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La Canadienne Cadence Brace poursuit sa route en qualifications

La Canadienne Cadence Brace poursuit sa route en qualifications

La Pressea day ago
(New York) Rares sont ceux qui ont déjà entendu parler de Cadence Brace. Pourtant, la Canadienne âgée de 20 ans s'est illustrée mardi en remportant son match de premier tour des qualifications en vue des Internationaux de tennis des États-Unis 2-6, 6-3 et 6-3 contre la Japonaise Nao Hibino.
Associated Press
Brace, qui pointe au 223e rang mondial en simple, a mis une heure et 45 minutes pour venir à bout de son adversaire, 130e au monde, sur le ciment new-yorkais. La Torontoise affrontera au prochain tour la Slovène Veronika Erjavec, 32e tête de série du tableau des qualifications.
Sa compatriote, Marina Stakusic, qui occupe le 130e rang mondial, n'a pas eu autant de chance et elle a baissé pavillon 6-3, 6-2 devant la Belge Hanne Vandewinkel, 164e.
PHOTO OLIVIER JEAN, ARCHIVES LA PRESSE
Marina Stakusic
La Torontoise Carol Zhao (no 230) aura rendez-vous un peu plus tard aujourd'hui au premier tour des qualifications avec l'Argentine Maria Lourdes Carle (no 118).
Du côté masculin, l'Ontarien Liam Draxl a plié l'échine 7-5, 6-2 devant le Français Kyrian Jacquet.
PHOTO AARON DOSTER, ARCHIVES REUTERS
Liam Draxl
La Britanno-Colombienne Rebecca Marino, la 17e tête de série, disputera son match de deuxième tour du tableau des qualifications mercredi contre la Japonaise Mai Hontama.
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Tiger Woods mènera un groupe chargé de réformer le modèle des tournois
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La Presse

time3 minutes ago

  • La Presse

Tiger Woods mènera un groupe chargé de réformer le modèle des tournois

(Atlanta) Tiger Woods aura de nouveau de l'influence dans l'univers du golf, mais cette fois-ci, ce sera sans ses bâtons. Doug Ferguson Associated Press Il a été nommé au poste de président d'un nouveau comité chargé de réformer le modèle compétitif des tournois du circuit de la PGA, mercredi. Brian Rolapp, qui est devenu le premier président et directeur des opérations de l'histoire de la PGA il y a trois semaines, a annoncé que ce comité, composé de neuf membres, qui s'appellera le « Comité de l'avenir de la compétition », aura carte blanche pour proposer des changements qui respecteraient les traditions, sans devoir les suivre à la lettre. « L'objectif est de définir le prochain chapitre de l'histoire du circuit de la PGA », a dit Woods dans une publication sur les réseaux sociaux. Rolapp n'a pas offert plus de détails sur plusieurs enjeux, alors qu'il succède au commissaire sortant Jay Monahan, notamment sur l'avenir de la discipline, qui a subi une profonde fracture lorsque les Saoudiens ont investi massivement pour créer le circuit rival LIV et attiré de nombreuses têtes d'affiche. Les négociations entre la PGA et le Fonds public d'investissement d'Arabie saoudite (PIF) sont au neutre, et Rolapp n'a pas donné l'impression que ce dossier faisait partie de ses priorités lorsqu'on lui a demandé s'il aimerait pouvoir offrir aux amateurs de golf plus de tournois où s'affrontent les meilleurs golfeurs de la planète. « Je vais me concentrer sur ce que je peux contrôler, a dit Rolapp. J'estime que le meilleur groupe de golfeurs au monde se trouve sur le circuit de la PGA. De nombreuses statistiques tendent à le démontrer, allant des classements aux cotes d'écoute, peu importe. Je vais miser là-dessus, et tout renforcer. « J'ajouterais que, jusqu'à un certain point, nous ferons tout en notre pouvoir afin de renforcer le circuit de la PGA, a-t-il poursuivi. Et je suis prêt à explorer toutes les options envisageables pour y parvenir. » Woods, qui n'a disputé que 10 tournois sur le circuit de la PGA depuis son accident de la route survenu en février 2021 et qui est à l'écart du jeu depuis le début de la saison en raison d'une déchirure du tendon d'Achille, siège déjà sur le conseil d'administration de la PGA. De plus, son mandat n'a pas de terme. Il mènera maintenant un groupe de cinq golfeurs qui siègent sur le conseil d'administration – Patrick Cantlay, Adam Scott, Camilo Villegas, Maverick McNealy et Keith Mitchell –, ainsi que trois autres personnes qui sont responsables de l'aspect commercial de l'entreprise. Parmi eux se trouve un dirigeant du baseball, Theo Epstein. Rolapp n'essaiera pas de réinventer un sport qui a tenu son premier championnat en 1860. Il a indiqué que, parmi ses premières observations, après avoir passé deux décennies au sein de la NFL, il considère que le circuit de la PGA est une organisation solide qui a le vent dans les voiles. « Ma principale observation, après avoir tout analysé, c'est que le circuit de la PGA est une organisation solide, bien qu'il reste beaucoup de pain sur la planche, beaucoup de choses à revoir afin de satisfaire nos partisans, nos golfeurs et nos partenaires commerciaux », a-t-il évoqué. Rolapp a aussi déclaré que le comité sera guidé par la parité (il a concédé qu'elle existait déjà dans le golf), la rareté et la simplicité.

