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Incident en Russie: Un avion de ligne avec 49 personnes à bord «a disparu des radars»

Incident en Russie: Un avion de ligne avec 49 personnes à bord «a disparu des radars»

24 Heures24-07-2025
Un avion de ligne Antonov-24 a disparu des radars dans la région de l'Amour, dans l'Extrême-Orient russe.
Publié aujourd'hui à 09h01
L'avion effectuait un vol entre Blagovechtchensk et Tynda (image d'illustration).
AFP/BEN STANSALL
Un avion de ligne avec 49 personnes à bord a «disparu des radars» jeudi dans la région de l'Amour (Extrême-Orient russe), a déclaré le gouverneur de la région Vassili Orlov.
«Les services d'urgence ont annoncé qu'un avion de ligne Antonov-24 qui effectuait un vol entre Blagovechtchensk et Tynda avait disparu des radars aujourd'hui», a affirmé M. Orlov sur Telegram.
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Le délai fixé par le président américain avant d'augmenter le coût des exportations vers les USA expire dans quelques jours. Aucun «deal» n'est en vue. Publié aujourd'hui à 08h37 Donald Trump est actuellement en Écosse, où il s'adonne à sa passion: le golf. AFP En bref: Le compte à rebours est lancé. C'est ce vendredi 1er août qu'expire l'ultimatum fixé par Donald Trump avant de faire exploser les droits de douane. La Suisse, pays d'exportation, doit-elle craindre un coup de massue le jour de sa fête nationale? La réalité est que personne n'en sait rien, tant l'administration américaine fait souffler le chaud et le froid sur ses partenaires commerciaux. Pour le comprendre, il faut faire un retour en arrière. Et constater qu'en six mois de mandat, le président américain aura dit beaucoup de choses et souvent leur contraire. Souvenez-vous. Le 2 avril 2025, lors de son discours du «Liberation Day», Donald Trump annonçait une taxe de base de 10% sur tous les produits importés. Dans un deuxième temps, il prévenait des taxes plus lourdes encore dès le 9 avril pour les pays présentant d'importants déficits commerciaux. Pour la Suisse, ce devait être 31% . Sauf que ce taux n'a jamais été appliqué, le président américain ayant décidé de reporter de 90 jours son couperet. Ce qui portait le nouveau délai au 9 juillet. La Suisse pensait être à bout touchant Dans l'intervalle, Berne a tenté de conclure un deal . Début mai, elle se félicitait – par la voix de sa présidente Karin Keller-Sutter et de son ministre de l'Économie, Guy Parmelin – d'être à bout touchant . La Suisse pensait alors être le deuxième pays à trouver un accord avec Washington, juste après l'Angleterre. Trois mois plus tard, toujours rien. «Nous pensions que ça irait plus vite, admettait Guy Parmelin début juillet . Ce n'est pas le cas. Nous ne sommes pas les seuls à le constater.» Guy Parmelin, chef du Département fédéral de l'économie, de la formation et de la recherche. J-P GUINNARD À l'époque, le Vaudois ne craignait pas outre mesure le délai du 9 juillet et ses taxes à 31%. «Théoriquement, cette hausse pourrait avoir lieu, mais en pratique je ne le pense pas, expliquait-il alors. Rien n'est écrit, mais plusieurs signaux indiquent que les États-Unis considèrent nos négociations de bonne foi. Une prolongation du délai est possible. Notre priorité est d'obtenir rapidement un texte clair sur notre statut pour lever l'incertitude, qui est nuisible pour nos entreprises.» Le délai a effectivement été reporté. Berne retient à nouveau son souffle. Il manque l'approbation américaine Interpellé sur cette nouvelle échéance fixée à ce vendredi, voici ce que répond désormais le Département fédéral de l'économie (DEFR). «Selon un décret signé par le président américain le 7 juillet, la suspension des droits de douane additionnels pour certains pays est prolongée jusqu'au 1er août 2025, tandis que la surtaxe de 10% continue de s'appliquer.» Il souligne que «le Conseil fédéral a approuvé le projet de déclaration d'intention commune par voie de circulaire le 4 juillet 2025. Une déclaration d'intention commune nécessite l'approbation des deux parties.» Selon différents médias , ce texte prévoirait des exceptions pour certaines catégories, comme la pharma. En contrepartie, la Suisse devrait s'engager à baisser ses taxes sur certains produits comme les agrumes, les fruits de mer et le whisky américain. Le DEFR ne commente pas et se contente d'expliquer que «le Conseil fédéral communiquera activement dès que ce sera le cas ou qu'il y aura d'autres développements significatifs. La Suisse est en contact avec les autorités américaines compétentes.» Personne n'ose se mouiller sous la Coupole fédérale Donald Trump scellera-t-il un accord avec la Suisse prochainement ou choisira-t-il de nous punir le 1er août? «Donald Trump est tellement imprévisible et sa politique si aléatoire, que personne