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Droits de douane : PlayStation et Pepsi augmentent leurs prix

Droits de douane : PlayStation et Pepsi augmentent leurs prix

Le Parisien7 hours ago
Deux semaines après l'application des droits de douane de Donald Trump compris entre 10 et 50 %, plusieurs entreprises ont changé de stratégies financières pour faire face à la nouvelle politique économique menée par Washington.
Parmi les options retenues celles d'augmenter le prix des biens vendus. C'est en tout cas le choix qui a été fait par le géant de l'électronique japonais Sony, mais aussi par l'entreprise américaine PepsiCo.
Pour la première, Sony par la voix de sa vice-présidente Isabelle Tomatis, indique avoir pris « la décision difficile d'augmenter le prix de vente conseillé des consoles Play Station 5 aux États-Unis à compter du 21 août ».
La valeur d'une PlayStation 5 aux États-Unis passera ainsi à 550 dollars, et celui de la PlayStation 5 Pro à 750 dollars. Pourtant, l'entreprise japonaise avait prévenu en mai l'administration Trump des ajustements que pourrait mener Sony en cas de droit de douane.
À voir aussi
« Un environnement économique difficile »
« À l'instar de nombreuses entreprises internationales, nous continuons d'évoluer dans un environnement économique difficile », avait précisé le géant japonais du divertissement dans un billet de blog. Les produits japonais étant affectés à hauteur de 15 % minimum, en plus des taux appliqués avant le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche.
« Un paysage douanier complexe et dynamique » qui a aussi joué dans la décision annoncée ce mercredi par le géant américain des snacks PepsiCo d'augmenter le prix de ses boissons gazeuses d'environ 10 %.
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Le Parisien

time7 hours ago

  • Le Parisien

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Deux semaines après l'application des droits de douane de Donald Trump compris entre 10 et 50 %, plusieurs entreprises ont changé de stratégies financières pour faire face à la nouvelle politique économique menée par Washington. Parmi les options retenues celles d'augmenter le prix des biens vendus. C'est en tout cas le choix qui a été fait par le géant de l'électronique japonais Sony, mais aussi par l'entreprise américaine PepsiCo. Pour la première, Sony par la voix de sa vice-présidente Isabelle Tomatis, indique avoir pris « la décision difficile d'augmenter le prix de vente conseillé des consoles Play Station 5 aux États-Unis à compter du 21 août ». La valeur d'une PlayStation 5 aux États-Unis passera ainsi à 550 dollars, et celui de la PlayStation 5 Pro à 750 dollars. Pourtant, l'entreprise japonaise avait prévenu en mai l'administration Trump des ajustements que pourrait mener Sony en cas de droit de douane. À voir aussi « Un environnement économique difficile » « À l'instar de nombreuses entreprises internationales, nous continuons d'évoluer dans un environnement économique difficile », avait précisé le géant japonais du divertissement dans un billet de blog. Les produits japonais étant affectés à hauteur de 15 % minimum, en plus des taux appliqués avant le retour de Donald Trump à la Maison-Blanche. « Un paysage douanier complexe et dynamique » qui a aussi joué dans la décision annoncée ce mercredi par le géant américain des snacks PepsiCo d'augmenter le prix de ses boissons gazeuses d'environ 10 %.

Canal de Panama : des recettes en baisse de 411 millions de dollars sur fond «d'incertitude» mondiale
Canal de Panama : des recettes en baisse de 411 millions de dollars sur fond «d'incertitude» mondiale

Le Figaro

time11 hours ago

  • Le Figaro

Canal de Panama : des recettes en baisse de 411 millions de dollars sur fond «d'incertitude» mondiale

