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Tour de France : la vidéo de la terrible chute de Jasper Philipsen, contraint à l'abandon

Tour de France : la vidéo de la terrible chute de Jasper Philipsen, contraint à l'abandon

Le Parisien07-07-2025
Il ne se passait absolument rien sur la 3e étape du
Tour de France
entre Valenciennes et Dunkerque. Mais lors du sprint intermédiaire d'Isbergues (60 km), un incident a été lourd de conséquence pour le maillot vert et
vainqueur de la 1ère étape à Lille,
Jasper Philipsen (Alpecin-Deceuninck) qui a dû abandonner, touché à l'épaule droite et brûlé sur tout le corps.
Lui-même touché par Laurenz Rex (Intermarché-Wanty), Bryan Coquard (Cofidis) a perdu le contrôle de son vélo et a accroché la roue de Philipsen qui a lourdement chuté.
Son coéquipier Jonas Rickaert chez Alpecin-Deceuninck est tout de suite venu crier sa colère au visage de Bryan Coquard, qu'il considère comme responsable de la chute.
Après un début de Tour idéal (victoires d'étapes de Jasper Philipsen et Mathieu Van der Poel, maillot jaune et maillot vert), la formation Alpecin-Deceuninck voit l'euphorie qui l'animait depuis le départ, retomber brutalement.
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Pas encore certain de son profil, le Maillot Jaune, Ben Healy, a du punch mais aussi quelques références en montagne, qui pourraient lui permettre de jouer un top 10 au général. Mais peut-être pas dès cette année. Du vélodrome de son enfance au commando « maillot jaune » sur le champ de bataille auvergnat, lundi (10e étape), en passant par l'adolescence VTT, un podium à Liège et une victoire sur le Tour de France en Suisse normande (6e étape), Ben Healy est inclassable. Un baroudeur-puncheur-rouleur presque grimpeur, surtout pas sprinteur, spécialiste des efforts intenses de 5 à 20 minutes, mais qui s'enchaînent - il n'aime pas la montée sèche du Mur de Huy à la Flèche wallonne, par exemple -, et pourquoi pas vainqueur du Tour, un jour ? « Question très difficile, a répondu au Mont-Dore le coureur de l'équipe EF Education-EasyPost après son numéro de chien de traîneau au service de l'échappée qui lui a permis de prendre la tête du général, lundi. Le niveau de Tadej (Pogacar) et Jonas (Vingegaard) est incroyable. Je vais devoir progresser énormément si je veux prétendre à ça. J'ai vu Tadej après l'arrivée, il a l'air super frais alors que moi, je suis lessivé. Mais j'espère pouvoir revenir sur le Tour un jour avec des ambitions à la hausse. » Un top 10, un podium, la victoire finale ? « On ne saura pas à 100 % qui il est avant son deuxième grand Tour, répondait son directeur sportif, Tom Southam, au site Velo en 2023. Mais je pense qu'il peut devenir un coureur de général. » Deux ans et deux grands Tours plus tard, la question se pose encore. « Il a déjà pas mal de qualités à son actif, tente de répondre Samuel Bellenoue, ex-directeur de la performance chez Cofidis. Il sait aller vite en chrono (9e de la 7e étape l'an dernier) et il récupère bien, comme l'atteste sa capacité à enchaîner en échappée. Lui reste à travailler la haute montagne, et à canaliser son énergie. Mais si l'équipe Sky a réussi à transformer un poursuiteur (Bradley Wiggins) en coureur de classement général, Ben pourrait bien le devenir aussi ! » Deux top 20 dans les Pyrénées l'an dernier Malgré 6 kg perdus à l'hiver 2023, Healy subissait des éclats en haute montagne sur sa première course de trois semaines, le Giro 2023. Quatorze minutes sur Joao Almeida après une longue ascension, le Monte Bondone (22 km à 6,4 %) lors de la 16e étape, et près de 20 minutes sur les coureurs du général lors de l'étape reine aux Tre Cime di Lavaredo (19e étape). Un an et quelques stages en altitude plus tard - en plus d'habiter en Andorre -, l'Irlandais de 24 ans ne concédait que 5' à Tadej Pogacar après le Galibier sur le Tour de France (4e étape) et faisait bonne impression en prenant deux top 20 dans les Pyrénées pour épauler son leader Richard Carapaz. Hautacam devrait déjà lui être fatal La troisième semaine avait été plus pénible, avec une arrivée dans le gruppetto à Isola 2000 (19e étape) plus de 40 minutes après Pogacar, mais plus rien à jouer donc aucune raison de s'accrocher. Rien à voir avec l'état d'esprit qui devrait animer le hipster de Birmingham dans les jours à venir pour sauver son maillot jaune. « Ça va être compliqué de le garder mais c'est une chance incroyable, on va le défendre le plus longtemps possible », a annoncé Alex Baudin, coéquipier d'Healy. Avec une arrivée à Hautacam, une ascension hors catégorie de près de 40 minutes dès jeudi (12e étape), le matelas de 29'' sur Pogacar sera insuffisant. L'Irlandais pourrait tenter de se battre pour un top 10 au général jusqu'à Paris. Plus de cinq minutes le séparent pour l'instant du 10e Tobias Halland Johannessen (Uno-X Mobility) et des autres prétendants, Felix Gall (Decathlon-AG2R La Mondiale), Carlos Rodriguez (Ineos-Grenadiers) et Enric Mas (Movistar). Mais Healy risque d'entrer dans le dur sur les ascensions de plus de 7 ou 8 kilomètres. Ces coureurs l'ont largement battu (plus de 15' d'écart) sur une montée comme celle de Valmeinier 1800 (16,2 km à 6,8 %) lors du Critérium du Dauphiné (7e étape). Reste à l'Irlandais un atout important : son sens tactique. L'unique attaque payante, jeudi, puis cet effort parfaitement lissé pour prendre le jaune, lundi, l'ont démontré

