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Autour du radis

Autour du radis

La Presse2 days ago
Cette recette, tirée du livre Abondance, met en vedette le radis rôti, servi avec une sauce yogourt-tahini.
Radis rôtis, yogourt, tahini, tournesol, miel
Rendement : de 4 à 6 portions
Ingrédients
2 bottes de radis avec fanes, bien lavées
30 ml (2 c. à soupe) d'huile d'olive
65 ml (1/4 de tasse) de graines de tournesol
2,5 ml (1/2 c. à thé) de poudre de cari
15 ml (1 c. à soupe) de miel
125 ml (1/2 tasse) de yogourt
15 ml (1 c. à soupe) de tahini
Cumin moulu au goût
Quelques limes coupées en deux
Pousses de tournesol
Sel et poivre du moulin
Préparation
1. Préchauffer le four à 200 °C (400 °F).
2. Couper les radis en deux et enrober d'huile d'olive. Assaisonner généreusement. Étaler sur une plaque et enfourner de 20 à 25 minutes en remuant de temps en temps afin que les légumes rôtissent uniformément.
3. Pendant ce temps, rôtir les graines de tournesol quelques minutes dans une poêle à feu moyen. Ajouter le cari et saler. Verser le miel et remuer jusqu'à ce qu'il caramélise. Déposer sur une plaque tapissée d'un papier sulfurisé et laisser refroidir complètement avant de concasser grossièrement.
4. Mélanger le yogourt avec le tahini, le cumin et un trait de jus de lime. Assaisonner.
5. Étaler le yogourt au fond d'une assiette de service, puis disposer par-dessus les radis, les pousses et les graines de tournesol caramélisées. Arroser de jus de lime, de poivre et d'un trait d'huile d'olive ou de tournesol.
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Cette recette, tirée du livre Abondance, met en vedette le radis rôti, servi avec une sauce yogourt-tahini. Radis rôtis, yogourt, tahini, tournesol, miel Rendement : de 4 à 6 portions Ingrédients 2 bottes de radis avec fanes, bien lavées 30 ml (2 c. à soupe) d'huile d'olive 65 ml (1/4 de tasse) de graines de tournesol 2,5 ml (1/2 c. à thé) de poudre de cari 15 ml (1 c. à soupe) de miel 125 ml (1/2 tasse) de yogourt 15 ml (1 c. à soupe) de tahini Cumin moulu au goût Quelques limes coupées en deux Pousses de tournesol Sel et poivre du moulin Préparation 1. Préchauffer le four à 200 °C (400 °F). 2. Couper les radis en deux et enrober d'huile d'olive. Assaisonner généreusement. Étaler sur une plaque et enfourner de 20 à 25 minutes en remuant de temps en temps afin que les légumes rôtissent uniformément. 3. Pendant ce temps, rôtir les graines de tournesol quelques minutes dans une poêle à feu moyen. Ajouter le cari et saler. Verser le miel et remuer jusqu'à ce qu'il caramélise. Déposer sur une plaque tapissée d'un papier sulfurisé et laisser refroidir complètement avant de concasser grossièrement. 4. Mélanger le yogourt avec le tahini, le cumin et un trait de jus de lime. Assaisonner. 5. Étaler le yogourt au fond d'une assiette de service, puis disposer par-dessus les radis, les pousses et les graines de tournesol caramélisées. Arroser de jus de lime, de poivre et d'un trait d'huile d'olive ou de tournesol.

Repenser la consommation des produits de beauté sur TikTok
Repenser la consommation des produits de beauté sur TikTok

La Presse

time2 days ago

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Repenser la consommation des produits de beauté sur TikTok