ne peut répondre à cette question», réagit Samuel Bendahan, coprésident du groupe socialiste. Et le Vaudois de rappeler que ce n'est pas le premier ultimatum fixé par le président américain qui n'aboutirait à rien. «Certains éditorialistes américains utilisent désormais l'acronyme TACO pour décrire son mode de fonctionnement, ce qui signifie «Trump always chickens out», qu'on pourrait traduire en français par «Trump se dégonfle toujours». Mais cette situation ne doit pas nous rassurer non plus, s'empresse-t-il d'ajouter. Car elle crée une grande insécurité pour l'économie.» Selon lui, le Conseil fédéral doit désormais traiter avec cette administration américaine «qui dysfonctionne» comme on traite avec «un partenaire qui n'est pas fiable». «C'est pour cela que le Parti socialiste dit depuis le début que nous aurions meilleur temps de faire front commun avec l'Europe continentale, plutôt que de chercher un deal dans notre coin. C'est précisément ce que cherche à faire Donald Trump: diviser les Européens.» Et de rappeler que même si la Suisse décrochait un accord, «rien ne dit que ce dernier ne volerait pas en éclats deux semaines plus tard sur un énième coup de tête de Donald Trump». Samuel Bendahan (VD) est le coprésident du PS. Marco Zanoni Pas question non plus pour la droite de se mouiller. «Cette façon de mettre les autres pays dans l'incertitude fait partie du jeu de Donald Trump. C'est même sa manière d'exercer le pouvoir, analyse Olivier Feller (PLR/VD). L'expérience de ces six premiers mois de mandat présidentiel nous a déjà appris trois choses. Déjà qu'il faut être patient. Ensuite, qu'il restera de toute façon une part d'insécurité. L'exemple britannique nous montre que même lorsqu'il y a un accord avec les USA, ce dernier est un accord d'intention, dont les modalités peuvent changer. Ce qui n'est pas pour rassurer l'économie. Enfin, on sait qu'on ne reviendra pas à la situation d'avant. Car même en cas de deal , les taxes douanières augmenteront, puisque le fameux socle de 10% minimum est acquis.» La Suisse – adepte du Swiss Finish – sait-elle négocier dans ces conditions? «Elle n'est déjà plus dans une négociation classique, rétorque Olivier Feller. Elle joue en quelque sorte le jeu de Donald Trump en essayant de le séduire par des investissements ou par des contacts privilégiés. 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Malgré près de 700 cas suspects signalés, seules 77 procédures ont été ouvertes par le SECO depuis 2022. Des montres de luxe aux pièces de fusil, les infractions sont nombreuses. Publié aujourd'hui à 19h44 De lourdes sanctions ont été imposées dans le domaine des biens, comme l'interdiction d'exporter des produits de luxe et des biens contribuant à renforcer les capacités industrielles de la Russie. MICHAEL BUHOLZER/KEYSTONE En bref: Les 15 à 20 employés fédéraux chargés de surveiller l'application des sanctions contre la Russie ont du pain sur la planche. Depuis le début de la guerre en Ukraine en 2022, près de 700 violations présumées ont été signalées au Secrétariat d'État à l'économie (SECO). Selon ses propres chiffres, l'autorité n'a ouvert que 77 procédures à ce jour, dont 65 sont closes. Dans 26 cas, une amende a été prononcée, tandis que les autres actions judiciaires ont été suspendues. Nous avons pu consulter les décisions pénales définitives. Il ressort de cette analyse que les infractions découvertes à la douane suisse sont généralement dues à de la négligence. Les fonctionnaires doivent parfois traiter de curieux cas. Dubaï comme résidence au lieu de Moscou En 2022, quelques semaines après le début de la guerre, la douane de l'aéroport de Genève a confisqué une montre-bracelet d'une valeur de près de 300'000 francs. Un voyageur voulait exporter cette montre de luxe en Russie en franchise de TVA. Le formulaire a éveillé les soupçons des douaniers, qui ont signalé le cas au SECO. Ce dernier a ouvert une procédure. L'exportation de produits de luxe est interdite en raison des sanctions. Dans la décision pénale, tous les noms ont été supprimés pour protéger la vie privée des personnes concernées. Le document révèle toutefois que la montre a été achetée dans une boutique genevoise. Pendant la procédure, l'avocat de l'acheteur a fait valoir que son client ne vivait pas en Russie, mais à Dubaï . Depuis le début de la guerre, de nombreux Russes fortunés s'y sont installés. Le procès n'a toutefois pas permis de prouver que cette personne habitait bien aux Émirats arabes unis. Sur les documents d'achat de la montre, Moscou figurait comme lieu de résidence. Le SECO a finalement infligé une amende de 5000 francs au vendeur suisse. Il s'agit de la peine la plus lourde prononcée à ce jour pour une infraction mineure aux sanctions. Dans les cas graves, les sanctions