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Guerre en Ukraine : la réunion organisée à Londres «a été constructive», affirme Zelensky

Guerre en Ukraine : la réunion organisée à Londres «a été constructive», affirme Zelensky

Le Figaroa day ago
Le ministre des Affaires étrangères britannique et le vice-président américain ont organisé ce samedi une réunion des conseillers à la sécurité nationale européens et américains au sujet la guerre en Ukraine.
Ce samedi 9 août, le ministre des Affaires étrangères britannique David Lammy et le vice-président américain JD Vance ont organisé une réunion des conseillers à la sécurité nationale européens et américains au sujet la guerre en Ukraine. Les États-Unis, le Royaume-Uni, la France, l'Allemagne, l'Italie, la Finlande et la Pologne ont pris part aux discussions. Un échange concluant d'après le dirigeant ukrainien. «La réunion a été constructive», a déclaré Volodymyr Zelensky dans une vidéo relayée sur les réseaux sociaux.
Dans cette dernière, le président ukrainien exhorte les dirigeants à se mobiliser pour trouver une solution pérenne. «Des résultats sont nécessaires au niveau des dirigeants. Des résultats dignes, des résultats qui sauveront des vies, que le monde appréciera et pour lesquels il sera reconnaissant au dirigeant qui les aura obtenus», a-t-il ajouté, affirmant à nouveau que les partenaires de l'Ukraine «sont prêts» à aider le pays pour «mettre fin à la guerre par une paix digne, fondée sur une architecture de sécurité claire et fiable».
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Trump et Poutine ont rendez-vous en Alaska
Cette réunion était «une occasion cruciale pour discuter des progrès à accomplir pour parvenir à une paix juste et durable» en Ukraine, avaient indiqué les services du premier ministre britannique Keir Starmer au début de la journée. Un rendez-vous important, organisé une semaine avant la rencontre entre Donald Trump et Vladimir Poutine prévue le 15 août prochain en Alaska.
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INTERNATIONAL - Cela fait plus de six ans qu'ils ne se sont pas rencontrés physiquement. Le président américain Donald Trump va recevoir son homologue russe Vladimir Poutine, vendredi 15 août en Alaska, pour tenter d'avancer sur une fin de la guerre en Ukraine. De ces discussions, peu d'informations très claires ont pour l'instant filtré. Donald Trump a évoqué des échanges de territoires « au bénéfice de chacun » … Une option que Volodymyr Zelensky refuse catégoriquement pour l'instant. Quoi qu'il en soit, le président ukrainien n'est pour l'instant pas convié aux discussions. Le HuffPost fait le point sur les nombreuses zones d'ombre qui entourent cette rencontre très attendue. Volodymyr Zelensky absent… Ou invité surprise ? Jusqu'à présent, la réponse est claire : non, Volodymyr Zelensky ne sera pas présent en Alaska. Le président ukrainien répète pourtant qu'une rencontre entre lui et Vladimir Poutine est une « priorité » et qu'il est « légitime que l'Ukraine participe aux négociations » sur l'avenir de son pays. « Toute décision qui serait prise contre nous, toute décision qui serait prise sans l'Ukraine, serait une décision contre la paix », a martelé Volodymyr Zelensky ce samedi sur ses réseaux sociaux. Mais d'après les dernières tractations, il n'est finalement pas impossible que le président ukrainien soit de la partie. « Ça fait l'objet de discussions », a déclaré au média américain NBC une personne informée des échanges à la Maison Blanche. Un haut responsable de l'administration américaine a quant à lui affirmé que c'était « absolument » possible, et que « tout le monde espère vivement que cela se réalisera ». Mais même si le président ukrainien venait à faire le déplacement aux États-Unis, rien n'indique pour l'instant que cela signifierait l'organisation d'une rencontre tripartite Trump-Poutine-Zelensky. Le leader du Kremlin refuse toujours de rencontrer son homologue ukrainien, affirmant que les « conditions » ne sont pas réunies pour une telle rencontre, qui doit, selon lui, se tenir qu'en phase finale de négociations de paix. Les demandes de Poutine ont-elles évolué ? Difficile à dire tant les versions diffèrent pour l'instant, et témoignent de l'immense chantier qui s'annonce si Russes comme Ukrainiens cherchaient à trouver un terrain d'entente territorial pour mettre fin à la guerre. L'Institut pour l'étude de la guerre (ISW), un think tank américain spécialisé en analyse militaire, a très clairement résumé l'état des discussions. « Depuis le 6 août, l'administration Trump a décrit de quatre manières différentes les exigences du président russe Vladimir Poutine concernant un cessez-le-feu en Ukraine. Les détails exacts de la position de Poutine restent flous », écrivent-ils dans leur bilan quotidien du 9 août. Première version, du quotidien allemand Bild: l'émissaire américain Steve Witkoff aurait bel et bien… « mal interprété » les demandes de Poutine, pensant que la Russie proposait de se retirer des régions de Zaporijjia et Kherson, alors que le président russe exigeait en réalité que ce soit bien l'Ukraine qui se retire de ces zones. En outre, le chef du Kremlin plaiderait pour un cessez-le-feu ciblé sur l'énergie et les frappes à longue distance, tandis que Steve Witkoff pensait à un cessez-le-feu général. Deuxième version, du Wall Street Journal: Donald Trump aurait déclaré aux responsables européens que Poutine acceptait que les troupes russes se retirent des régions de Zaporijjia et Kherson, en échange d'un retrait ukrainien dans la région de Donetsk. Mais Steve Witkoff aurait ensuite corrigé le président américain dans un second appel avec les Européens, en affirmant que la Russie pourrait accepter de « se retirer et de geler » la ligne de front, mais que la seule offre claire venue de Moscou serait celle d'un retrait unilatéral ukrainien de la région de Donetsk en échange d'un cessez-le-feu. Troisième version, du média ukrainien Kyiv Independant: Vladimir Poutine aurait proposé un retrait russe des régions de Kharkiv et Soumy en « signe de bonne volonté », si l'Ukraine acceptait de céder la partie non occupée de Donetsk. Le tout, en acceptant de geler la ligne de front dans les régions de Zaporijjia et Kherson. Enfin, quatrième version, venue de Bloomberg : Poutine réclamerait que l'Ukraine cède définitivement les régions de Donetsk, Louhansk mais aussi la Crimée. Et ce, en échange d'un gel des combats à Kherson et Zaporijjia… Et le début des négociations pour un cessez-le-feu. Pour résumer, on semble encore bien loin d'une proposition très claire. Mais malgré ces différentes versions, une demande semble constante du côté de Vladimir Poutine : le retrait ukrainien de la région de Donetsk. Un détail loin d'être négligeable, car si l'Ukraine a perdu très large partie de cette région, elle conserve quelques bastions fortifiés qui font vivre un cauchemar aux assauts russes. Donald Trump va-t-il défendre l'Ukraine ? Volodymyr Zelensky le répète : « les Ukrainiens n'abandonneront pas leur terre aux occupants ». Donald Trump, quant à lui, semble avoir mis de côté ses menaces de sanctions sur la Russie pour de nouveau s'exprimer dans un vocabulaire plus proche des revendications de Poutine. Un règlement du conflit comprendra des échanges de territoires « au bénéfice de chacun », a ainsi assuré le président américain ce vendredi, sans donner plus de détails. Mais cette démarche unilatérale de Donald Trump suscite de nombreux doutes outre-Atlantique. « Si vous vous présentez à la réunion sans être préparé, vous risquez d'être pris au dépourvu par Poutine », a déclaré Michael McFaul, ancien ambassadeur des États-Unis en Russie sous l'administration Obama, auprès de NBC News. « Les sommets ont pour but d'atteindre un objectif qui sert les intérêts nationaux américains. Ils sont un moyen d'arriver à une fin, et j'ai parfois l'impression que Trump considère la réunion comme une fin en soi », a-t-il affirmé. L'Europe servira-t-elle à quelque chose ? Une fois de plus, l'Europe est mise de côté des discussions par Donald Trump, et ne sera pas présente en Alaska. Dans la nuit de samedi à dimanche, les principaux dirigeants européens, dont Emmanuel Macron, Friedrich Merz ou Keir Starmer, se sont dit convaincus que « seule une approche combinant une diplomatie active, un soutien à l'Ukraine et une pression sur la Fédération de Russie » pouvait parvenir à une paix durable. La cheffe de la diplomatie de l'Union européenne, Kaja Kallas, a par ailleurs annoncé la convocation d'une « réunion extraordinaire » ce lundi des ministres des Affaires étrangères de l'UE. « Tout accord entre les États-Unis et la Russie doit inclure l'Ukraine et l'UE, car c'est une question de sécurité pour l'Ukraine et pour l'ensemble de l'Europe, » a-t-elle insisté, affirmant que « tous les territoires temporairement occupés appartiennent à l'Ukraine ». Bien loin des propos de Donald Trump, donc. Mais l'avis des Européens semble bien peu compter à la Maison Blanche.

