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Un parapentiste perd la vie lors d'une chute à Saas-Fee

Un parapentiste perd la vie lors d'une chute à Saas-Fee

24 Heures21 hours ago
Accueil | Suisse | Faits divers |
Après une alerte donnée ce dimanche, les secours ont retrouvé le corps sans vie d'un homme à 4'300 mètres d'altitude près de Saas-Fee, dans le secteur du Domjoch. Publié aujourd'hui à 18h09
La police cantonale valaisanne indique que le corps d'un homme a été retrouvé sans vie à Saas-Fee.
Police cantonale valaisanne
Un drame s'est déroulé dans le secteur du Domjoch, à Saas Fee , où un parapentiste a tragiquement perdu la vie. Dimanche, pour des raisons encore inconnues, l'homme a fait une chute fatale.
Inquiet de l'absence de nouvelles, son coéquipier a alerté les services de secours de l'OCVS144. Une vaste opération de recherche a immédiatement été lancée, en collaboration avec la police cantonale valaisanne .
Les recherches, intensifiées par l'utilisation de moyens techniques avancés, ont permis de localiser la victime ce matin, vers 08 h 30, à une altitude d'environ 4300 mètres. Malgré leurs efforts, les secouristes n'ont pu que constater le décès du parapentiste. L'identification formelle de la victime est en cours.
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Myrtille Wendling est journaliste au sein de la rédaction numérique. Après un bachelor de Sociologie à l'Université de Paris, elle a obtenu son master à l'Académie des médias et du journalisme de l'Université de Neuchâtel. Elle a travaillé pour La Région, Le Temps, Watson et L'Illustré. Plus d'infos
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Terroir et culture – Au marché de Sion, on ne chinoise pas! Il se présente comme le plus coté de Suisse romande, déployé sur les pavés de la vieille ville. Il sait aussi concourir pour le plus convivial. Florence Millioud La fin de matinée approche au marché de Sion, ce jeudi 8 août, la foule se densifie devant les cageots du maraîcher Pascal Bagutti. FMI Abonnez-vous dès maintenant et profitez de la fonction de lecture audio. S'abonnerSe connecter BotTalk En bref : Le marché de Sion attire chaque vendredi une foule d'habitués et de visiteurs attirés par sa convivialité. Établi dans la vieille ville, il offre un cadre unique aux plus de 180 stands. Les produits locaux dominent l'offre, du poisson du Léman aux spécialités valaisannes. Mais en plus de la raclette, il y est aussi possible de faire un petit tour du monde culinaire. Il n'y a qu'une figure sainte pour faire sauter un vendredi de l'indéboulonnable marché de Sion, qu'il pleuve ou qu'il neige. On nous l'avait prédit «extraordinaire», il l'est déjà sur ce seul point. «Mais il l'est vraiment», appuie Jean-Luc Fournier, vingt et un ans de stand en vieille ville, et un souffle à revendre dès qu'on le lance sur son business de numismate. Pourquoi pas? Dans les rues et ruelles, la diversité de l'offre le rend aussi extraordinaire. On laisse donc Twint à son côté pratique, y compris au marché, pour palper des yeux l'âge prénumérique, version petites monnaies et gros billets. «Les gens viennent – reviennent l'année suivante si ce sont des vacanciers – avec leur butin. On vend, on achète: c'est le contact qui prime.» Et si certaines valeurs s'essoufflent face à l'abondance de biens, sous la tente du numismate, rien ne se perd, c'est aussi le stand du système D. Allez-le dire sur un site internet… Après quelques heures sur son stand à Sion, Yaëlle Heimann repart souvent à vide dans sa micro-boulangerie de Crans Montana. FMI Au marché, et plus encore sur les pavés de Sion dans cette ambiance d'un cercle d'amis élargi – les politiques à la tête de l'État dans la même mêlée –, on donne son avis, en vrai, à découvert. Sans se priver de dire d'une fois à l'autre ce qu'on a pensé des salades. Ou du pain. Comme ces miches de famille nombreuse que Yaëlle Heimann tranche au fur et à mesure. Le stock s'épuise, vite! Il est rare que la boulangère remonte à Crans Montana, là où son père a fondé Graînes d'Avenir, avec des restes. «Chaque vendredi, ce sont presque 90 kilos de pain au levain naturel, à base de farines valaisannes ou de propositions sans gluten qui partent avec des compliments très généreux. C'est gratifiant», sourit-elle. La preuve vient avec la cliente suivante, déterminée à ne pas changer ses habitudes. Et la suivante encore qui salive déjà à l'idée de sa tartine beurre Cenovis. Oui! On aurait pu faire le pour ou contre la pâte suisse, plus clivante qu'une votation fédérale sur nos liens avec l'Union européenne, le terrain, fort gustatif, s'y prêtait, sauf que ce n'était pas le but. D'autant que le marché, couru des Sédunois dans ses premières heures, gagne en fréquentation. Les «excusez-moi» et autres «pardon» se mêlent aux passants, concurrencés par quelques «excuse me», la foule étant aussi cosmopolite. Le Léman arrive jusqu'à Sion Il est 10 h 30. La température d'un vendredi caniculaire n'est pas la seule à grimper dans «L'État dans l'État», dixit son responsable opérationnel, Claude Thomas, le volume ambiant monte aussi: c'est jour de fête pour les musiciens de rue qui profitent de l'exception du marché. Fabien Jacquier avait de bonnes nouvelles le 8 août dernier. FMI L'appétit? Il en perd ses habitudes. Les fumets n'ont pas d'horaire, échappés d'un véritable atlas gastronomique, prêts à faire jouer la concurrence. Et… on peine toujours à échanger avec le pêcheur Fabien Jacquier, devant son étal, la file ne cesse de se remplir. C'est quand même le Léman qui arrive jusqu'à Sion! «Alors avait-il quelque chose à vous offrir?» lance une habituée. On sait la perche rare, la féra aussi. L'homme du lac se garde bien de crier à la pêche miraculeuse, mais il a du répondant. «C'était un peu galère de tenir un marché ces derniers temps, mais depuis une semaine, c'est un peu mieux. On verra sur la durée…» On a surtout déjà vu que ses vitrines réfrigérées se sont vidées sans autre appât que l'appel du local. «C'est pour ça que je viens tous les vendredis, les marchands nous connaissent, ils savent ce qu'on aime et, souligne une habitante, les produits viennent d'ici.» Le Valais jusque dans les mots Les contradicteurs peuvent s'agiter! Sion soigne son «extraordinaire» en allergique aux chinoiseries importées et autres bibeloteries en plastique sans intérêt. 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