peuvent aller jusqu'à 3 mois de prison ou 100'000 francs d'amende. Confiscation et destruction d'un sauna En 2023, la douane de Genève a intercepté la livraison d'un sauna d'une valeur de 4000 francs. Il avait été livré par une entreprise dont le siège se trouve en Biélorussie. Le destinataire était une entreprise suisse. L'importation du sauna n'était pas soumise aux sanctions. Malgré cela, le SECO a ouvert une procédure, car les sanctions ne visent pas seulement l'Ukraine et la Russie, mais également la Biélorussie , l'État allié de Poutine. La Suisse interdit l'importation de produits en bois. Le SECO a conclu qu'il y avait eu négligence. Il a infligé une amende de 1000 francs. Le sauna n'est jamais arrivé chez l'acheteur. L'office a fait annuler la livraison. Une erreur de recherche sur Google ne protège pas de la sanction Plusieurs procédures concernent des biens industriels. Des amendes de 100 à 1000 francs ont été infligées pour l'exportation de soupapes, d'interrupteurs électriques ou de pièces destinées aux systèmes de navigation par satellite. Une «entreprise internationale», selon les termes de la décision pénale, a écopé d'une amende de 5000 francs. Elle tentait d'expédier de la Suisse vers la Russie des pièces de rechange et des accessoires pour machines-outils d'une valeur de plus de 150'000 francs. Les douanes de l'aéroport de Bâle ont empêché l'exportation en février 2024. Les livraisons de biens destinés à renforcer l'industrie russe ne sont pas autorisées. Les pièces de rechange entrent dans cette catégorie. La firme a imputé l'incident à une recherche Google malencontreuse. Un collaborateur avait trouvé «une version obsolète» de l'ordonnance dans laquelle la marchandise n'était pas encore répertoriée. Les machines-outils sont particulièrement sensibles. Elles ne peuvent pas être livrées en Russie, car elles pourraient être utilisées par l'industrie de l'armement. Pourtant, une analyse des données douanières russes menée par la SRF révèle que plus de 100 machines de ce type, fabriquées par des entreprises suisses, ont atteint la Russie par des voies détournées depuis le printemps 2022, notamment en transitant par la Turquie. La décision pénale ne mentionne pas que les pièces de rechange étaient destinées à l' industrie de l'armement . Sinon, le SECO aurait sans doute prononcé une peine plus lourde. Le fait que l'expédition vers la Russie ait été empêchée a constitué un facteur atténuant dans cette affaire. La faute se situe «dans la fourchette basse», écrit le SECO. L'amende dépasse la valeur des pièces de fusil Un homme a commandé des pièces détachées d'armes sur une boutique en ligne russe: canons et poignées de chargement compatibles avec des fusils d'assaut, notamment des kalachnikovs. En 2021, la douane de l' aéroport de Genève a intercepté l'envoi et signalé l'affaire au SECO, lequel a ouvert une procédure. L'importation d'armes à feu et de leurs composants russes est interdite depuis 2014, année de l'annexion de la Crimée par la Russie. En mars 2024, l'autorité a prononcé une amende de 300 francs, une somme supérieure à la valeur de la livraison, qui s'élevait à environ 200 francs. Selon la décision pénale, le SECO a jugé l'infraction légère. L'accusé avait déclaré qu'il ignorait les sanctions encourues. Il n'a pas pu éviter l'amende. Selon l'autorité, l'homme aurait dû se renseigner sur les sanctions avant de passer commande. «L'ignorance ne protège pas de la sanction», peut-on lire dans l'instruction. Le SECO se justifie Interrogé à ce sujet, le Secrétariat d'État à l'économie répond que les personnes et les entreprises sont responsables du respect des sanctions, faute de quoi elles risquent de ne pas se conformer à l'embargo. De telles violations continuent d'exister. Environ deux tiers des cas suspects signalés concernent des importations, un tiers des exportations. Le SECO reconnaît que les cas mineurs sont surreprésentés dans les statistiques des procédures closes. Ces derniers pourraient être bouclés plus rapidement, dit-on. D'autres enquêtes, en revanche, sont plus coûteuses et prennent plus de temps. Deux procédures ont été transmises au Ministère public de la Confédération. Traduit de l'allemand par Emmanuelle Stevan À propos des sanctions contre Moscou Newsletter «Dernières nouvelles» Vous voulez rester au top de l'info? «24 heures» vous propose deux rendez-vous par jour, pour ne rien rater de ce qui se passe dans votre Canton, en Suisse ou dans le monde. Autres newsletters Adrian Schmid est journaliste au Palais fédéral. Auparavant, il travaillait au «Bund». Historien de formation, il travaille comme journaliste depuis la fin des années 1990. Plus d'infos @adschmid Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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