
La sélection du Figaro Live : les vidéos qu'il ne fallait pas rater ce mardi 19 août
ACTUALITÉ EN VIDÉOS
«Je pense qu'il...» : quand Donald Trump chuchote à l'oreille d'Emmanuel Macron à propos de Vladimir Poutine
Une petite phrase capturée par des micros lors d'une conversation privée entre Donald Trump et Emmanuel Macron, lundi 18 août, a fait réagir. Alors que plusieurs dirigeants européens étaient à Washington pour épauler le président ukrainien Volodymyr Zelensky, Donald Trump a évoqué Vladimir Poutine auprès de son homologue français.
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Le Figaro
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États-Unis: les images de l'impressionnante explosion d'un cargo à Baltimore
Un cargo a été secoué par une impressionnante explosion lundi 18 août à Baltimore aux États-Unis. Elle a provoqué un incendie suivi d'un panache de fumée. Les équipes de la garde côtière et les pompiers sont rapidement intervenus et ont réussi à maîtriser le feu sur le navire encore en mouvement.
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Le Figaro
Espagne : les images aériennes impressionnantes d'un des plus grands incendies qui frappent le pays
Des images aériennes fournies par l'armée de l'air espagnole, mardi 19 août, montrent les volutes de fumée d'un des plus grands incendies qui frappent le pays dans le centre ouest de l'Espagne. Plus de 370 000 hectares ont brûlé cette année, marquant la pire saison d'incendies du pays depuis le début des relevés en 2006.
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Articles connexes


Le Parisien
23 minutes ago
- Le Parisien
États-Unis : un juge bloque une loi texane imposant que les Dix commandements figurent dans les écoles
Contestée par des familles d'élèves de confessions diverses, la loi devait entrer en vigueur le 1er septembre. Un juge fédéral américain a bloqué mercredi une loi du Texas exigeant que les écoles publiques affichent les Dix commandements dans chaque salle de classe. Le juge Fred Biery a émis une injonction préliminaire interdisant la mise en application du texte. Cette loi est inconstitutionnelle, « prend parti de manière inadmissible sur des questions théologiques et favorise officiellement les confessions chrétiennes au détriment des autres », écrit-il dans son jugement de 55 pages. L'affichage des Dix commandements dans les salles de classe est « susceptible d'envoyer un message d'exclusion et spirituellement pesant » aux enfants à l'origine de la plainte, en leur donnant le sentiment d'être « des étrangers qui n'appartiennent pas à leur propre communauté scolaire », fait-il valoir. « Victoire », clame une association vouée à la défense de la laïcité La rabbine Mara Nathan, l'une des plaignantes dans ce dossier, a salué le jugement. « Les croyances religieuses des enfants devraient être inculquées par les parents et les communautés de foi, et non par les personnalités politiques et les écoles publiques », a-t-elle réagi dans un communiqué. Rachel Laser, présidente d'Americans United for Separation of Church and State, une association vouée à la défense de la laïcité, a également approuvé la décision. « Victoire au Texas », écrit l'association sur Bluesky. « La décision d'aujourd'hui garantira que les familles du Texas – et non les politiciens ou les responsables des écoles publiques – pourront décider comment et quand leurs enfants s'engagent dans la religion », écrit sa présidente. Elle envoie un « message fort et retentissant à travers le pays que le gouvernement respecte la liberté religieuse de chaque élève dans nos écoles publiques », juge l'association. Une loi similaire bloquée en Louisiane Un autre juge fédéral avait bloqué en novembre une loi similaire en Louisiane, autre État conservateur du sud des États-Unis. Il l'avait jugée contraire au premier amendement de la Constitution américaine, qui prohibe l'établissement d'une religion nationale et interdit de favoriser une religion sur une autre. La liberté religieuse et la séparation de l'Église et de l'État sont des principes fondateurs aux États-Unis. L'enseignement de la Bible contestée dans l'Oklahoma En 1980, la Cour suprême des États-Unis avait déjà jugé qu'une loi prévoyant l'affichage des Dix commandements dans les écoles publiques du Kentucky (centre-est) était inconstitutionnelle.


Le Parisien
23 minutes ago
- Le Parisien
L'ambassadeur israélien après les tensions Netanyahou-Macron : « L'État français reste un ami d'Israël, mais… »
Ce nouvel épisode de la crise entre les deux pays survient après d'autres passes d'armes, comme en mai, après les propos du président français qualifiant de « honte » l'action du Premier ministre à Gaza. Ce dernier avait accusé en retour le président français de « se ranger du côté d'une organisation terroriste ».


