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Andrey Rublev - Carlos Alcaraz, Grand Chelem, Wimbledon, Huitièmes de finale, Dimanche 06 juillet 2025

Andrey Rublev - Carlos Alcaraz, Grand Chelem, Wimbledon, Huitièmes de finale, Dimanche 06 juillet 2025

L'Équipea day ago
Bienvenue sur le live de L'Équipe pour suivre la rencontre de tennis entre Andrey Rublev et Carlos Alcaraz (Wimbledon, Huitièmes de finale)
La rencontre est programmée le dimanche 6 juillet 2025 à 17h30 et sera à suivre en direct.
Avant le début du tournoi, Andrey Rublev figure au 14ème rang au classement ATP et Carlos Alcaraz au 2ème. Le dernier match entre les deux joueurs a été remporté par Carlos Alcaraz (Masters 2024 - Poule Masters : 6-3 7-6).
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L'Équipe

timean hour ago

  • L'Équipe

« Ça fait du bien mentalement » : comment fonctionne le « protocole maman », dont deux Bleues bénéficient durant l'Euro

Le protocole de la FFF permet à Constance Picaud et à Amel Majri de profiter de leurs filles durant la compétition. Les membres du staff peuvent également passer du temps avec leurs enfants. Mis en place sous Corinne Diacre en 2023, poursuivi sous l'ère Hervé Renard, le dispositif permettant aux joueuses d'avoir leur(s) enfant(s) auprès d'elles en équipe de France a évidemment été prolongé avec Laurent Bonadei. Le protocole est inscrit dans la convention qui lie les joueuses à la FFF, comme précisé par la Fédération. Pour cet Euro, Amel Majri, maman d'une petite Maryam de 3 ans, et Constance Picaud, maman d'Anaë, 1 an, sont concernées. La FFF prend en charge le déplacement, l'hébergement et la restauration d'un accompagnant ainsi que de l'enfant jusqu'à ses 3 ans. Pour Majri, il s'agit d'une nounou tandis que la compagne de Picaud est présente à Heiden, en Suisse, où les Bleues sont basées. « Pour une athlète, avoir son enfant à ses côtés, ça fait du bien mentalement, confiait en milieu de semaine passée Majri, également accompagnée par le père de sa fille durant la compétition. On est rassurée. La Fédération gère vraiment bien les choses. Elle peut nous accompagner tout le temps, la nounou peut être présente constamment. Par rapport au camp de base, on a notre coin à nous et eux sont juste à côté (les familles sont logées dans un hôtel à quelques mètres). Mais on a la possibilité de partager des repas avec elles, tout est fait pour qu'on soit dans les meilleures conditions tout en respectant le cadre que l'équipe doit avoir. » Le staff bénéficie également du protocole La présence des enfants est d'ailleurs très appréciée par les autres joueuses à l'image de Melween N'Dongala qui se réjouit de pouvoir passer des moments avec les deux fillettes : « Ça fait du bien de les voir courir partout, jouer, crier, tomber », plaisantait la défenseuse du Paris FC. « Quand les séances d'entraînement sont dures, on retrouve l'enfant, ça fait du bien », a ajouté Majri. À noter que le protocole s'applique aussi aux membres du staff : ainsi Sabrina Viguier, l'adjointe de Bonadei, est accompagnée de sa fille, tandis que l'attachée de presse peut également profiter de son fils âgé de 8 mois sur ses moments off.

Rencontre avec Claire, 12 ans dans le peloton, ardoisière du Tour de France : «L'Alpe d'Huez, avec le public c'était l'enfer»
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Le Figaro

