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Après le cas Gabby Thomas, Kenneth Bednarek annonce qu'il ne viendra pas à Athletissima

Après le cas Gabby Thomas, Kenneth Bednarek annonce qu'il ne viendra pas à Athletissima

24 Heures2 days ago
Annoncés à Lausanne, Kenneth Bednarek et Gabby Thomas boudent finalement Athletissima. Le meeting a discrètement retiré les noms des stars du sprint. Publié aujourd'hui à 16h41
Kenneth Bednarek a conquis l'argent olympique sur 200 mètres à Paris l'an dernier.
IMAGO/NurPhoto
Nouveau couac pour Athletissima. Alors que Gabby Thomas révélait mardi n'être pas au courant de son inscription au meeting vaudois, une autre star du sprint américain – Kenneth Bednarek – communique aussi qu'elle ne viendra pas à Lausanne le 20 août.
Annoncé en grande pompe en début de semaine pour un 100 mètres royal, Kenneth Bednarek explique qu'il se concentrera plutôt sur un meeting en Pologne, avant de mettre le cap sur Tokyo pour les prochains championnats du monde. Le récent vice-champion olympique du 200 mètres ne passera donc pas par la case lausannoise.
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Athletissima fait profil bas. Si le meeting n'a pas communiqué le retrait de Bednarek, il a préféré discrètement supprimer le nom de l'athlète de son communiqué datant de mardi. Pareil pour Gabby Thomas d'ailleurs. Comme si de rien n'était. Petite maladresse dans cette manipulation néanmoins: les noms des deux Américains figuraient toujours dans l'URL vendredi après-midi. Pas de revanche contre Noah Lyles
À Athletissima, Bednarek aurait dû retrouver Noah Lyles, avec qui il s'est récemment embrouillé à l'arrivée du 200 mètres des sélections américaines. Lyles a défié Bednarek du regard après sa victoire, avant que ce dernier ne le pousse. S'est ensuivie une poignée de main peu amicale. «La prochaine fois, je gagnerai», avait alors promis Bednarek. Malheureusement pour le public de la Pontaise, ça ne sera pas à Lausanne.
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Contacté vendredi après-midi, Jacky Delapierre, directeur exécutif du meeting, confirme qu'Athletissima «avait un accord avec le management de Gabby Thomas, mais qu'elle a décidé de ne pas venir». Et concernant Bednarek: «Idem, c'est sa décision. Ce sont des choses qui arrivent.»
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Dans les coulisses plus que précaires du foot suisse de deuxième division
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time2 hours ago

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Dans les coulisses plus que précaires du foot suisse de deuxième division