Tour de France : bains chauds, vêtements d'hiver... comment le peloton s'entraîne face à la chaleur
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Tour de France : bains chauds, vêtements d'hiver... comment le peloton s'entraîne face à la chaleur

TOUR DE FRANCE - C'est une contrainte désormais inévitable. Face aux fortes chaleurs, les coureurs du Tour de France sont forcés d'entraîner leurs corps à performer sous de hautes températures. Au programme, entre autres : bains chauds après l'effort ou encore sessions en intérieur avec vêtements d'hiver. S'acclimater à la chaleur devient d'autant plus important pour les cyclistes car les étapes courues par plus de 30 °C sont presque devenues la norme sur le Tour de France. Quelques jours avant le début de la course, le Norvégien Tobias Johannessen révélait les coulisses de sa préparation à la chaleur. Dans une vidéo postée sur son compte Instagram, on pouvait voir le cycliste enveloppé dans une combinaison en plastique et portant plusieurs couches de vêtements lors de son entraînement. « 25 degrés dehors, 5 couches de vestes, température corporelle 39,6, perte de liquide 2,5 litres », écrivait-il en légende de cette vidéo. Certains misaient sur des entraînements en intérieur, là aussi sous haute température avec des vêtements bien chauds - comme pour l'équipe Lidl-Trek dans la vidéo ci-dessous -, ou encore sur des bains chauds après l'effort. « Bien sûr, le principal avantage, c'est de s'adapter pour être performant sous la chaleur », explique à l'AFP Rory Nolan, médecin de l'équipe Uno-X à laquelle appartient Tobias Johannessen. « Ça peut avoir un vrai impact sur la façon dont l'organisme gère l'énergie. » « À l'ancienne » Ces exercices sont d'autant plus utiles à Uno-X, dont l'effectif sur ce Tour est composé exclusivement de coureurs norvégiens, qui s'entraînent parfois « par -10 », selon Rory Nolan. L'équipe met en place des entraînements à la chaleur « toute l'année, et plus à l'arrivée de l'été, donc avant le Dauphiné et jusqu'au Tour », révèle-t-il. Au-delà de la préparation à la chaleur, ce type d'entraînement présente d'autres bienfaits, et il est désormais pratiqué par presque toutes les équipes. Il favorise une augmentation du volume du plasma sanguin, ce qui aide le cœur à transporter plus efficacement l'oxygène vers les muscles, un facteur clé de la performance dans ce sport si exigeant. « La réponse normale à la chaleur est que les vaisseaux sanguins se dilatent un peu moins à la surface, ce qui augmente le flux sanguin vers les muscles et contribue à la performance pendant les étapes », détaille Rory Nolan. L'entraînement à la chaleur présente ainsi des bienfaits similaires aux stages en altitude que les équipes pratiquent depuis de nombreuses années déjà. Dans la formation UAE, on assure que les progrès de Tadej Pogacar depuis 2024, visibles notamment lors du dernier Tour de France, sont imputables en partie au