicité d'agression sexuelle. Comment s'est déroulé le procès ? Ce fut pour le moins compliqué. La juge Maria Carroccia a décidé de présider seule le procès après que le jury eut été dissous deux fois plutôt qu'une, la dernière fois parce que des membres du jury avaient l'impression d'être ridiculisés par les avocats de la défense, ce qui aurait pu compromettre la partialité du jury. « Deux avortements de procès, et une suite sans jury, c'est du jamais vu. Hollywood aurait fait un film avec ce scénario et on ne l'aurait pas cru !, lance Me Simon Roy. Mais ça démontre le climat du procès : il y a beaucoup de suspicion et ça joue sur les perceptions. » Un procès sans jury, ça change quoi dans ce dossier ? De façon générale, un tel dénouement n'avantage pas les accusés, estime Me Roy. « Comme avocat de la défense, tu aimes toujours mieux un procès devant un jury, car ça te prend juste un juré qui te trouve sympathique, qui comprend mal le dossier, et ton client est acquitté, puisqu'un verdict doit être unanime », rappelle-t-il. Maintenant, l'affaire reposera entièrement sur ce que la juge Carroccia a interprété des plaidoiries. « On est très chanceux que ce soit devant juge seul, car on aura aussi les motifs du jugement, au lieu de juste un verdict, ajoute Me Roy. Je ne m'attends pas à un jugement de 12 pages. Je m'attends à un jugement-fleuve de 75, 100 pages. » Sur quoi le procès se jouera-t-il ? « En termes de droit, c'est un dossier hyper simple, estime Me Roy. Des cas d'agression sexuelle collective, il y en a eu des centaines, malheureusement. Et la seule vraie question, c'est la crédibilité. Il n'y a pas de question de légitime défense ou de troubles mentaux. La juge ne se demande pas : qui dit vrai ? Elle se demande s'il y a un doute raisonnable. Ce doute peut venir de la preuve de la défense ou de la Couronne. Si elle les acquitte, ce n'est pas parce qu'elle ne croit pas la dame, ou parce qu'elle croit les gars. C'est qu'elle aura eu un doute raisonnable. La question, c'est : la Couronne a-t-elle une preuve hors de tout doute raisonnable qu'un crime a été commis ? » Quels sont les scénarios pour jeudi ? La juge Carroccia aura le loisir de lire l'entièreté de son jugement ou simplement un résumé. Pour les six chefs d'accusation, elle déclarera les accusés coupables ou non coupables, tout simplement. « Ce n'est pas comme un meurtre, où tu peux aussi avoir un verdict d'homicide involontaire », rappelle Me Roy. Les peines peuvent aller jusqu'à 10 ans, mais Me Simon Roy rappelle que l'ancien hockeyeur Noah Corson, également dans une affaire d'agression sexuelle, a écopé de deux ans moins un jour. Le juriste est par ailleurs convaincu qu'en cas de culpabilité, les hockeyeurs interjetteront appel. « Comme c'est devant un juge seul, c'est beaucoup plus facile d'interjeter appel, car on a les motifs de la décision », rappelle-t-il. De son côté, la Couronne pourrait elle aussi en appeler d'un verdict de non-culpabilité, « sur des éléments du processus, comme le fait que les textos entre joueurs n'ont pas été retenus dans les preuves admissibles », suggère Me Roy. S'ils sont innocentés, les joueurs reviendront-ils dans la LNH ? En cas de non-culpabilité, il est théoriquement possible que les cinq joueurs poursuivent la victime au civil, considérant les sommes qu'ils ont perdues maintenant que leur carrière est en suspens. « Mais là, les cinq devraient témoigner. Je serais très surpris qu'ils le fassent, croit Me Roy. S'ils sont acquittés, ils vont probablement juste vouloir passer à autre chose. » Un retour dans la LNH serait pour le moins complexe, car une organisation qui ouvrirait la porte à un des cinq joueurs se lancerait dans une tempête de relations publiques. Restera toujours la KHL, là où on a peu semblé faire de cas des accusations, puisque trois des cinq accusés (Foote, Dube et McLeod) y ont joué la saison dernière.