Le Projet Pan est un défi qui encourage les gens à utiliser leurs produits de beauté au complet avant d'en acheter de nouveaux. Sur TikTok, la tendance Project Pan rassemble plus de 67 000 vidéos, dans lesquelles des utilisateurs documentent ce défi beauté visant à modifier leur consommation de produits cosmétiques. Entre bilans mensuels, avis sur les produits de maquillage et réflexions sur la surconsommation, ce phénomène redéfinit autant les habitudes d'achat que les routines cosmétiques. Project Pan, qu'est-ce que c'est exactement ? Le Projet Pan est un défi qui encourage les gens à utiliser leurs produits de beauté au complet avant d'en acheter de nouveaux. Popularisé sur TikTok, il s'oppose aux tendances qui incitent à la surconsommation et permet à ses participants de réduire le gaspillage, d'adopter une consommation plus consciente et de faire des économies. Apparu au sein de la communauté beauté vers 2015 sur des forums comme Reddit ou sur YouTube, le Projet Pan tire son nom de l'expression anglaise « hitting the pan », qui désigne le moment où l'on aperçoit le fond métallique d'un contenant de produit de maquillage après une utilisation prolongée. Dix ans plus tard, le défi renaît sur TikTok, la plateforme phare des tendances actuelles. Écoutez une vidéo TikTok d'une influenceuse expliquant son Project Pan (en anglais) Sur ces vidéos TikTok, on voit les utilisateurs dévoiler l'ensemble des produits cosmétiques qu'ils possèdent, allant d'une dizaine à une centaine d'articles, et expliquer lesquels ils comptent utiliser jusqu'à leur épuisement complet. Dans d'autres vidéos, certains documentent les produits qu'ils ont déjà terminés depuis qu'ils ont rejoint le défi. Pourquoi ce défi refait-il surface ? Vitrines de la surconsommation, les réseaux sociaux constituent un terrain fertile pour la promotion d'un mode de vie fondé sur l'accumulation d'achats. Certains créateurs de contenu multiplient les démonstrations sous forme de hauls, des vidéos dans lesquelles une personne présente ses achats récents, généralement dans une catégorie spécifique, et alimentent ainsi une pression sociale qui pousse les utilisateurs vers des dépenses superflues. « On vit dans une société où il est valorisé de changer de voiture après quatre ans ou d'avoir beaucoup de vêtements […] On pense que c'est normal parce que tout le monde le fait », explique Roxane de la Sablonnière, professeure de psychologie sociale à l'Université de Montréal. Le monde de la beauté n'échappe pas à cette influence. « Ce qui est intéressant avec les produits de beauté et le maquillage, c'est que les gens en achètent en quantité astronomique. Parfois, les gens vont montrer des tiroirs entiers remplis, alors que ce sont des produits périssables », souligne Daphné B., chroniqueuse et autrice de l'essai Maquillée. Pour freiner leur surconsommation, de plus en plus d'internautes adoptent le Projet Pan. C'est le cas de Shaïna Pierre (@shaayzp), créatrice de contenu beauté, qui a commencé ce défi de manière rigoureuse en décembre dernier. Sur son compte TikTok, la jeune femme documente l'évolution de son utilisation de produits cosmétiques. À ce jour, Shaïna aurait terminé plus d'une centaine de produits. Entre les achats effectués pour ses vidéos TikTok et les produits cosmétiques qu'elle reçoit dans le cadre de collaborations avec des marques, la créatrice de contenu a pris conscience de la nécessité de mieux gérer sa consommation. « Je trouve que maintenant, 'less is more', alors qu'avant j'achetais tous les produits de soin de la peau qui étaient en tendance […] Maintenant, ma routine se résume à trois produits maximum », explique-t-elle. Bon pour le portefeuille… et le moral Pour mieux mesurer l'ampleur de sa progression dans le défi, Shaïna conserve les contenants vides de maquillage. C'est pour elle une façon de rester constante dans son défi, tout en se félicitant de ses efforts. « En ce moment, dans mon sous-sol, j'ai une grosse boîte remplie de produits vides, c'est vraiment satisfaisant ! », décrit-elle. Cette satisfaction que ressent Shaïna illustre parfaitement la dynamique de la psychologie positive, tel que l'explique Diana Cardenas, professeure adjointe au département de psychologie de l'Université de Montréal. Selon elle, la psychologie positive nous invite à diriger notre attention vers notre monde intérieur, à apprécier ce que nous possédons déjà, et à cultiver un état de pleine conscience, c'est-à-dire à être pleinement présent à l'instant. « L'idée, c'est de chercher nous-même la récompense à l'intérieur de nous au lieu d'aller la chercher avec la consommation. Donc un petit accomplissement comme suivre le Projet Pan jusqu'à la fin, ça peut nous mener vers cette idée de récompense », précise Diana Cardenas.

