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Manifestation propalestinienne dans la Maison de Radio-Canada

Manifestation propalestinienne dans la Maison de Radio-Canada

La Pressea day ago
Une quinzaine de manifestants sont entrés dans le hall d'entrée de la maison Radio-Canada et se sont assis au sol dans une protestation silencieuse, avant de sortir une trentaine de minutes plus tard
Des militants propalestiniens ont tenu jeudi une manifestation silencieuse dans la Maison de Radio-Canada, à Montréal, pour dénoncer le rôle du diffuseur public dans ce qu'ils décrivent comme « la fabrication d'une incompréhension du génocide en cours à Gaza ».
Vers 16 h 30, une quinzaine de manifestants sont entrés dans le hall d'entrée de la Maison de Radio-Canada et se sont assis au sol dans une protestation silencieuse. Ils sont sortis une trentaine de minutes plus tard en scandant des slogans et en brandissant des banderoles, sous le regard des policiers, presque aussi nombreux qu'eux, qui étaient postés devant l'immeuble.
« On est là pour dénoncer le manque de représentation qu'on donne aux massacres de journalistes à Gaza, alors qu'il s'agit de crimes de guerre et de crimes contre l'humanité », a expliqué Salma Aresky, co-porte-parole de la manifestation, organisée par un collectif d'organisations incluant le groupe Désinvestir pour la Palestine.
La mobilisation arrive trois jours après que six journalistes palestiniens ont été tués par des frappes israéliennes à Gaza, au même moment où l'armée israélienne s'apprête à prendre le contrôle de la ville. Le Haut-Commissariat des Nations unies aux droits de l'Homme a condamné « le meurtre », qu'il a qualifié de « grave violation du droit humanitaire international ».
Les protestataires accusent également Radio-Canada/CBC de « prendre des décisions éditoriales qui diluent la vérité, marginalisent les voix palestiniennes, et amplifient les perspectives militaires israéliennes », dans un communiqué de presse diffusé jeudi après-midi.
Les manifestants dénoncent ce qu'ils considèrent comme un « double standard » dans la manière dont les médias traditionnels couvrent la crise humanitaire à Gaza, a expliqué Yan Lanciault, co-porte-parole de la manifestation. Le militant estime que les médias traditionnels tendent davantage le micro à des interlocuteurs proisraéliens, qu'à des voix propalestiniennes.
Selon Salma Aresky, il est temps que les médias utilisent le terme « génocide » plutôt que « conflit », pour décrire ce qui se produit en territoire palestinien.
Selon le Cadre intégré de classification de la sécurité alimentaire (IPC), le « pire scénario de famine » se déroule actuellement dans la bande de Gaza, depuis qu'Israël a placé un blocus humanitaire sur l'enclave.
Le Conseil spécial des Nations Unies a déterminé en novembre que la guerre menée par l'État hébreu à Gaza présente des éléments caractéristiques d'un génocide « par son siège de Gaza, l'obstruction de l'aide humanitaire, les attaques ciblées et le meurtre de civils et de travailleurs humanitaires », peut-on lire dans un communiqué.
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time31 minutes ago

  • La Presse

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Les autoroutes 25 et 30 sont les seules sur lesquelles on trouve actuellement des péages au Québec. La question vaut la peine d'être soulevée, notamment quand on constate que l'expérience du pont de l'A25 est plutôt satisfaisante. C'est avec l'ouverture en 2011 de ce lien reliant Montréal et Laval que les péages ont refait leur apparition dans la province. Celui-ci a été réalisé en partenariat public-privé (PPP), a été livré dans les délais et est généralement reconnu comme étant un exemple de réussite de ce modèle. Les péages ne connaissent pas systématiquement un aussi grand succès, mais leur logique présente plusieurs avantages, selon Jean-Philippe Meloche, professeur à l'École d'urbanisme et d'architecture de paysage de l'Université de Montréal (UdeM). D'abord, ils permettent une meilleure planification des infrastructures, puisqu'avant de démarrer, par exemple, un projet de pont, il faut se demander combien de temps les automobilistes économiseront en l'utilisant et à quel point ils seront prêts à payer. « On regarde ensuite combien coûte le pont et si on rentre dans notre argent. On fait une planification fondée sur des données tangibles qui permettent d'avoir un élément de rentabilité, pas juste de savoir si ça nous fera gagner des élections », dit-il, faisant notamment référence au troisième lien. 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On s'entend pour dire que Manhattan, Wall Street ou Londres, ce sont des lieux hyper attractifs où tout le monde veut aller. Il n'y a pas d'enjeux de compétitivité avec d'autres secteurs », mentionne d'emblée Christian Savard, directeur général de Vivre en Ville. À Montréal, la tendance actuelle est plutôt que les banlieues font compétition au centre-ville en se développant de façon mixte. « Je ne suis pas certaine que la ville de Montréal est compétitive pour ce qui est de l'attraction des travailleurs. Il y a beaucoup de télétravailleurs [qui restent chez eux], de bureaux qui ont maintenant des satellites à Brossard, à Laval, un peu partout sur la Rive-Sud et la Rive-Nord… », évoque Danielle Pilette. Et dans ces banlieues, le stationnement est gratuit, ajoute-t-elle. 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Le directeur parlementaire du budget n'a « aucune idée » de qui le remplacera
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time4 hours ago