Le HuffPost France
23 minutes ago
- Le HuffPost France
La France consternée par cette décision des États-Unis qui cible la CPI et un Français
INTERNATIONAL - Nouvelle vague répressive. Les États-Unis ont annoncé ce mercredi 20 août prendre de nouvelles sanctions contre quatre magistrats de la Cour pénale internationale (CPI), qu'ils accusent de « politisation ». Un juge français en fait partie. Une décision saluée par Israël mais décriée par la France et la Cour qui a dénoncé une « attaque flagrante ». Les sanctions américaines visent la juge canadienne Kimberly Prost, le juge français Nicolas Guillou, qui est impliqué dans le dossier du mandat d'arrêt visant le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu, ainsi que deux procureures adjointes, Nazhat Shameem Khan des îles Fidji et Mame Mandiaye Niang du Sénégal. Ils sont sanctionnés pour avoir « directement participé aux efforts déployés par la CPI pour enquêter, arrêter, détenir ou poursuivre des ressortissants des États-Unis ou d'Israël, sans le consentement de l'un ou l'autre de ces pays », a déclaré le secrétaire d'État américain, Marco Rubio, dans un communiqué. Il a souligné que l'institution basée à La Haye représentait « une menace pour la sécurité nationale et a été utilisée comme un instrument de guerre juridique contre les États-Unis et leur proche allié Israël ». La France « exprime sa solidarité à l'égard des magistrats » Ces nouvelles sanctions viennent s'ajouter à celles annoncées début juin qui avaient visé quatre autres magistrates de la CPI. Et en février, les États-Unis ont sanctionné le procureur de la CPI Karim Khan, qui avait initié une procédure contre des dirigeants israéliens. Les États-Unis rejettent en particulier des procédures ayant visé des soldats américains en Afghanistan, suspectés de crimes de guerre présumés ou encore les mandats d'arrêt de la CPI contre le Premier ministre israélien et son ancien ministre de la Défense, Yoav Gallant, soupçonnés de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité dans la guerre dans la bande de Gaza. La France a, elle, exprimé sa « consternation », selon un communiqué du ministère français des Affaires étrangères. Paris « exprime sa solidarité à l'égard des magistrats visés par cette décision » et estime que les sanctions américaines sont « contraires au principe d'indépendance de la justice », a souligné un porte-parole du ministère. « Institution judiciaire impartiale » La CPI a, elle, qualifié les sanctions américaines d' « attaque flagrante contre l'indépendance d'une institution judiciaire impartiale », selon un communiqué. Les mesures annoncées consistent en une interdiction d'entrée sur le sol américain et le gel des avoirs éventuels détenus aux États-Unis et toute transaction financière avec eux. Dans le détail, la juge canadienne est sanctionnée pour son implication dans l'enquête de la CPI sur le personnel américain en Afghanistan, tandis que le juge français préside l'affaire concernant les mandats d'arrêt contre Benjamin Netanyahu et Yoav Gallant. Nicolas Guillou, juriste chevronné, a travaillé pendant plusieurs années aux États-Unis sous la présidence de Barack Obama, en tant que détaché au sein du ministère de la Justice pour y développer la coopération judiciaire avec la France. Pour leur part, les procureures adjointes Shameem Khan et Mandiaye Niang sont sanctionnées pour leur soutien aux « actions illégitimes de la CPI contre Israël », notamment s'agissant des mandats d'arrêt. Netanyahu salue les sanctions américaines Le Premier ministre israélien, visé donc par un mandat d'arrêt depuis novembre 2024, a salué les sanctions américaines dans un communiqué publié par son bureau. « C'est une action décisive contre la campagne de diffamation et de mensonges visant l'État d'Israël (et son armée) en faveur de la vérité et de la justice », a-t-il ajouté. Ni les États-Unis ni Israël ne sont membres de la CPI, juridiction permanente chargée de poursuivre et juger des individus accusés de génocide, de crime contre l'humanité et de crime de guerre. Ils ne reconnaissent pas sa capacité à poursuivre leurs ressortissants. Au cours du premier mandat de Donald Trump, la CPI, en particulier sa procureure d'alors, Fatou Bensouda, avait déjà été la cible de sanctions américaines - levées par Joe Biden peu après son arrivée au pouvoir en 2021.