La Presse
4 hours ago
- La Presse
Le permis de Mary Spencer suspendu pour quatre mois
La Régie des alcools, des courses et des jeux a suspendu le permis de Mary Spencer pour quatre mois après que la pugiliste ait reconnu avoir omis de déclarer une blessure avant un combat, ce qui est contraire à la réglementation. Le 10 avril dernier, Mary Spencer a vaincu la Vénézuélienne Ogleidis Suárez par décision unanime dans le cadre d'un combat de championnat du monde des super-mi-moyennes de la World Boxing Association (WBA). Après le duel, pendant lequel elle n'a quasi jamais attaqué du côté droit, la boxeuse avait indiqué aux médias s'être « pété la main » deux semaines plus tôt. « J'espérais juste passer les tests médicaux, pour être honnête, parce qu'elle était carrément foutue. Ma main était enflée et noire, avait-elle relaté. […] Quand c'est arrivé dans le gym, je me disais : 'OK, si ce n'est pas cassé, il faut réduire l'enflure. Il faut le cacher aux médecins.' » Dans une décision rendue le 5 juin, le Tribunal de la Régie des alcools, des courses et des jeux mentionne que Spencer n'a pas déclaré sa blessure dans son historique médical du 9 avril ni parlé de celle-ci lors de son examen médical précombat. PHOTO DOMINICK GRAVEL, LA PRESSE Mary Spencer, lors de son combat contre Ogleidis Suárez Dès le lendemain du combat du 10 avril, la pugiliste de Eye of the Tiger Management (EOTTM) a été « rencontrée chez elle par un inspecteur de la Direction de la conformité de l'inspection de la Régie », écrit-on dans la décision. « Une déclaration de la titulaire est alors prise par l'inspecteur et signée par celle-ci. Elle y déclare, entre autres, avoir subi une blessure au pouce droit environ deux semaines avant le combat, lors d'un combat d'entraînement. » Selon le Règlement sur les permis relatifs aux sports de combat, le Tribunal « peut suspendre, pour une période d'au plus 1 an, le permis d'un concurrent qui ne livre pas un combat de façon loyale ou au meilleur de son habileté ». Spencer et la Régie ont été convoqués pour une audience le 5 mai dernier. Sur place, les parties ont annoncé qu'elles en étaient venues à une entente et ont déposé une proposition conjointe dans laquelle Spencer « admet la véracité de l'ensemble des faits allégués ». Elles ont donc suggéré au Tribunal une suspension de permis de quatre mois, laquelle a été entérinée. Dans sa décision, le Tribunal mentionne que Spencer a également déposé un « engagement volontaire » promettant de respecter la Loi sur la sécurité dans les loisirs et les sports. À noter que la suspension en question a débuté le 23 mai dernier, journée où les parties se sont rencontrées et ont convenu de la sanction. De ce fait, elle se terminera à la fin du mois de septembre.


La Presse
4 hours ago
- La Presse
L'ex-défenseur du Canadien Nathan Beaulieu annonce sa retraite
(Montréal) L'ex-défenseur du Canadien de Montréal, Nathan Beaulieu, a annoncé sa retraite du hockey professionnel à l'âge de 32 ans, a indiqué l'Association des joueurs de la LNH sur son compte X mercredi. La Presse Canadienne Beaulieu, qui est originaire de Strathroy, en Ontario, fut un choix de première ronde, 17e au total, du Tricolore lors du repêchage de la LNH en 2011. L'arrière a marqué sept buts et récolté 53 mentions d'aide en 225 matchs de saison régulière avec le Bleu-blanc-rouge entre 2012 et 2017. Il a également obtenu trois passes en 12 matchs éliminatoires avec les Montréalais. L'ex-joueur étoile des Sea Dogs de Saint-Jean, dans la LHJMQ, a été échangé le 17 juin 2017 aux Sabres de Buffalo en retour d'un choix de troisième ronde au repêchage de 2017, qui est devenu Scott Walford. Beaulieu a conclu sa carrière avec 12 buts et 86 mentions d'aide en 471 matchs de saison régulière dans le circuit Bettman avec les Ducks d'Anaheim, les Jets de Winnipeg, les Sabres et le Canadien. Il a amassé une passe en huit matchs la saison dernière en KHL avec le HC Barys d'Astana, au Kazakhstan.