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UN JOUR, UN MÉTIER - Tout au long du Tour de France, Le Figaro va à la rencontre de ceux qui font le Tour à l'ombre des coureurs. De la pluie et le vent du Nord. Calée à l'arrière de sa moto, Claire Pédrono a affronté les éléments dimanche en début de deuxième étape entre Leuwin-Planque et Boulogne-sur-Mer. L'ardoisière du Tour de France, qui couvre sa douzième édition, en a vu d'autres. «Ça fait partie des inattendus surtout en juillet mais quand il pleut, je me débrouille. J'écris les écarts au dernier moment pour que cela ne dégouline pas. Ce n'est pas marrant mais je redoute davantage le froid», explique celle dont la mission consiste à donner les écarts entre les échappés et le peloton lorsque ceux-ci dépassent les trente secondes. À découvrir Le classement du Tour de France 2024 Ses outils de travail se résument à quelques craies glissées dans la poche et sa fidèle ardoise. Grâce à trois motos qui calculent régulièrement les écarts qui lui sont communiqués par radio, elle est le plus fidèle baromètre de ceux qui ont pris la poudre d'escampette et le gros des troupes à leur chasse, tout en faisant le yo-yo entre les deux parties. Un coup d'éponge, quelques chiffres à la craie et le tour est joué. À l'heure du tout technologique, on n'a pas trouvé plus efficace. «C'est plus fiable que les GPS», assure la Morbihannaise qui a fait preuve d'une sacrée audace il y a quinze ans pour décrocher cette mission. Publicité Un coup de bluff face au patron du Tour de France... qui lui a donné sa chance « J'y suis allée au culot en me plantant devant Christian Prudhomme avec mon CV et ma lettre motivation. Je lui ai dit, je n'ai aucun contact ni réseau mais je suis prête à tout prendre comme job pour travailler sur le Tour de France.» Banco ! Le grand patron de la Grande Boucle accepte de la tester sur le Tour de Picardie. Au bluff : «Je n'étais jamais montée sur une moto mais je n'ai rien dit....» La Bretonne passe le test sans encombre et accède au poste ô combien convoité dans la caravane. «Je suis une privilégiée car je suis au contact des coureurs, très proche d'eux, tout au long de l'étape. Je perçois leur douleur, leur souffrance et les efforts», reconnaît-elle avec le sentiment d'être au cœur du réacteur. «Je vois parfois les attaques se préparer dans le secret. Une année, j'ai remarqué les échanges des coureurs d'Europcar au milieu du peloton. J'ai tout de suite repéré et j'ai glissé à ma moto : "Tu vas voir, ils vont attaquer" et ça n'a pas loupé, quelques instants après, ça partait. C'était génial.» Claire Pédrono avec les échappés Billy Ceusters/ASO Au fil des années, Claire s'est fait un nom dans le peloton. Le visage de cette cycliste expérimentée est devenu familier aux coureurs. «Il m'arrive d'échanger avec eux, confie-t-elle. Pogacar, Cavendish ou Alaphilippe avaient pris l'habitude de me voir mais en dehors de l'étape je respecte leur bulle. Ils sont déjà super-sollicités par les médias, je ne vais pas les embêter.» Sauf quand elle ose aller demander une photo sur les Champs-Élysées à Tadej Pogacar avec son bambin. On est en 2022 sur les Champs-Élysées et Vingegaard vient d'être sacré. «Il a été super sympa alors qu'il avait été battu. Ça m'a beaucoup touché», pose-t-elle. Un coureur français lui fait une remarque désagréable Des moments moins gais il y en a eu aussi. Lorsqu'un coureur français dont elle tait le nom lui balance une remarque désagréable en pleine étape. «Il voulait que je reste davantage avec lui mais il y avait quinze minutes d'écart avec le peloton et je devais faire la navette. Il s'est excusé après et depuis on entretient de bonnes relations», sourit la native d'Auray qui, en dehors de cette parenthèse enchantée sur la Grande Boucle, accompagne les entreprises dans le secteur bancaire. Une peur, être en panne et bloquer le peloton Sa hantise, c'est surtout de rester bloquée sur la route, victime d'une panne à l'arrière de sa moto, «Ça a failli arriver une fois», reprend-elle. Il y a aussi le public aussi, souvent bienveillant, parfois indiscipliné : «J'ai toujours échappé aux projections d'urine mais je sais que ça arrive... Il y a aussi la montée des cols parfois. En 2022, la montée de l'Alpe d'Huez c'était l'enfer, le me suis levée à l'arrière de la moto pour écarter la foule. Ce n'était pas mon job mais j'étais obligée.» Elle s'était un peu écartée de sa mission aussi lorsque sur son premier tour, elle avait encouragé le Belge Philippe Gilbert dans le dur. «On m'a bien fait comprendre qu'il ne fallait pas le faire, sourit-elle. C'était juste de l'empathie car j'ai l'impression qu'ils me partagent un peu de leur souffrance et quand un échappé n'en peut plus et lâche prise, ça prend aux tripes, forcément.» Elle travaille sur ses jours de congés Après plus de 3300 km à travers la France tous les étés, cinq heures par jour à jouer les contorsionnistes même si elle assure que sa place à l'arrière de la moto est confortable, Claire termine cassée. Hachée menu. «Je finis chez l'ostéopathe après l'arrivée.» Mais rien à voir avec l'édition de son bizutage quand elle avait terminé malade la troisième semaine, le ventre en vrac : «Ils ont voulu me remplacer. J'ai fini vraiment esquintée mais j'ai tenu parce que j'étais la première femme à faire ce travail. Je savais que j'étais attendue, j'avais trois interviews le matin et autant le soir ! Je n'ai pas lâché», souffle celle qui ne laisserait sa place pour rien au monde même cela lui coûte de poser quatre semaines de congés pour être sur le Tour de France (et une supplémentaire pour couvrir Paris-Nice en mars). «C'est ce qui s'appelle une passion dévorante», conclut-elle.