La Challenge League se veut professionnelle, mais sa réalité est aussi faite de précarité, d'incertitudes et de manque d'attractivité. Décryptage d'un championnat qui ne fait plus trop rêver. Publié aujourd'hui à 10h48 Max Veloso, ici avec Neuchâtel Xamax en 2019, est un joueur expérimenté de Challenge League. Le Romand a décidé de travailler à 50% à côté du football pour davantage de stabilité et s'assurer une reconversion. KEYSTONE En bref: «Des joueurs touchent de bons salaires ou un revenu correct, mais parler d'une ligue professionnelle avec certains joueurs qui gagnent 1000 francs par mois, ça me fait doucement rire.» Le constat de Max Veloso, 200 matches de Challenge League dans les pattes, est limpide. Et fait l'unanimité dans l'antichambre de la Super League. «Les salaires sont vraiment trop bas dans cette catégorie de jeu, on doit absolument trouver des solutions, comme un revenu minimal, poursuit Lucien Valloni, président du syndicat des joueurs suisses. Certains signent parfois un contrat à 100% avec un salaire de moins de 2000 francs par mois, ce n'est pas viable en Suisse.» «Il y a un problème de fond sur le fonctionnement de ce championnat, le métier de footballeur est l'un des rares jobs où l'on gagne moins bien notre vie en Suisse que dans d'autres pays européens, déplore Max Veloso. Le problème, c'est qu'il y a trop de frais pour ces clubs et pas assez de rentabilité, ce qui se répercute sur nous. Une partie des joueurs de cette ligue sont de faux professionnels: ils le sont dans l'âme et l'investissement, mais pas du tout dans l'aspect financier.» Mis à part les joueurs de Neuchâtel, Vaduz, Aarau et quelques-uns dans d'autres équipes, ceux des petits clubs galèrent financièrement. «Ils s'en sortent parce qu'ils sont jeunes, habitent chez leurs parents ou en colocation», résume le Neuchâtelois. La précarité de la Challenge League «La Challenge League se situe dans un entre-deux qui est assez difficile à appréhender pour certains joueurs, poursuit Karim Rossi. Tous les footballeurs ne sont pas millionnaires, loin de là. On fait les mêmes sacrifices qu'en Super League, mais certains ont des salaires très bas.» Selon plusieurs observateurs du milieu, la situation s'est clairement dégradée après la pandémie de Covid-19. Les clubs suisses investissent moins et cela se ressent sur la qualité du championnat. «Malgré mes très bonnes statistiques, avec des buts marqués régulièrement ces dernières années, il n'y a plus trop d'offres intéressantes en Suisse pour des profils comme le mien», analyse l'attaquant romand. Son âge (31 ans) et son expérience ont un coût. Et les clubs préfèrent souvent miser sur des profils plus jeunes dans une logique de revente. L'hiver dernier, Karim Rossi a rejoint Schaffhouse en provenance d'Indonésie, avec l'objectif de sauver le club en Challenge League. La mission a échoué et le Vaudois, comme une grande partie de l'effectif, a été licencié. Retour par la case chômage et l'équipe du syndicat des joueurs pour garder la forme et se serrer les coudes entre galériens. En attendant le coup de fil d'un agent. Et un nouveau défi. Cette situation peu confortable est devenue routinière ces derniers étés, avec la pression supplémentaire d'un mercato suisse qui commence très tôt et qui pousse les formations à constituer rapidement leurs effectifs. «D'autres profils sont recherchés et les clubs n'ont pas les moyens de me donner le salaire que je mérite», constate le joueur formé au LS. Mieux vaut des jeunes au salaire dérisoire Cette impasse a poussé Karim Rossi à se lancer dans un véritable tour du monde des clubs: Suède, Bulgarie, Luxembourg, Chypre, Indonésie et désormais l'Azerbaïdjan, où il vient de signer en juillet avec Shamakhi . S'exiler dans des destinations parfois surprenantes pour y être clairement mieux loti. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. «Ces championnats parfois exotiques cherchent des joueurs comme moi, expérimentés, qui ont marqué des buts dans le monde entier et savent s'adapter, détaille le Romand. Mon profil y est valorisé et ces clubs m'offrent des conditions plus intéressantes.» Dans l'antichambre de l'élite suisse, où les clubs ont la plupart du temps des budgets (très) serrés, on va ainsi plutôt économiser sur les salaires en misant sur la jeunesse. Mieux vaut deux ou trois joueurs sans expérience avec des fiches de paie dérisoires qu'un joueur aguerri qui coûtera plus cher. Une stratégie qui a des conséquences sur la qualité et l'attractivité du championnat. À 33 ans et malgré sa précieuse expérience en Challenge League, le Neuchâtelois Max Veloso est dans le flou total quant à la suite de sa carrière. Va-t-il raccrocher les crampons? Blessé au tendon la saison passée à Carouge, il n'a pas été conservé au sein de l'effectif genevois. Max Veloso a été informé assez vite de cette décision, mais les clubs jouent souvent la montre avec les prolongations de contrat. Ce sentiment d'incertitude, propre au football, est plus marqué dans cette ligue qui devient pour certains encore plus précaire. «Ici, les clubs n'anticipent pas assez la saison suivante, ils ne veulent pas prendre de risques car ils ont trop peur pour leurs finances de faire des mauvais choix, des contrats ou des prolongations d'une année sont souvent proposés, surtout pour les profils plus âgés et expérimentés, soulève Max Veloso. Cela provoque énormément de changements de joueurs à l'intersaison et ça devient compliqué au niveau de la constance de créer une bonne équipe.» Des méthodes d'amateurs dans le football suisse Ce constat est renforcé par le format du second échelon du football suisse, composé de dix équipes, où la lutte pour la promotion peut vite se transformer en une bagarre contre la relégation. Ce qui explique cette vision à court terme, tant sur le plan sportif qu'économique. Une équipe assurée du maintien en cours de saison n'a-t-elle pas tout intérêt à minimiser les risques financiers en misant sur de (très) jeunes joueurs? Ancien joueur de Sion et Neuchâtel Xamax, notamment, Max Veloso s'estime chanceux de pouvoir bien vivre de sa passion, mais il a choisi de travailler à 50% dans le secteur du placement de personnel depuis trois ans pour anticiper sa reconversion. «La réalité de la Challenge League, c'est aussi que plusieurs équipes ont des joueurs à l'assurance chômage qui touchent un gain intermédiaire du club», souligne le milieu de terrain. Cette solution légale peut permettre à des équipes de s'attacher les services de joueurs plus onéreux. «J'ai entendu dire qu'un ou deux clubs paient aussi des primes ou d'autres choses au noir, un procédé qu'on retrouvait seulement dans des ligues inférieures amateures», relève Max Veloso. Lassés par cet entre-deux précaire ou par l'incertitude d'un renouvellement ou non de leur contrat chaque saison, certains joueurs jettent l'éponge. «De plus en plus de footballeurs qui ont pourtant un excellent niveau optent pour la troisième division pour travailler à côté, ne plus mettre le football en priorité, analyse Karim Rossi. Jouer en Challenge League dans ces conditions, pour certains joueurs, ça ne vaut malheureusement plus la peine.» En lien avec la Challenge League Sylvain Bolt est journaliste à la rubrique sportive de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche depuis 2019. Il couvre en particulier le ski alpin et le freeride, mais aussi le cyclisme et l'athlétisme. Plus d'infos @SylvainBolt Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Christian Constantin à l'affiche d'une campagne contre la violence dans les stades
Christian Constantin à l'affiche d'une campagne contre la violence dans les stades