L'amitié qui nous grandit
L'amitié qui nous grandit

La Presse

time2 days ago

  • La Presse

L'amitié qui nous grandit

Une fois par mois, notre journaliste nous entraîne dans sa quête de réflexions philosophiques pouvant mener au bonheur. L'amitié mène à un bonheur que rien d'autre ne peut procurer et il vaut la peine de la cultiver. Combien d'entre nous, dans des moments de joie comme de peine, ont souhaité une seule présence, celle de leurs amis les plus proches ? Bien souvent, ils ont été à la source même des instants les plus heureux de nos vies. Ou du moins, ils en ont fait partie. Ils ont aussi été présents pour panser nos malheurs, indispensable compagnie pour traverser les épreuves. Pensez à ceux envers qui vous ressentez la plus profonde amitié. Ils se comptent souvent sur les doigts d'une seule main. Sans eux, un vide. Grâce à eux, les conversations qu'on ne peut avoir avec personne d'autre, les silences confortables, les échanges enrichissants… Les tenir pour acquis serait une grave erreur, car l'importance de nos amis pour une vie heureuse est éminente. Lorsque je me prête à l'exercice, je compte une main complète. Cinq personnes. Lorsque je pense à elles, un sentiment me comble : l'apaisement. Elles m'apportent sécurité, écoute, compréhension, mais aussi différentes perspectives et idées. Quelle ne fut pas ma satisfaction lorsque j'ai lu pour la première fois que la philosophie aristotélicienne considère qu'un véritable ami représente un « autre soi-même », un complément qui nous permet de tendre vers plus de bonheur. C'est cela que je ressens pour mes amis les plus proches. « Pour Aristote, l'autrui est un autre soi-même dans l'idée où l'être humain veut se rapprocher le plus possible d'une parfaite autosuffisance », explique Étienne Rouleau, doctorant au département de philosophie de l'Université de Montréal (UdeM). « Puisque l'être humain ne peut pas atteindre cet idéal d'autarcie, il ne peut qu'y aspirer, dans la mesure du possible. Aristote fait donc de la place pour autrui comme un complément : puisqu'il faut être autosuffisant pour être vraiment heureux, selon lui, autrui devient alors un autre soi-même. » Lorsqu'on se penche sur la définition que le penseur en avait, cette idée d'autre soi-même perd toutefois quelque peu en poésie. Pour Aristote, le bonheur ultime représente ce qu'on ressent lorsque l'on contemple le monde pour en obtenir une meilleure compréhension et une plus grande appréciation. Un humain est également plus heureux lorsqu'il penche le plus possible vers une complétude intérieure. Le véritable ami, dans cette optique, devient alors un partenaire de contemplation, tout comme une aide à l'épanouissement. Nos grandes amitiés nous permettent donc d'avoir une sorte d'autonomie de groupe, de mieux naviguer dans la vie, d'en faire un peu plus de sens, sur le chemin vers le bonheur. Aristote décrivait également l'ami comme une passerelle vers une meilleure connaissance de soi. « On est limités dans notre recherche pour se connaître soi-même, alors l'autre vient boucher les trous dans notre compréhension de qui on est », avance Étienne Rouleau. L'expert mentionne l'importance du « connais-toi toi-même » dans la tradition philosophique de Socrate et de Platon dans laquelle évoluait Aristote. En comprenant ses forces, ses faiblesses, ses désirs, on peut atteindre la sagesse et le bonheur, selon lui. Sur ce chemin, la présence d'amis est essentielle. Décupler ses joies Aristote s'est longuement penché sur le thème de l'amitié. Le terme « philia », qui désigne ce que l'on définit aujourd'hui comme l'amitié, est l'un des quatre mots grecs que l'on utilise pour parler de l'amour. Il est l'opposé de « phobia », la peur ou l'aversion. Ainsi, il n'y a rien de plus plaisant que l'amour, auquel participe grandement l'amitié. Mais rien n'est simple lorsqu'il est question de relations interpersonnelles. Et l'effort qu'il faut donner pour entretenir les amitiés n'est pas à sous-estimer. Il faut consacrer du temps à nos quelques véritables amitiés pour pouvoir jouir de ce qu'elles ont à nous offrir. Étienne Rouleau, doctorant au département de philosophie de l'Université de Montréal Si l'idée mise de l'avant jusqu'ici semble insister sur ce que l'on retire de nos amitiés, il n'est pourtant aucunement question de relations intéressées ici, au contraire. La véritable amitié, celle que valorise Aristote et que nous devrions tous prioriser aujourd'hui, est celle qui se déploie dans sa réciprocité. Tout ce que mes amis m'offrent, je le leur donne en retour. Tous les efforts qu'ils nécessitent, je les déploie. « Le point le plus frappant, c'est [qu'Aristote] nous dit qu'en plus de se percevoir dans autrui, lorsque je jouis de notre amitié, il y a une plus-value parce que je constate son plaisir aussi, ce qui m'amène plus de plaisir », note le doctorant de l'UdeM. Par nos amis, l'on partage et décuple nos joies. Rappelons que la vertu (sagesse, justice, douceur, générosité, etc.) est pour Aristote le moyen d'atteindre le but ultime de la vie : le bonheur. « Les relations qui nous mènent à des comportements vertueux nous approchent de la quête de bonheur, tout comme l'inverse est vrai, mentionne Étienne Rouleau. C'est une leçon intemporelle. »

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