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DIRECT. Danemark (F)-Suède (F) (Euro féminin 2025) à suivre en direct

DIRECT. Danemark (F)-Suède (F) (Euro féminin 2025) à suivre en direct

L'Équipe15 hours ago
Danemark (F) 18h00 Suède (F)
Euro féminin 2025, Groupe C, 1re journée
Bienvenue sur le live de L'Équipe pour suivre ce match de football en direct entre Danemark (F) et Suède (F) (Euro (F), 1re journée).
Le coup d'envoi de ce match, qui se déroulera au Stade de Genève (Genève) sera donné le vendredi 4 juillet 2025 à 18h. Les deux équipes se sont déjà rencontrées 6 fois depuis 1994, le dernier match entre les deux formations s'est soldé par match nul le dimanche 5 juin 2022 (Euro (F) - 1ère journée : 1-1).
Le match sera arbitré par Edina Alves Batista.
Vous pouvez aussi retrouver plus d'informations concernant les équipes et effectifs grâce à nos fiches détaillées : Danemark (F) et Suède (F).
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« Ça aurait pu être une belle finale » : Bradley Barcola estime qu'un très grand match attend le PSG face au Bayern Munich
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L'Équipe

time2 hours ago

  • L'Équipe

« Ça aurait pu être une belle finale » : Bradley Barcola estime qu'un très grand match attend le PSG face au Bayern Munich

Bradley Barcola, l'attaquant du PSG, aborde avec enthousiasme et motivation les retrouvailles avec le Bayern Munich, samedi en quart de finale de la Coupe du monde des clubs. En quoi êtes-vous plus fort depuis votre dernier affrontement avec le Bayern Munich, à l'automne (0-1) ? « On a beaucoup progressé depuis, beaucoup travaillé. On est surtout plus en confiance. Les matches couperets de la Coupe du monde des clubs arrivent, dans quelle mesure cela vous motive ? Ah oui, on est surmotivés, c'est un très grand match. On a une revanche à prendre aussi. On a bien préparé ce match, on a fait beaucoup de vidéo. On va se donner au fond. Je pense que ça va se jouer sur la motivation. Il faudra être très dur, il n'y aura pas énormément d'occasions. Vous êtes motivé par ce sentiment de revanche ? Je pense que c'est notre plus grande source de motivation aujourd'hui, ce sentiment de revanche. Quand on avait perdu chez eux, ça avait été très dur chez nous. Ça a été un des déclics de la saison. Cette défaite nous avait fait mal, elle nous a fait prendre conscience qu'à ce moment-là, on n'avait plus beaucoup de chances de continuer dans cette Ligue des champions. Leon Goretzka a beaucoup parlé avant le match (« On les a déjà battus cette saison, on abordera ce match la tête haute »), vous non. Est-ce une règle ? Honnêtement, on est très rarement au courant de ce qui se dit. On va se donner à fond pour faire taire les gens qui parlent. Il y a tellement d'attaquants talentueux au PSG. Qu'est-ce qui fait que ça fonctionne si bien entre vous ? On s'entend tous bien, on arrive à travailler ensemble malgré la concurrence. C'est ça qui fait notre force. Cette affiche aurait pu être une finale. Est-ce l'adversaire que vous craigniez le plus en arrivant aux États-Unis ? On ne les craint pas forcément. On sait que ça va être dur. Comme vous l'avez dit, ça aurait pu être une belle finale. On les joue en quart, ça va être un grand match. »

« Il était une part de nous tous »  : à Anfield, la famille de Liverpool endeuillée après la disparition de Diogo Jota
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L'Équipe

time2 hours ago

  • L'Équipe

« Il était une part de nous tous » : à Anfield, la famille de Liverpool endeuillée après la disparition de Diogo Jota