développement de ce « heat training ». « Une évolution importante » « C'est une évolution importante qu'on a mise en pratique de manière efficace », souligne Jeroen Swart, le directeur de la performance de son équipe. « L'avantage de ce protocole est que ça peut se faire de partout, donc depuis la maison, essentiellement, que ce soit dans des bains chauds ou sur un 'home trainer' (un vélo d'intérieur, NDLR) avec des vêtements », souligne David Hulse, membre de l'équipe médicale d'EF Education-EasyPost. « Lors de nos camps d'entraînement, les médecins vont analyser la façon dont chaque coureur réagit à la chaleur pour savoir combien de temps ils doivent rester dans un bain chaud ou sur le vélo », ajoute-t-il. On peut ainsi facilement adapter le protocole à chaque coureur, certains venant de pays chauds réagissant mieux aux températures élevées. L'équipe américaine a mis en place cet entraînement après les Jeux olympiques de Tokyo en 2021, profitant de l'expérience du chef de leur équipe médicale Jon Greenwell, qui suivait alors l'équipe de triathlon britannique, soumise à une forte chaleur au cœur de l'été japonais. Cet entraînement a notamment servi au coureur d'EF Education Ben Healy, vainqueur de la 6e étape jeudi dernier, qui a grandi dans les environs de Birmingham, en Angleterre, où le mercure affole rarement les compteurs. « Il a été un des premiers coureurs de l'équipe à suivre ce programme, et ça l'a beaucoup aidé pour le Tour de l'an dernier », affirme David Hulse. Mais tous les coureurs ne sont pas friands de cette nouvelle méthode :

Football : L'USL Dunkerque se sépare de son entraîneur après seulement 23 jours
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Football : L'USL Dunkerque se sépare de son entraîneur après seulement 23 jours

À peine arrivé, déjà remercié. Ce dimanche 13 juillet, l'USL Dunkerque a officialisé le départ Gonçalo Feio. L'entraîneur portugais, arrivé en grande pompe le 20 juin dernier pour pallier le départ de Luis Castro sur le banc du FC Nantes , n'aura tenu que 23 jours. L'entraîneur de 35 ans n'aura pas vu la couleur d'un match officiel. Deux simples rencontres amicales au compteur et un premier bilan plus que mitigé : un match nul contre Versailles (1-1), puis une claque encaissée par Boulogne-sur-Mer (1-5). Deux clubs pourtant pensionnaires de National 1. Dans un communiqué publié sur X (ex-Twitter), le club de Ligue 2 évoque une décision « d'un commun accord ». Le message se conclut sobrement par des vœux de réussite adressés à l'ex-coach du Legia Varsovie : « plein de succès dans la suite de [son] parcours professionnel ». Pas d'explications officielles, seulement le goût amer d'un pari raté, à la vitesse de l'éclair. À un mois de la reprise des championnats, l'USL Dunkerque, qui a disputé les barrages pour la montée la saison dernière, est donc à la recherche d'un nouveau technicien.

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