Les chantiers de la reconstruction
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La Presse

time2 hours ago

  • La Presse

Les chantiers de la reconstruction

Il ne reste que quelques heures au CF Montréal s'il veut boucher quelques-uns de ses trous les plus béants. Le marché des transferts de l'été, en MLS, se bouclera jeudi en fin de journée. Ce n'est peut-être pas un hasard si le CF Montréal s'entraîne aux abords de la rue Notre-Dame. Parce qu'à l'heure actuelle, son effectif a des allures de boulevard aux gigantesques nids-de-poule. Et il ne lui reste que quelques heures s'il veut boucher quelques-uns de ses trous les plus béants. Le marché des transferts de l'été, en MLS, se bouclera jeudi en fin de journée. À ce titre, La Presse peut confirmer que certaines des rumeurs qui courent concernant Ivan Jaime, milieu de terrain espagnol du FC Porto, et Fafa Picault, attaquant de l'Inter Miami, sont effectivement deux dossiers sur lesquels le CFM travaille activement. Ivan Jaime, la clé du milieu ? Dans le cas d'Ivan Jaime, la balle est actuellement dans le camp du joueur, selon nos informations. À 24 ans, soit dans la fleur de l'âge, il doit décider s'il a envie de poursuivre son chemin en Europe ou de tenter sa chance en MLS… avec l'une des dernières équipes au classement. PHOTO TIRÉE DU COMPTE INSTAGRAM D'IVAN JAIME Ivan Jaime en action avec l'équipe de Valence En 2024-2025, il a commencé la saison au FC Porto, avant d'être prêté en février à Valence, en Espagne. Il aura finalement joué un total de 1088 minutes dans la campagne, toutes compétitions confondues. Il s'agirait d'un milieu offensif créatif, aussi capable d'évoluer sur les ailes. Voilà un profil qui aiderait particulièrement le CFM, en mal de création offensive depuis le départ de Djordje Mihailovic, en 2022. Depuis, Bryce Duke a été trop inconstant. L'année 2025 compliquée de Caden Clark s'est soldée par un transfert (encore à confirmer) vers DC United, lundi. Tandis qu'Olger Escobar, bien que très prometteur pour Montréal, n'a pas encore 90 minutes dans les jambes. Et à 18 ans, il est encore bien jeune pour prendre le contrôle de ce poste pivot de numéro 10 au stade Saputo. L'arrivée de Jaime, qui pourrait s'amener en prêt de Porto selon les différents médias portugais qui en ont parlé, comblerait là, sur papier, une lacune évidente et récurrente du CF Montréal. Fafa Picault, pour de l'expérience On a reproché au CF Montréal de plancher sur beaucoup trop de joueurs de type « projet » en même temps, cette année. Et si certains ont tiré leur épingle du jeu, notamment Dawid Bugaj en défense et Victor Loturi au milieu, ça a été compliqué en attaque. Prince Owusu connaît la meilleure saison de sa carrière chez les professionnels – 15 buts et 3 passes, toutes compétitions confondues –, mais il a été surmené, et est le seul à démontrer de la qualité régulièrement devant le filet. Le CF Montréal cherche donc à trouver une façon de l'épauler avec un profil plus établi que ce qu'ont été Jules-Anthony Vilsaint ou Owen Graham-Roache en 2025. C'est là qu'entre