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Le directeur parlementaire du budget n'a « aucune idée » de qui le remplacera (Ottawa) Le directeur parlementaire du budget (DPB), Yves Giroux, n'a « aucune idée » de qui lui succédera à la fin de son mandat le mois prochain. Catherine Morrison La Presse Canadienne M. Giroux, qui est entré en fonction en 2018, complétera sa dernière journée le 2 septembre. Dans une entrevue accordée à La Presse Canadienne, M. Giroux a déclaré avoir contacté le Bureau du Conseil privé à plusieurs reprises au cours des derniers mois pour obtenir des renseignements, soulignant qu'il souhaitait assurer une transition « ordonnée et harmonieuse ». Il affirme que le gouvernement est resté « silencieux » et a dit n'avoir aucune nouvelle à partager pour le moment. « Je suis juste un peu surpris qu'ils n'aient rien fait », a souligné M. Giroux. Interrogé sur la possibilité de rester en poste après le 2 septembre, M. Giroux a répondu n'avoir entendu parler d'aucune prolongation possible. Le directeur parlementaire du budget est un agent du Parlement qui fournit des analyses économiques et financières indépendantes au Sénat et à la Chambre des communes. Un « besoin urgent » avec le budget M. Giroux est préoccupé qu'un nouveau directeur parlementaire du budget n'ait pas encore été nommé, surtout avec un budget prévu pour l'automne. Il a indiqué que les parlementaires comptent sur son bureau pour leur fournir des analyses et des informations impartiales. M. Giroux a ajouté que le gouvernement devrait bientôt déposer un budget qui pourrait inclure « d'importantes nouvelles priorités en matière de dépenses et de politiques » ainsi que des réductions. Il affirme que les parlementaires auront « un besoin urgent » d'un point de vue impartial sur ce budget et son impact sur le gouvernement fédéral et l'économie canadienne. « Ce serait regrettable et cela se produirait à un moment crucial du cycle budgétaire pour les parlementaires », a-t-il soutenu. Un long processus M. Giroux a précisé que le Cabinet du premier ministre recommande une nomination et que les cadres supérieurs du Bureau du Conseil privé se chargent de la vérification et des entrevues s'ils choisissent de se soumettre à un processus concurrentiel. Le gouvernement pourrait choisir un DPB par intérim à tout moment par décret, mais une nomination pour un mandat complet de sept ans doit être approuvée par la Chambre des communes et le Sénat, a-t-il ajouté. Les députés devraient revenir à la Chambre des communes pour la session d'automne à la mi-septembre. La Presse Canadienne a contacté le Cabinet du premier ministre et le Bureau du Conseil privé pour obtenir leurs commentaires, mais n'a pas encore reçu de réponse. M. Giroux a déclaré comprendre le retard, étant donné que le Cabinet du premier ministre était occupé à gérer les relations canado-américaines et qu'il a récemment accueilli le Sommet du G7. Il a néanmoins précisé que, lors de sa nomination, l'approbation avait été donnée deux mois avant que le poste ne devienne vacant. « J'ai eu quelques mois pour parler à mon prédécesseur et commencer à me préparer », a-t-il souligné.

Un hélicoptère s'écrase en combattant un incendie de forêt
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time5 hours ago

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Un hélicoptère s'écrase en combattant un incendie de forêt