À Anfield, le peuple rouge a défilé toute la journée de vendredi pour rendre homme au « Lad from Portugal ». Une procession poignante, à la hauteur de l'héritage de Diogo Jota, décédé jeudi dans un accident de la route, dans un club où la notion de famille a un sens réel. On ne choisit pas sa famille, mais eux l'ont fait depuis longtemps, pour le meilleur, souvent, et pour le pire, parfois. Maillots rouges et yeux de la même couleur, les membres de la « Liverpool Family » ont convergé par milliers vers Anfield depuis jeudi, pour rendre hommage à un petit-fils, à un fils, à un frère ou un tonton. C'est bien cela que représentait Diogo Jota pour cette foule d'anonymes connectés entre eux, c'est bien cela qu'ils pleurent au pied du temple, après le décès brutal de l'attaquant de 28 ans et de son frère André Silva dans un accident de la route en Espagne, dans la nuit de mercredi à jeudi. « J'ai perdu un de mes fils », répétait tous les deux mètres une femme à la voix éraillée, en remontant l'impressionnante allée de fleurs et de mots laissés sur le gazon faisant face à l'Hillsborough Memorial, à l'heure du breakfast vendredi. Ses paroles et ses sanglots brisaient alors un silence bouleversant, dans lequel un jeune sosie de John Arne Riise semblait se complaire. Assis sur le banc Bill Shankly, le regard perdu dans les bouquets, ce dernier est resté immobile pendant près d'une demi-heure. « Je crois qu'il était une part de nous tous », a-t-il simplement soufflé avant de filer pour son embauche à 9 heures. L'heure à laquelle les portes de la réception de l'Anfield Road Stand ont ouvert pour permettre à la « LFC Family » d'aller inscrire un mot dans un registre de condoléances. Quatre pupitres alignés sous le sourire à jamais figé du Portugais, et des dizaines de cahiers noircis d'amour et arrosés de larmes. Le petit Renzo, intenable dans la file d'attente, sur draisienne rouge avec un dossard n° 20 sur le devant, s'est arrêté net quand son papa a pénétré dans la pièce. Il avait déjà levé la tête, interloqué lorsqu'un steward était tombé dans les bras du paternel, en mimant l'accolade que lui aurait donnée Jota le 25 mai, lors des célébrations du titre à Anfield... Des ballons, des crampons, des lettres signées d'Ethiopie ou de Malaisie, des écharpes, des fanzines, des maillots... Si le club en deuil a fermé toutes ses boutiques, ses musées et ses tours organisés jusqu'à lundi - au grand désarroi de fans asiatiques qui avaient prévu leur programme depuis des mois - l'âme de l'institution, qui a construit sa légende en se relevant de tous les drames, était partout. Des centaines de « Liverbird », l'analogue britannique de l'oiseau phénix qui constitue le blason au LFC, surnageaient d'ailleurs au milieu de la marée de fleurs déposées pour Jota. Il y avait aussi des ballons, des crampons, des lettres signées d'Éthiopie ou de Malaisie, des écharpes, des fanzines, des maillots, rouges principalement, mais pas que. On a par exemple vu un homme âgé éviter de marcher sur des maillots Reds pour léguer son écharpe et un maillot relique d'Everton, le rival de l'autre côté du Stanley Park, en signe de respect. On a aussi observé une dame en larmes s'acharner avec une brosse à dents sur le Walk of Fame pour raviver l'éclat d'une plaque « Helen, Forever Red », avant d'y déposer juste à côté un bouquet pour Jota avec le même message. « Il est arrivé en 2020, il avait le numéro 20 et il a gagné le 20e titre, donc il faut retirer son maillot c'est le minimum » Sue, une fan de Liverpool De puissantes rafales de vent ont fait irruption peu avant midi, mais aucune offrande ne s'est envolée. Comme si même les éléments s'étaient accordés en révérence à l'un des chouchous de la famille. « Je ne devrais pas dire ça, mais si ça n'avait pas été lui, ça n'aurait pas été comme ça, glissait Joseph, dit "Joe ", à un ami stadier au sujet de l'intensité de l'hommage apporté par les Reds. Regarde, tout le monde parle de l'homme qu'il était et pas du joueur, parce que c'était un cerveau, un coeur, c'était un des nôtres. Un gars du Portugal mais qui était un vrai Scouser, qui aimait le snooker et les fléchettes, la meilleure pub anti-Brexit. » L'ancien capitaine Jordan Henderson, effondré, s'est fondu comme d'autres personnalités à une foule qui ne désemplit pas depuis 48 heures pour « l'enfant adopté de la ville », comme le stipulait une carte de condoléances. Tandis que le club se laisse du temps avant de planifier les actions mises en oeuvre pour que Diogo Jota soit honoré à jamais, le peuple rouge a déjà ses idées. « Il est arrivé en 2020, il avait le numéro 20 et il a gagné le 20e titre, donc il faut retirer son maillot, c'est le minimum », avançait Sue, la trentaine. Certains fans proposent aussi d'entonner le chant du « Lad from Portugal » à chaque 20e minute, d'autres exigent d'urgence une fresque en son honneur sur un des murs du quartier, comme celles de Ian Rush, Robbie Fowler ou Trent Alexander-Arnold. « Ils n'ont qu'à la faire à la place de celle de Trent, Diogo était un vrai amoureux du club, lui », soufflait un fan encore écoeuré du départ de l'Anglais au Real Madrid. « J'aimerais qu'il soit peint avec l'écharpe devant le Kop », confiait plus tard Annie, quand son mari était plutôt favorable à immortaliser la célébration de son ultime but, dans le derby contre Everton (1-0, le 2 avril). On pourrait aussi proposer le poster de Jota et son regard lointain, celui accroché par une écharpe à un arbre d'Anfield vendredi. Un ancien supporter, appuyé sur sa canne, l'a contemplé avec une telle intensité qu'on a soudain compris la formule affichée partout : « Diogo, tu ne marcheras jamais seul ». À lire aussi Jota, un footballeur de plus fauché en pleine gloire A Liverpool, des larmes et de la sidération Thiago Silva, 40 ans, toujours «Monstro» Geyoro : «Je trouve toujours quelque chose pour vanner»

