
Droits de douane: le gouvernement suisse veut présenter une «offre plus attractive aux Etats-Unis»
Le gouvernement suisse est «déterminé à poursuivre les discussions et négociations», en tenant compte des préoccupations des Etats-Unis, a indiqué le gouvernement dans un communiqué à l'issue d'une réunion de crise. Cette réunion intervient après l'annonce de Washington la semaine passée, qui a imposé une surtaxe de 39% sur les produits helvétiques importés aux Etats-Unis à compter du 7 août, un vrai coup de massue assené au pays alpin.
Hashtags

Essayez nos fonctionnalités IA
Découvrez ce que Daily8 IA peut faire pour vous :
Commentaires
Aucun commentaire pour le moment...
Articles connexes


Le Parisien
2 hours ago
- Le Parisien
Droits de douane : PlayStation et Pepsi augmentent leurs prix
Deux semaines après l'application des droits de douane de Donald Trump compris entre 10 et 50 %, plusieurs entreprises ont changé de stratégies financières pour faire face à la nouvelle politique économique menée par Washington. Parmi les options retenues celles d'augmenter le prix des biens vendus. C'est en tout cas le choix qui a été fait par le géant de l'électronique japonais Sony, mais aussi par l'entreprise américaine PepsiCo. Pour la première, Sony par la voix de sa vice-présidente Isabelle Tomatis, indique avoir pris « la décision difficile d'augmenter le prix de vente conseillé des consoles Play Station 5 aux États-Unis à compter du 21 août ». La valeur d'une PlayStation 5 aux États-Unis passera ainsi à 550 dollars, et celui de la PlayStation 5 Pro à 750 dollars. Pourtant, l'entreprise japonaise avait prévenu en mai l'administration Trump des ajustements que pourrait mener Sony en cas de droit de douane. À voir aussi « Un environnement économique difficile » « À l'instar de nombreuses entreprises internationales, nous continuons d'évoluer dans un environnement économique difficile », avait précisé le géant japonais du divertissement dans un billet de blog. Les produits japonais étant affectés à hauteur de 15 % minimum, en plus des taux appliqués avant le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche. « Un paysage douanier complexe et dynamique » qui a aussi joué dans la décision annoncée ce mercredi par le géant américain des snacks PepsiCo d'augmenter le prix de ses boissons gazeuses d'environ 10 %.


Le HuffPost France
3 hours ago
- Le HuffPost France
Un vol Paris-Ajaccio pris dans des turbulences, plusieurs blessés évacués à l'hôpital
FAITS DIVERS - Des secousses dangereuses. Des passagers d'un vol AF 4236 reliant Paris Orly à Ajaccio ont été blessés, ce mercredi 20 août, après de fortes turbulences liées à une météo instable. Les victimes ont dû être évacuées à l'hôpital. 143 passagers et quatre membres d'équipage se trouvaient dans cet avion, opéré par la compagnie Air France. « L'avion a été pris dans un fort orage et a subi des turbulences », explique le service d'incendie et de secours de Corse-du-Sud, auprès de nos confrères de France 3, qui précise que cinq voyageurs ont été blessés. Auprès du journal local Corse Matin, Air France confirme que « 2 clients ont été blessés, ainsi que 3 membres de l'équipage commercial qui procédaient à la vérification des ceintures de sécurité. » Des personnes « évacuées sur civières » Une fois que l'avion avait atterri sur le tarmac de l'aéroport Napoleon-Bonaparte, en début d'après-midi, « des équipes médicales d'urgence de l'aéroport de destination » ont « rapidement pris en charge les blessés », poursuit la compagnie aérienne. Certaines personnes ont été « évacuées sur civières », ont remarqué des journalistes de Corse Matin. Puis, les passagers affectés par les secousses ont été transférés au centre hospitalier d'Ajaccio. D'après des employés de l'aéroport d'Ajaccio interrogés par Corse Matin, les personnes blessées n'étaient pas attachées. C'est pourquoi l'un d'eux rappelle :


Le Figaro
4 hours ago
- Le Figaro
Assurance-chômage, jours fériés… Pourquoi les syndicats sont en colère contre François Bayrou
Réservé aux abonnés DÉCRYPTAGE - Alors que Matignon compte sur les partenaires sociaux pour se pencher sur les sujets de l'assurance-chômage et de la modernisation du marché du travail, les représentants des salariés pourraient manquer à l'appel. Entre François Bayrou et les syndicats, le divorce semble être consommé. Il y a une dizaine de jours, la lettre de cadrage sur la concertation de l'assurance-chômage et le document d'orientation pour la suppression de deux jours fériés envoyés par le premier ministre aux partenaires sociaux ont fait office de lettres de rupture. Entre les syndicats et le fondateur du MoDem, tout avait pourtant bien commencé, ou presque. À peine arrivé à Matignon, François Bayrou a redonné une place de choix aux organisations de salariés dans les débats. Lors de son discours de politique générale devant une Assemblée nationale agitée, le Béarnais se faisait le héraut du dialogue social. « Je suis un défenseur des partis politiques et des syndicats et je souhaite que les partis politiques comme les syndicats puissent être reconnus un jour comme des mouvements d'utilité publique », affirmait-il ce 14 janvier. Dans la foulée, le premier ministre laissait le soin aux partenaires sociaux de tracer « une voie…