Un imposant panache de fumée était visible à Bayers Lake, à quelques kilomètres de Long Lake, en Nouvelle-Écosse, le 12 août dernier. Un hélicoptère s'écrase en combattant un incendie de forêt (Halifax) Un pilote a été secouru vendredi après qu'un hélicoptère du ministère des Ressources naturelles de la Nouvelle-Écosse s'est écrasé en eau peu profonde alors qu'il participait aux opérations de lutte contre les incendies. La Presse Canadienne D'autres pompiers de la région ont rapidement atteint l'appareil accidenté dans le comté d'Annapolis, en Nouvelle-Écosse, et ont trouvé le pilote conscient, selon un communiqué du ministère. Le pilote était seul à bord de l'appareil et parlait aux autres pompiers avant d'être emmené pour une évaluation médicale, précise le communiqué. « Nous sommes soulagées d'apprendre que le pilote impliqué dans l'écrasement d'hélicoptère près d'Halifax est sain et sauf et reçoit des soins, a expliqué Eleanor Olszewski, ministre fédérale de la Gestion des urgences, dans une publication sur les réseaux sociaux. L'appareil participait aux opérations de lutte contre les incendies de forêt en Nouvelle-Écosse. Nous leur sommes reconnaissants de leur service et leur souhaitons un prompt et complet rétablissement. » Le premier ministre de la Nouvelle-Écosse, Tim Houston, a également publié un message souhaitant un prompt rétablissement au pilote. « Merci à tous ceux qui sont intervenus si rapidement pour atteindre l'appareil et apporter leur soutien », a écrit M. Houston. L'hélicoptère s'est écrasé alors qu'il luttait contre l'incendie de Long Lake, qui brûle de manière incontrôlable depuis mercredi dans la vallée de l'Annapolis. L'incendie est passé de trois à quatre kilomètres carrés au cours des deux derniers jours, forçant l'évacuation d'une centaine de maisons dans la région très boisée de West Dalhousie, à environ 125 kilomètres à l'ouest d'Halifax. Les autorités ont déclaré que l'accident s'est produit peu avant 16 h 30, heure locale. Le ministère des Ressources naturelles a déclaré qu'il ne divulguerait pas l'identité du pilote, par respect pour sa vie privée. Transports Canada a été informé de l'incident, a indiqué le ministère. Un porte-parole du Centre conjoint de coordination des opérations de sauvetage d'Halifax a indiqué qu'un hélicoptère Cormorant avait été dépêché sur les lieux pour prêter main-forte. L'accident est survenu après que les responsables des incendies ont déclaré vendredi craindre que de nouveaux incendies de forêt ne se déclarent dans les jours à venir, après que des orages ont frappé la province jeudi soir et jusqu'en matinée. Le directeur de la protection des forêts, Jim Rudderham, a expliqué que la foudre peut pénétrer profondément dans le sol. « Les couches profondes du sol sont très sèches, a-t-il expliqué lors d'une conférence de presse virtuelle. La foudre est très puissante. Elle peut s'enfoncer dans le sol et mettre un certain temps à repartir avec le feu […] Elle pourrait mettre du temps à réapparaître. » M. Rudderham a indiqué que c'était une mauvaise nouvelle pour une province déjà aux prises avec 11 incendies de forêt. Il a ajouté que les autorités provinciales avaient demandé jeudi l'aide de bombardiers d'eau d'une autre province, mais que ces appareils n'avaient pas pu se rendre en Nouvelle-Écosse en raison de la longue ligne d'orages. La disponibilité des bombardiers d'eau est limitée en raison des incendies de forêt qui sévissent dans le Canada atlantique, a-t-il dit. Cependant, vendredi après-midi, le ministère des Ressources naturelles a annoncé que deux bombardiers d'eau CL-415 du Québec avaient commencé à travailler sur l'incendie de Long Lake, dans le comté d'Annapolis, à 15 h 30. Dave Steeves, porte-parole du ministère, a déclaré que les hélicoptères utilisés par la Nouvelle-Écosse pour éteindre les incendies sont efficaces. « Je suis pompier professionnel depuis plus de 20 ans maintenant et nos ressources héliportées sont extrêmement efficaces, a-t-il déclaré. Nous disposons d'un groupe de pilotes très talentueux. » M. Rudderham a acquiescé. « La grande majorité de nos incendies de forêt sont facilement maîtrisés grâce à nos engins, a-t-il dit. N'oubliez pas que nous traversons une année difficile et que tous les organismes sont occupés en ce moment, mais nous continuons d'enquêter et d'examiner les options possibles pour déterminer la meilleure solution pour nous. » Bien que les orages aient déversé de la pluie sur certaines zones, cela n'a pas suffi à réduire le risque de nouveaux incendies de forêt, a expliqué M. Rudderham. « Nous acceptons n'importe quelle humidité, a-t-il ajouté. Mais il fait très sec là-bas et cela n'a pas suffi à nous aider. » M. Steeves a indiqué que les températures plus douces et l'humidité plus élevée aidaient les pompiers, mais que « la situation reste relativement explosive ». La municipalité régionale d'Halifax a confirmé vendredi soir qu'un incendie près du lac Susies, en périphérie de la ville, était désormais maîtrisé.

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