C'est l'une des artères du commerce mondial. Le canal de Panama prévoit 411 millions de dollars de recettes en moins en raison de «l'incertitude» de l'économie mondiale qui entraînera une baisse du transit des navires, a averti l'autorité du canal mardi. La voie interocéanique table sur 5,207 milliards de dollars de recettes lors du prochain exercice fiscal, qui commencera le 1er octobre, soit une baisse de -7,4% par rapport à celle qui va se clore le 30 septembre. Selon les projections, 13.900 navires transportant environ 520 millions de tonnes de cargaison transiteront entre océan Atlantique et Pacifique, soit 1100 et 1200 navires en moins. «Nous traversons une période de grande volatilité, avec des niveaux élevés d'incertitude qui indiquent une possible diminution du volume de trafic à travers le canal de Panama», a déclaré l'administrateur de la voie maritime, Ricaurte Vasquez, lors de la présentation de ces projections en Conseil des ministres. Il impute cette diminution du trafic maritime aux prévisions de croissance mondiale en baisse, attendue à 2,5% contre 3,3% en début d'année. À lire aussi Face à Donald Trump, la Chine garde la main sur le canal de Panama Publicité Surtaxes douanières dans la balance «Lorsque l'économie ralentit, le volume du commerce diminue», a-t-il expliqué. Racaurte Vasquez avait pointé jeudi l'impact des surtaxes douanières voulues par le président américain Donald Trump, estimant «très probable» qu'il n'y ait «pas le même volume» de transit en direction des États-Unis. L'administrateur et le ministre en charge des affaires du Canal, José Ramon Icaza, n'ont cependant pas évoqué les surtaxes punitives américaines lors de leur présentation. Le canal de Panama, long de 80 kilomètres, permet de relier 1900 ports au travers de 170 pays. Sa principale route relie les ports de Chine, du Japon et de Corée du Sud aux terminaux de la côte est des États-Unis. Quelque 5% du commerce maritime mondial transitent par cette voie. Principal pourvoyeur de devises à l'État panaméen, le canal, malgré la baisse de ses revenus globaux, prévoit de verser au Trésor public 3,194 milliards de dollars, soit environ 400 millions de plus qu'actuellement.

« Situations absurdes » : les restaurateurs veulent revoir l'interdiction de fumer dans l'espace public
« Situations absurdes » : les restaurateurs veulent revoir l'interdiction de fumer dans l'espace public

Le Parisien

time13 hours ago

  • Le Parisien

« Situations absurdes » : les restaurateurs veulent revoir l'interdiction de fumer dans l'espace public

Plus d'un mois après son entrée en vigueur le 1er juillet, la loi sur la politique de réglementation du tabac dans l'espace public fait toujours réagir. L'interdiction de fumer dans tous les lieux à ciel ouvert des abribus aux parcs en passant par les piscines ou écoles ne concerne pas les terrasses — sauf celles, en théorie, situées à proximité de ces endroits. Ce mercredi, ils font à nouveau part de leurs frustrations et réclament « l'ouverture d'une concertation immédiate » sur le sujet au ministre de la Santé. Dans une lettre ouverte à destination de Catherine Vautrin, ministre du Travail, de la solidarité et de la santé, l'Union des métiers et des industries de l'hôtellerie (Umih) pointe du doigt « un dispositif technocratique générateur de situations absurdes ». À lire aussi Interdiction de fumer : pourquoi les terrasses restent encore un angle mort de la politique anti-tabac L'un des premiers syndicats patronaux des cafés, hôtels, restaurants et établissements de nuits étaye son argumentaire. « Ainsi par exemple deux cafés côte à côte : la terrasse du premier est non-fumeur car située à moins de 10 m d'un établissement d'enseignement ; celle du second, juste au-delà des 10 m, reste fumeur », affirme-t-il. À voir aussi Ou encore : « Un restaurant installé sur une plage interdite à la baignade peut autoriser à fumer sur sa terrasse, tandis qu'un autre restaurant sur une plage surveillée ne le peut pas, du moins jusqu'à la fin de la saison balnéaire ». Des dizaines d'heures d'explication Le syndicat patronal indique de fait avoir « passé cet été des dizaines d'heures à expliquer à ses adhérents les termes d'un texte administratif et les risques d'amendes encourus ». L'UMIH déplore également ne pas avoir été suffisamment associé aux discussions de juin dernier sur l'élaboration du nouveau décret gouvernemental relatif à l'extension des espaces sans tabac publié en juillet. Fort de ce constat, le syndicat patronal exige « un changement de méthode » avec « le dialogue plutôt que l'imposition, la construction plutôt que la surprise réglementaire ».

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