À la découverte du staff de Luis Castro à Nantes
À la découverte du staff de Luis Castro à Nantes

L'Équipe

time2 hours ago

  • L'Équipe

À la découverte du staff de Luis Castro à Nantes

À pied d'oeuvre depuis lundi à la Jonelière, le nouvel entraîneur du FC Nantes Luis Castro est notamment accompagné par quatre adjoints portugais. Mercredi soir, le staff nantais au sens large, soit une vingtaine de personnes, a été convié par le directeur général du FC Nantes Franck Kita chez Casa Cruz, un restaurant portugais du centre-ville de Nantes, pour lancer la saison. Successeur d'Antoine Kombouaré, le nouveau coach Luis Castro, natif de Guimaraes, est à pied d'oeuvre depuis lundi à la Jonelière. Débauché de Dunkerque début juin pour 500 000 euros hors bonus, le Portugais sera accompagné, en plus de l'ancien entraîneur des gardiens du Red Star Faouzi Amzal (dont il a validé le profil), par quatre adjoints portugais. José Costa, le francophone Il y a d'abord José Costa, 39 ans, qui était déjà son bras droit à l'USLD. Après avoir démarré en 2013 comme assistant analyste à l'académie puis au sein de l'équipe première du Vitoria Guimaraes, il a poursuivi dans ce rôle au Chakhtior Donetsk de 2019 à 2021, puis à Al-Duhail (D1 qatarienne), avec un autre Luis Castro (l'ancien entraîneur de Botafogo et d'Al-Nassr). Passé ensuite par l'Étoile Rouge de Belgrade puis Al-Markhiya (alors en D1 qatarienne), il parle couramment le français et va donc seconder Castro en régissant le développement individuel et collectif adapté au projet de jeu, avec un oeil plus particulier sur le secteur défensif. Rui Cunha, le compagnon de galère en Grèce Rui Cunha, 32 ans, a lui aussi déjà travaillé comme adjoint de Luis Castro chez les jeunes au Vitoria puis à Panetolikos. Cette expérience en Grèce au début de la saison 2019-2020 ne dura que 3 mois pour les deux hommes. Rui Cunha a aussi été adjoint au Vitoria ces trois dernières saisons, et notamment de Rui Borges, de juillet à décembre 2024, date à laquelle ce dernier a pris la succession de Ruben Amorim à la tête du Sporting Portugal. À Nantes, Rui Cunha aura, entre autres, la charge de l'analyse des adversaires et la productivité du milieu de terrain. Jorge Cordeiro, le fidèle de Benfica Jorge Cordeiro, 46 ans, a lui quelques souvenirs français comme joueur. En 1997, il avait disputé la finale de l'Euro U18 contre la France (0-1, but de Louis Saha) et un amical avec Benfica contre l'OM en octobre 2000 (1-1). Sa trajectoire fut ensuite plus modeste et après un détour par la Norvège de 2012 à 2014, il est devenu trois ans plus tard adjoint au sein des équipes de jeunes de Benfica. C'est là qu'il a commencé à collaborer avec Luis Castro à partir de 2019. Vainqueurs ensemble de la Youth League en 2022, les deux hommes ont ensuite rejoint la réserve du club lisboète, qui évolue en D2 portugaise. S'il n'a pas suivi Luis Castro à Dunkerque en 2023, Jorge Cordeiro l'a rejoint à Nantes, où il sera notamment focalisé sur le développement du secteur offensif et les coups de pied arrêtés. Francisco Calvete, le physio globe-trotteur Francisco Calvete, 34 ans, est préparateur physique, ce qui couvre le travail de prévention et de réathlétisation. Celui qui a des notions de français a démarré dans le staff des équipes de jeunes à Benfica avant d'être promu chez les professionnels du club lisboète en juillet 2015. Il y côtoya Rui Vitoria, l'actuel coach du Panathinaïkos, et Bruno Lage, redevenu entraîneur de Benfica en septembre 2024. En janvier 2021, Francisco Calvete s'est expatrié pendant deux ans en Corée du Sud (Busan IPark, D2) avant de rejoindre en juillet 2023 les Émirats arabes unis, où il fit partie du staff de l'équipe nationale dirigée par Paulo Bento, l'ancien sélectionneur du Portugal (2010-2014), jusqu'en mars dernier.

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