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time19 hours ago

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Le président du FC Sion, en collaboration avec la police valaisanne et le DSIS, est la tête d'affiche d'une campagne de prévention contre la violence dans les stades. Publié aujourd'hui à 16h57 Christian Constantin est la tête d'affiche d'une campagne de prévention contre la violence dans les stades. Martin Meienberger/freshfocus Ne soyez pas surpris si, en allant sur Instagram ou Snapchat, vous tombez sur le visage à moitié lacéré de Christian Constantin. Non, il ne s'agit pas d'une arnaque, ni d'une fausse publicité: c'est bien un visuel produit par le Département de la sécurité, des institutions et du sport (DSIS), en collaboration avec la police valaisanne . «Choisis ton camp»: la campagne de prévention est visible sur les réseaux sociaux de la police cantonale valaisanne. Police valaisanne Au milieu de l'affiche est inscrit, en allemand, «Wähle dein Lager». À savoir: «Choisis ton camp». Entre, à gauche, des supporters cagoulés, torche à la main et, à droite, des fans souriant. Le message que la campagne souhaite passer: un appel à cesser la violence dans les stades, «au profit d'un comportement sportif et fair-play», informe la police valaisanne. «Ils m'ont contacté il y a quelques mois, et j'ai dit oui. Je découvre le résultat à l'instant», nous confie Christian Constantin. Alors, quelle réaction? «Déjà, je dirai que le gars à une belle gueule, plaisante le président du FC Sion. Plus sérieusement, c'est important de lutter contre ces violences. Le dialogue est important.» Aussi une vidéo Au niveau du timing, ce visuel arrive alors que la thématique des violences est au cœur des débats, notamment du côté de Genève . «Je pense en effet qu'ils voulaient le sortir juste avant notre match à Tourbillon contre Servette», prédit Christian Constantin. Mais vu que Servette est engagé en Coupe d'Europe, la rencontre a été déplacée à une date ultérieure. Outre ce visuel surprenant, une vidéo, plus classique cette fois, met également en avant le président du FC Sion. Histoire d'avoir la complète panoplie. À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. LIRE AUSSI SUR LE FC SION Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

Frisson à la 52e édition: un triathlète romand a fait trembler les Kényans à Sierre-Zinal
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Frisson à la 52e édition: un triathlète romand a fait trembler les Kényans à Sierre-Zinal