en jeu Fafa Picault. PHOTO SAM NAVARRO, ARCHIVES REUTERS Fafa Picault Voilà maintenant 10 ans que l'Américain d'origine haïtienne – et, accessoirement, le cousin de Patrice Bernier ! – roule sa bosse en MLS, après un début de carrière en Europe. À 34 ans, avec 24 matchs cette saison pour l'Inter Miami, il a inscrit 4 buts. Présentement, le CFM est en attente qu'un certain jeu de domino commence à débouler pour Miami. Son transfert vers Montréal va dépendre de ce que les Floridiens sont en mesure d'accomplir de leur côté. Au-delà de la confirmation ou non de ces deux transferts, on peut déjà conclure que le CF Montréal tente d'ajouter de l'expérience à son effectif. Parce que tous les joueurs d'un onze titulaire ne peuvent pas être que des projets. Si le mot « victoire » revient bel et bien dans le vocabulaire de ce club, il ne pourra pas se satisfaire d'être la plus jeune équipe du circuit. Des départs annoncés… et des rachats ? Voilà pour les arrivées potentielles. Maintenant, parlons des départs, et des trous qu'ils laissent. On a mentionné celui de Caden Clark, qui pourrait être pallié par l'arrivée d'Ivan Jaime ou, temporairement, par Olger Escobar. Celui de Joel Waterman, bouclé mardi sans encore être confirmé par le club et la MLS, laisse encore Marco Donadel avec la difficulté de remplir son banc de remplaçants. Il peut vivre avec Luca Petrasso, Efrain Morales, Jalen Neal et Dawid Bugaj sur le XI, certes. Mais ensuite, il ne lui reste essentiellement que Fernando Álvarez et Brandan Craig comme options. C'est peu. À l'inverse, comme l'a souvent rappelé l'entraîneur-chef, il y a un surplus de joueurs offensifs dans cet effectif. Dante Sealy, Giacomo Vrioni, Hennadii Synchuk, Duke, Graham-Roache, Fabian Herbers, à la limite… Et c'est là qu'on doit vous parler de Kwadwo Opoku et de Sunusi Ibrahim, chers lecteurs. Qui ? Oui, ces deux joueurs font encore partie de la formation du CFM. Et oui, ils sont encore parmi les mieux payés de cette équipe. Ce qu'on nous explique, c'est que les rachats de contrats sont bel et bien considérés par le club dans ces deux cas. Mais avec les récentes places libérées dans l'effectif, il n'y a plus d'urgence à les conclure dans ce mercato estival. Ça peut attendre à l'hiver, nous dit-on. Pour l'instant, donc, le CF Montréal a laissé partir au fil des derniers mois Nathan Saliba, George Campbell, Dominic Iankov, Jules-Anthony Vilsaint, Caden Clark et Joel Waterman. Les arrivées, à quelques heures de la fermeture du mercato, sont moins nombreuses : le gardien Thomas Gillier, le défenseur Efrain Morales et le milieu Matty Longstaff. Mais avec l'argent que le club est allé chercher, notamment avec la belle opération pour Caden Clark (acquis pour 50 000 $ de GAM, retransféré pour plus de 700 000 $), le contrat à long terme pour Morales ainsi que les places libérées, on a l'impression, chez le CFM, que le mercato d'été n'aura pas été un échec. Et s'il parvient à concrétiser les arrivées d'Ivan Jaime et de Fafa Picault, les objectifs auront été atteints. Et la reconstruction, bien entamée.