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RELIGION - Une décision vivement critiquée jusqu'au sein de l 'Église catholique. Les évêques de France souhaitent que l'archevêque de Toulouse revienne sur sa décision de promouvoir un prêtre condamné pour viol sur mineur en 2006, estimant que cette nomination ne peut que « raviver des blessures » et « déconcerter » les fidèles. « Nous avons engagé un dialogue constructif avec Mgr Guy de Kerimel, archevêque de Toulouse, l'invitant à reconsidérer la décision qu'il avait prise quant à la nomination du chancelier de son diocèse » indique ce dimanche 10 août la présidence de la Conférence des évêques de France dans un communiqué. « En effet, une telle nomination à un poste aussi important, canoniquement et symboliquement, ne peut que raviver des blessures, réveiller des soupçons et déconcerter le peuple de Dieu », souligne l'organisation. « Le parti de la miséricorde » Début juin l'archevêque de Toulouse a nommé au poste de chancelier le prêtre Dominique Spina, condamné en 2006 à cinq ans de prison dont un avec sursis pour le viol d'un lycéen de 16 ans en 1993. L'archevêque a expliqué avoir « pris le parti de la miséricorde » pour nommer ce prêtre à qui il n'a « rien à reprocher » dans une « fonction administrative » - le chancelier établit les actes administratifs et a un rôle de conseil -. Une décision qui a suscité l'incompréhension et la colère. Auprès du journal La Vie, la victime du prêtre Dominique Spina a de son côté qualifié cette promotion de « choquante », dénonçant « l'entre-soi religieux ». Plusieurs collectifs de victimes d'établissements catholiques, dont Notre-Dame de Bétharram, ont également fait part de leur « colère » face à une situation « inacceptable ». « Nous avons appris à regarder ces faits d'abord du point de vue des personnes qui en ont été les victimes et qui en subissent les conséquences à longueur de vie. Ce déplacement du regard, l'écoute bouleversante de leur détresse et de leur douleur, l'accueil de leur invitation à poursuivre humblement avec elles un chemin de vérité, ont amorcé, pour notre institution ecclésiale, un long et exigeant travail de conversion, que nous sommes résolus à poursuivre », affirme la Conférence des évêques de France (CEF), présidée par le cardinal Jean-Marc Aveline, archevêque de Marseille.

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