Adrien Briffod, aligné en triathlon aux JO de Paris 2024, a mené la course durant deux heures samedi. La Valaisanne Oria Liaci a aussi fait parler d'elle. Publié aujourd'hui à 17h11 Au panache, Adrien Briffod a animé la 52e édition de Sierre-Zinal. Il «échoue» à une 4e place magnifique à ses yeux. Keystone À chacun sa façon de se reposer avant Sierre-Zinal. Certains optent pour une coupure totale à quelques jours de l'échéance. D'autres allègent progressivement leur charge de sport. Adrien Briffod, lui, a nagé 16 km cette semaine. Il a aussi roulé pas loin de 200 km à vélo. Et puisqu'il fallait encore régler la foulée aux sentiers du val d'Anniviers, il s'est offert quelques sorties de course à pied. Ça pourrait paraître excessif. Sauf qu'Adrien Briffod a mené la course durant deux heures samedi. Lorsque les premières têtes ont émergé de la forêt menant à Ponchette, sommet de la montée initiale, surprise: c'était un triathlète vaudois qui menait le bal. Mieux: le Veveysan avait déposé la concurrence. Comme s'il se trouvait en territoire conquis. «Mais on peut quand même dire que je me sens chez moi! Ma famille a un chalet à Thyon, je viens souvent en Valais. J'habite tellement près d'ici que, ce matin, j'ai encore pu boire le café sur ma terrasse avant de partir», a savouré l'homme qui a fait parcourir le seul frisson de suspense d'une journée caniculaire. Mais quel frisson! À ce stade, vous trouverez des contenus externes supplémentaires. Si vous acceptez que des cookies soient placés par des fournisseurs externes et que des données personnelles soient ainsi transmises à ces derniers, vous devez autoriser tous les cookies et afficher directement le contenu externe. À l'Hôtel Weisshorn, le héros du jour, ingénieur civil de formation, comptait encore une minute d'avance sur ses poursuivants. Adrien Briffod est certes olympien depuis les Jeux de Paris, mais dans sa discipline reine, le triathlon. Il y a dix jours, il vidait d'ailleurs son sac quant à cette expérience sur ses réseaux. Avouant qu'il lui avait fallu près d'une année pour se sentir fier d'avoir participé à des Jeux olympiques. Ce poids enfin déposé, il s'est surpris à voler entre Sierre et – presque – Zinal. La quête du fun a remis Adrien Briffod dans le droit chemin «J'ai compris que j'avais besoin de changer d'air, de mettre du fun dans mes entraînements, de m'éclater sur des côtes verticales ou en montagne si j'en ai envie.» Du fun, le Vaudois en a eu un paquet samedi. Il remplissait sa jauge à chaque fois qu'il croisait l'un de ses proches disséminés sur le parcours, qui n'ont pas manqué de lui faire comprendre la teneur de son exploit à chaque occasion. C'est que Sierre-Zinal attend un vainqueur suisse depuis 2013 chez les hommes. À une demi-heure près, Adrien Briffod aurait pu rafraîchir le palmarès national. Mais une demi-heure, c'est énorme. C'est au moment d'atteindre le point culminant du parcours, à 9 km de l'arrivée, que ses jambes ont commencé à grimacer. En un instant, le trio kényan qui s'apprêtait à monter sur les trois marches du podium l'avait doublé. Une issue certes prévisible, mais que le Veveysan s'est plu à bousculer. Son coup de panache restera l'un des chapitres majeurs de cette 52e édition. «Et dire que j'espérais simplement terminer en moins de 2 h 40.» Son chronomètre s'est arrêté à 2 h 32, à trois minutes d'un vainqueur dont le nom commence à résonner dans la vallée: Philemon Kiriago. Déjà gagnant en 2023, deuxième à quelques foulées de Kilian Jornet l'an dernier, le Kényan a promis qu'il reviendrait à Zinal tant qu'il n'y aura pas remporté au moins cinq fois la victoire. Et si Oria Liaci finissait par gagner Sierre-Zinal? Philemon Kiriago, coureur de la vallée du Grand Rift, aura relevé son défi au plus tôt en 2028. Et dans le val d'Anniviers, une question se pose quant à cette échéance. Et si, d'ici à 2028, un Valaisan remportait de nouveau la course? Chez les hommes, la mission semble compromise. En revanche, une Valaisanne commence à sérieusement faire parler d'elle. Tranquillement installée dans le top 10 durant toute la course, Oria Liaci a «débranché le cerveau» dans la descente finale. Coupant la ligne à une exceptionnelle 5e place, juste derrière la recordwoman de la course, Maude Mathys, à six minutes de la Kényane Joyline Chepngeno, déjà lauréate il y a douze mois. À l'aise sur la route comme en montagne, Oria Liaci est la coureuse romande qui monte. Keystone «Je ne me mets aucune pression particulière. Mais oui, je serai là l'année prochaine pour faire encore mieux. Et pareil celle d'après.» Jusqu'à remporter l'épreuve? «J'aime bien cette idée», sourit-elle. Une info à prendre en compte: Oria Liaci n'a que 23 ans. Les Romands l'ont prouvé: l'hégémonie kényane entre Sierre et Zinal n'a qu'à bien se tenir. D'autres articles sur Sierre-Zinal Florian Vaney est journaliste au sein de la rédaction sportive de 24 Heures, de la Tribune de Genève et du Matin Dimanche. Formé dans la presse régionale, il suit de près le football suisse, des divisions «des talus» à la Super League. Il s'intéresse aux événements du terrain, mais plus encore aux histoires – belles et moins belles – qui naissent autour. Plus d'infos Vous avez trouvé une erreur?Merci de nous la signaler.

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