Steven Stamkos a mis du temps à trouver ses repères
Steven Stamkos a mis du temps à trouver ses repères

La Presse

time6 hours ago

  • La Presse

Steven Stamkos a mis du temps à trouver ses repères

(Québec) Apprivoiser un nouvel environnement au moins une fois dans sa carrière – et bien davantage pour certains – est une inévitable réalité du hockey professionnel. Ce n'est facile pour personne, que l'on fasse ses débuts dans la LNH ou que l'on ait plus de 1000 matchs d'expérience… à plus forte raison si ceux-ci ont été disputés avec une seule formation. La dégringolade des Predators de Nashville, la saison dernière, a été largement documentée. Jonathan Marchessault a justement confié, au cours des derniers jours, que son club ne peut virtuellement que s'améliorer à compter d'octobre prochain. Mais les enjeux d'adaptation, pour plusieurs, ont largement excédé les limites de la patinoire. Steven Stamkos est du nombre. Vu sa personnalité, et avec 17 saisons derrière la cravate, ce n'est pas lui qui va s'apitoyer sur son malheur. Mais il ne cache pas que de trouver ses repères à Nashville n'a pas été de tout repos. Le tumulte a commencé, pour lui, à la fin du mois de juin 2024, lorsqu'il est devenu clair que son règne arrivait à sa fin chez le Lightning de Tampa Bay, organisation dont il avait été le capitaine pendant plus d'une décennie et avec laquelle il a soulevé la Coupe Stanley à deux reprises. Il a ainsi pu mesurer pour la première fois, à 34 ans, à quel point l'ouverture du marché des joueurs autonomes, le 1er juillet, « ça va vite ». « Tu n'as pas beaucoup de temps parce que les équipes ont besoin d'une réponse », a-t-il raconté jeudi dernier, en marge du Pro-Am Sun Life, match caritatif présenté au Centre Vidéotron de Québec. Roman Josi et lui y ont accompagné leur coéquipier Jonathan Marchessault, l'un des principaux ambassadeurs de l'évènement. « Tu choisis une équipe, et là, tu constates que tu dois recommencer à zéro », a poursuivi le vétéran. J'ai pris l'habitude de dire que je suis passé d'une situation où j'avais toutes les réponses à une situation où, soudain, je n'avais que des questions. Steven Stamkos Il redoutait que l'intégration à un nouveau milieu soit difficile pour sa femme et leurs trois jeunes enfants ; il a plutôt été « agréablement surpris » de la manière dont les choses se sont déroulées pour eux. « C'est une belle ville où habiter, les écoles sont bonnes, le sport est bien organisé pour les enfants… Je m'attendais à ce que le hockey soit facile pour moi et à ce que le reste soit plus difficile pour eux, et c'est l'inverse qui est arrivé », a noté Stamkos en souriant, référence à la saison de misère que les Predators ont connue – fiche de 30-44-8 bonne pour 68 points, au 30e rang du classement général. Cet été, tout est plus facile, a-t-il constaté. L'école étant déjà recommencée au Tennessee, la routine familiale a repris son cours. Il ne reste plus qu'à espérer que cette légèreté se transpose sur la glace pour les Preds. Ça ne peut, d'une certaine manière, pas être pire. Leadership Être le dernier arrivé, disions-nous, n'est facile pour personne. Pas même quand on s'appelle Steven Stamkos, futur membre du Temple de la renommée du hockey qui était l'incarnation même du leadership à Tampa. PHOTO GEORGE WALKER IV, ARCHIVES ASSOCIATED PRESS Steven Stamkos a récolté 53 points en 82 matchs la saison dernière. À son entrée dans le vestiaire, à Nashville, il a rapidement constaté qu'il n'arrivait pas avec l'aura d'un vieux sage. Du moins pas sur-le-champ. Trois joueurs (Gustav Nyquist, Luke Schenn et Roman Josi) étaient légèrement plus vieux que lui. D'autres, comme Ryan O'Reilly, avaient eux aussi vu neiger. Même Filip Forsberg et Colton Sissons, à « seulement » 30 ans, traînaient chacun une décennie d'expérience dans la ville du country. « C'était délicat, a admis Stamkos. À Tampa, je connaissais par cœur tous les joueurs, comment ils répondaient aux différentes tactiques de leadership… Lire la pièce prend du temps. Tu ne veux piler sur les pieds de personne, surtout avec autant de vétérans établis. Ça n'arrive pas du jour au lendemain. Ce sera déjà bien mieux cette saison. » On comprend que le numéro 91 a fait quelque chose de bien. Jonathan Marchessault, qui le connaissait depuis longtemps pour l'avoir croisé à Tampa il y a une dizaine d'années, a vanté la « prestance » et l'« humilité » de son coéquipier. « Il est toujours calme, alors quand il parle, on l'écoute », a précisé le Québécois. Des gars comme lui sont capables de transposer [ce qu'ils disent] sur la glace. C'est rare. On est chanceux de l'avoir. Jonathan Marchessault, au sujet de Steven Stamkos Pour les Predators, il ne reste plus, justement, qu'à reproduire cet équilibre sur la surface de jeu. Stamkos, comme à peu près toute la formation, a vu sa production habituelle chuter en 2024-2025 ; ses 53 points en 82 matchs ont constitué sa pire récolte en carrière à l'exception de sa saison recrue. Et son différentiel de -36 a été l'un des pires de la LNH. Ces difficultés lui ont peut-être bien coûté une place dans l'équipe olympique ; en effet, il ne fait pas partie des 26 attaquants invités au camp d'évaluation estival de Hockey Canada, qui aura lieu à Calgary à la fin du mois d'août. Même s'il ne l'exprime pas comme tel, on sent dans sa voix une compréhensible déception. Il avait, après tout, marqué 40 buts et amassé 81 points en 2023-2024. Or, « il y a tellement de bons joueurs disponibles », a-t-il relativisé. Un début de saison fracassant ferait-il changer les choses ? Peut-être, peut-être pas. « Tout ce qu'on peut espérer, année olympique ou pas, c'est de bien jouer, a soufflé Stamkos. Si ça attire l'attention [de l'équipe canadienne], c'est un bonus. Mais je veux connaître un bon départ et me concentrer sur ce qu'on peut faire à Nashville. Le reste ira de soi. Je n'ai pas de contrôle là-dessus. »

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