Mauvais choix, erreurs de pilotage, voiture compliquée : les ratés de Ferrari à Silverstone
Mauvais choix, erreurs de pilotage, voiture compliquée : les ratés de Ferrari à Silverstone

L'Équipe

time2 hours ago

  • L'Équipe

Mauvais choix, erreurs de pilotage, voiture compliquée : les ratés de Ferrari à Silverstone

Entre des mauvais choix stratégiques et des pilotes qui commettent plusieurs erreurs en piste, Ferrari a vécu une vilaine journée à Silverstone, ce dimanche. D'un simple point de vue comptable, le dimanche britannique de Ferrari ne fut pas si mauvais. Derrière McLaren et Sauber, c'est elle qui a marqué le plus de points, 12, grâce à la quatrième place de Lewis Hamilton. C'est toujours mieux que Mercedes (1 point) et Red Bull (10), ses rivales pour la deuxième place du Championnat. Mais dans l'opérationnel, ce fut en revanche un dimanche noir, car rien n'a marché dans le clan italien. Première erreur, avant même le départ, lorsque Charles Leclerc est rentré aux stands pour lâcher ses pneus intermédiaires et chausser des slicks, misant sur une piste de plus en plus sèche. « C'était une mauvaise décision », a reconnu le pilote, finalement 14e, qui s'est quasiment éliminé de la course au top 10 avec ce choix. « C'était agressif de sa part, a ajouté Frédéric Vasseur, le team principal. Mais ça aurait pu marcher. Après des courses comme ça, on a toujours l'impression qu'on aurait pu faire mieux. » Sauf que là, Ferrari aurait vraiment pu faire mieux, et capitaliser après une qualification pas exceptionnelle mais porteuse d'espoirs (Hamilton 5e, Leclerc 6e). Une voiture pas faite pour la pluie Alors, certes, les pilotes n'ont pas non plus été avares en bêtises, plus ou moins importantes, avec quelques sorties de piste. Mais ils n'ont pas été les seuls à en commettre, n'est-ce pas Max Verstappen ? La dernière du Britannique, après son deuxième passage aux stands pour chausser des tendres, alors qu'il chassait la 3e place de Nico Hülkenberg, lui a néanmoins coûté son 13e podium consécutif sur ses terres. « C'était une journée difficile », a-t-il admis, clairement pas expansif après l'arrivée. Et finalement, ce qui a le plus inquiété les pilotes, c'est peut-être le rythme de leur SF-25 dans ces conditions compliquées. « Ce n'est que la deuxième fois que je pilote cette voiture sous la pluie, a commenté Hamilton. Et ce n'est pas une voiture qui apprécie ces conditions. C'était mieux à la fin quand il y avait un peu plus de grip mais même là, j'ai connu des moments chauds. »« Il n'y a pas un seul tour où j'étais dans le rythme. Et même quand je roulais à une seconde, elle était très difficile à conduire, j'ai failli la mettre dans le mur pas mal de fois », a surenchéri Leclerc. Au cap de la mi-saison, les raisons d'y croire se font donc rares dans le clan italien. Mais Vasseur se voulait tout de même optimiste : « On a été performants en qualification, en étant 1er et 2e en Q2, on marque plus de points que Red Bull et Mercedes, il faut prendre le positif. »

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